Je m'appelle Siobhan Sarah Cadogans, mais on m'appelle Sissi, Sio, Sï. J'ai 48 ans, j'en fais 23. Je suis né(e) le 14 août et je suis américaine, avec des origines irlandaises et russes. Je suis un(e) Léopard-Garou, hétérosexuelle et je suis membre du pard.
capacité spéciale :Tentacules d'énergie (sensuelle, sexuelle ou sanglante) : Siobhan s'est découvert une étrange capacité lorsqu'elle est devenue une femelle léopard, capacité d'ailleurs en rapport avec son activité de base. En effet, elle est en mesure de soigner le corps, de le purger d'un poison... mais également d'en sentir la faiblesse, et de presser sur cette dernière pour arracher la vie. Cela ressemble à des tentacules d'énergie qu'elle projette d'elle-même, et qu'elle éveille par la sensualité, le sanglant ou bien encore la sexualité de ses gestes. Tentacules qui lui permettent de "visualiser" l'intérieur du corps de la personne avec qui se produit le contact. Et sans en ressortir fatiguée, l'énergie semble se créer à partir de celle de l'autre et la laisser parfaitement bien. Mais que ce soit la guérison ou le contraire lui demande du temps, plusieurs minutes qui la laissent totalement sans défense le temps de sa "transe" et de s'en extirper. Elle a actuellement besoin de contact pour utiliser son pouvoir, bien que quelques pertes d'énergie peuvent trouver refuge dans des hôtes se trouvant à quelques centimètres à peine, mais ce ne sera rien de comparable à la guérison par touché direct. Cette dernière ne fonctionne d'ailleurs pas sur les vampires ; et n'a une influence que sur les personnes déjà blessées, malades, empoisonnées, etc. En sommes, en état de faiblesse.
Histoire
❝ mon humanité. ❞
Love The Way You Lie
On the first page of our story Sur la première page de notre histoire. The future seemed so bright Le futur semblait si brillant.
Certains clament que la vie n’est qu’une chose éphémère qui vous arrache votre jeunesse, je ne peux qu’affirmer que pour moi, la chose est différente. Je suis née à Los Angeles, la cité des anges comme l’on dit aujourd’hui. Mais celle dans laquelle je n’ai jamais remis les pieds. Celle où j’ai assassiné l’homme qui hantait mes jours et mes nuits par sa violence. J’étais infirmière, et ce fut à l’hôpital, quand j’étais encore stagiaire, que je l’ai rencontré… lui et ses beaux sourires, son visage d’ange et son attitude gentleman. Cet être qui est parvenu à me séduire et que j’ai épousé bien trop vite après l’avoir rencontré : juste trois petits mois après. En vérité, Michael était quelqu’un de très apprécié, à qui l’on aurait donné le bon dieu sans hésitation. On me disait que j’avais de la chance de l’avoir rencontré, qu’il soit tombé amoureux de moi, et qu’il m’ait épousé. Et je le pensais… avant que quelques semaines ne suffisent pour me faire comprendre le contraire.
Then this thing turned out so evil Cette chose l'a changé en quelque chose de mauvais. I don't know why I'm still surprised Je ne comprends toujours pas pourquoi je suis toujours surprise.
Cet être qui se révéla tel le diable de mon existence et qui ne commença que par quelques colères qui éclataient sans réellement prévenir. Un rire avec l’un de ses collègues à une soirée, et il imaginait déjà le pire. Une main que l’un d’eux déposa sur ma taille pour me faire passer la première, et il leva la main sur moi, certain que sa femme, sa propriété, s’apprêtait à le tromper. Séduisant sans vergogne ses collègues. Il me laisse des marques que mes collègues à l’hôpital remarquaient, mais ne relevaient pas. Ce n’était pas la bonne époque, ni même la bonne période, ni même le bon milieu pour se plaindre de quelque chose, surtout vis-à-vis d’un grand avocat que tout le monde adulait déjà du haut de ses vingt-huit ans. J’étais comme prisonnière du choix que j’avais fait, et il commençait déjà à insister, quatre mois après, pour que j’arrête mon travail, seule véritable échappatoire qui m’appartenait.
In this tug of war, you'll always win Dans cette lutte, tu gagneras toujours, Even when I'm right Même si j'ai raison, 'Cause you feed me fables from your hand Car tu m'a servi des fables de tes mains.
J’ai même tenté de partir une fois, après qu’il m’ait dit cela… à peine quelque mois à ce rythme là, et je savais que je ne pouvais plus le supporter. Mais il était si fort et j’étais si frêle en comparaison, qu’aurais-je pu faire si ce n’était fuir ? J’ai essayé, il m’avait retrouvé une semaine plus tard grâce à l’aide de ses relations dans la police, et bien évidemment, il m’a ramené à la maison avec la correction que je méritais, tout en me débattant, cherchant à frapper, à… Il prétendait m’aimer, ne pas pouvoir vivre sans moi… Mais l’amour n’aurait jamais dû ressembler à cela. Jamais.
Baby, without you, I'm nothing, I'm so lost, hug me Bébé, sans toi, je ne suis rien. Je suis perdu, enlace-moi. You hit me twice, yeah, but who's countin' ? Tu m'a frappé deux fois, ouais, mais qui compte ? I may have hit you three times, I'm startin' to lose count Je t'ai peut-être frappé trois fois, je commence à ne plus compter.
Je me suis mise à le haïr, lui et ses belles paroles, lui et sa douceur qui me rendait nerveuse d’attendre la violence qui pulsait sous ses doigts. J’ai commencé à craindre les hommes en général, à sursauter au moindre geste amical de qui qu’il puisse venir. J’étais devenue une ombre, celle qui s’égarait dans son travail et y passait des heures et des heures sans jamais s’arrêter. Soignant des êtres sous le rempart du professionnalisme qui m’étreignait toute entière. Ne restant chez moi que lorsque mes joues tuméfiées m’empêchaient d’avoir l’air heureuse. Et puis un soir, j’étais dans la cuisine, je coupais je ne sais plus quel légume lorsqu’il est entré complètement furieux. Il n’avait rien à me reprocher, mais j’étais là, sa victime parfaite et toute choisie, celle à qui il pourrait promettre qu’il ne recommencerait jamais… Celle qu’il effleurerait pensant se faire pardonner dans le creux de nos draps. J’ai dressé le couteau droit devant moi, l’enfonçant rudement dans son ventre sous l’étonnement qui marqua son visage. Le laissant reculer de quelques pas, tandis que mes doigts crispés retiraient involontairement l’objet, permettant au sang d’affluer sans que nul bouchon ne le retienne.
Hush baby, speak softly, tell me you'll be sorry Chut, bébé, parle doucement, dis moi que tu es désolé, That you pushed me into the coffee table last night De m'avoir poussé dans la table basse, la nuit dernière. So I can push you off me Et je pourrais te pousser loin de moi. Try and touch me so I can scream at you not to touch me Essaye et touche-moi, alors je pourrais te hurler de ne pas me toucher.
Je me suis mise à trembler, horrifiée par ce que je venais de faire. Puis j’ai réalisé que je ne pouvais pas rester comme ça, qu’ils allaient m’arrêter, m’emprisonner. Je suis allée ouvrir la porte de la cuisine donnant sur l’extérieur, puis j’ai cherché un torchon, j’ai nettoyé le manche et je l’ai enfoncé dans mon ventre en veillant à ne toucher aucun organe vital. Puis j’ai hurlé sous la douleur en me laissant tomber au sol. J’ai rampé jusqu’à mon mari… et pressé sa plaie comme pour l’empêcher de saigner, juste le temps de l’imbiber, avant de relâcher la pression. Parvenant jusqu’au téléphone, j’ai appelé la police…
Tell me your secrets
PSEUDO: Merith. ÂGE: 25 ans. FRÉQUENCE DE CONNEXION: 4/7. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? en passant de partenaire en partenaire. COMMENT TROUVEZ VOUS LE FORUM? Superbe ! Travaillé et beau MULTICOMPTE ? [ ]OH YEAH / [X]NO. J'AUTORISE LES CHRONIQUEURS DE RADIO STL A PARLER DE MON PERSONNAGE DANS LA PROCHAINE EMISSION ? [X]OH YEAH / [ ]NO. CODE (en spoiler) :
Spoiler:
Ok by Blondie
Dernière édition par Siobhan S. Cadogans le Dim 1 Jan - 21:23, édité 18 fois
There's something inside me that pulls beneath the surface Il y a quelque chose en moi qui tire sous la surface Consuming Consumant Confusing what is real Confondant ce qui est réel
Je n’ai pas été arrêtée, j’ai été considérée comme victime involontaire d’une vengeance sur une affaire de mon époux. Je devrais sans le moindre doute remercier l’époque où cela s’est produit, le manque de moyens évident. Avec ceux d’aujourd’hui, sans doute la police aurait-elle compris que je mentais, que je l’avais tué… mais en légitime défense. A l’époque, cela ne m’aurait servi à rien. J’ai été hospitalisée, soignée, et je conserve une frêle cicatrice sur mon ventre. Celle qui me rappellera toujours que j’ai été capable de me poignarder moi-même pour assurer ma sécurité et ma survie. Et peut-être que ce fut ce jour-là que j’ai décidé de ne plus être une victime…
J’ai repris le travail lorsque j’ai été en mesure de le faire, alors que mon très cher mari m’avait laissé un capital plus que douillet sur lequel j’aurais pu me reposer. Mais je suppose que j’avais ce besoin d’expier mon crime en m’occupant des autres. Ce jour-là, j’étais épuisée après une garde de dix-huit heures lorsque j’ai pris la route pour rentrer chez moi et que j’ai été témoin d’un accident de voiture. N’écoutant que mon impulsivité, je suis sortie, j’ai tiré la femme qui se trouvait dans les débris avant que la voiture n’explose. Et j’ai plongé mes doigts contre la plaie pour stopper le saignement, sans avoir réalisé m’être entaillé la paume un peu plus tôt avec un morceau de verre. La fatigue sans doute. Juste le temps que les secours arrivent… mais ce fut bien assez pour que mon sang soit souillé de la lycanthropie.
J'ai vu la plaie guérir sous mes yeux qui s'était alors agrandit, me laissant me relever, reculer d'un pas vif tout en m'essuyant les mains sur mon pantalon, mettant à vif la plaie que je m'étais faite et qui m'arracha un gémissement. La personne à terre s'était déjà relevée et avait disparu avant même que les secours n'arrivent. J'expliquai brièvement ce que j'avais vu, gardant sous silence la guérison spectaculaire : on m'aurait prise pour une folle.
Ce soir-là, lorsque je suis enfin arrivée chez moi, j’ai aperçu les traits que je garderais, le sang sur mes mains délicates que je fis partir à l’aide d’une solution. Avant d’asperger mes traits délicats, mon regard d’un brun profond me fixant attentivement, remarquant les saletés qui clairsemaient ma chevelure auburn, s’attardant dans les fines ondulations. J’avais eu de la chance qu’il ne s’était agit que d’une femme ce soir-là, puisqu’avec mon mètre soixante cinq, je n’aurais sans doute pas pu faire grand-chose dans le cas contraire. Et je n’étais sûrement pas prête à mourir dans une explosion en essayant vainement de tirer quelqu’un de bien trop lourd pour moi. Ce n’était pas que j’étais égoïste, mais je n’avais rien d’une suicidaire malgré ma détermination, mon sang-froid et mon professionnalisme.
Néanmoins, cette guérison m'intriguait par son impossibilité. Et un soir, lorsque je rentrai chez moi, je fis une embardée sur la route pour éviter cette même personne... La pleine lune était proche, je sentais... peut-être étais-je tombée malade. Mais ce fut là que je réalisai à quel point j’avais finalement changé, à quel point ma vie elle-même allait être différente, tandis que je prenais conscience de l’existence des lycanthropes, du fait que j’en étais devenue une, et que je devais apprendre à me contrôler avant de pouvoir revenir à une vie similaire à la mienne. J’ai donc prétendu devoir prendre du repos, et j’ai suivi le pard, ma nouvelle famille, celle des membres duquel je me suis rapprochée. Apprenant à gérer les chaleurs lunaires que j’eus, il faut le reconnaître, du mal à accepter de par ma propre nature puritaine qui vola dès lors en éclat sous peine de devenir folle. Mais j’ai su m’y faire, reconnaître ces données de dominance et remercier le Nimir qui m’aida à passer chaque transition avec succès.
Néanmoins, lorsque je fus capable de me débrouiller plus ou moins seule, je parti, décidée à me refaire une vie, puis une autre… J’ai ainsi rejoint la meute de Boston, puis celle de Saint-Louis, ma dernière résidence à ce jour, et ce depuis quelques années déjà. Tandis que durant mon parcours, j’appris à découvrir et appréhender le pouvoir qui était le mien, celui dont j'avais ignoré l'existence, que j'avais perçu à la mort de mon mari, et qui se révéla durant les chaleurs lunaires. Celui qui dans les premiers temps cherchait à me contrôler, à me pousser à retirer la vie plutôt qu’à l’apporter. Cela avait été une affaire de volonté, même si un ou deux accidents se produisirent. Il était tellement plus simple d’éteindre l’étincelle de la vie plutôt que de soigner chaque blessure, de suivre la douleur la plus forte… Mais j’ai appris à le faire, de même qu’à découvrir ce qui me permettait d’activer mon don. Car c’en est un. Il m’a fallut du temps pour l’accepter, mais plus les années se sont écoulées, puis je suis devenue naturellement sensuelle et séductrice, joueuse, douce, câline, mais tellement mutine, taquine, cynique, colérique.
Et j’ai naturellement repris mes fonctions d’infirmière, dans le service pédiatrique de l’hôpital de Saint Louis, préservant le secret de ce que je suis pour le moment, tout en travaillant au dispensaire lycanthrope parfois. J’y suis infirmière, mais ce n’est pas cela qui paiera le loyer à la fin du mois, même si j’avais toujours le capital de mon mari, celui que j’avais laissé fructifier à la banque. J’avais même fait en sorte de n’être qu’une descendante, la fille de celle que j’avais été quand ma « mère » était sensée être morte. J’avais toujours eu cette facilité à préserver ma survie sous une ruse naturelle et un côté prêt à tout, sans pour autant que je ne sombre sous le côté sophistiqué que je peux pourtant emprunter lorsqu’il le faut. Mais j’ai grandi, évolué, perdant de ma pudeur au fil de ces années qui me demandèrent de m’approprier cette part de bestialité que ma nature actuelle me laissait être, avec ou sans mon accord.
Et je suis devenue celle que je devais être, sans complexe, sans honte et sans remord. Préservant un côté secret et renfermé que je cultive et affectionne, sans sombrer néanmoins dans le mensonge, tandis que je fais difficilement confiance et peux me montrer froide. Car la vie a échaudé le félin que je suis, alors que je peux être si affectueuse, et sociable et amicale. Et ce, même lorsque les CESS se sont montrées au grand jour, je suis restée dans l'ombre. J'avais déjà vu les personnes disant être infectées du SIDA se faire renvoyer en étant dans le médical, et je ne comptais sûrement pas arrêter mon métier. Je prenais mes précautions, je faisais attention, rien de plus, rien de moins.
Dernière édition par Siobhan S. Cadogans le Dim 1 Jan - 21:11, édité 13 fois
Tu as une très jolie plume et j'ai beaucoup aimé te lire Néanmoins, j'ai noté quelques points sur lesquels il va falloir revenir : • Ta capacité spéciale me semble un peu puissante, pour débuter. J'en discute avec mes collègues mais j'ai besoin de quelques précisions avant : est-elle uniquement efficace sur une personne en état de faiblesse ? Est-elle applicable à toutes les espèces, ou seulement aux humains ? J'imagine que Siobhan s'en sert pour guérir ses patients à l'hôpital... ça n'a jamais paru suspect ? x) • Un léopard guérit presque instantanément après une blessure. A la limite, l'accident peut être crédible quand il n'est pas du fait du lycan, il lui est possible d'être sonné par la puissance du choc, là où un humain serait mort direct. Par contre, il est improbable que le garou en question ait besoin d'un séjour à l'hôpital, par la suite =) Il se serait enfui avant d'avoir à y mettre les pieds, surtout à l'époque où le secret de l'existence des CESS se devait d'être préservé. ^^ • A ce propos, tu n'as pas parlé de la Révélation, une petite ligne sur ce qu'en a pensé ton personnage serait la bienvenue
Je te laisse faire les modifications nécessaires et je repasse sous peu pour contrôler et te parler de ta capacité
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Sujet: Siobhan ♦ Finish 
Sam 31 Déc - 17:22
MULTICOMPTE ? [ ]OH YEAH / [X]NO. J'AUTORISE LES CHRONIQUEURS DE RADIO STL A PARLER DE MON PERSONNAGE DANS LA PROCHAINE EMISSION ? [X]OH YEAH / [ ]NO. CODE (en spoiler) : 
et bon choix de vava 
*sors*
Bon courage pour ta fiche 
J'imagine que Siobhan s'en sert pour guérir ses patients à l'hôpital... ça n'a jamais paru suspect ? x)
