Je m'appelle Philip Griffiths mais on m'appelle Grif. J'ai 27 ans, j'en fais 27 jusqu'à preuve du contraire. Je suis né(e) le 16 février 1985 à Bâton-Rouge et je suis américain, avec des origines galloises. Je suis un sorcier, descendant de la famille Griffiths,bisexuel et je suis ancien au Talamasca.
Capacité Spéciale ; Mémoire Post-mortem Depuis qu’il est tombé dans le coma à ces cinq ans, Philip est doté d’un pouvoir spécial qui lui permet de recueillir tous les souvenirs des morts qu’il touche. Il ne s’est aperçu de cette capacité qu’à ses seize ans, lorsque son grand-père est mort et qu’il a accidentellement vu chacun de ses souvenirs. Au départ, Philip tombait dans le coma, en fonction de l’ampleur de la mémoire qu’il accueillait, le temps que son esprit ait finit de la visionner. A présent qu’il est entré au Talamasca, il a appris à contrôler son pouvoir et ne tombe plus dans le coma. Il ressent malgré tout une migraine pendant deux ou trois jours, cela dépendant toujours de la quantité de souvenirs qu’il recueille. Cette capacité ne fonctionne pas sur les vampires car leur mémoire n'est pas considérée à "l'abandon" mais est encore en fonction.
Histoire
« Je ne suis pas mort, j’ai arrêté de vivre »
Philip avala une dernière gorgée de café avant de reposer sa tasse sur le plateau d’argent que l’employée lui avait apporté. Il soupira silencieusement tout en fixant d’un regard vide le cahier de notes posé devant lui. Sa plume en main, il commença à griffonner quelques croquis sur le coin de la page puis se décida enfin à écrire comme ses supérieurs le lui avait conseillé :
« On m’a dit de noter tout ce dont je me souviens de ma vie, chose pour le moins étrange. Je préfère raconter celle des autres, la mienne n’est pas spécialement ragoûtante. Mais si la moindre de mes pensées peut aider quelqu’un quelque part alors je vais faire cet effort. Après tout, sans le Talamasca je n’aurais pas pu apprendre tout ce que je sais de ma famille. Mon plus lointain souvenir remonte au jour de l’incendie qui a tué ma mère. J’avais cinq ans et j’ai eu la chance d’y rescaper. C’était en septembre de l’année 1990. Je ne me rappelle pas de tous les détails. Simplement que je me suis réveillé à cause de la fumée qui m’asphyxiait. Quand je suis entré dans le salon, ma mère était assise sur le fauteuil en feu. Plus tard, les pompiers ont expliqué à Clay, mon grand-père, que l’origine de l’incendie était une cigarette tombée sur la moquette. Je suppose que ma mère s’était encore une fois endormie en fumant, ce qui lui a alors coûté la vie. Je ne veux pas paraître insensible en racontant cette histoire, mais je n’ai jamais vraiment connu ma mère et le peu de souvenirs que j’ai d’elle sont ceux où elle rentrait ivre à la maison ou lorsqu’elle s’injectait de la drogue dans la salle de bain. Même si elle me répétait régulièrement qu’elle m’aimait plus que tout, elle n’était pas le genre de mère exemplaire qui s’occupe d’aller chercher son enfant à l’école ou qui lui prépare son goûter. Ce rôle là était dévolu à Clay qui le faisait comme contraint et forcé. Pour moi, ce genre de vie était tout à fait normal. J’ai bien essayé d’atteindre ma mère pour la sortir de là, mais à force de tousser je ne pouvais pas me déplacer comme je le souhaitais. Je commençais lentement à suffoquer et je n’aurais pas pu m’en sortir si j’avais vraiment insisté. C’est à ce moment là que je l’ai aperçu pour la première fois. Il y avait un homme dans l’entrebâillement de la porte qui menait à l’entrée de l’appartement. Sa silhouette était immense, légèrement noire et il avait de très longs cheveux. Il me regardait fixement. Pris de panique, j’ai cherché à fuir, mais je ne pouvais plus avancer et je commençais à perdre connaissance à force de manquer d’air. Au moment ou je m’allongeai sur le sol brûlant, j’ai senti mon corps se soulever et passer violement à travers la fenêtre. Heureusement nous étions au rez-de-chaussée de l’immeuble et j’ai atterri dans la ruelle qui rejoignait la rue principale par laquelle les pompiers sont arrivés. J’ai perdu connaissance et je me suis réveillé trois jours plus tard à l’hôpital de Bâton-Rouge. Les médecins ont expliqué à Clay que j’étais dans le coma en état de mort cérébrale. Ils avaient peu d’espoir de me voir me réveiller un jour. Ils ne comprirent pas comment j’avais pu m’en sortir, d’autant plus que je guérissais à une vitesse anormale. Je n’ai pas pu assister à l’enterrement de ma mère et je sais aujourd’hui que c’est une bonne chose compte tenu du fait de mon pouvoir « spécial ». En touchant son corps j’aurais certainement perdu connaissance comme à l’enterrement de Clay, neuf ans plus tard. Je suis donc allé vivre chez Clay et sa nouvelle compagne Shirley Backoq. Le reste de mon enfance s’est déroulé plutôt normalement sans grands incidents.
« Je n’ai jamais connu mon père, et je ne suis pas sûr que ma mère ou mon grand-père l’ai vraiment connu non plus. La seule chose que Clay voulait bien me dire était qu’il était un homme de passage qui avait rencontré ma mère dans un bar et qu’ils s’étaient aimés le temps d’une nuit. J’en suis arrivé à la conclusion que cet homme était un junkie comme ma mère et qu’ils avaient répondu non pas à un désir amoureux mais une pulsion sexuelle tout à fait banale. De là j’étais né et on n’avait plus jamais entendu parler de lui. J’ai découvert dans l’esprit de Clay que c’était la raison pour laquelle je n’ai jamais rien su sur le reste de ma famille jusqu’à ce que le Talamasca me fournisse les informations me concernant. J’ai toujours un peu de mal à croire que je suis un sorcier. Je veux dire, ce genre de chose n’existe que dans les livres. Mais les explications du Talamasca sur ce monde obscur qui nous entoure, m’éclairent sur bien des points d’ombre de mon passé. A commencer par cet étrange pouvoir que j’ai de lire dans les esprits des morts, ou plutôt à revoir toute leur vie une fois que je les ai touchés. Shirley croit que la première fois que ça m’est arrivé, c’était à l’enterrement de mon grand-père, mais en réalité, c’était quand je jouais dans le parc avec des amis, quand j’avais huit ans. Nous nous amusions avec le corps d’un écureuil mort et bien sûr, au lieu de le tâter à l’aide d’un bâton, j’ai ramassé le petit corps sans vie. J’ai perdu connaissance pendant quelques minutes, le temps que la vie de l’animal défile dans mon esprit. Mes amis n’ont pas compris ce que je faisais par terre (ça n’a duré que quelques minutes, pas de quoi les inquiéter) et moi-même je n’arrivais pas à saisir toutes les images qui venaient de m’apparaître. L’esprit des animaux n’est pas comme celui des humains, les choses sont plus confuses et beaucoup moins symboliques que nous pouvons le croire. Il se compose de simples perceptions sensorielles qui aident l’animal à survivre dans la nature. Néanmoins le fait que je puisse m’imprégner de leur vie après leur mort me laisse croire qu’ils ont une âme, ou une chose équivalente.
« L’un des tournants de ma vie fût la mort de Clay, quand j’avais quatorze ans. Son alcoolisme chronique finit de lui détruire la santé et il s’éteignit lentement, dans son petit appartement de Cavage Ford Street à Bâton-Rouge. Shirley accepta de s’occuper de moi jusqu’à ma maturité. Elle est vraiment quelqu’un d’adorable. Du haut de ses soixante-quatre ans elle continue à s’investir dans diverses associations. Elle n’a pas eu une vie facile et elle n’a pas grandit dans les plus beau-quartiers, ce qui se voit à sa façon de s’habiller. Mais j’aime Shirley car elle a toujours pris soin de moi, du plus lointain souvenir que j’ai d’elle. Elle me considère comme le fils qu’elle n’a jamais eu. Mon pouvoir spécial refit parler de lui à l’enterrement de Clay. Quand je me penchai pour embrasser son front lors de la cérémonie d’adieux, je perdis connaissance pendant un peu plus d’une semaine. Je me réveillai à l’hôpital de Bâton-Rouge, encore, où Shirley m’apprit que j’avais été dans un coma profond en état de mort cérébrale. L’un des médecins qui m’avait suivi quand j’avais cinq ans, spécialiste en neurologie, n’arrivait pas à comprendre comment mon activité cérébrale pouvait s’arrêter et se relancer ainsi d’elle-même. Il voulu faire des examens supplémentaires mais je refusai. J’étais bien trop bouleversé par les souvenirs de Clay que je venais de visionner durant mon coma. C’est ainsi que je découvris, à travers la mémoire de Clay, que j’avais une tante et une grand-mère. Qu’elles vivaient quelque part à la Nouvelle-Orléans, dans une luxueuse demeure de Garden District. Clay n’avait jamais divorcé d’avec ma grand-mère, Nessma Griffiths, mais il l’avait quitté suite à une dispute qu’elle avait eue avec ma mère au sujet de ma naissance non désirée. En réalité, Clay avait toujours haït Nessma car elle le faisait se sentir minable, inférieur à elle, et cela avait commencé lorsqu’elle avait refusé de prendre son nom à leur mariage. Puis il s’était forgé la certitude selon laquelle elle était une sorcière, une femme repoussante qui manipuler les forces obscurs pour son propre intérêt. Elle entraînait Clarence, leur première fille, dans ce hobbies impropre et voulait faire d’elle la fière descendante de « la lignée Griffiths » comme elle disait. Aydreith, ma mère, n’avait jamais adhéré à ce genre de choses et s’était animée de la même haine que mon grand-père à l’égard de sa sœur et de sa mère. Elle avait sombré dans la drogue et l’alcool afin de détruire cette part d’elle-même qu’elle ne supportait pas, puis, après avoir rencontré mon père et être tombée enceinte de lui, elle s’était définitivement fâchée avec Nessma. C’est ainsi que elle et Clay, étaient arrivés à Bâton-Rouge pour vivre loin de cette maudite maison et m’élever contre l’avis de ma grand-mère. Découvrir un passé dont j’ignorais tout à l’époque fût un choc pour moi. Je n’osais pas aller à la Nouvelle-Orléans pour rencontrer ces femmes qui n’avaient pas voulu de moi et qui étaient considérées comme des sorcières par Clay. Il avait quand même assisté à des choses étranges qui, sans me faire adhérer à l’hypothèse des sorcières, me donnait la chair de poule le soir quand je m’endormais. Je devins alors taciturne, solitaire et déprimant. Shirley ne comprenait pas ce qui m’arrivait et elle faisait tout son possible pour me redonner la joie de vivre. Elle crut que c’était la mort de mon grand-père qui me rendait ainsi, jusqu’à ce que je lui raconte ce que j’avais vu. »
Philip se redressa sur sa chaise, étira ses membres engourdis et jeta un œil par la fenêtre de sa chambre. Dehors, la nuit était tombée et la lampe de bureau était la seule source de lumière à l’horizon. Le jeune novice se leva et commença à marcher silencieusement dans la pièce. Ses jambes lui faisaient mal à force d’être restées immobiles. Il passa devant le miroir sur le mur face à son lit. Son reflet était celui d’un jeune homme de vingt-sept ans au visage blanc délavé et aux traits légèrement relâchés. Ses yeux tombants étaient plissés, comme à leur habitude, mais laissaient tout de même entrevoir ses iris noirs où pointaient quelques nuances de brun. Des cheveux noirs comme ceux de sa mère, étaient coupés courts et recouvraient négligemment son haut front. Sa bouche aux fines lèvres émaciées légèrement pulpeuses, était fermée, dessinant une mine boudeuse dont les commissures relevées suffisaient à présumer l’ébauche d’un sourire. Il n’était pas très grand, un mètre soixante dix-huit tout au plus. Mais sa faible corpulence lui donnait un aspect tout en longueur. Lassé par son image, Philip retourna s’asseoir au bureau et se remit à sa rédaction :
« Il est tristement drôle de constater que je décidai finalement de me rendre à la Nouvelle-Orléans en août 2005. Peut-être l’approche imminente de l’ouragan Katrina qui menaçait de détruire ce passé qui m’effrayait tant, me poussa à agir dans la précipitation. Bien sûr, je ne pus atteindre mon objectif, la magnifique demeure de Garden District, et j’essuyai avec violence le passage de la catastrophe naturelle. Dois-je préciser ce qui arriva lorsque, tentant vainement d’échapper à la mort, je me retrouvai avec une dizaine, voire centaine, de corps autour de moi. Je ne pus les éviter tous alors que je devais lutter contre la force démesurée du vent. Je ne sais pas par quel miracle je m’en suis sorti. Le seul souvenir réellement intact qu’il me reste de cet épisode est l’apparition de la silhouette que j’avais aperçue dans l’incendie de mes cinq ans. Mais ce n’était plus vraiment la même personne. L’homme était toujours immense et avait toujours les cheveux longs et noirs, mais sa peau était plus claire, légèrement tannée. Il portait une peau d’animal en guise de jupe et une parure de bois pendait contre son torse nu. On aurait dit un indien échappé d’un vieux western. Il me regardait fixement jusqu’à ce que, heurtant un corps qui flottait à mes côtés, je perde connaissance. Je me suis réveillé sept mois après la catastrophe. Je ne sais pas comment les secours ont repérés mon corps dans l’eau qui inondait les rues et en sont venu à la conclusion que je n’étais pas mort, puisque encore une fois je me trouvais dans un coma profond. Je passai donc sept mois à visionner toutes les vies qui défilaient dans mon esprit, toutes les vies de ces personnes mortes que j’avais malencontreusement touchées après avoir perdu connaissance. Je ne peux décrire l’état de décrépitude dans lequel je me trouvai à mon réveil. Je devais me remettre de mon traumatisme face à la tempête, mais aussi de celui de toutes les vies que j’avais partagé en souvenir. Je ne sais pas si Shirley comprend vraiment ce que signifie « revoir toute la vie du mort ». Cela implique que j’assiste à ses derniers moments, jusqu’à ce que l’heure fatidique tombe. Vivre la mort à travers une centaine d’yeux différents à de quoi rendre fou n’importe qui. Je ne savais plus si j’étais encore en vie, si mon esprit allait reprendre le dessus un jour. Dès que les souvenirs d’une vie se terminaient, une autre commençait et ainsi de suite. Pourtant je n’étais pas mort et mon esprit à qui toutes ces images étaient imposées, en gardait l’intime conviction. Car si je n’étais plus en vie, je n’aurais jamais pu voir toutes ces mémoires. Mon don aurait tout simplement cessé de fonctionner. Mes comas à répétitions d’où je sortais indemne finirent par attirer l’attention du Talamasca. Quelques semaines après ma sortie de l’hôpital de Bâton-Rouge, je reçus des lettres qui m’étaient adressées. Chacune était signée :
Talamasca Chercheurs du paranormal Nous observons et sommes toujours là
Je ne voyais pas ce qu’ils me voulaient. On m’expliquait dans les courriers qu’un membre souhaitait me rencontrer afin de me parler de mes accidents, de m’apprendre à contrôler mes dons et surtout, qu’on pouvait m’aider à retrouver ma famille. Dévoré par la curiosité, je renvoyai une réponse positive à l’adresse indiquée, située à la Nouvelle-Orléans. Un rendez-vous fut arrangé près de chez moi et je rencontrai alors pour la première fois un membre du Talamasca.
« C’est ainsi que j’entrai dans l’ordre des gardiens du secret, charmé par l’idée d’étudier les événements du paranormal. J’abandonnai mes études de Sciences Humaines et Sociales à l’université de Bâton-Rouge et j’allai m’installer dans la maison de la Nouvelle-Orléans à l’âge de vingt-deux ans. Dès mon arrivé on me laissa avoir accès au dossier concernant ma famille, intitulé « Sorcières et Sorciers de la famille Griffiths ». L’arbre généalogique y était référencé jusqu’à huit générations au-dessus de la mienne, depuis mon ancêtre Dilys Griffiths qui était venue s’installer en Amérique en 1757. C’était elle qui avait pérennisé le nom de la famille sur le nouveau monde. J’appris aussi que le seul sorcier de la famille avant moi, Emett Griffiths, avait été membre du Talamasca à partir de 1882. Il était le seul sorcier Griffiths à être entré dans l’ordre des gardiens du secret. Mais le plus important pour moi fut de découvrir que ma grand-mère et ma tante avaient survécues à l’ouragan Katrina et que j’avais une cousine du nom de Cassandra Griffiths. Je désirai plus que tout entrer en contact avec elles, mais mon noviciat m’interdisait d’aller à la rencontre du monde surnaturel pour l’instant. Deux années s’écoulèrent alors durant lesquelles j’effectuai des tâches pour le Talamasca, comme mettre de l’ordre dans les informations qui nous provenait des éclaireurs ou des érudits sur le terrain. Je devais faire passer les messages aux nettoyeurs quand la nécessité d’effacer des traces s’imposait. J’appris aussi à mieux contrôler mon don. A présent, je ne tombe plus dans le coma lorsque je touche un cadavre. Je vois sa vie défiler devant moi pendant quelques jours, mais je reste capable de continuer ma vie en parallèle. Je suis tout de même victime de fortes migraines pendant ces moments là. A La fin de mon noviciat je décidai d’entrer dans la branche des érudits. Etudier les lignées semblait une évidence pour moi qui avait toujours tout ignoré de la mienne. Cependant le plus important pour moi restait de pouvoir enfin rencontrer les membres de ma famille biologique encore en vie. L’autorisation d’entrer en contact avec elles me fut donnée, mais je ne pus me résoudre à les approcher directement. Une peur irrationnelle m’empêchait de me rendre à Garden District et de me présenter comme si de rien n’était. J’avais appris dans le dossier concernant ma famille, que ma mère avait maudit ma tante avant de partir. Elle lui avait prédit que son enfant mourrait avant le sien. Ce qui s’avéra vrai puisque Clarence Griffiths perdit son premier enfant lors d’une fausse couche. Alors comment pouvais-je débarquer dans cette famille où j’étais l’origine d’une terrible scission ? Je décidai de ne pas les rencontrer directement et je passai par ma grand-tante, Scarlett Griffiths, la sœur de ma grand-mère. Elle était hospitalisée dans un service psychiatrique de la Nouvelle-Orléans et personne ne voulait accorder de crédit à ses propos. Je lui rendis visite pendant trois années, trois années durant lesquelles elle m’apprit ce qu’elle savait sur ma famille et sur la magie des Griffiths. Elle savait qui j’étais avant même que je ne me présente et se montra très aimable avec moi, dans les limites de ce que sa santé mentale lui permettait. Pourtant, aujourd'hui son état se détériore de jour en jour et les médecins expliquent que bientôt ils ne pourront plus rien faire pour l’aider. Bientôt mon seul lien avec une sorcière Griffiths devra être remplacé. Le destin qui doit me réunir à ma famille est sur le point de se réaliser, je le sens.»
Derrière l'écran
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Dernière édition par Philip Griffiths le Ven 4 Jan - 14:21, édité 17 fois
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Sujet: Re: Philip Griffiths, le retour de l'héritier Sam 24 Nov - 22:29
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Sujet: Re: Philip Griffiths, le retour de l'héritier Dim 25 Nov - 21:32
Sujet: Re: Philip Griffiths, le retour de l'héritier Lun 26 Nov - 13:39
Très jolie fiche, et personnage hautement intéressant J'ai juste une remarque à faire avant de procéder à ta validation : « Cinq années s’écoulèrent alors durant lesquelles j’effectuai des tâches pour le Talamasca, comme mettre de l’ordre dans les informations qui nous provenaient des éclaireurs ou des érudits sur le terrain. » S'il s'est réellement passé 5 ans depuis l'entrée de Philip au Talamasca, alors il n'est plus novice (le noviciat ne durant que 2 ans). Je te laisse donc corriger ça en fonction de ce que tu préfères (il peut être novice comme ancien, c'est toi qui choisis ! ^^)
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Sujet: Re: Philip Griffiths, le retour de l'héritier Lun 26 Nov - 19:17
Ah oui d'accord j'avais mal compris! C'est parce que dans la fiche descriptive du Talamasca il est écrit que la formation dure 5 ans dans la rubrique noviciat. J'ai modifier mon dernier paragraphe du coup. J'ai retouché à partir de "Deux ans s'écoulèrent...".
S'il y a encore des choses à changer, pas de souci!
Sujet: Re: Philip Griffiths, le retour de l'héritier Lun 26 Nov - 21:47
Félicitations !
« Tu viens d'attraper le dernier train pour l'Enfer ! »
Officiellement bienvenue sur COB ! Je suis désolée pour cette histoire d'années °° Ca a toujours été 2 ans donc je ne sais pas du tout pourquoi il était marqué 5 ans dans la notice (j'avais dû fumer ) Bref, tout est parfait . Te voilà donc ajouté chez les talamascains ! Amuse-toi bien parmi nous, et n'hésite pas à contacter un membre du staff si tu rencontres un problème ou as besoin de renseignements ! Ce qui suit a été rédigé pour te guider après ton arrivée
Se Préparer
A ce stade, t'as passé la validation, et ça mérite avant tout un bravo ! Tu fais officiellement parti de la famille, et tu vas pouvoir commencer à t'éclater. Mais avant, il y a encore quelques détails à régler. Si ce n'est pas encore fait, un agent d'intégration va bientôt te prendre sous son aile pour t'aider à t'intégrer. Pour rappel, voici le fonctionnement de L’Équipe d'Intégration. Tu trouveras là la liste des agents ainsi qu'un petit descriptif, qui te permettra d'en savoir plus sur ton parrain. Enfin, te voilà arrivé à la phase des obligations administratives ! Plusieurs étapes : Pour commencer, il est prudent de faire recenser ta célébrité dans le Bottin des Avatars, en respectant le formulaire évidemment ! Si ton personnage est un Prédéfini ou bien un Scenario, n'oublie pas de préciser dans ce sujet que tu l'as choisi, afin qu'un Modérateur spécifie qu'il est désormais pris ! Pense aussi à réserver ton métier/rôle , histoire qu'on sache un peu qui est qui. De même, il te faut recenser ton pouvoir dans la Liste des Capacités. N'oublie pas de respecter le formulaire qui est proposé Puis, il est impératif de créer ta Fiche de liens, histoire de te faire quelques potes dans le coin. Tu peux aussi créer un sujet dans les Répertoires de topics, histoire de recenser tes futures aventures ! Enfin, tu peux si tu le souhaites venir réclamer un Rang Personnalisé.
Une fois que t'as fait tout ça, t'es paré pour le jeu, soldat !
En revanche, il te reste encore des choses indispensables à savoir, et pour cela, on te donne directement rendez-vous dans le
▌A débarqué le : 21/07/2010 ▌Parchemins : 4682 ▌Quantité de sang disponible : 32105 ▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus ! ▌Rang : Chef du clan Blackstone. ▌Job : Chasseur à mes heures perdues. ▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.