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| Aymeric Anderson ▬ « Ce n'est pas parce que tu es un prédateur que tu dois agir comme tel. | |
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| Sujet: Aymeric Anderson ▬ « Ce n'est pas parce que tu es un prédateur que tu dois agir comme tel. Ven 11 Nov - 23:19 | |
| Aymeric James Isaiah ANDERSON ❝ Les hommes, à de certains moments, sont maîtres de leur sort. ❞ William Shakespear, Jules César. | Identité Je m'appelle AYMERIC. AYMERIC JAMES ANDERSON, mais on m'appelle BALTO OU LE LOUP. J'ai 36 ANS, j'en fais PLUTÔT 26. Je suis né le 22 JUIN 1975 et je suis ANGLAIS, avec des origines MULTIPLES ET INDÉTERMINÉES. Je suis un LOUP-GAROU BISEXUEL et je suis GARDE DU CORPS POUR LE COMPTE D'ASHER BLACKSTONE.
CAPACITÉ SPÉCIALE : LA LOI DU TALION. Certains parlent simplement d'un don curatif, capable de faire disparaître les blessures d'autrui afin de les sauver d'une mort certaine. La vérité est toute autre : le lycanthrope transfère les maladies, les blessures des autres, sur son propre corps. Au premier stade, Aymeric peut effectivement aider à refermer des écorchures ou empêcher le sang de couler en le faisant coaguler. Il lui suffit pour cela d'entrer en contact physique avec le blessé, de garder ledit contact jusqu'à disparition des blessures - elles apparaissent alors sur lui, aux mêmes endroits, mais sa faculté de guérison est accélérée en tant que loup-garou alors il n'en souffre pas longtemps. Au second stade, il serait même possible pour lui de gommer un rhume ou une plaie profonde. C'est ici que les choses se compliquent. Dès le commencement, Aymeric savait que la balance de la Vie ne pouvait être impunément inversée. Pour chaque égratignure qu'il effaçait, il se sentait un peu plus fatigué. Désormais, à ce niveau, il se sent épuisé. Au dernier palier de son pouvoir, il est capable de faire marcher le processus dans l'autre sens s'il le désire. S'il veut sauver une personne atteinte d'une balle perdue, il pourra, par apposition des mains, faire passer cette blessure à quelqu'un d'autre. Il servira ainsi de "pont" entre les deux corps. Mais son don ne s'applique pas à lui, jamais. Inutile de préciser que ce tour de force lui coûte une bonne partie de son énergie vitale. Néanmoins, il pourrait bien être aux portes de la mort qu'il ne refuserait pourtant pas des soins à une personne en danger.
DANNY SCHWARZ © ROKKU |
Histoire ❝ Le passé est un prologue. ❞ William Shakespear, La Tempête.
Direct du droit, direct du gauche, uppercut droit. Esquive. Parade. Direct du gauche, direct du droit, décalage crochet gauche. Esquive. Crochet du droit. Esquive. Parade. Esquive.
Pour certains, ces mots ne signifient rien de plus que des enchaînements de boxe sans réelle substance. Ils savent à peu près à quoi ils correspondent, ils peuvent mettre des mouvements sur des lettres, mais ils ne savent pas la moitié de ce que j’ai appris. La force du coup, la vitesse surtout, les premières douleurs lorsque, après une heure et demi d’entraînement, on finit par enlever ses gants et que l’on découvre ses mains violacées. J’étais fils unique, mais cette responsabilité ne m’avait jamais effrayé. J’étais naturellement doué pour les études, un enfant brillant selon les dires de mes professeurs. Néanmoins, cela ne me suffisait pas. Ne me contentait pas ; je recherchais autre chose que la simple satisfaction de récolter une bonne note lors d’un devoir. Je voulais davantage. Et je sus quoi à mon entrée au collège où le panel de sports éducatifs s’était largement enrichi. J’y découvris le plaisir de la boxe, un art dont je n’avais pratiquement aucune connaissance. Or, j’aurais certainement dû puisque mon propre père s’y était énormément consacré durant les premières années de sa vie. Mais il avait raté sa chance, un accident de voiture était venu contrecarrer ses plans d’avenir lui abîmant les muscles de la cuisse droite et l’empêchant de pratiquer ; privé de sa passion, il avait peu à peu perdu son lustre et son dynamisme. Sur d’anciennes photos, je l’ai déjà vu sourire et il y en a même une qui a immortalisé à jamais un éclat de rire féroce. Mais aujourd’hui, c’était à peine s’il esquissait de frêles ébauches de sourires, tellement fragiles que l’on craignait qu’elles ne soient réduites en miettes à cause d’un coup de vent trop puissant. Il n’était pas dépressif, encore moins maussade ou méchant. Il était simplement éteint.
Lever, 07h15, une vingtaine de pompes suivies d’une bonne douche. Petit-déjeuner copieux. Entrainement de boxe à durée indéterminée.
Mon adolescence, je peux la résumer en deux mots. Etudes et boxe. Les premières me permettaient de souffler un peu, de récupérer lentement de mes exercices physiques épuisants. Je m’appliquais à garder de très bonnes notes malgré certains jours épuisants, je restais parmi les premiers, et ce jusqu’aux dernières années d’études. Mais là, contrairement aux autres bons élèves, je décidais de ne pas poursuivre, de m’arrêter là. Une décision que je vins à ne jamais regretter parce qu’elle me définissait complétement. Ce n’était pas parce que j’étais bon en quelque chose que cela voulait forcément dire que ça me plaisait ; la boxe, ça, c’était quelque chose qui m’intéressait. Au départ, je n’étais pourtant pas le meilleur. Au contraire. Je me prenais de sacrés directs et je rentrais bien souvent avec une ou deux bosses, accompagnées de bleus légers. Mon père m’avait appris les bases, comme il le pouvait. Il avait énormément d’expérience en ce domaine mais son handicap l’avait tenu à l’écart de son rêve si brutalement qu’il en avait perdu le goût de s’entrainer. Il se disait rouillé… Mais moi, il me fascinait. Grâce à la boxe, j’avais appris à le connaître comme jamais, j’avais vu en lui l’écho du grand boxeur qu’il avait été. Je pense que je l’admirais, tout simplement. Comme un fils.
Lever, 06h15, une trentaine de pompes suivies d’une bonne douche. Petit-déjeuner copieux. Entrainement de boxe, matchs.
Vous savez quel cadeau m’a fait le plus plaisir, le jour de vingt-quatrième anniversaire ? C’est peut-être idiot, mais c’est cette paire de mitaines en cuir noir que m’a offert mon père. Elle m’allait comme un… hé bien, comme un gant. Avec le temps, le cuir s’est usé et de multiples craquelures ornent désormais le dessus. Mais je m’y sens à l’aise. C’était un peu un moyen pour moi de me sentir chez moi, même lorsque je passais mes nuits et mes jours loin d’eux. Nous vivions à New-York, la Grosse Pomme comme on la surnomme, d’innombrables opportunités s’étaient offertes à moi lorsque j’avais remporté mes premiers combats ; j’en étais fier. Mais mon père l’était davantage, à un point que je n’aurais jamais pu imaginer. Je ne les ai pas souvent vu cette année-là, j’étais principalement occupé à courir partout pour mener des matchs, pour me faire connaître. Au départ, mon père s’était proposé pour être mon manager mais il avait dû laisser la place à un professionnel lorsque les évènements se mirent à s’enchaîner trop vite pour lui. Il n’avait jamais été un homme d’affaires, seulement un champion déchu qui vivait ses rêves à travers son fils. Je connaissais une ascension fulgurante. Je n’étais pas célèbre, tout du moins pas pour les grands connaisseurs de boxe, mais les amateurs, eux, savaient désormais mon nom. J’étais reconnu à défaut d’être connu. J’existais. Je me souviendrais toujours du dernier combat que j’ai dû mener. Mon adversaire faisait au moins deux fois ma taille – et pourtant je suis assez grand – et autant de fois mon poids. Il était rapide, très puissant et portait des coups dévastateurs. Son surnom, c’était le Bulldozer « en un coup t’es K.O ». Le reste de mes souvenirs sont plutôt confus, sûrement à cause des coups que j’ai reçus, et le seul instant de lucidité est celui où l’arbitre s’est approché de moi pour lever mon bras vers la foule en délire. J’avais gagné. J’avais littéralement explosé toutes les prévisions à mon égard, j’étais parti perdant à cinq contre un et au final… Ce soir-là, j’avais pris la décision de rentrer plus tôt et de faire du stop. Mon père avait prévu de passer me chercher en revenant de son petit trajet d’affaire sur les routes. Je suis monté à bord de ce camion, rayonnant comme un petit soleil et fier comme un coq. Je me souviens m’être senti euphorique, puis un coup puissant porté sur mon crâne m’a envoyé dans un tourbillon de noirceur. Je ne le savais pas encore, mais j’étais déjà perdu.
Le jour et la nuit se confondent, rien ne les distingue. Sa vie est rythmée par les visites des trafiquants, les combats qu’on lui ordonne de mener. Un loup hurle.
L’aiguille s’était plantée profondément, je crois même qu’elle avait glissé sur l’os. J’avais beau me débattre, ils étaient plus nombreux que moi et certainement plus entraînés. Tout d’abord, il y avait eu un sentiment de torpeur, mes muscles se sont décontractés et je n’étais plus capable du moindre mouvement. Puis ils m’ont administré un nouveau liquide, avec la même douceur, et tout s’est enflammé. Combien de jours, combien de nuits, combien d’heures, combien de temps ai-je passé à hurler, à supplier qu’ils m’achèvent ? J’avais si mal qu’en comparaison, la moindre étincelle d’espoir me semblait incongrue. Je ne savais pas ce que voulaient ces types, à vrai dire je n’en n’avais strictement rien à faire. Je ne pensais qu’à mourir. M’enfuir. Les tuer. Mourir. Leur cracher au visage. Hurler. Mourir. M’enfuir. Mourir. J’avais toujours eu une tolérance à la douleur assez élevée, sûrement parce que les entraînements que je faisais au début de ma vie n’étaient pas les plus délicats, mais cette fois-ci la souffrance dépassait les seuils que j’étais habitué à fréquenter. Un os brisé, une plaie ouverte, rien ne m’avait fait aussi mal. J’en perdais la raison. Ma première transformation, je la vécu comme dans un rêve éveillé. Le genre de cauchemar où, lorsque l’on veut se mettre à courir, on se rend compte qu’on n’avance pas et que les démons, eux, nous foncent droit dessus. Aucune échappatoire. Quelques heures après mon premier combat, j’avais eu tout le loisir de réfléchir à ce qui venait d’avoir lieu. Au goût persistant du sang dans ma bouche, au sentiment nauséeux qui m’habitait et à la rage animale que je sentais vibrer en moi au son des hurlements des autres prisonniers. Je ne mis pas immédiatement un nom sur ma nouvelle condition, mais une chose était sûre pour moi : j’étais devenu un prédateur. Et, un jour où l’autre, ces hommes regretteraient d’avoir fait de moi une telle arme.
Le jour et la nuit se confondent, rien ne les distingue. Parfois, le loup se rendort au profit de l’humain. D’autres fois, il reste éveillé si longtemps que l’homme a du mal à reprendre le dessus. Le loup gronde et se débat.
J’avais fini par me rendre compte de ce que nous étions devenus. Je dis « nous », parce qu’il en existait d’autres dans cet endroit. En aussi mal état, parfois capables de prendre la forme d’un gros félin, mais nous étions tous liés par la même malédiction. L’un de mes plus proches voisins de « cellules » - ou plutôt de cage – avait fini par me murmurer le mot lycanthrope. Les rares fois où j’étais suffisamment moi-même pour l’écouter, j’en ressortais secoué et étrangement calmé. Il me communiquait son sang-froid à travers ses mots, il s’efforçait de m’aider à aller mieux alors que lui-même ne devait pas être en très grande forme. Une dizaine de fois, nous nous sommes affrontés. Je ne voulais jamais lui faire du mal, mais les fois où je domptais suffisamment la Bête pour avoir le dessus sur Elle, se comptaient sur les doigts d’une main. A la simple odeur du sang, aux cris animaux des hommes qui nous encourageaient à nous attaquer, aux sensations de brûlures qui me torturaient les côtes là où ils m’avaient battu, je perdais le contrôle. Mes crocs mordaient sa chair à travers son pelage soyeux, arrachant parfois de gros lambeaux qui suintaient de sang. Il était un léopard, ça je l’avais appris au fil des mois passés près de lui. Il ne parlait que rarement de sa personne, préférant me faire parler de moi et de ma vie avant ma séquestration. Je pense que c’était un moyen pour lui de m’aider à ne pas m’abandonner complètement à ma bestialité. Je lui dois ma raison, que j’ai su préserver au bout de cinq ans. Je n’étais pas indemne, personne ne l’était, mais au moins… j’étais en vie.
New-York, Big Apple. Le loup recherche la compagnie d’autres loups, c’est dans sa nature. Ils l’aident à se stabiliser et à devenir plus fort.
Tallet était la Lupa de la meute de New-York ; contrairement à la majorité des louves que j’avais rencontré là-bas, elle ne se laissait jamais porter par ses chaleurs lunaires et demeurait une mère pour chacun d’entre nous. Son compagnon parfois trop autoritaire cédait face à ses arguments logiques et bien présentés. Elle était impressionnante, c’était davantage elle que l’Ulfric qui m’aida à m’en sortir. Alors que l’alpha m’apprenait à ne pas dévorer les gens que je croisais, elle, elle m’inculquait les différentes us et coutumes de la vie d’un loup. Elle me parlait des chaleurs lunaires, des besoins vitaux d’un lycanthrope quel qu’il soit, elle m’enseigna la tolérance envers les autres et, surtout, le contrôle de soi. « Ta condition ne doit, en aucun cas, prendre le dessus sur l’humain que tu es. Ce n’est pas parce que tu es devenu un prédateur que tu dois agir comme tel. N’oublie pas ta part d’humanité, Aymeric, c’est elle qui te rend plus fort. » Je n’ai jamais cherché à revoir physiquement mes parents. Les trois premiers soirs après m’être évadé, je les ai passées à les observer par la fenêtre de leur chambre sans oser pénétrer chez eux. Je sentais le chagrin et le désespoir qui hantaient leurs pas, je connaissais les raisons de leur souffrance et pourtant je n’ai, pas une seule fois, pu me résoudre à les revoir. C’était trop dur. Lorsque je pris la décision de quitter New-York, Tallet me donna sa bénédiction et l’Ulfric me conseilla de ne pas rester seul trop longtemps. C’était sa manière à lui, un peu rude certes, de me souhaiter une bonne vie. Après tout, il m’avait ramassé sur le bord de la route, plus loup qu’homme. J’ai composé le numéro de mes parents dans une cabine téléphone à Bâton-Rouge pour leur dire que j’étais en vie, mais que je ne pouvais pas les revoir. Je suis tombé sur le répondeur. Je crois que c’était mieux pour tout le monde.
Saint-Louis. Je pense que je n’aurais pratiquement jamais posé les yeux – ou dans le cas présent les pattes – sur cette ville. Non pas qu’elle soit minable et inintéressante, c’est plutôt que je n’aurais rien eu à y faire. Les combats de boxe les plus glorieux ne se déroulaient pas dans les environs et je n’avais aucune famille qui y vivait. Rien, non, rien ne m’aurait attiré à Saint-Louis avant que je ne sois forcé de Changer. Lorsque j’ai quitté la meute de New-York, celle qui m’avait servie de deuxième famille, m’avait aidé à tenir la tête hors de l’eau, à me maîtriser et à me connaître, j’avais tout d’abord pensé aller de villes en villes, sans plan particulier et uniquement mené par mes envies. Je ne voulais m’attarder nulle part parce que je ne me sentais jamais tout à fait à l’aise dans les endroits que je visitais. Parfois je tombais sur des meutes dont les Ulfrics étaient un peu trop autoritaires et qui voulaient me soumettre sous prétexte que je passais sur leur territoire… ceux-là m’oubliaient rapidement, non seulement parce que j’arrivais à leur tenir tête mais aussi parce que disparaissais rapidement de leur champ de vision. Ils ne m’effrayaient pas. De quoi aurais-je pu avoir réellement peur ? J’étais devenu un loup-garou.
Cependant, ce sentiment de confiance en moi ne m’a jamais changé en quelqu’un de bravache et téméraire. La patience dont Tallet m’a fait don, je ne l’ai pas perdue. Je préfère toujours discuter plutôt que recourir à la violence, néanmoins je ne me laisse pas pour autant blesser ou tuer… je ne suis pas idiot. Mais les évènements ont fait de moi un loup qui, bien qu’impulsif, sait faire marcher son cerveau ; une qualité dont tous les lycanthropes ne peuvent pas se targuer de posséder. C’est sans doute grâce à ça, d’ailleurs, que je ne me suis pas fait éviscérer par le maître vampire de Saint-Louis, Asher Blackstone, lorsqu’il m’a brutalement attaqué quelques semaines après mon arrivée. D’après ce que j’ai compris par la suite, j’étais menaçant et il était terriblement sur les nerfs… sa nature a fait le reste. Il a pourtant apprécié que je m’efforce de le calmer par la parole, et c’est suite à cette altercation qu’il m’a proposé de travailler pour lui. Un loup au service d’un cadavre. Disons que ça fait grincer des dents certaines personnes… mais après tout, je n’ai pas été formé pour les haïr et Asher s’est montré relativement bon avec moi. Et j’avais besoin de ce travail. Cependant, je lui ai bien précisé que je refuserais d’avance les tâches trop immorales ou tout simplement qui me semblaient déplacées. Je n’ai pas signé pour aller tabasser des gens, tuer ou torturer des ennemis des vampires ou que sais-je encore… J’ai cru qu’il allait me refuser ce caprice, mais il a accepté. Et il m’a confié sa Pomme de Sang. Une jolie petite blonde aux yeux vairons, qui est éperdument éprise de lui et à laquelle il tient comme à la prunelle de ses yeux. Une simple mission de baby-sitting quotidien, qui me convient parfaitement. Et puis, Tess est d’une compagnie plutôt agréable.
Tell me your secrets PSEUDO: Vous le connaissez déjà. ÂGE: Un peu de mémoire voyons ! FRÉQUENCE DE CONNEXION: Je dirais, régulière... Enfin je peux me tromper. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? Alors là, vous m'en posez une bonne, vous croyez que je me souviens de tout ? COMMENT TROUVEZ VOUS LE FORUM? Sublime, très bien organisé, mené à la perfection. MULTICOMPTE ? [ ]OH YEAH / [XX]NO. J'AUTORISE LES CHRONIQUEURS DE RADIO STL A PARLER DE MON PERSONNAGE DANS LA PROCHAINE EMISSION ? [XX]OH YEAH / [ ]NO. CODE (en spoiler) : - Spoiler:
EDIT BY BLONDIE : Grrrr Moi je dis, ça dépend des jours... (a)
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| Sujet: Re: Aymeric Anderson ▬ « Ce n'est pas parce que tu es un prédateur que tu dois agir comme tel. Ven 11 Nov - 23:27 | |
| Owiiii ! Dieu existe ! Bienvenue parmi nous, et bon courage pour garder Tessy |
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| Sujet: Re: Aymeric Anderson ▬ « Ce n'est pas parce que tu es un prédateur que tu dois agir comme tel. Ven 11 Nov - 23:30 | |
| Bienvenue, charmant Aymeric ! Je ne te souhaite pas bonne chance pour ta fiche, vu qu'il me semble que tu l'as déjà fini. |
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| | | | Tess E. Littleton
« SERIAL KICKEUSE »
▌A débarqué le : 22/07/2010 ▌Parchemins : 12385 ▌Quantité de sang disponible : 22707 ▌ Code couleur : #5F9EA0 - cadetblue ▌Age du personnage : 28 ans ▌Rang : Loque dépressive ▌Job : Maman perdue
| Sujet: Re: Aymeric Anderson ▬ « Ce n'est pas parce que tu es un prédateur que tu dois agir comme tel. Ven 11 Nov - 23:33 | |
| Félicitations ! ❝ Tu viens d'attraper le dernier train pour l'enfer ! ❞ Officiellement bienvenue sur COB ! GNIIIIIIIIIIIIIIH Jn'ai rien à dire, tu sais déjà que j'adore et que je te vénère ! *baf*. Te voilà donc ajouté chez les coyotes. Amuse-toi bien parmi nous, et n'hésite pas à contacter un membre du staff si tu rencontres un problème ou as besoin de renseignements ! Ce qui suit a été rédigé pour te guider après ton arrivée
Le Guide du joueur ❝ Viens par là ! On t'a préparé notre GPS à nous ! ❞ Yo mon pote ! Te voilà définitivement des nôtres ! Une bonne chose de faite, hein. Mais prends pas la grosse tête, il te reste encore des portes à passer ! Avant de plonger complètement dans cet univers de tarés, tu vas devoir te mettre à jour sur certains points. Fais pas la tronche oh, tu voudrais pas qu'un jumeau non désiré débarque, si ? Alors va donc réserver ta trombine dans le listing des avatars, en respectant le formulaire évidemment. Ceci étant fait, si tu créais ta fiche de liens, histoire qu'on sache tous qui tu as dans tes petits papiers et qui te fait hérisser le poil ? Tu peux aussi te créer une fiche pour les demandes de topics, qui te permettra de recenser tes sujets et de recevoir des demandes de rps. Si t'es à la mode, t'as sûrement un portable, du coup tu peux aussi créer ta messagerie afin que tes potes te laissent un message. Et puis, tu vas pas rester à la rue, hein ? Range donc tes oreilles de cocker, si tu veux un chez toi ou un rang ça se monnaie ici. Mais n'oublie pas : pour avoir un logement, il faut avoir une certaine ancienneté sur le forum, et acheter les clefs à la boutique. Cette boutique, elle te permet de dépenser les litres de sang qui s'affichent dans ton profil. Tout t'es expliqué dans le sujet, tiens toi prêt à découvrir les objets insolites que nous te proposons ! Alors tu te sens mieux ? Si t'es plus perdu c'est good, emmène ta bouteille et viens donc flooder avec les autres pour t'amuser et faire connaissance. Sinon pour ça, tu as aussi ce qu'ici on appelle les RDV CB. Mais depuis quelques temps, sur COB on préfère Skype. Si tu as une âme d'artiste, ou simplement que tu aimes les belles choses, les galeries d'art sont pour toi ; et devine quoi ? Tu peux même passer commande ! Eh oui, c'est noël tout les jours ici mon petit ! Après, faut savoir qu'ici on te propose une Radio ainsi qu'un Journal. Je te laisse découvrir tout ça par toi même !
Allez, on est presque arrivés ! Respire, bois ton verre cul-sec ! Fais pas cte tête, j'te renseigne j'te dis ! Alors, si tu dois t'absenter du quartier on veut bien savoir pour combien de temps ; on te surveille pas va, cpour pas qu'on te cherche pour rien tu comprends...les absences c'est ici et pas ailleurs. Quand t'as fini un rp, tes administrateurs et modérateurs aiment bien que tu les préviennes ! Ils te diront pourquoi en allant voir par là.
Une dernière chose mon pote, ton staff il aime bien communiquer ses idées et autres, alors si tu veux être au courant de tout c'est par là ! Et puis, si tout ça te suffit pas, ben tu peux aller voir ici, pour te faire parrainer par l'un de nos anciens joueurs ! N'hésite pas, en vrai on mord presque pas !
Allez cowboy te voilà avec toutes les cartes en main, amuse toi bien !
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| Sujet: Re: Aymeric Anderson ▬ « Ce n'est pas parce que tu es un prédateur que tu dois agir comme tel. Ven 11 Nov - 23:41 | |
| Bienvenue, et éclate-toi |
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| Sujet: Re: Aymeric Anderson ▬ « Ce n'est pas parce que tu es un prédateur que tu dois agir comme tel. Sam 12 Nov - 1:06 | |
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| | | | Tess E. Littleton
« SERIAL KICKEUSE »
▌A débarqué le : 22/07/2010 ▌Parchemins : 12385 ▌Quantité de sang disponible : 22707 ▌ Code couleur : #5F9EA0 - cadetblue ▌Age du personnage : 28 ans ▌Rang : Loque dépressive ▌Job : Maman perdue
| Sujet: Re: Aymeric Anderson ▬ « Ce n'est pas parce que tu es un prédateur que tu dois agir comme tel. Sam 12 Nov - 1:11 | |
| Pfff. Un jour, je vais te tuer, le vieux ! |
| | | Connor O'Brien
« Big Bad Wolf »
▌A débarqué le : 26/06/2011 ▌Parchemins : 2098 ▌Quantité de sang disponible : 25812 ▌Age du personnage : 112 ans, en parraît 35 ▌Rang : Ϟ Ulfric de la Nouvelle-Orléans Ϟ ▌Job : Un des plus riche PDG du monde et propriétaire du Lunatic café
| Sujet: Re: Aymeric Anderson ▬ « Ce n'est pas parce que tu es un prédateur que tu dois agir comme tel. Sam 12 Nov - 22:05 | |
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| Sujet: Re: Aymeric Anderson ▬ « Ce n'est pas parce que tu es un prédateur que tu dois agir comme tel. | |
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| | | | Aymeric Anderson ▬ « Ce n'est pas parce que tu es un prédateur que tu dois agir comme tel. | |
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