Angel Meredith “ Merry” Wayland

©© bichou

• ÂGE PHYSIQUE ; la vingtaine • ÂGE RÉEL ; 37 ans • DATE ET LIEU DE NAISSANCE ; Irlande - 1965 • ORIGINE ET NATIONALITE ; Origine irlandaise, double nationalité irlande/amérique • RACE ; loup-garou • RANG ; elle ne fait pas vraiment partie de la meute, c’est une lukoï indépendante, une dominante cela dit et une tueuse. • ORIENTATION SEXUELLE ; hétérosexuelle • CAPACITÉ SPÉCIALE ;vision du futur

I was born of the womb of a poisonous spell
Beaten and broken and chased from the lair
But I rise up above it, high up above it and see
I was hung from the tree made of tongues of the weak
The branches were bones of liars and thieves
Rise up above it, high up above it and see

Pray to your god, open your heart
Whatever you do, Don't be afraid of the dark
Cover your eyes, the devil's inside

One night of the hunter
One day I will get revenge
One night to remember
One day it'll all just end,

Blessed by a bitch from a bastard's seed
Pleasure to meet you but better to bleed
Rise, I'll rise, I'll rise, I'll rise!
Skinned her alive, ripped her apart
Scattered her ashes, buried her heart
Rise up above it, high up above it and see

Pray to your god, open your heart
Whatever you do, Don't be afraid of the dark
Cover your eyes, the devil's inside

One night of the hunter
One day I will get revenge
One night to remember
One day it'll all just end.

Honest to God I'll break your heart
Tear you to pieces and rip you apart
Honest to God I'll break your heart
Tear you to pieces and rip you apart
Honest to God I'll break your heart
Tear you to pieces and rip you apart
Honest to God I'll break your heart
Tear you to pieces and rip you apart

One night of the hunter
One day I will get revenge
One night to remember
One day it'll all just end.

night of the hunter - 30 seconds to mars

Angel Un nom, un simple nom qui raisonnait jadis dans le cœur de la louve comme un carillon d’argent, et qui, désormais, sonnait comme le glas du chaos à venir. Angel. Rien n’aurait du arriver, mais qui contrarie son destin ? Qui peut se vanter d’avoir été plus fort que le Marionnettiste ? La naissance de l’enfant était, déjà, en soi, un fait rare que la meute irlandaise ne tarda pas à célébrer. Fille de la Lupa et du Bolverk, de deux loups au sang pur. L’Ulfric savait-il avant de voir les yeux noirs de l’enfant, les mêmes que son père biologique ? Avait-il sentis, soupçonné ? Lorsque ses mains enserrèrent le petit cou fragile du bébé pleurant, la Lupa offrit sa vie pour sauver celle de son bébé. Jugeant le sacrifice équitable, ce fut son cœur, que l’Ulfric transperça avec une lame d’argent, alors que le Bolverk était emmené dans un sous-terrain, sous le lupanar, où il passa trois longues années, enfermé et solitaire. Le bébé fut confié à la sorcière de la meute, qui en prit soin sans la juger, sans la haïr.
L’enfant fut appelée Angel, par le souhait de sa mère.
Son père fut un fantôme dans sa vie, une ombre qui l’observait de loin. L’Ulfric la couvait d’un regard à la fois haineux et plein de douleur, tant, en grandissant, elle ressemblait à sa mère.
La louve grandit, solitaire.

1965 : Naissance au sein de la meute de Donegal
1968 : voit son père biologique pour la première fois
1965 - 1980 : Enfance solitaire
1980 : commence à ressentir les effets des chaleurs, se sent étrange à l’approche de la pleine lune. Première transformation en avril de cette année-là.
1982 : Echappe à la surveillance de l’Ulfric et tue deux randonneurs. Elle dévore les cadavres et prend goût au sang.
1982 - 1989: Défie les différents loups pour monter dans la hiérarchie de la meute. En grands conflits avec l’Ulfric.
1990 : Finit par pousser l’Ulfric à bout. Il lui apprent la vérité sur ses origines et décide d ela tuer. Son père biologique intervient, la sorcière de la meute la fait s'enfuir pendant leur combat, pour lui sauver la vie.
1990 - 2000 : Erre à travers le monde, finit par s’exiler en Amérique. Elle gagne sa vie en vendant ses services de tueuse du surnaturel.
2000 : Arrive à Saint-Louis et s’établit dans l’état du Missouri, à son compte.

conté de Donegal – lupanar – avril 1980
C’est comme une chaleur, une chaleur intense qui parcourt tout le corps et qui éveille des endroits, des muscles, des choses, jusqu’alors inconnues. C’est comme une vague, arrivée de l’océan, qui engloutit l’être sans lui laisser une seule chance de survie. Le corps tremble, avec violence, il convulse. Les genoux cèdent, à genoux dans l’herbe humide, les bras entourent la taille, serrent si fort que les côtes pourraient se briser. Tout semble s’élargir, si fort, que la peau n’est plus assez large, elle se craquèle, elle saigne. Un hurlement déchire la nuit, le premier d’une longue série. L’herbe est humide, humide de rosée et de sang, une marre, énorme marre, un océan. La vague, à nouveau. Un cri, à nouveau. Les membres s’allongent, petit à petit, les os se brisent, se réparent. Tout n’est que douleur en ce sein infâme. Les bras deviennent des pattes, les jambes deviennent des pattes. Le nez explose, s’allongent et devient museau. Le corps se couvre de poils, des poils noirs. Une queue, la colonne s’allonge, devient touffue, les côtes se brisent et se reconstruisent, tout semble double de volume, c’est l’Enfer, l’infernal est sur la terre. Un nouveau hurlement, un dernier, un ultime, puis plus rien. Le silence, rompu par quelques halètements difficiles, quelques plaintes à demi formulées, sous forme de grognements. Avec la difficulté du poulain nouveau né, la louve se lève, titube, retombe. Elle se relève, et appuie son flanc contre un arbre. Le monde se stabilise, ses sens lui offrent un tourbillon de nouvelles sensations. Elle plane un instant, puis sa tête se renverse et elle hurle à la lune.
D’autres cris se joignent à elle. Ses jambes se mettent en mouvement, elle a sentit un lapin…
La traque commence.

***

1982 – alentours du Lupanar
La lune chante, une mélopée magique et magnifique. Le son envoûte, distrait, semble pousser à la décadence. L’Ulfric a toujours un regard sur elle, son père. Du moins, elle le pense, elle en est persuadé, et elle le déteste. Il ne l’aime pas, parce que sa mère est morte en couche. Du moins, elle le pense, elle en est persuadée. C’est l’histoire qu’on lui a raconté. Il garde toujours un œil sur elle, mais cette fois, il n’a pas pu, elle a été plus rapide, elle s’est mise à courir, loin, loin de la meute, de ces gens qui la regardent comme si elle était un monstre infecte, comme si elle leurs avait fais du mal. Elle a toujours été seule, rejetée, loin de tous, comment aurait-elle pu ? Elle court, elle essaie de le semer, et il n’a même encore rien remarqué. Elle le déteste, elle est rancunière, elle veut l’atteindre mais ignore comment faire. Alors elle court, comme en pleine chasse, quand le vent amène une odeur jusqu’à ses narines. Une odeur…De sang, de sang humain ? Ca sent bon, comme lorsque sa mère adoptive se coupe. Encore meilleur…Elle ralentit, elle approche du sous-bois. Une femme est assise sur une pierre, son genou saigne. Un homme est à ses pieds, et essaie de bander la plaie. Cachée dans les fourrages, elle ne fait aucun bruit. Silence, elle est silence. Elle les fixe, de ses yeux brun sang. L’homme est mal à l’aise, il tourne la tête, à droite, à gauche, sa nuque le picote et il ne comprend pas pourquoi.

La louve fait un pas hors du fourré, puis un autre. L’homme se relève d’un bond, la femme tremble. Gentil chien c’est ce qu’elle entend, sans vraiment le comprendre. Ses yeux regardent le sang, sa bouche est sèche, sa langue veut goûter, autre chose qu’un animal. Le lapin est trop acidulé, le renard trop doucereux. Elle veut autre chose, autre chose…Elle le désire, avec ardeur. Ses muscles se bandent, elle saute sur la femme. Elle se débat, ses canine s’enfoncent dans sa gorge, elle arrache, le sang gicle, elle en a partout sur son pelage de ténèbres. Elle lèche, elle mange. L’homme est pétrifié de terreur, il observe, il s’enfuit. Elle entend un autre bruit, elle connait l’odeur qui approche. Elle laisse le cadavre à demi dévoré et court, court à la poursuite de l’autre proie. Elle saute sur son dos, et le dévore vivant, jusqu’à ce que son sang se soit répandu partout sur le sol. Sur la terre. Elle est encore la, à dévorer, quand il arrive derrière elle. Il grogne, elle l’ignore. Il lui saute dessus, et l’éloigne du corps désormais sans vie. Elle s’écrase contre un arbre, leurs yeux se croisent. Elle sent son pouvoir courir sur sa peau, comme des millions de petits picotements électriques. C’est douloureux. Il veut la faire plier, il essaie, il essaie, en vain. Elle résiste. Elle continue à le regarder dans les yeux, leurs bêtes se jaugent, et perdent petit à petit le contrôle. Une autre odeur arrive, une odeur qu’elle connait, une femme en robe bleue. « Ca suffit, maintenant. Liam, tu vas la tuer. » Elle a détourné le regard, pour observer la femme. Le loup lui saute dessus, sa gueule se referme sur sa gorge. Il mord, mais elle ne saigne pas encore. Il goûte son pouls battant, la bête s’excite. « Pas une seconde fois, Liam. Lâche la. » La femme commence à murmurer dans une autre langue, l’Ulfric se calme et la lâche. Il marche devant, elle le suit, comme si elle était soumise. Il la ramène au Lupanar, mais elle terminera cette pleine lune seule.
Le lendemain, les cadavres avaient disparus. Plus personne ne parla John et Marcy O’connor.

***

1990 – Lupanar du Comte de Donegal
Nouveau duel, nouvelle victoire. C’avait été un combat à mort. Angel ne l’avait pas désiré, mais son adversaire, si. Il semblait tellement sur de lui-même…A présent, il gisait en morceau, et Angel voyait tout en rouge. Elle sentit qu’on la regardait, elle se retourna et croisa le regard de l’Ulfric. Dans son ombre, le Bolverk était la, il ne disait rien, son visage ne reflétait rien. Elle se désintéressa de lui, et se concentra sur le chef de meute. Ils se jaugèrent, et un grognement sourd monta de sa gorge. Il commençait à s’enflammer, son énergie se répandait, tous les lukoï pouvaient la sentir. Certains tombaient même déjà à genoux, parmi les plus soumis. Angel continuait à le regarder, à regarder Liam. « Baisse les yeux. » murmura la sorcière de la meute. Elle l’entendait parfaitement, mais n’écoutait pas. Angel n’écoutait jamais. Elle réitéra sa demande, sans obtenir de réponses. L’Ulfric se leva, et s’avança vers elle. « Angel b… » Le Bolverk posa sa main sur l’épaule de la sorcière. Quelque chose passa entre eux, Angel n’y prenait pas garde. L’Ulfric se planta devant elle. Elle refusait de se soumettre. Un éclair douloureux passa dans les yeux du chef de meute. « Meredith… » Il leva la main, pour caresser sa joue. Au lieu de ça, une gifle puissante s’abattit sur Angel, la faisant tomber au sol. Sa lèvre saignait. « Aussi têtue que ta mère. Obéis, et baisse les yeux. Sauf si tu veux prendre ma place ? Veux-tu ? Comme ton père avant toi ? » La meute toute entière se raidit. Les plus jeunes pensaient qu’Angel était la fille de Liam. Les plus anciens savaient, mais avaient enfouis la vérité au fond de leur mémoire. Angel tourna la tête, pour le regarder à nouveau. Le bout de sa langue caressa sa lèvre, récupérant le sang. « J’en ai assez. Assez de toi, assez, Angel. Tu mets mon autorité en péril, et je ne suis pas ton père, je n’ai pas à supporter cela. Tu es une erreur, qui n’aurait jamais du exister, une erreur pour laquelle ta mère a donné sa vie. Une erreur qui ne méritait pas ce sacrifice. Tu as tué dés ta naissance, tu es un monstre, pour lequel elle n’aurait pas du se sacrifier. Tu es aussi dénuée de bon sens que ton vrai père. Regarde le, Angel, tu sais qui il est, au fond de toi, tu sais. » Le regard de l’adolescente se tourna, presque automatiquement, vers le Bolverk, qui avait baissé les yeux et qui tremblait de rage. Son énergie touchait Angel par vague, se mêlant à la sienne.

« Observe la meute, et comprend. Le mensonge est terminé, tu ne mérites pas qu’on te mente, tu ne mérites même pas d’exister. Elle a forniqué avec cet immonde traître, elle est tombée enceinte et m’a mentis, me faisant croire que tu étais MON enfant. Mais tu as ses yeux, tu as SES YEUX ! Il méritait la mort, mais elle a sacrifié sa vie pour vous sauver tous les deux de ma colère. Seulement s’en est assez, tu ne me défieras plus. » Angel n’avait aucunes chances de vaincre l’Ulfric. Pas encore, peut-être jamais. Elle allait mourir, et elle s’en fichait, au fond. Ca lui importait peu. Le Bolverk s’avança. « Ce ne serait pas un combat équitable, Liam. A moins que tu n’ais vraiment perdu tout honneur ? » Il se retourna. « C’est un défis, William ? » Un simple signe de tête, et le combat était lancé. Deux monstres, deux puissances, qui se rencontraient dans un combat à mort, où les vieilles rancunes seraient enfin jugées, où tout pourrait peut-être enfin se régler, dans le sang et dans la violence.
Deux loups-garous.

Ils se battaient si vite, qu’on ne pouvait suivre exactement. Vitesse, précision, puissance. Le sang coulait, le sang de l’un, comme le sang de l’autre. Le temps semblait s’être suspendu, l’espace de cette bataille, car tout durait à la fois une heure et une seconde. Les yeux noirs d’Angel regardaient, sans vraiment voir. Tout s’enchaînait, les pièces du puzzle de sa vie se mettaient en place, et elle avait de brèves visions d’une femme, grande, brune, belle, d’un homme ressemblant à Liam qui tenait un couteau, planté dans son cœur, alors qu’elle s’écroulait et que son sang aspergeait le nourrisson. Ils étaient en train de s’entre-tuer. Celui qu’elle avait pris pour son père, et celui qui l’était réellement. Deux hommes, deux loups, l’un pour la tuer, l’autre pour la protéger. Une main se posa sur son épaule, c’était Aslinn, la sorcière. Elle comprit, en lisant son regard. Pars disait-elle. Pars, avant que William ne faiblisse et que son sacrifice soit vain.
Comme dans un songe, elle disparut au cœur de la nuit, elle courrait, d’abord sous sa forme humaine, puis devint une louve, une louve noire qui sautaient par-dessus les troncs d’arbres, qui slalomait entre les arbres gigantesques, courir, toujours plus vite, toujours plus loin, s’échapper, s’éloigner, partir, ailleurs, recommencer.
Recommencer seule, cette fois.

L’Europe, l’Asie, l’Océanie, l’Afrique, et enfin l’Amérique. Cinq continents, formant un monde, un monde dont une vie ne suffit pas, pour découvrir tous les secrets. En Europe, Angel trouva sa voie. En Asie, elle apprit à la maîtriser. Depuis longtemps, l’adolescente, devenue jeune adulte, avait compris que son destin résidait dans la mort. Comme si ce sceau était marqué sur sa peau, sur le chemin tracé par son Destin. La mort s’était emparée d’elle, et ne la quittait plus. Elle avait besoin d’argent, pour prendre l’avion, pour s’en aller ailleurs. Elle resta un long moment en Angleterre, où elle enchaîna les petits boulots. D’abord en tant que serveuse, puis elle apprit à tuer, la nuit, dans les quartiers malfamés de la capitale. Elle connaissait les faiblesses des créatures de la nuit, Aslinn l’avait initiée. Elle se servait de sa force pour gagner de l’argent, de sa rapidité, de son intelligence. Bientôt, elle pu partir, quitter l’île, pour aller loin, le plus loin possible…Elle paya son premier billet d’avion pour Singapour où elle entra dans une sorte de confrérie qui parvint à débloquer certains de ses pouvoirs, à les maîtriser. Grâce à eux, elle comprit le sens de ses rêves, parfois violents. Elle recevait des visions, parfois du passé, mais souvent de l’avenir. Grâce à eux, elle avait revu sa naissance, et ce qui était arrivé ensuite. Elle savait que sa mère s’appelait Meredith, et Angel prit son nom en guise de camouflage. Bien piètre, peut-être. Qu’importe, c’était un symbole pour le courage dont elle avait fais preuve, et son sens du sacrifice.
Angel savait qu’elle était incapable d’une telle chose.

Meredith, surnommée Merry, apprit également les arts du combat et le maniement des armes. Préférant les armes blanches au reste, elle en a fait sa spécialité. Elle quitta le pays des années plus tard, s’envolant vers les Etats-Unis. Elle atterri à JFK, état de New-York. Elle passa une bonne partie de son temps là-bas et commença à se faire une réputation parmi les créatures surnaturelles. Clandestine, elle ne demandait l’avis de personne pour pénétrer sur un territoire. Elle allait au gré des contrats sur ce nouveau continent, où un vampire qui avait sans doute trop regardé Buffy l’avait surnommé La Tueuse. Au début du deuxième millénaire, elle mit le cap sur le Missouri, où semblait se concentrer une grande activité surnaturelle. Elle demanda l’accord au maître de la ville pour rester sur son territoire, quelque chose lui disait qu’elle n’allait pas partir de si tôt. Elle évite au maximum les loups de la ville et s’est contenté de disparaître après avoir obtenu l’accord. Elle est une ombre, elle vit à Saint-Louis, mais part souvent. Elle revient, et tue beaucoup, sans que l’on soit vraiment sur de sa culpabilité. Ses comptes en banque débordent, elle en possède plusieurs dans des paradis bancaires. Mais, au fond, l’argent n’est pas sa motivation principale. Plus la pleine lune approche, plus elle est possédée par un besoin irrépressible de tuer, de faire couler le sang. Elle trie ses contrats sur le volet, ne tue que la crème du surnaturel…

Prie ton Dieu, ouvre ton cœur. Quoi que tu fasses, n’ai pas peur de l’obscurité. Ferme tes yeux, le Diable est à l’intérieur.

Bienvenue !

Je coupe l'herbe sous le pied de Morricette et me charge de commenter ta fiche.

Comme tu l'as dit, la fin est un peu rapide, mais je comprends que tu veuille conserver une part de mystère pour ton personnage. Sinon, je n'ai rien de particulier à dire. XD

En ce cas, je t'annonce que tu as attrapé le dernier train pour l'Enfer !

Amuses-toi bien parmi nous.

Je te mets dans les chasseurs solitaires je pense.

Bienvenue ^-^

Merci Tess =)

Thank you guy =)

Ouais le vilain t'a prise par surprise! Muaha. C'est un salauuuuuud il va me faire du mal et tout! On va vouloir sa mort ensemble ♥
Merci merciiii =D

J'applaudis la réaction stoïque d'Asher.... XDDDDD

Copineuuuuuh ILOVEYOU!
Mh...C'est pas du flood ça? Oo

N'est ce pas !

Si si c'est du flood ! Mécréante, tu mérite une punition ! *out*

*lui tend le fouet*