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MessageSujet: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 16:45

Absilyn Von Verleïm



« Qui vit de combattre un ennemi a
tout intérêt de le laisser en vie. » Nietzsche

Annalynne McCord ©️ Shiya



Identité


Je m'appelle Absilyn Von Verleïm mais on m'appelle Sily. J'ai 187 ans, j'en fais 20. Je suis né(e) le 13 septembre 1825 à Linz et je suis autrichienne, avec des origines hollandaises et françaises. Je suis un jaguar garou d'orientation hétéro et je suis indépendante, mécanicienne et philosophe à mes heures perdues, arnaqueuse pour arrondir mes fins de mois et officiellement, étudiante en psychologie. .

  Capacité Spéciale ;

► L'éveil des peurs ◄

Par le toucher, Absilyn devinera vos peurs les plus profondes et pourra vous donner l'illusion que celles-ci ont pris vie. Vous avez des tendances à la paranoïa ? Bienvenu dans un monde où tout le monde vous surveille. Vous craignez de ne pas savoir vous contrôlez ? Ecouter cette petite voix qui murmure dans votre tête. Vous avez peur de perdre un être cher ? Fermez les yeux et vous revivrez sa mort encore et encore. Ne cédez pas à la panique, gardez votre calme et votre sang-froid, il n'y a que comme ça que vous pourrez sortir de l'effroyable illusion que Sily aura réveillée en vous...







Derrière l'écran


Pseudo ; Oasis. Âge ; 21 ans Fréquence de connexion ; 5 sur 7 Comment avez-vous connu le forum ? par les tops Comment trouvez-vous le forum ? Merveilleux ! Multicompte ? [ ]OH YEAH  / [ - ]NO. Code (en spoiler) :
Spoiler:

(ne le laissez pas m'approcher alors ! What a Face


Dernière édition par Absilyn Von Verleïm le Mar 25 Sep - 22:28, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 16:45


My family & me




Je suis née à Linz, en Autriche, en 1825. Mon père était un homme volage et puissant, ma mère une femme aimante et fragile. Elle mourut de chagrin, quand mon frère Hector décéda à quatre ans d'une méningite. Les Von Verleïm dès lors ne comptèrent plus que mon père, ma grand-mère paternelle et ma sœur, Margaret. Maggie et moi, nous étions les meilleures amies du monde, mais aussi différentes que le soleil et la lune, que la nuit et le jour. Elle était pleine de vie et toujours optimiste, alors que j'étais plus calme, presque renfermée, sauvage. En grandissant, seuls les garçons de Linz l'intéressaient, et elle suppliait papa d'organiser des soirées comme les magnifiques bals de Vienne. Et papa, aussi arrogant et superficiel qu'elle, cédait à tous ses caprices. Grand-mère levait parfois les yeux au ciel devant tant de dépenses, mais la fortune des Von Verleïm était immense ! Et notre nom était encore plein de gloire à l'époque. On nous connaissait de partout, et Maggie était la jeune fille la plus courtisée de Linz, quand j'étais moi-même le vilain petite canard de la famille. Oh, j'étais jolie, mais j'étais la cadette. La tradition voulait que Maggie se marie la première, et l'on n'imaginait pas l'avenir autrement. Maggie ferait un mariage de convenances, qui servirait les intérêts de la famille. Et moi j'aurais droit au mariage de secours : pas trop misérable, parce que nous avions tout de même un honneur à garder et que quelque chose de grave pouvait toujours arriver, mais pas trop bon non plus pour ne pas faire de l'ombre à ma sœur.

Père creusait le fossé entre nous, je m'en moquais. Maggie avait droit aux leçons de piano, aux cours de poésie et de chant, aux ateliers broderie. Que des choses qui m'horrifiaient et me donnaient envie de partir en courant. Heureusement, ma propre éducation était plus libre. On mettait moins d'espoirs sur mes épaules, et j'en venais à compatir pour Maggie. Grand-mère me trouva un précepteur qui m'enseigna la littérature et les langues, on parlait français dans toutes les cours royales à l'époque. Elle avait acheté des chevaux qu'elle me laissait monter à ma guise, et j'allais galoper dans la campagne autrichienne pour le plaisir de sentir le vent dans mes boucles blondes. Je me souviens que j'aimais ces escapades plus que tout au monde. Pour plaire à mon père, je demandais des cours de musique, choisissant la harpe comme instrument, par esprit de contradiction et pour me démarquer de toutes les autres filles de Linz qui préféraient le piano ou le violon. Conscient de cela, mon père se montra malgré tout ravi. Un peu moins ravi lorsqu'il découvrit des dessins dans ma chambre. Maman peignait beaucoup. Je crois qu'il la revoyait en moi, alors que Margaret lui ressemblait bien plus qu'à elle. Elle avait les pieds sur terre, tout comme lui, elle était matérialiste et ambitieuse. J'étais plus douce, peut-être plus naïve. Le temps allait se charger de moi.

J'avais seize ans quand Maggie disparue. Père fut inconsolable durant des mois. Il dilapida la moitié de notre fortune pour la retrouver, mais rien n'y fis. Nous étions presque ruinés quand grand-mère dit stop. Elle était certaine depuis le début que Maggie était partie sur un coup de tête, avec l'un des garçons qui lui faisait la cour. C'est ce que je pensais aussi mais père n'en voulait rien savoir. L'obstination, c'était le premier caractère commun à tous les Von Verleïm. Grand-mère reprit son argent à mon père, le laissant sur la paille, littéralement, et me demanda si je voulais venir avec elle habiter à Vienne. Je ne sais pas ce qui me retint. Je ne sais vraiment pas. Ou plutôt si : elle me proposait la vie que Maggie avait toujours voulu. Je restais à Linz avec père, ou nous connûmes la pauvreté durant plusieurs années. Il sombra dans l'alcool, puis la dépression le gagna même si on n'appelait pas encore ça comme ça, devint la réincarnation de la misère humaine dans toute sa grandeur. J'assistais impuissante à ce spectacle, supportant les coups, les insultes et les brimades de ces nuits d'ivresse. Je connaissais par cœur sa chanson, elle disait toujours que c'est moi qui aurait dû disparaître, et non Maggie. Il priait Dieu de m'échanger contre elle. Ou contre maman. Ou contre Hector. Et moi je pliais l'échine, sans rien dire.

Je me souviendrais toujours de ce que je croyais être le dernier instant de ma vie. Un soir où il avait bu plus que d'habitude, un soir où il avait frappé plus fort. Mon dos est marqué à jamais par les cicatrices du verre des bouteilles qu'affectionnaient tant mon père. Grand-mère arriva peu de temps après les médecins. Elle m'arracha à mon père, et m'amena à Vienne que désormais je ne pouvais plus voir. Une nuit qui s'annonçait comme toutes les autres, une main attrapa la mienne dans mon sommeil. Au début, je crus que ce n'était qu'un rêve. Et puis je me réveillais, et elle me serra dans ses bras. Maggie. Je pouvais à peine entendre ses excuses entre deux sanglots qui l'étouffaient. A mon oreille, elle me dit que tout cela était de sa faute, qu'elle n'aurait jamais du partir, mais qu'elle allait me rendre tout ce qu'elle m'avait pris, et me donner bien plus encore. Je la cru. Une autre main me frôla. Un homme, que je n'avais pas entendu entrer dans ma chambre. Il était peut-être là depuis le début. Avant que je n'ai le temps de réagir, je sentis mon sang couler sur les draps. Je m'évanouis vite.

Il me fallu plusieurs années en compagnie de Maggie et de son petit-ami pour comprendre l'étendue de mes nouveaux pouvoirs. Par amour, cet homme qui s'appelait Arthur, avait transformé Maggie en jaguar. Il voulait vivre l'éternité avec elle, et elle aussi. Arthur était un vieux garou, appartenant à un pard puissant qui avait accepté avec plaisir un nouveau membre dans leurs rangs. Quelques années plus tard, Arthur était devenu le Nimir de son pard et avait demandé à Maggie de devenir sa compagne. Elle avait accepté, lui demandant une faveur en échange : moi. Il avait accepté et j'avais fais mon entrée dans le pard. Retrouver Maggie avait été une joie immense. Mais retrouver la vue l'avait été plus encore. Une part de moi n'avait jamais pardonné à ma sœur d'être partie, de nous avoir abandonné, même par amour. Quant à ma nouvelle nature, je ne savais qu'en penser. Au début, je voyais ma bestialité comme une malédiction qui m'obligeait tous les mois à me couvrir de fourrure, dans un mélange de cris et de grognements de douleur. Le reste du pard m'avait accepté comme il avait accepté Maggie, avec beaucoup de gentillesse et de chaleur. Pourtant ils n'étaient pas ma famille. Je ne réussissais pas à les considérer comme telle.

Vingt années passèrent avant que je ne trouve le courage de quitter le pard d'Arthur et Maggie. Elle essaya de me retenir, bien sûr, mais il lui demanda de me laisser partir. J'aimais bien Arthur, il avait toujours su que je m'en irais un jour, parce que je ne me sentirais jamais chez moi avec eux. Il n'en avait éprouvé qu'un peu de peine, ma décision ferait souffrir Maggie, et me souhaita pourtant bonne chance avec beaucoup de sincérité. J'étais assez âgée pour contrôler mes transformations avec moins de souffrance qu'avant, et je me sentais prête à revenir dans le monde. J'avais peur qu'on me reconnaisse encore à Vienne ou à Linz, alors je quittais l'Autriche pour me promener en Italie. Entre temps grand-mère était morte, me léguant toute sa fortune. Un homme de confiance s'occupait de gérer ses propriétés, ses chevaux et son argent. Tout ce qui aurait dû être à Maggie mais qui aujourd'hui n'était qu'à moi. Pour tout le monde, Margaret Von Verleïm était déclarée morte. Mais moi, grand-mère n'avait fait que prétendre que j'étais partie dans des contrées plus ensoleillées pour soigner ma santé.

Je parcourais l'Italie avec beaucoup de plaisir, les premiers temps. Jusqu'à ce que je comprenne que nulle part je ne pouvais m'installer pour de bon. On me faisait remarquer que j'étais jolie, et je savais que les gens remarquaient aussi que les années ne fanait pas cette beauté que l'on me trouvait. Mais en moi, il y avait encore les drames qui avaient touchés ma famille, et le souvenir de ce que j'avais été : humaine. La noirceur emplissait mon âme, et j'étais rongée de l'intérieur par quelque chose que je n'expliquais pas. N'importe qui à ma place aurait été ravi d'avoir la vie devant lui, moi je ne réussissais qu'à en voir les mauvais cotés. J'étais une créature, un être abject qui ne se contrôlait pas quand la lune apparaissait dans le ciel nocturne. Un animal. J'avais la sensation de tomber, tomber toujours plus profondément dans un gouffre sans fond. Je me sentais seule. Je me sentais perdue et au fond de moi, la bête grondait.





Nietzsche & me




La première fois que j'ai rencontré Friedrich Nietzsche, c'était à Bâle, en 1868. Il enseignait à l'université et moi, dans ma lente descente aux enfers, j'errais dans les couloirs. D'un bâtiment à l'autre, sans but, sans désir, sans envie. Friedrich était un tout jeune professeur, d'à peine vingt-quatre ans. Il enseignait la philologie. Je n'avais encore jamais entendu ce mot, avant, mais dans sa bouche il me semblait être le plus beau de la terre. Il y avait peu de femmes à l'université, à cette époque. Pour ainsi dire, il n'y en avait qu'une : moi. Je fis sensation en entrant dans sa classe à sa suite, et nous fûmes le fruit de nombreuses rumeurs les jours qui suivirent. Pour faire taire les mauvaises langues, je trouvais rapidement dans la classe un jeune étudiant prénommé Anton. Anton n'était pas très intelligent et n'avait pas un dixième de la passion que j'avais pour les cours de Friedrich, mais il était riche et aujourd'hui, on l'aurait qualifié de grande-gueule. Il n'avait pas son pareil pour divulguer à tous ses copains les détails de notre relation, et il était très populaire. Ainsi, notre histoire fit rapidement oublier à tout le monde l'étrange relation que j'entretenais avec notre professeur.

Au début, pour pouvoir passer plus de temps éclairée par les lumières de Nietzsche, je prétextais des difficultés à comprendre sa matière pour qu'il m'apporte son aide. Il me proposa de lui-même des cours particuliers. Nous nous retrouvions donc dans la salle après la classe, seuls. Je chérissais ses moments plus qu'aucun autre. J'habitais une chambre de bonne sous les toits, quelque part dans un quartier misérable de la ville, et quand je n'étais pas en cours avec Friedrich je travaillais comme une dingue dans le petit restaurant en face de chez moi. Je n'avais pas un sou. Et je ne pouvais pas retourner en Autriche en demander à mon père. Mais à Friedrich, je disais que j'étais une riche étudiante, arrivée de Hollande avec une vieille tante chargée de veiller sur moi. Je n'aimais pas lui mentir, mais à cause de ma nature je savais que notre relation, de toute façon, était éphémère. Je profitais alors de chaque instant, comme s'il était le dernier que nous passions ensembles.

Un soir où nous avions travaillés tous les deux particulièrement tard, Friedrich me demanda d'arrêter de jouer la comédie avec lui, que je n'avais pas besoin de faire semblant pour continuer à le voir. Il me prit par surprise, et comme je devais avoir l'air effrayée, il s'empressa d'ajouter qu'il avait compris dès notre premier cours tous les deux que je n'avais nullement besoin de son aide. Et c'était vrai. J'étais intelligente, et sans vouloir me lancer des fleurs, j'aurais été l'un de ses meilleurs étudiants si je n'avais pas été obligée de faire semblant du contraire. Dès lors, nos rencontres après son cours devinrent encore plus passionnants. Nous échangions sur le monde, sur les Hommes, la politique, le sens de la vie. Et peu à peu, je me surprenais à faire des projets, à retrouver la petite étincelle de désir que je croyais avoir perdue à tout jamais. Elle s'était rallumée en moi depuis longtemps, depuis ce jour où j'avais vu Friedrich s'avancer vers moi, mais j'avais été trop aveugle pour la voir plus tôt.

Toute une année passa ainsi, sans que rien de contraire à l'éthique ne vienne troubler notre relation privilégier entre un professeur et son élève. Autre époque, autre mœurs, on ne pouvait pas se permettre quoi que ce soit. Et je n'osais pas faire le premier pas. Je n'avais pas été élevée comme une souillon, je savais où était ma place mais la garder était de plus en plus difficile. Pour lui comme pour moi. Cependant, tout changea après ce petit soir de juin où, à quelques semaines de la fin de l'année universitaire, je vis Friedrich entrer avec une femme dans le petit restaurant au bas de chez moi, où je travaillais toujours. Je ne sais pas lequel de nous deux fut le plus surpris. Moi de le voir intime avec une dame de la haute noblesse, ou lui de me voir venir prendre leur commande. Nous fîmes comme si nous ne connaissions pas. Ni le lendemain, ni les jours suivants, je ne revins à l'université pour assister à ses cours. Une brève semaine s'écoula. Une nuit, alors que je rentrais tard de mon travail, je retrouvais Friedrich appuyé contre la porte de ma chambre de bonne. Sans un mot, juste des gestes et des regards, nous avons oublié qui nous étions, et toutes ces barrières entre nous.

Notre idylle dura tout l'été. Dans le plus grand secret. Nous nous aimions, ponctuant les notes de notre passion physique par nos longues conversations habituelles. Jamais Friedrich ne me demanda pourquoi je lui avais menti, sur la Hollande, ma tante et tout le reste. Je n'en éprouvais que plus de remords à lui cacher, lorsque venait la pleine lune, ma nature bestiale. Paradoxalement, j'acceptais mieux ce que j'étais devenue, depuis que je connaissais cet homme extraordinaire. Il n'était pas encore reconnu comme l'esprit génial qu'on lui concède aujourd'hui, mais il avait tout de même une certaine notoriété. A cause d'elle, nous ne pouvions sortir dans Bâle comme nous le souhaitions, pour ne pas trahir le secret de notre... amour ? Je ne voulais pas me questionner sur le sentiment qui me liait à lui, mais lui ne partageait ni ma peur, ni mes doutes. Un matin à la fin de notre été, nus dans mon lit alors que le soleil de midi envahissait déjà ma chambre, il me fit sa demande en mariage. Nous avons ris du caractère peu conventionnel d'une telle proposition, aux vues de ce que nous faisions depuis trois mois déjà.

Je refusais la demande de Friedrich, la mort dans l'âme, et quittait Bâle le lendemain même. Ayant déjà vu l'Autriche et l'Allemagne, je partie pour la Hollande. J'avais bien une tante là-bas, de la branche maternelle de la famille. Nous étions en 1869, et ma tante s'attendait à voir une femme à la quarantaine bien passée, non une jeune fille. Je mentis, là encore, lui faisant croire que j'étais la fille d'Absilyn. Elle m'accueillit comme sa propre enfant, et je passais plusieurs années avec elle, à soigner les plaies béantes que ma séparation avec Friedrich avait ouverte en moi. Ma tante décéda, me laissant toute sa fortune, alors que je commençais à penser que mes traits figés allaient commencés à faire parler les gens. J'éprouvais de la peine pour ma tante, mais ce ne fut rien comparé à ce que je ressentis, en 1879, lorsque j'appris par hasard que Friedrich avait arrêté l'enseignement pour raisons de santé. Je savais que son métier était toute sa vie. Avec l'argent de ma tante, je voyageais à travers la Hollande et l'Autriche, anonymement. Je lisais les publications de Friedrich, au fur et à mesure qu'il les écrivait, retrouvant dans sa plume la saveur de nos échanges. Et ne laissant aucun répit à mon cœur, aucune chance de refermer la blessure.

Dix ans plus tard, j'appris que Friedrich avait sombré dans une démence profonde. Consciente du mal que cela me ferait de le voir dans pareil état, et surtout consciente que passer un seul jour de plus loin de lui me faisait souffrir cent fois davantage, j'allais le retrouver. Je me fis engager comme femme de chambre dans sa maison et le jour de mon arrivée, nos regards se croisèrent. Ce que j'y vis me serra le cœur : la reconnaissance. J'avais eu du mal à retrouver, sur son visage marqué, les traits de l'homme que j'avais connu trente ans plus tôt. Mais moi je n'avais pas changé, et il me reconnu aussitôt. Dans sa démence, il me pris pour un ange à l'image de la femme qu'il avait aimé, venu pour adoucir sa lente agonie. Le personnel de maison et le médecin de Friedrich, acceptèrent les douces illusions de son esprit dérangé. Les moments où la démence lui laissait un peu de répit se firent de plus en plus rares avec les années, mais je restais là, à son coté. La mort vint le trouver dans mes bras, et une petit part de moi mourut avec lui ce jour là.





1900




Les années 1900 furent marquées par l'arrivée d'un nouveau courant qui me plu particulièrement : la psychanalyse. J'étais rentrée à Vienne lorsque je croisais la route de Freud. Je le suivis à Paris, où je rencontrais Charcot, Breuer et les autres, l'Histoire n'a pas gardé leurs noms. Pourtant, loin de moi l'idée de réitérer ma douloureuse expérience passée avec Friedrich. J'avais fais une croix, que je souhaitais définitive, sur toute relation amoureuse avec les mortels. Et comme je ne connaissais encore aucun autre être immortel, j'avais conscience de faire une croix sur l'Amour en général.

Cependant, ma vie n'en fut pas vide de sens pour autant. J'assistais, de loin, aux cours de Charcot, je déjeunais avec les médecins et me fis même parfois, la complice des expériences que lui et Freud menaient ensembles pour impressionner les riches donateurs. Je m'investissais avec eux plus que je ne le pensais, car la psychologie et la philosophie me passionnaient depuis un demi-siècle ! Les hommes que je rencontrais en ce début Xxème, m'appréciaient pour mon esprit et mes connaissances. Je devais bien sûr cacher quelques détails, le principal étant que leurs interprétations de la pensée de Nietzsche n'était pas toujours fidèle à ce que leur auteur avait voulu faire passer. Mon cœur se brisait un peu plus à chaque fois que l'on prononçait le nom de Friedrich, mais je n'en laissais rien paraître. Intelligents comme ils l'étaient, ces grands hommes que je côtoyais presque quotidiennement avaient rapidement compris que mon cœur était meurtri et qu'ils n'auraient rien à gagner à me faire la cour. Collègue de travail presque comme n'importe quel autre à leurs yeux, leur compagnie apaisa peu à peu les blessures de mon âme.

La montée du nazisme en Allemagne fut terrible pour les intellectuels de l'époque. Les livres étaient brûlés publiquement, les génies juifs obligés de s'exiler. Je correspondais plutôt bien aux critères de la race aryenne : yeux anthracite, chevelure blonde, corps svelte. Je n'étais pas très grande, mais ma taille ne m'avait jamais complexée. Mon principal défaut bien sûr, c'était que les jaguars ne pouvaient pas avoir d'enfants aussi facilement que les humains. La procréation était une chose rare et difficile chez nous. Et une femme dans la vingtaine, non mariée et sans enfants, en Allemagne après 1933, c'était mal vu. Cela attira l'attention sur moi d'un jeune officier : Jasper Conrad. Par ce que je crus être un hasard, nous nous étions rencontrés dans un petit restaurant de Berlin, où j'avais l'habitude d'aller. En réalité, Jasper m'avait... senti. Cela faisait tellement longtemps que je n'avais plus vu l'un de mes semblables, qu'au début je crus rêver ! Mais non. Jasper était aussi jaguar que moi. Aussi solitaire, indépendant que moi, et également tout aussi mal vu que je pouvais l'être. Lui aussi n'était pas marié, et lui aussi n'avait pas d'enfants.

Je devins Absilyn Conrad quelques mois plus tard, après une respectable période à nous faire la cour publiquement. Ce qu'il y avait entre Jasper et moi était purement physique, d'une part, pratique de l'autre. A l'époque, les jeunes mariés étaient des héros. Ils étaient l'avenir de la race aryenne. Je tombais enceinte plusieurs fois, mais à chaque transformation mon corps rejetait le fœtus. A l'époque, mon désir d'enfant n'était que feint, et mes quatre fausses couches consécutives ne laissèrent qu'une vague trace dans ma mémoire, une cicatrice dont je ne compris l'ampleur que des décennies plus tard. Jasper eut de l'avancement, mais je commençais à trouver agaçants ces gens autour de nous qui nous prenaient en pitié parce que je ne parvenais pas à amener une grossesse à terme. Je pouvais faire semblant le premier mois, pour les médecins aryens qui m’auscultaient, mais je courrais à chaque fois le risque qu'ils découvrent ma nature animale. Jasper m'aidait à contrôler les risques, mais nous savions que cela ne dureraient pas. Nous quittâmes l'Allemagne peu avant les années 40, nous exilant ensembles en Australie.

Pour mon plus grand plaisir ! L'Australie me plu beaucoup. Loin de tout ce que j'avais connu jusqu'à présent, j'appris à mieux connaître cet homme que j'avais épousé et dont je ne connaissais absolument rien. Alors que lui semblait si bien me connaître... Il m'avoua que sa présence à mon coté n'était pas dû aux hasards de l'existence. Il avait entendu parler de moi, car il y avait peu de jaguars en Europe. Jasper avait plusieurs fois voulu m'approcher, mais il ne l'avait pas fait de peur que je préfère me rapprocher de mes semblables plutôt que de continuer à accumuler des connaissances au près des grands hommes de ce siècle. Il avait vu du potentiel chez moi, et il voulait que je l'utilise à fond. En Australie, dans cette nouvelle vie qui s'offrait à nous, j'étais institutrice et Jasper avait acheté un petit garage automobile. On ne fait plus les vieilles voitures de l'époque, aujourd'hui, si belles que chacune était une œuvre d'art et non un vulgaire moyen pour aller rapidement d'un point à un autre. Après quelques années de cette vie, lorsqu'il fut temps pour nous d'en changer pour ne pas attirer l'attention, nous partîmes Jasper et moi en Amérique Latine. Nous ouvrîmes un petit hôtel pour touristes, au milieu de nulle part, près du fleuve amazone. Les gens changeaient tout le temps, alors nous savions qu'enfin nous pouvions restés là autant de temps qu'il nous plairait.

Et j'avais envie de rester là pour toujours. Avec Jasper, mon cœur cicatrisait et mes existences précédentes, viennoises, parisiennes, berlinoises, … toutes, elles me semblaient appartenir à quelqu'un d'autre. Chaque nuit, nous sortions sous notre forme animale, et nous allions trouver les jaguars qui venaient boire sur les bords du fleuve. Nous nous mêlions à eux, ils apprirent à nous accepter avec le temps. C'était magique. Et trop beau pour durer l'éternité qui s'offrait à Jasper et à moi. Il avait des obligations, des choses dont il ne m'avait jamais parlé, et il arriva un jour où son passé le rattrapa. Je ne sais pas pourquoi cela me surprit, ou me choqua, ce jour-là. Après tout, moi je n'avais jamais pu me défaire de mon passé alors pourquoi cela aurait-il été différent pour Jasper. Jasper, le Nimir qui avait brusquement quitté son pard. Canadien. Jasper avait tout abandonné du jour au lendemain pour vivre à l'européenne, et surtout très loin des responsabilités. Son frère le rappelait, et Jasper ne pouvait plus tourner le dos à ces responsabilités. Son pard, confié à un autre, était au plus mal.

Avec les années, j'avais retrouvé mon nom de jeune fille, et c'était comme si Jasper et moi avions cessés officiellement d'être mariés. Dans les faits, nous n'avions pas changés notre manière de vivre. Peut-être est-ce pour cela que lorsqu'il a dû quitter notre maison pour rentrer au Canada, je suis partie avec lui. Comme une véritable épouse l'aurait fait. Pour la première fois depuis très longtemps, je retrouvais un pard. Mais une famille, avec Jasper j'en avais déjà une. Sans m'en rendre compte, je m'étais plus attachée à lui que je ne l'aurais voulu, et après tout... Ce n'était pas un mal. Je m'étais fais le serment de ne plus tomber amoureuse d'un homme mortel, et Jasper était aussi éternel que je pouvais l'être. Il était plus vieux d'un siècle au moins, mais à l'échelle de nos vies cela n'avait pas d'importance. Avec Jasper, je pouvais aimer sereinement, sans avoir peur que la maladie ou la vieillesse ne vienne me prendre ce que nous avions. Jasper l'avait compris bien avant moi, et il m'aimait. Mais moi... moi je ne l'aimais pas. Pas comme ça.




You find me




Et me voilà donc la maîtresse du Nimir d'un pard canadien. Je n'avais rien contre les canadiens, ils étaient sympa. Mais je commençais à regretter le faste de Viennes, et les fêtes de Paris. Il ne me fallu pas longtemps pour comprendre pourquoi Jasper avait préféré fuir ses responsabilités et la glaciale campagne canadienne. Son pard habitait un territoire ennuyeux à mourir, même seule avec Jasper sur les bords de l'Amazone, je ne m'étais jamais sentie aussi isolée. Pourtant, il y avait le pard. Des gens qui me ressemblaient, qui nous ressemblaient. Mais qui ne pouvaient pas comprendre ce que j'avais vécu, et qui ne pouvaient pas comprendre non plus ce que je regrettais tellement. Mon premier pard, avec Maggie et Arthur, n'avait jamais été ma famille. Malgré la présence de ma sœur et de mon beau-frère, cela n'avait rien changé, rien changé du tout. Aujourd'hui encore je sentais que le pard de Jasper n'était pas le mien, que je n'y avais pas ma place. Je ne savais pas par quels mots l'expliquer, mon instinct me disait que je n'étais pas chez moi. Le jaguar en moi, rugissait encore et encore, insatisfait de ce qu'était devenue ma part humaine. Il me manquait seulement un peu de courage pour dire au revoir à Jasper, avec qui mine de rien j'avais passé cinquante années de mon existence ! Ce n'était pas rien, même pour nous qui devions vivre des siècles.

Mon salut m'apparut brusquement, sous les traits d'un autre jaguar : Jonathan Hill. Je ne compris pas comment, je ne compris pas pourquoi, mais un lien fort se tissa entre nous dès les premiers instants. Il était tellement plus jeune que moi ! Au début, je me moquais de lui et de ses manières. Je me moquais de l'aide qu'il pouvait prétendument m'offrir. Pourtant avec le temps, je réalisais peu à peu qu'il avait raison et que sa manière de vivre était aussi la mienne. Il avait un caractère fortement indépendant, et j'appartenais moi aussi à ce type de personnalités. Alors je remerciais Jonathan, je quittais Jasper et son pard, j'abandonnais le trône qu'il me proposait, et je repris ma route sans savoir dans quelle direction j'allais aller. Mais au fond, je m'en moquais ! Oh oui, je n'en avais vraiment rien à faire de ce que j'allais devenir, parce que peu importait ce que j'allais faire, je savais que je devais le faire à fond. Je retournais en Europe où là-bas je ne reconnus rien. Néanmoins, cela ne me fis pas autant de mal que je l'aurais cru et, après avoir repris possession de la fortune et des terres familiales que j'avais trop longtemps négligées, je me réinstallais à Linz.

Pas pour longtemps. De vieux souvenirs remontèrent à la surface, l'Autriche redevint aussi étouffante que l'Allemagne et la Hollande où je retournais ensuite. Mais rien n'y fit. Malgré mes voyages, malgré des années passées à parcourir divers pays, l'Europe me paraissait toujours aussi petite et... et je n'y arrivais plus, tout simplement. Inquiète de retrouver l'amertume qui m'avait habité des décennies plus tôt, avant de rencontrer Friedrich, puis Jasper, j'attrapais un téléphone et retrouvais au fond d'un sac de voyage le numéro que Jonathan m'avait donné, presque vingt ans plus tôt. A ma voix, il du sentir ma détresse. C'est à cela que l'on reconnaît les véritables amis je crois. Aussitôt il me proposa son aide, et cette fois je ne ris pas. Je l'acceptais. Ainsi, j'arrivais à la Nouvelle-Orléans sur son conseil, espérant que cette ville tiendrait ses promesses.



Dernière édition par Absilyn Von Verleïm le Mar 25 Sep - 22:15, édité 6 fois
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Léo A. Jones
« LADY BURN »





Léo A. Jones



▌Age : 37
▌A débarqué le : 30/12/2011
▌Parchemins : 701
▌Quantité de sang disponible : 23001
▌ Code couleur : #E1D1A1
▌Age du personnage : 175 ans
▌Rang : lady burn
▌Job : serveuse au lunatic
▌Citation : « L'amour ne tolère pas la liberté. Où il y a l'amour, il n'y a plus de liberté. »


« Moi je veux ♥ »
▌Alignement:
▌Relations:
▌Pouvoirs :




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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 16:55

Bienvenue ! Une Jaguar **
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 16:58

Bienvenue ici Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. 2493424357 j'aime beaucoup ton prénom! bon courage pour ta fiche Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. 556717979
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 17:00



Merci à vous Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. 3896955091
J'adore vos smileys !!
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Lexy Williams
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▌Age : 34
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▌Job : Mécano au Black Lion
▌Citation : Kawabounga !


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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 17:29

Huhu, collègue de travail au Black Lion ? *_*

Et sinon, bienvenue =3
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▌Job : Exploratrice, aventurière en d'autres termes : Rentière
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 17:30

Hello & wellcome Pussycat Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. 3834864148
J'adore aussi ton prénom hug
Good luck pour ta fiche en espérant te voir bientôt validée Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. 556717979
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 19:17


Lexy - oui c'est l'idée zack Si j'apporte des donuts, vous m'acceptez ? **
Fan de Lost Girl ?


Nymphea - merci à toi bisous
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Lexy Williams
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 19:20

*prend les donuts et s'empiffre*

Okchay tchu es akcheptée :3

*fait passer le tout avec une grande rasade de vodka*

(et fan du perso surtout ouais x))

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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 19:23



C'est gentil Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. 675700275

Oui !! Kenzi est trop géniale Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. 3104561423
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Tess E. Littleton
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 20:22

bienvenue *-* et bon courage pour ta fiche ♥️ Comme tout le monde, j'adore le prénom, et pour ma part, aussi l'avatar *-* jaguar en plus **
n'hésite pas si tu as des questions coeur
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 20:26


Merci ticoeur

Oui j'ai des questions zack

Est-ce que je peux trouver une liste des jaguars présents sur le forum quelque part ? Et des détails sur leur hiérarchie (j'ai vu pour les loups, c'est pareil pour les jaguars ? ils me semblent plus indépendants, mais est-ce qu'ils sont regroupés en meute eux-aussi ?) ?
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Tess E. Littleton
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 20:30

Spoiler:

What a Face et sinon, la liste n'existe pas ; je vais laisser tes chers compatriotes se présenter d'eux-mêmes dans ta présentation (a)
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 20:33



D'accord, merci beaucoup !!

Si ça colle avec mon personnage, est-ce que le poste de Frekir serait libre ?
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Tess E. Littleton
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 20:36

ça, c'est une chose que tu devras voir avec le ou la futur(e) Nimir si le pard est créé un jour ^-^ et si ton personnage convient évidemment au poste What a Face mais je pense que tu n'auras aucun mal à te faire recruter Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. 418616946
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeDim 23 Sep - 20:37



Super alors Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. 2493424357 J'espère que le pard sera créé !!
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeLun 24 Sep - 10:52

Bienvenue future employée o/ Je suis le gérant de Black Lion x) et un jaguar aussi =O
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeLun 24 Sep - 11:00

Je sais coeur J'ai mené mon enquête clac
J'espère qu'on pourra avoir un lien sympa cinglé
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeLun 24 Sep - 11:02

Bien entendu ♥ Si tu veux un établir un lien que tu veux noter dans la fiche on peut aussi en discuter avec plaisir =D Lexy te le dira, je ne suis pas un méchant patron, du moins je crois x)
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeLun 24 Sep - 11:13

Ce serait fantastique ! Est-ce que tu peux me mpotter ce que ton personnage a fait entre 1960 et 2012 ? C'est la seule partie de ma fiche pour laquelle je n'ai pas d'idées What a Face
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M. Rehan O'Neal
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeLun 24 Sep - 11:20

welcome (a) Rehan, jaguar aussi, candidate à l'élection présidentielle héhé *baf*
bon courage pour ta fiche coeur
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeLun 24 Sep - 12:27

Welcolm Jolie demoiselle. **
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeLun 24 Sep - 19:15



Merci !!

Rehan, je vote pour toi si je peux être le Frekir de ton pard zack
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M. Rehan O'Neal
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeLun 24 Sep - 19:17

*lui serre la patte* (aaa)
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitimeLun 24 Sep - 19:22


Marché conclu What a Face
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MessageSujet: Re: Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK.   Hi, I'm Absilyn. Miawrrrrrrrrrrrrrrr ~ OK. I_icon_minitime

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