Je m'appelle Ekaterina Dmitrievna Orlova mais on m'appelle Katerina ou Katia ou encore la rose maudite.. J'ai 540 ans, j'en fais 26 ans. Je suis né(e) le 12 décembre 1472 et je suis Russe , avec de (lointaines) origines Tatares. Je suis un(e) vampirehétérosexuelle et je suis unesolitaire.
Capacité Spéciale : dis m'en plus à ce sujet !
Manipulation des rêves, ou comme certains l’appelle, pouvoir d’Inception. Un pouvoir bien étrange et qui peut s’avérer bien cruel puisqu’il permet de s’infiltrer dans l’esprit d’autrui pour y trafiquer ses rêves. Que ce soit pour les modifier, ou en créer de nouveau, c’est une arme redoutable de torture mentale. Cependant, il faut que la victime soit endormie, ou du moins assoupie – mais dans cette deuxième hypothèse, ça marche moins bien, et requiert plus d’énergie et de concentration de la part de celui qui l’utilise – pour que le pouvoir fonctionne correctement. Autre limite, la cible doit être dans la même pièce que sa victime. Evolution possible. Outre les rêves, il y a aussi les souvenirs. Ceux-ci peuvent être manipulés de la même façon (voire même arrachés à l'individus) et cette fois, pas besoin d’être face à un sujet endormi. La contrainte de la pièce reste toutefois inchangée.
Histoire
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Angleterre, juin 1491. L’agitation vient de retomber, la tension a cédé la place à un profond soulagement : la reine vient de mettre au monde un deuxième garçon. On espère que ce nourrisson passera le cap des premières années, il montera sur le trône si son aîné, de constitution plus fragile, enait à décéder. La chambre à coucher royale s’est vidée et la jeune souveraine peut enfin prendre un repos bien mérité, elle vient d’accomplir son devoir. Dans la pièce adjacente, à la lueur de quelques bougies, les quelques demoiselles qui ont eu l’honneur d’entrer au service de la reine, veillent, penchées sur des travaux d’aiguille. Ekaterina, la dernière arrivée, demeure songeuse. Le regard bleu de ce nouveau né, déjà si vif pour un poupon si petit, ce regard si profond lui a rappelé cette nuit glaciale de janvier 1489, cette nuit au cours de laquelle sa vie avait basculé. Allongée dans son lit après de longues et éprouvantes heures de travail, elle avait vu son père emmener loin d’elle le fruit de cet amour interdit, le fils qu’il ne lui serait pas permis de connaître et encore moins d’espérer élever. Le son de sa propre voix déchirée par les sanglots, suppliant de la laisser tenir une seule fois contre elle cet enfant, lui revenait aux oreilles, faisant bourdonner comme un essaim d’abeilles des sentiments qu’elle pensait bien enfouis. La voix claire de l’aboyeur annonçant la venue du roi la tire de ses pensées. Aussitôt, elle se lève et se tient prête à saluer le souverain venu voir son fils et héritier. Ici, malgré sa naissance honorable, elle n’est rien du tout, une insignifiante dame de la compagnie de Sa Majesté, une étrangère de surcroît. Pourtant, on la remarque, il se dégage d’elle quelque chose qui plaît aux hommes et les envoûte ; mystérieuse beauté au regard tantôt de braise ou de glace qui charme dangereusement. Beaucoup ont tenté de cueillir cette rose fraîche de dix-neuf ans, tous ont succombé à ses épines. Tout cela ne fait qu’alimenter la convoitise dans le cortège interminable de ceux ayant l’honneur d’être admis à la cour.
Quelques jours plus tard... Le chant entraînant des violons, se mêle aux lamentations du luth, ils font résonner dans le brouhaha bourdonnant, une touche de légèreté, un souffle de joie et d’insouciance. La fête est somptueuse, les mets rivalisent de créativité et de finesse, le vin coule à flot. Ce soir là, on célèbre le baptême du futur souverain, l’esprit est à la badinerie. Entourée de quelques galants, souriant avec la réserve qui sied à une jeune femme distinguée, elle fait mouche par la vivacité de son esprit et la grâce de ses manières. Vêtue d’une houppelande d’un vert profond, ses cheveux couleur chocolats lâchés librement dans le dos à la manière très novatrice des italiennes raffinées, elle a remarqué qu’un peu plus loin, un regard mystérieux s’est posé sur elle. Il lève son verre en signe de salut, elle lui répond en inclinant doucement la tête, un sourire aux lèvres. Ses deux interlocuteurs ont été effacés par cet échange bref mais intense.
Palais de Tsarskoe Selo, janvier 1764. « Ha Orlov, vous voilà enfin ! » s’exclame la souveraine avec satisfaction. L’homme s’avance vers elle et lui rend hommage humblement. Assise quelques mètres plus loin, elle esquisse un sourire. Pendant un instant, elle se demande si elle a bien entendu. Ses sens d’infante du Malin ne peuvent lui jouer des tours, c’est bel et bien ce nom qui vient d’être clamé. Le favori installé, le dîner peut être servi. La table privée de l’impératrice de toutes les Russies, se dresse somptueuse, ornée des plus fines pièces de porcelaines, spécialement commandées aux manufactures les plus réputées. Le soir tombe sur la ville impériale, les températures sont peu clémentes, mais à la table privée de la Grande Catherine, on ne s’en formalise pas. Les mets sont simples mais délicats, l’ambiance ne tarde pas à se faire plus conviviale, la stricte Etiquette en est presque estompée, les rires s’élèvent, les conversations se couvrent mutuellement. Tous les sujets y passent : politique, mode, culture et cancans. L’immortelle, placée à la gauche de la souveraine, face à celui qui a ses faveurs, se plaît à observer l’ensemble, faisant montre à la fois d’une culture étonnante – elle a déjà parcouru la moitié de l’Europe, a vu se succéder les monarques dans les diverses cours du continent – et d’une discrétion irréprochable, celle due à une femme du rang qu’on lui prête. Ce soir, pour ne pas éveiller les soupçons, elle est Frederika de Brunswick Lunebourg, cousine de celle qui sera par son mariage, à la tête du Saint Empire romain-germanique. Le raffinement est à son comble, tous les convives parlent un français très correct. La soirée se passe, après le souper, la petite assemblée se dirige vers les appartements privés de l’Impératrice où ils pourront, à loisir, jouer et parier à diverses tables de jeu. Orlov, qui n’a d’yeux que pour son impériale amante, ne peut pourtant pas s’empêcher d’être fascinée par celle qui, sans qu’il ne puisse le deviner, est en fait son ancêtre. Ekaterina s’en amuse. Tout ça n’a pas échappé à Catherine, qui elle aussi semble trouver la jeune femme piquante et digne d’intérêt. Quelques jours plus tard, elle prend congé comme il se doit et disparaît. Elle ne sait pas encore où ses pas l’emmèneront, mais une chose est sûre, cette nouvelle vie aussi instable soit-elle, lui plaît. Depuis sa « naissance » à la vie éternelle, ou plutôt à la non-vie éternelle, tous les plaisirs lui sont accessibles, de nuit, tout ce qui se fait de beau, d’intéressant lui est offert, et elle compte bien en profiter.
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Pseudo : Lady Rose Âge : 22 yo Fréquence de connexion : quotidienne Comment avez-vous connu le forum ? via un vil tentateur dénommé Liam Comment trouvez-vous le forum ? magnifique . Multicompte ? [ ]OH YEAH / [x]NO. Code (en spoiler) :
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Dernière édition par Ekaterina D. Orlova le Jeu 5 Juil - 23:41, édité 45 fois
▌A débarqué le : 26/06/2011 ▌Parchemins : 2098 ▌Quantité de sang disponible : 25817 ▌Age du personnage : 112 ans, en parraît 35 ▌Rang : Ϟ Ulfric de la Nouvelle-Orléans Ϟ ▌Job : Un des plus riche PDG du monde et propriétaire du Lunatic café
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Sujet: Re: Ekaterina ♕ В тихом омуте черти водятся. (uc) + DELAI Sam 23 Juin - 12:42
▌A débarqué le : 23/01/2012 ▌Parchemins : 791 ▌Quantité de sang disponible : 22082 ▌Age du personnage : 112 ans ▌Rang : Freki de la meute O'Brien ▌Job : Superman à temps partiel.
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Sujet: Re: Ekaterina ♕ В тихом омуте черти водятся. (uc) + DELAI Dim 24 Juin - 17:24
Une russe! Dans mes bras, j'le suis à moitié et puis ton second prénom ressemble au mien en plus! Welcoooome
Sujet: Re: Ekaterina ♕ В тихом омуте черти водятся. (uc) + DELAI Mer 27 Juin - 15:37
Merci pour l'accueil
Scarlet > Rah ben si t'aimes le russe aussi on va bien s'entendre Rowan > Mais je t'attends... j'te fais mordre la poussière quand tu veux Ian > du quoi ? Beurk ..