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 Siobhan Mc Alistair

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Anonymous








Siobhan Mc Alistair Empty
MessageSujet: Siobhan Mc Alistair   Siobhan Mc Alistair I_icon_minitimeSam 24 Juil - 19:35


SIOBHAN MC ALISTAIR


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    ÂGE PHYSIQUE ; La vingtaine
    ÂGE RÉEL ; 18ans
    DATE ET LIEU DE NAISSANCE ; Le 2 mai 1992 à Saint Louis
    ORIGINE ET NATIONALITE ; Mère chinoise. Père irlandais. Nationalité américaine.
    RACE ; Humaine
    RANG ; Nouvelle arrivante
    ORIENTATION SEXUELLE ; Hétéro. Bien que trop curieuse pour ne pas vouloir tenter de nouvelles expériences.
    CAPACITÉ SPÉCIALE ; Elle ne connait pas elle même les limites de son pouvoir. Télépathe, elle a récemment découvert qu'il lui était possible d'entrer dans l'esprit des vampires quand un de ces derniers a eu la mauvaise idée de l'hypnotiser. Il lui ai également arrivé une fois de briser la conscience de quelqu'un.




Once upon a time...



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PHYSIQUEMENT, ÇA DONNE QUOI ? ;



Siobban a été gâté côté patrimoine génétique, c’est une des choses dont on ne peut douter en la regardant… Toute petite déjà, les gens la fixaient et parlaient en la regardant. Quand elle fut en âge de le remarquer elle s’interrogea, se demandant ce qui n’allait pas chez elle pour que les gens la dévisagent ainsi. Elle chercha donc la réponse auprès de sa mère. Elle n’obtint qu’un sourire doux et amusé. Puis après quelque instant, une réponse simple : « Si cela t’intrigue autant Siobban, pourquoi tu ne vas pas leur demander ? Une question n’est jamais idiote tu sais, c’est avec elles qu’on s’instruit et se cultive alors n’aie jamais peur d’en poser. Maintenant si tu veux vraiment ta réponse, tu sais ce qu’il te reste à faire » Elle réfléchit quelque instant. Son regard allant des inconnus à sa mère puis se dirigeant vers le sol qui dut lui garantir que tout irait bien, puisque c’est d’un pas assuré qu’elle marcha droit vers ceux qui pourraient lui apporter sa réponse. Ces personnes d’abord surpris, partirent d’un franc éclat de rire une fois que l’enfant eu posé la fameuse question. D’abord vexée par cette réaction, Siobban se rappela les mots de sa mère, ne jamais avoir de honte à poser une question. Elle attendit donc calmement sa réponse. « J’étais en train de demander à mes amis s’ils avaient déjà vu une aussi jolie petite fille. Voilà pourquoi nous te regardions, petit ange. » Cette phrase la laissa tout étonné devant les inconnus qui se remirent à rire à son expression. Ces situations où elle fut le centre des regards se répéta, mais à chaque fois une gêne la reprenait, elle n’aimait définitivement pas ça. Son physique lui causa même des problèmes arrivé à l’âge de l’adolescence. Cet âge ou les filles se jalousent et deviennent des monstres sans aucune pitié. Mais nous y reviendrons.
Le pourquoi de sa beauté est un tout. Elle possède longs cheveux bruns et lisses cascadant sur le haut de son dos. Elle tient ces derniers de sa mère, raide et brillant, ils prennent de multiples reflets suivant la lumière qui l’entoure. Leur couleur contraste avec sa peau doré où quelques grains de beauté joliment placés attirent l’œil. Sur sa petite bouche pulpeuse se dessine souvent des sourires timides. On peut aussi la surprendre à rêver, le regard dans le vide, mais son visage exprimant le contentement. On peut interpréter cela comme de la nostalgie ou comme les pensées d’une femme amoureuse.
Ses yeux sont le vrai miroir de son âme. Tout transparait, ses émotions se lisent comme dans un livre ouvert. Et ce sont peut être le plus beau atout dans son visage d’ange : en amande, leurs couleurs varie suivant la lumière, tantôt ambré, gris ou vert. Ils expriment la douceur et la naïveté de sa nature. A plusieurs occasions pourtant on se demande si elle se rend compte de la manière dont elle regarde les hommes qui lui plaisent, son regard invite alors aux pensées coquines, et à ce qui pourrait se passer dans l’intimité. Il contraste avec son attitude réservée, et on se questionne sur la véracité de cette innocence apparente.
Elle est de taille moyenne et plutôt fine. Sa morphologie la fait ressemblait à une petite poupée fragile. Bien qu’en croisant ses yeux à certains moments, on ne peut douter que c’est une femme et une séductrice qui se cache derrière ce corps. Elle n’est pas aussi maigre que ses mannequins de magazine. Ses formes remplissent à merveille les vêtements bien souvent sexy et moulant qu’elle porte. Ses mouvements sont calmes et réfléchis. On discerne souvent quelques choses de félin dans ses mimiques et sa démarche. A moins que ce ne soit ses yeux verts…
Quant elle arrive dans un lieu inconnu, elle passe quelques minutes à observer ce qui se trouve autour d’elle avec minutions. Cela comprend également les gens présent. Elle semble toujours en train de tenter de cerner les personnes proches d’elles, et on peut souvent la surprendre en train de fixer quelqu’un, son regard se faisant alors inquisiteur.
Siobban s’émerveille d’un rien, elle devient alors la petite fille d’alors. Naïve et gai, son bonheur se répand telle une maladie et gagne les gens proche d’elle.
Pourtant à certain moment on croise dans ses yeux cette part d’ombre inquiétante que chacun possède au fond de lui. Dans ces moments elle n’a plus rien d’innocent et mignon. Car ses yeux là pourraient tout à fait appartenir à une panthère, ou tout autre prédateur impitoyable. A ce instant on s‘interroge sur ce que ce caractère bienveillant cache. On se demande ce que cette autre Siobban serait près à faire si on la force à venir. Oui à cet instant on se demande si c’est une bonne idée de croiser ses yeux là.



ET MORALEMENT ? ;


Siobhan est avant tout quelqu’un de calme. Il lui en faut beaucoup pour qu’elle perde patience. Elle peut se montrer exaspérée, mais rare sont les occasions où elle perd son sang froid. De nature douce, elle aime aider et rendre heureux les gens autour d’elle. Sa gentillesse la plusieurs fois mise dans des situations regrettables. Elle se méfit de ce trait de caractère, les gens on beaucoup trop tendance à l’utiliser sans l’apprécier. Elle essaie donc le cacher du mieux qu’elle peut. Sa naïveté et son innocence pousse les gens autour d’elle à la protéger et à la materner. Et ce n’est pas pour lui déplaire. Elle aime séduire, et elle sait avoir les atouts pour. Ses yeux sont le meilleur moyen pour faire passer ses messages. Les conflits et les ennemis sont quelque chose qu’elle n’a jamais su gérer. Pourtant quand elle se sent en danger, il lui arrive de choisir des moyens excessifs pour se protéger. Elle n’hésitera pas à faire mal et à détruire par tous les moyens existants pourvu que cette personne ne représente plus une menace. Malgré tout, elle préfère régler cela par le dialogue si c’est encore une option possible. Elle sait que son physique plait et pourtant il lui arrive de ne pas être sure d’elle. Chose étonnante, ce n’est pas quelqu’un qui déborde de confiance en soi. Comme sa gentillesse, c’est quelque chose qu’elle cache, détestant paraitre faible. Elle se laisse rarement aller à montrer une
quelconque faiblesse à autrui.
Toujours tolérante et ouverte, elle n’admet pas que les autres fassent preuve de méchanceté ou se permette de juger les gens. Elle ne pourra jamais s’empêcher de défendre quelqu’un se faisant malmener même aux risques de se faire des ennemis. Elle exècre la cruauté. Si elle détecte ce trait de caractère parmi quelqu’un, elle n’aura cesse de vouloir l’effacer, que se soit en essayant de bonifier la personne ou en la détruisant. Peu importe les moyens seule compte le résultat. D'une curiosité insatiable, elle ne se lasse jamais d'apprendre de nouvelle choses.




HABITUDES DIURNES ; Venant tout de s'établir à Saint Louis, Siobhan profite de la journée pour inscrire sa sœur dans son nouveau collège, chercher du travail, et toute activités postérieur à un déménagement.
HABITUDES NOCTURNES ; Quand elle ne sort pas pour se détendre, elle reste en compagnie de sa sœur. Puis dort.

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HISTOIRE ;



L’asiatique s’approcha de l’enclos des léopards. Les membres de son équipe étaient tous rentrés dans ces petits pavillons que la réserve fournissait aux employés. C’était le meilleur travail qu’elle n’avait jamais trouvé, un rêve de petite fille qui s’était réalisé. Elle était nourrie, logée et blanchie pour un boulot qu’elle aurait fait gratuitement. Non, elle aurait même payé pour faire cela. Elle vivait sur un petit nuage, un petit nuage aux couleurs chaudes du Kenya. Elle s’assit à en face du grillage, son regard se tournant amoureusement vers les fauves. Ces animaux magnifiques la passionnaient. De leur attitude nonchalante, en passant pas leurs corps, la plus jolie arme qui lui avait été donné de voir. Quant à leurs yeux, il fallait que votre regard puisse croiser les leurs pour réellement saisir ce qu’ils sont. Sun l’avait compris à l’âge de neuf ans, quand le soigneur d’un zoo l’avait conduite derrière l’enceinte prévue pour les visiteurs. Lieu réservé au personnel, endroit où il leur donnait à manger. Dans cet endroit clos, ils attendaient. Incarnant l’impatience dans toute sa splendeur. Alors qu'elle regardait le lion qu'elle trouvait beaucoup amorphe que dans son enclos il se leva, ses deux pattes avant cognant lourdement contre la grille. Non content, du bruit et de l’effet déjà produit, son rugissement retentit dans la petite pièce. C’est à cet instant qu’elle croisa son regard. La petite fille qu’elle était, fascinée par eux mais certaine de ne jamais pouvoir être effrayée, comprit sur jour là. Comme tout les gens présent dans la pièce, elle eu un mouvement de recul, et, regarda avec la bête avec une adoration mêlée de crainte. Même née en captivité et prisonnier d’une cage, il resterait indompté, causant la peur de leurs maitres quant il le souhaitait. Et cela, pour elle, forçait le respect. Son intuition (dirons nous très développée) coupa Sun Huang de ses rêveries et l’informa que quelqu’un approchait. Ses yeux se fermèrent, elle inspira profondément et se concentra. Elle abaissa ce bouclier métaphysique qui la protégeait du bourdonnement constant des pensées des ses collègues. Sun se demanda qui pouvait la rejoindre à cette heure ci. Qui contrevenait à son habitude de rester dans son chez soi, de regarder une télé, où même dans ce cadre idyllique, il ne pouvait se passer ? Elle le trouva. Un esprit calme, serein, un esprit qu’elle ne connaissait pas. Elle l’effleura, se demandant quelles pensées circulaient dans cet individu. Et là, à son plus grand étonnement, elle se heurta à un mur. Elle ne chercha pas à le franchir, trop surprise et affolée pour faire quoi que se soit d’autres que de replacer ces barrières immatérielles qui la protégeait contre la plupart des intrusions surnaturelles. Mais avant qu’elle ne devienne insensible à toute empathie, elle sentit l’humeur de l’homme changer. Il était intrigué et amusé. Il l’avait senti. Alors comme ça, ça le faisait marrer ! Elle se leva et tourna le dos aux fauves pour voir apparaitre cet inconnu. Son visage se fit froid et menaçant. Elle se méfiait. Toutes personnes pouvant empêcher ses tentatives intrusives étaient suffisamment dangereuses pour qu’elle ne joue pas les courageuses et s’enfuie sans demander son reste. Mais là c’était différent, elle était dans son domaine, son chez soi, son rêve. Elle n’abandonnerait ça pour rien au monde. Sa peur appela son pouvoir, et elle le laissa couler autour d’elle, comme un signe d’avertissement. L’homme apparut au détour du chemin et elle se calma presque naturellement. Ses épaules s’abaissèrent, ses muscles cessèrent de se contracter. Tout dans cette homme respirait la bienveillance, de son visage doux en passant par ses yeux emplit d’une curiosité innocente. Sun savait reconnaitre les gens bons quand elle en voyait. Et là, c’était le cas. Pourtant cet homme avait quelque chose d’incroyablement puissant. Elle l’observa et comprit. Un démarche féline, les herbes hautes qui semblait comme s’éloigner à son passage, et (quand il s’approcha un peu plus) des yeux où se mélangeait le vert, le bleu et une pointe d’ambre. Des yeux de félins. Cet inconnu avait du sang fey, c’était certain.
Il s’appelait Galen Mc Alistair et il allait devenir l’homme qui partagerait sa vie.




Neuf ans plus tard, dans l’état du Missouri, à Saint Louis.

Siobhan, va aider Maman à sortir les cartons du camion ma chérie. La petite fille leva la tête, puis elle regarda tristement le chaton prostré entre ses genoux. Elle le leva, le blottit contre sa poitrine et colla son visage contre le sien. Ses yeux se fermèrent et elle sembla réfléchirent de manière intense.
Siobhan ! La petite ouvrit les yeux et protesta. Mais Papa… Millie a peur, elle n’aime pas la nouvelle maison, elle veux rentrer. Je lui ai promit que je resterais avec elle jusqu’à ce qu’elle n’ait plus peur. C’est toi qui m’as dit qu’il fallait toujours respecter ses promesses. Son père soupira, puis attendri par le regard de sa fille, il sourit. D’accord mon ange, mais dans ce cas, va dans ta chambre avec Millie et commence à déballer tes cartons. Le visage de l’enfant s’illumina à la compréhension de son père. Elle se leva et se dirigea vers les escaliers, portant délicatement le chaton. Attend ma puce. Tu es consciente que les animaux ne parlent pas n’est ce pas ? L’intéressée se retourna et lui adressa un sourire complaisant. Bien sur que je le sais papa. Je suis pas bête. Mais tu sais les animaux.... ils pensent. Le visage de son père exprima la stupeur. Sun, tu peux venir s’il te plait ? Une femme asiatique aux traits fins passa la porte. Les deux mains posées sur son ventre rond, elle se dirigea vers son mari. Il y a quelque chose qui ne va pas chéri ? Puis quelques secondes plus tard Qu’est ce que tu as appris ? Siobhan, tu arrives à ressentir les émotions de ce chat n’est ce pas ? La petite se demandait ce qui se passait, elle ne comprenait pas d’où venait l’agitation que son père ressentait. Et pourquoi les yeux de sa mère s’agrandirent d’étonnement. Oui Papa. Celle de Milie et les autres animaux aussi. Et puis il y a les gens parfois, quand je réfléchis bien. J’ai fait quelque chose qui fallait pas ? Sa mère se rapprocha de la petite et s’accroupit de manière à pouvoir la regarder dans les yeux. Mais pourquoi tu ne nous as rien dit ma puce ? Les yeux de l’enfant se remplirent et des larmes commencèrent à déborder pour couler sur ses joues. Je pensais que c’était normal Maman, je pensais que vous aussi vous pouviez le faire. Je savais pas, je veux plus que vous soyez inquiet. C’est rien ma chérie, c’est rien, Viens on va aller dans ta chambre et Maman va t’apprendre quelques petites choses. La mère porta la petite métisse, qui continuait à serrer son chaton contre son torse.
Siobban avait quatre ans et c’est à cet âge là que commença son apprentissage sur tout ce qui pouvait, de près ou de loin, avoir un rapport avec le surnaturel.



Huit ans plus tard, dans un des collèges de Saint Louis.
Le bruit assourdissant des cris et rires d’enfants résonnaient à ses oreilles. Un brouhaha qu’elle ne supportait plus. Il était, pour elle, associé à la solitude et au statut de paria. La plupart des autres enfants ne l’aimait pas. Sa mère lui avait dit que certaines personnes ressentaient son pouvoir et que ce dernier pouvait s’avérer désagréable quant elle se trouvait trop proches d’eux. Elle était différente, et elle s’en rendait bien compte. Elle ne parlait que très peu, ne s’amusait pas de leurs jeux puérils, et paraissait entendre des choses qui n’existait pas. Les autres ne la comprenaient pas, très bien, elle resterait seule, seule plutôt que mal accompagné. Pff quelle connerie ce proverbe. L’isolement lui pesait. Elle aurait aimé trouver de la compagnie, mais elle voulait que l’on désire sa présence. Jamais, non jamais elle n’irait quémander une quelconque amitié. Cela aurait bien trop vexé le peu de fierté qu’il lui restait. Siobhan s’était donc trouvé un petit coin, près de la bibliothèque, un endroit que peu d’élèves fréquentent pendant les pauses. Pendant ces quinze minutes de récréation, elle lisait pour faire passer l’ennui. Elle avait fermé les yeux. Son pouvoir passait d’esprit en esprit. C’était sa lecture rien qu’à elle.
Avec certains, elle ne ressentait que des flashs, cela pouvait être un souvenir ou une puissante envie. D’autres, mais d’une espèce rare, avaient l’esprit très ouvert, elle entendait une multitude de choses, des pensées discordantes qui ne s’interrompaient jamais. Et, il y avait ceux qui lui étaient inaccessible. De ces derniers, elle ne voyait ni n’entendait rien. En se concentrant, elle pouvait tout de même sentir dans quel état d’esprit ils se trouvaient. La sonnerie la sortit de sa torpeur. Si ses parents savaient ce qu’elle faisait, comment elle se servait de ce pouvoir, comment ces barrières restaient constamment baissées, elle aurait droit à la plus grande leçon de moral de sa vie. Mais, ils n’étaient pas à l’école avec elle, eux, ils ne sentaient ce désespoir qui la reprenait chaque matin. Non, même sa mère ne pouvait pas s’en apercevoir. A la maison, elle exécutait ces leçons à la lettre, rien ne pouvait l’atteindre et surtout pas la télépathie de sa mère. Malgré cette petite entorse à la règle, elle savait qu’elle pouvait aller plus loin. Ce qu’elle faisait ici s’apparentait à un frôlement, une caresse. Elle pouvait avoir un rapide aperçu de la nature d’une personne, de son état d’esprit actuel. Mais si elle y tenait, elle était consciente de posséder les capacités pour frapper, forcer le passage et s’introduire dans la tête des gens. Elle n’avait jamais tenté l’expérience bien sur. Peut être que cela pourrait avoir des conséquences désastreuses, et si elle leur faisait vraiment mal… Mais elle en avait la certitude. L’inoffensive télépathie pouvait se transformer en arme. Et elle ne voulait pas être une arme, elle ne voulait pas voir la peur s’inscrire sur le visage des gens, sa solitude était déjà suffisante.
Au collège, elle ne se sentait bien que pendant les cours, là où son esprit était occupé à autres choses. Assise au fond de la classe, là où elle pouvait observer tout le monde sans trop se faire remarquer, elle s’amusait à s’exercer à la nouvelle leçon que le professeur était en train d’expliquer. Elle avait très souvent de l’avance sur les autres, assimilant plus rapidement les nouvelles notions. Un éclat de rire la perturba dans sa concentration. Ses yeux quittèrent le livre afin de chercher la source de cette agitation. Avant même de la voir, elle se doutait déjà ce qu’elle allait trouver. La Shanon bien sur. Elle et ses deux chiens la dévisageait d’un air hautain. Siobhan était certaine que Shanon était de ceux qui étaient réceptifs à son pouvoir, de ceux qui devaient ressentir des picotements dès que la métisse les croisait. Peut être était-ce pour ça que la petite peste blonde lui vouait une haine sans limite. En tout cas, Siobhan était blindée. Cela faisait longtemps que leurs rires moqueurs ne l’atteignaient plus. La fin des cours sonna tout de même comme une délivrance. Elle entama la route pour rentrer chez elle, sauf que ce jour là un obstacle lui barra la route. Au détour du chemin elle bouscula Shanon. Tiens, mais qui voilà. Quelle coïncidence, on parlait justement de toi. Un sourire malsain s’afficha sur ses traits. Et là tout s’enchaina. Siobhan perçut un flash. Elle par terre, la jolie bonde la surplombant. Puis des coups de pied, du sang, des insultes, et Shanon, exultant. La blonde la regardant par terre, admirant le sang couler de sa bouche, savourant le gout de la honte et de l’impuissance de sa victime. Tout cela ne dura que quelques secondes, puis elle revint dans la réalité. Une de ses acolytes se tenait derrière elle, Shanon lui prit les épaules alors que sa jambe allait entamer un mouvement pour lui faucher les jambes. Siobhan fit alors la seule chose qui lui vint à l’esprit. Elle libéra son pouvoir. Cette fois elle n’effleura pas son esprit. Non cette fois elle entra dedans, telle une violente bourrasque elle défonça tout sur son passage. Elle voulait faire mal, elle voulait détruire. Et c’est ce qu’elle fit. Lacérant son esprit, s’acharnant à ce que plus rien ne reste, plus rien sauf la douleur. Elle voulait effacer de son visage cette supériorité, cette méchanceté gratuite qu’elle avait vu tant de fois. Les yeux d’habitude si froid et imperturbable de cette adolescente cruelle exprimèrent la peur, puis la douleur. Une intense douleur. Et enfin ils se fermèrent. Elle s’écroula sur le sol. Ses deux amies se ruèrent vers son corps inconscient. Elles lui cachèrent son œuvre. De la peur, de la honte, et une grande panique la submergea. Elle s’enfuit, elle partit dans le seul endroit ou elle se sentait en sécurité. Vers le seul endroit où on ne la jugerait pas. Là où on pourrait l’aider.




Six ans plus tard, dans une des nombreuses réserves naturelles de Chine.

Kelhya !! Putain Kelhya… Exaspérée, la jeune fille jeta un coup d’œil en arrière puis commença à courir à travers la jungle. Après dix minutes de sprint, à esquiver les branches basses, traverser buisson et feuillage, et manquer de s’étaler sur les troncs et les pierres qui encombrait le chemin, Siobhan s’arrêta. Kelhya !! Mais qu’est ce qui t’as pris, putain ? L’enfant se retourna, pas le moins du monde perturbé par le ton énervé de sa sœur. Elle la regarda calmement. J’ai senti une odeur bizarre Siobhan. Une odeur que j’ai jamais sentie. Kelhya tu sais très bien ce que t’as dit Maman sur l’utilisation de tes pouvoirs, il faut que arrêtes de te servir des animaux pour décupler tes sens comme ça. Maintenant que tu nous as entrainés là, j’espère que tu vas savoir revenir. Toi aussi tu saurais retrouver le chemin du chemin de la maison, Siobhan, il te suffirait d’efleur… Tait toi Kélhya. Depuis ce qui s’était passé à Saint Louis, elle n’utilisait ses pouvoirs qu’avec parcimonie. Ils lui faisaient peur. En présence d’humain, elle savait se faire passer pour tout ce qu’il y a de plus normal. Elle ne voulait plus d’un nouvel isolement, elle ne voulait plus d’un autre accident, elle ne voulait plus forcer sa famille à déménager. Mais sa sœur avait grandi au contact de la faune chinoise, elle considérait ses pouvoirs comme une simple extension de ses capacités. Elle prenait le contrôle des bêtes et utilisait leurs sens et leurs savoirs comme s’il s’agissait des siens. Et cela n’était pas sans risques. Plus d’une fois, elle s’était retrouvé bouté hors de leurs esprits. Plus l’animal possédait une conscience et une intelligence élevée, plus le risque était grand. Mais contrairement à Siobhan et à sa mère, elle ne pouvait s’introduire dans la tête des gens, son pouvoir se limitant aux animaux. L’odeur se rapproche Siobhan. Viens Kelhya, le soleil est couché depuis plus d’une heure, les parents vont s’inquiéter. La jeune fille tendit la main vers sa petite sœur, et elles entamèrent le chemin du retour. Un bruit se fit entendre à leur gauche. Des yeux ambrés brillèrent à travers le feuillage. Siobhan prit le menton de sa sœur dans la main, et la regarda d’un air autoritaire. Oh non Kelhya, tu ne vas pas faire ça. Je n’ai pas envie que tu t’évanouisses parce que cette panthère n’aura pas voulu de toi dans son esprit. Et j’ai encore moins l’envie de te porter sur tout le chemin du retour. Tu me laisses faire. La petite dégagea son visage de la main de sa sœur et acquiesça d’un signe de la tête. Siobhan fixa ces yeux doré et bascula ses barrières. Sécurité. Pas ennemies. Nous partons. Les yeux disparurent. Les deux sœurs reprirent leur chemin. Elle n’aurait pas réussi à me faire partir, je deviens de plus en plus forte. C’est là que tu trompes, elle vient d’avoir des petits, son instinct maternel aurait décuplé sa volonté. Mhm, de toute façon, on pourra plus le savoir maint… La petite s’interrompit, et stoppa net sa marche. Qu’est ce qu’il se passe Kélhya? L’odeur, elle est toute proche. Siobhan lâcha la main de sa sœur. Deux fois en une journée qu’elle allait devoir s’en servir… décidément l’influence de sa sœur n’était pas bonne… Contrairement à cette dernière ce n’est pas une odeur qu’elle perçu, mais un vieil esprit. Elle connaissait ce genre là, pour en avoir croisait un une fois, toute petite. Sa mère lui en avait beaucoup parlé. Elle l’avait averti. Ces yeux se remplirent d’effroi. Elle regarda sa petite sœur. Prends ma main. Elle courra, le plus vite qu’elle put, tout en sachant que s’il s’intéressait vraiment à elles, ça ne servait pertinemment à rien. Il apparut devant elles. Siobhan stoppa sa course, et Kélhya s’étala de tout son long. Il était magnifique. Une aura charismatique semblait l’entourait. C’était le premier asiatique avec des dreads qu’elle rencontrait. Et, il fallait l’avouer, cela ne faisait qu’ajouter à son charme et au fait, que, sans aucun doute ce personnage était tout ce qu’il y a de plus singulier. Il l’avait l’air amusé, sur son visage un sourire condescendant était apparu. Un vampire, c’était ça l’odeur….Kélhya! Tait toi. Non mais t’es inconsciente !! Ne le regarde pas dans les yeux ! L’inconnu rigola. A ce son, Siobhan sentit son corps réagir. Comment pouvait-il faire ça avec sa voix…. Il fallait dégager d’ici, lui ce n’était pas un nouveau. Alors voilà les deux sœurs Mc Alistair. Le yeux des concernés s’agrandirent d’étonnement. Ne soyez pas surprises, mes belles. On ne peut pas dire que nous habitions dans une grande ville. Les non-humains se connaissent tous entre eux ici. Nous sommes humaines. Le vampire éclata une nouvelle fois de rire. Siobhan soupira en ressentant une nouvelle fois l’effet que son rire produisait sur elle. Arrêtez avec vos trucs pervers ! Vous savez quel âge à ma sœur. Kélhya fronça les sourcils. Le vampire était encore plus amusé. Ne t’inquiète donc pas Siobhan, je réserve mes talents juste pour ta petite personne. Alors comme ça tu te considères humaine ? Avec du sang de feys et de sorcières coulant dans tes veines ? En moins d’une seconde, il fut près d’elle, prenant son visage entre ses mains. Elle ne put pas faire autrement, ses yeux rencontrèrent les siens. Alors qu’il tenta de l’hypnotiser, il se passa quelque chose, dont ni elle, ni lui ne s’attendirent. Elle ne pouvait plus s’échapper. Sa main était un étau qui retenait son visage prisonnier. Elle abaissa ses barrières, chercha une sortie, un espoir, elle ne voulait pas être à sa merci. Et sa sœur, Kelhya… Non, il fallait faire quelque chose. Son cœur accélérait, l’adrénaline se déversa dans son sang. Elle perçut une sortie, alors que ses yeux noirs capturèrent les siens. Elle entrevit un lien, une passerelle entre leurs deux consciences. L’esprit du vampire s’ouvrit au sien, elle ressentit ce qu’il ressentait, elle percevait le monde à travers ses yeux, elle entendit les questions qu’il se posait à son propos. Et c'était merveilleux. Jamais elle n'avait connu quelque chose de semblable. Elle gouta à sa surprise puis à sa peur, avant qu’il ne la rejette et coupe le lien qu’il les avait uni pendant ces quelques secondes. Elle tomba par terre quant il la repoussa. Qu’est ce que tu as fait ? Sous le choc, elle ne sut quoi répondre. Kélhya s’approcha d’elle, et l’enlaça de ses petits bras. Elle regarda le vampire et lui dit de façon haineuse. Laissez ma sœur tranquille. A la vue de la petite, agressive comme un chaton au poil hérissé crachant sur un chien, il reprit son attitude amusé. Je vais te laissez tranquille pour l’instant Siobhan. Tu as l’air encore plus déboussolé que moi par ce que tu viens de faire. Mais sache que je reviendrais. Je reviendrais jusqu’à ce que tu te fasses à l’idée que jamais plus tu ne pourras te débarrasser de moi. Et à ce moment là, tu accepteras d’être mienne. Une peur l'engloutit. Mais ce n'était pas sa menace qui l'avais provoqué... C'était le fait, qu'effectivement, au plus profond d'elle même, elle avait envie d'être à lui. Elle voulait le connaitre, le posséder comme il la possèderait. Se plonger encore dans cette esprit si subtil, unique, et plein d'un savoir ancien. Elle voulait tout cela au point que ça la terrifiait.


Je suis désolée Siobhan… je suis désolée…
Arrête de pleurer Kélhya, ce qui est arrivé est arrivé, on ne peut plus rien y faire. Elle entra dans la maison, ses parents leurs tournaient le dos. Leur Nimir raj veux nous tuer, et toi tout ce que tu trouves à dire, c’est qu’ils n’en ont pas le droit ! Tu fais vraiment confiance au Maitre de la ville pour assurer notre protection ? Tout ce que ce suceur de sang veut c’est pouvoir se nourrir de nous, c’est en espérant cela qu’il les empêche de nous faire du mal. Mais tu sais comme moi que le pard ne lui obéit presque pas. Enfin Galen… Nous ne sommes plus en sécurité ici… On doit partir… Maman ? Tiens, vous êtes là vous, qu’est ce que je vous avais dit ? Je ne veux plus que vous trainiez dehors si tard. C’est si dur à com… Maman, il est arrivé quelque chose.


Elle lui avait tout expliqué… Sa mère était encore plus pressée de partir, et ça lui allait très bien. Aucun de ses parents n’avait compris comment elle avait été capable de faire ça… Alors qu’elle cogitait sans grand espoir de dormir, un bruit d’éclat de verre l’alerta. En quelque secondes, elle était assise et sur le qui vive. Avant qu’elle n’ait finie d’enfiler son pantalon, sa mère déboula dans sa chambre Siobhan ne dit rien et écoute moi bien. Tu vas aller chercher ta sœur et vous aller sortir par sa fenêtre, la voiture est garée juste devant. Je ne veux vous ne fassiez aucun bruit. Dans ce sac, il y a de l’argent, vos passeports et beaucoup de papiers importants. Nos différents comptes en banque, les papiers de la maison à Saint louis… Je veux que tu prennes la voiture et que tu aille à l’aéroport pour prendre le premier avion en direction des Etats-unis. Je ne veux sous aucun prétexte que tu reviennes ici. Je suis désolée ma fille… je vous ai tous mis en danger, et je vais essayer de réparer ça. Tu vas devoir prendre soin de ta sœur, Siobhan. Ne cherche pas à savoir ce qui nous est arrivé. Si nous pouvons, nous vous rejoindrons là bas. Encore une chose, renseigne toi sur le Maitre de la ville de Saint Louis, si tu le penses digne de confiance, assure toi sa protection. Ils ne sont pas tous si mauvais. Le maitre vampire que tu as rencontré et le pard seront susceptibles de vous suivre. Ne fait pas la même erreur que moi, cherche avant tout à te proteger. Pendant son monologue, Siobhan avait tenté de l’interrompre. Sans succès, elle avait écouté sa mère, lui donner toutes ses instructions. Des larmes avaient commencés à couler quand elle avait compris que ses parents allaient se sacrifier pour elles. Siobhan ressaisis toi ! Penses à ta sœur. Tu sais.... tu sais qu’on vous aime ma chérie. La voix de sa mère s’était faites enroué, elle la serra dans ses bras. Puis lui donna le sac et les clefs de la voiture. Attends que je sois sorti, et guètes mes pensées. Je te dirais quand y aller. Elle la laissa partir, des larmes coulant encore. Elle sécha ces dernières d'un revers de la main, puis finit de s'habiller. Après. Pas maintenant, maintenant elle n’en avait pas le droit. Vas-y, Siobhan! Elle sortit et entra dans la chambre de sa sœur. Elle était réveillée. Il y a des panthères garous partout. Elle ne lui répondit même pas et lui fit signe de se taire. Elle ouvrit la fenêtre doucement, passa dehors et se concentra. Quatre dans la salle manger, deux à l’avant de la maison deux dans la jungle. Aucun à l’arrière de la maison. Elle fit signe à sa sœur et ouvrit la portière arrière. Son doigt se pointa sur l’espace entre la banquette et les sièges avant. Sa sœur comprit. Siobhan pris place sur le siège conducteur, et ferma doucement la porte. Kélhya je te donne carte blanche pour utiliser tout les animaux que tu peux contre les métamorphes. Sur ce elle démarra en trombe. Deux d’entre eux se lancèrent à sa poursuite, puis elle ne fit plus attention à rien, hormis sa conduite. Ses parents comptaient sur elle, c’était le dernier ordre qu’ils lui avaient donné, elle ne les décevrait pas.


Kélhya…Kélhya réveille toi… je t’en supplie. Elle secouait sa sœur. Pas ça… pas ça… pas sa sœur… Elle serra son petit corps contre elle. Siobhan ? Oh ma chérie, qu’est ce qui s’est passé, tu as dormi pendant tout le voyage en avion… Je pensais que tu ne te réveillerais plus… Les yeux de sa sœur s’était fait rêveur, un petit air de contentement venait d’apparaitre sur son visage. J’ai pris le contrôle de la bête d’une des panthère-garou Siobhan, j’ai réussi, pendant quelques secondes je l’avais à ma merci. Et après… pouf...il m’a expulsé
Siobhan Mc Alistair Kristen-kristin-k...280_1024-1eb5699


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PSEUDO;Il y en a eu pas mal. Ici se sera Siobhan.
ÂGE ; 21 ans
FRÉQUENCE DE CONNEXION ; Han... je sais pas moi... tout les jours, sauf fêtes, sorties et week-end bien arrosé. Bref c'est assez aléatoire...
COMMENT TU NOUS A CONNUS ? ; En cherchant désespérément un forum rp s'inspirant du monde d'Anita Blake.
COMMENT TU TROUVES LE FORUM ? ; Génial, je ne pouvait pas espérer mieux.
MULTICOMPTE ? ; [] Oh yeah ! [] Nope =P
CÉLÉBRITÉ DE L'AVATAR ; Kristin Kreuk
CODE DU RÈGLEMENT ; Code validé par le buveur de sang en chef !


Dernière édition par Siobhan Mc Alistair le Mer 28 Juil - 19:53, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Siobhan Mc Alistair   Siobhan Mc Alistair I_icon_minitimeMer 28 Juil - 19:15

Bienvenue, officiellement ! coeur

Une fiche très bien faite pour une néophyte des RPGs What a Face
Quelques petits détails cependant : relis-toi un coup, il y a beaucoup de fautes de conjugaison, en particulier dans le premier paragraphe. Après, ça va mieux XD
Attention quand tu copie-colle un texte : si tu regarde bien tes descriptions physique et morale, il y a des phrases qui s'interrompent brutalement et reprennent à la ligne, c'est perturbant Oo
Évite les couleurs flash, ça tue les yeux (surtout le cyan et le blanc à la suite). En attendant que j'en installe de nouvelles, voici une petite table des couleurs qui pourrait t'être utile !

Voilà-voilà, c'est tout ce que j'ai à dire What a Face
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MessageSujet: Re: Siobhan Mc Alistair   Siobhan Mc Alistair I_icon_minitimeMer 28 Juil - 19:23

Merci Siobhan Mc Alistair 956226

Je vais revoir ça pour les fautes, mais word ne va pas beaucoup m'aider je pense.
Pour les bugs de copier coller, ça m'a fait effectivement un joli bordel qui m'a pris 20minutes à corriger, quelques phrases on du me passer au dessus.
Pour les couleurs, je ne peux pas lire les foncées sur mon pc, surement de mauvais réglages, mais je vais faire au mieux pour le confort de vos petits yeux Siobhan Mc Alistair Icon_biggrin Plus de cyan et blanc, chef, compris!
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MessageSujet: Re: Siobhan Mc Alistair   Siobhan Mc Alistair I_icon_minitimeMer 28 Juil - 19:25

Pour parer le problème du copier-coller chiant, il faut que tu appuie sur le A/A et que les balises utilisées apparaissent Very Happy
Je viens de rajouter des couleurs dans la table des couleurs par défaut, si ça peut t'aider coeur
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MessageSujet: Re: Siobhan Mc Alistair   Siobhan Mc Alistair I_icon_minitimeMer 28 Juil - 19:42

Merci pour les conseils Papa Ashou Siobhan Mc Alistair 722706 Pour les fautes, j'en ai corrigé trois ou quatre, mais je vois pas les autres... L'orthographe n'a jamais été mon fort, malgré un rythme de 2/3 bouquins par semaine. -_-
Je crois que je ne pourrais jamais rien y faire Siobhan Mc Alistair Kopfschuettel
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MessageSujet: Re: Siobhan Mc Alistair   Siobhan Mc Alistair I_icon_minitimeMer 28 Juil - 19:48

Les autres ne sont pas si flagrantes, mais fais attention quand même, à l'avenir hug

Sur ce, je t'annonce que tu as attrapé le dernier train pour l'Enfer ! Toutes mes félicitations cowcow

Je t'invite à poster ta fiche de lien (ici) et ton carnet de RP (ici). Bien sûr, tu peux toujours demander un RP par MP à l'un des membres du forum couin

Amuses-toi bien parmi-nous =D

Je t'intègre au groupe des citoyens normaux, je pense que ça ira ? XD
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MessageSujet: Re: Siobhan Mc Alistair   Siobhan Mc Alistair I_icon_minitimeMer 28 Juil - 19:56

Oui Siobhan Mc Alistair Icon_biggrin ça me va très bien.
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MessageSujet: Re: Siobhan Mc Alistair   Siobhan Mc Alistair I_icon_minitime

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