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| Joaquin Riverst | Let There Be Light | |
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| Sujet: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 20:38 | |
| Joaquin
Riverst Because men can be animals; cut-throats & jagged wolves Gaspard Ulliel © queennatali Identité Je m'appelle JOAQUIN. JOAQUIN RIVERST, mais on m'appelle REVEREND. J'ai 35 ANS, j'en fais VRAIMENT, VRAIMENT MOINS. Je suis né(e) le 18 JANVIER 1977 et je suis AMERICAIN. Je suis un HUMAIN HETEROSEXUEL et je suis FONDATEUR & MENEUR DU GROUPE EXTRÉMISTE HUMAINS D'ABORD.. capacité spéciale : Joaquin Riverst a la capacité de guérir les gens susurre-t-on dans la presse à scandale (INTERVIEW PAGE 16 - « c’est, selon moi, un don de Dieu. ») ; et c’est la vérité, comme il l’admet avec une réserve effarouché lorsqu’un journaliste aborde le sujet. «c’est fantastique de pouvoir faire le bien autour de moi. » il confie, quoique que cette aptitude ait pour principale utilité le chantage ; limité toutefois car Joaquin soigne uniquement les douleurs physiques -les plaies boursouflées et humides de sang, les visages fendus et les membres brisés -il trouve un plaisir franchement pervers à ça (et cette scabreuse fascination, n’est-ce pas ce qu’il reproche à ses opposants -aux « ennemis de l’Amérique ? si la question lui traverse l’esprit il l’élude sans culpabilité.)
Genesis †La terre était informe & vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme - i Le garçon de la famille Riverst, disaient-ils (tous) l’air apitoyé/curieux, « un brave garçon » -son père hochait la tête d’un air grave comme écrasé par un terrible fardeau ; un gamin effacé et pâle, filiforme et silencieux mais gentil, serviable -n’était-ce pas la vérité ? Il y avait sur ses lèvres serrées (qui plus tard s’épanouiraient, boudeuses, souriantes) une espèce de rancœur aigre, désabusée -même lorsqu’il se faisait injurier par tous ces types, terrassé, assujetti par leurs corps athlétiques et leurs voix graves, les regards de prédateurs arrogants dardés sur lui, dédaigneux, dangeureux. Il était déjà intelligent et mauvais à 14 ans (ne l’avait-il pas toujours été ?) et à ce moment ses yeux humides de douleur étaient des leurres - personne ne savait, ne comprenait, ne pouvait comprendre et ne pouvait savoir qu’il jubilait -personne n’avait rien compris, même pas lorsque ce type avait été retrouvé «abimé », les membres meurtris et déformés et brisés comme un cauchemar, « paralysé probablement toute sa vie -un si brillant nageur ! » inconscient contre le bitume -vraiment personne n’aurait pu savoir quelque chose.
ii « Ils parlent d’enfer mais ils ne savent pas ce que l’enfer est. » fait Joaquin et il a son ton de gamin capricieux et têtu alors que distraitement il balaye le revers de son complet (bleu de minuit, cintré sur son grand corps étroit ; un classique de chez Dior Homme et rien d’autre qu’un complet pour beaucoup). « Et qu’est-ce qu’est l’enfer ? » son garde du corps (le tout premier !) demande -parce que c’est dans ce genre de moment qu’il faut le faire. Joaquin hausse les épaules et il a sur la bouche un sourire complaisant ; « pire que tout ce qu’ils pensent.» Il est joyeux aujourd’hui, les mains enfoncées dans ses poches, « Maintenant, soit un ange et offre moi quelque chose à manger. Je meurs de faim.» il gémit dans un soupir excessivement dramatique avant d’enfiler ses énormes lunettes de soleil, soigneusement agrafées à une poche de sa veste.
iii Personne n’aurait pu savoir quelque chose concernant ce type, concernant tous les autres types qui, plus tard, de manière énigmatique, subirent une pléthore d'accidents (et ces autres types n'étaient pas tous humains cette fois); concernant l'organisation, concernant ce que pudiquement il désignait comme "sa vie privée", surtout pas maintenant , maintenant qu’il s’affichait dans les tabloïds, son sourire courtois étiré sur sa bouche pulpeuse et rose (élu « MARI IDEAL » par le magazine Jeunes & Chrétiennes pour « sa verve, son intelligence, son énergie, sa générosité et dans une moindre mesure sa beauté naturelle»), sa mâchoire carrée et (parfois, parfois pas) lisse, ses épais cheveux bruns négligemment repoussés en arrière, mouillés de brillantine. « je me suis égaré lors de mon adolescence mais grâce à mes parents j’ai retrouvé le chemin de Dieu » exaltent les pages glacées avec une verve passionnée et mouillée. « Malgré l’amour de ma famille et la présence palpable et rassurante de Dieu entre nos murs, j’étais égaré. Et je sens que les jeunes américains aujourd’hui reproduisent mon erreur.» Il se demande s’il se soucie de la jeunesse américaine -parfois, souvent, il ne se soucie de rien d’autre que de voir ces types menottés ou «hors d’état de nuire», parce que c’est tellement plus rassurant et parce que « l’Amérique a besoin d’être rassurée. » (et bien il est plus ou moins l’Amérique)
iv Sa bouche est mouillée et rouge et gonflée comme après un baiser -mais plutôt il porte à ses lèvres entrouvertes sa fourchette vide en argent, brillante et luisante dans la lumière des lourds lustres. Ils sont comme du verre brisé - la lumière est jaune et explose sur les murs crèmes du restaurant et ses moulures dorées. Et sur le sourire luisant de Joaquin - sa silhouette élancée d’adolescent dans son costume de luxe et son menton haut et sa tenue droite et insolente et méprisante ; sa bouche pincée dans un sourire enthousiaste, vaguement reptilien, comme incrédule, une surprise feinte et vicieuse. « Un diner entre père et fille. Merveilleuse manière de passer son vendredi soir n’est-ce pas ? » il demande joyeusement à Louise. « Mais avant ça rendons les grâces. » Sa fille (adoptive mais jamais il ne le précise) -membre indispensable et admirée d'Humains d'abord, organisation indispensable et admirée dont il est le leader indispensable et admiré. (Leader et fondateur! Des prières bafouillées d'émotion, des insultes crachées avec fureur à des vampires inconnus, effarouchés et irréprochables, d'hystérie frénétique et, parfois violente -tout ça grâce à lui.)
v Ses tendons sont comme les touches d’un piano, comme le mécanisme des touches d’un piano -ils roulent furtivement sous sa peau pâle alors qu’il frappe de ses ongles (propres, lisses et courts) le bois épais, gorgé d’humidité, du bureau de ce type assis sur son immense fauteuil molletonnée, du cuir noir massif et effrayant comme une machine -Il crisse alors que l’homme s’adosse contre elle, et l’homme s’adosse contre le fauteuil, s’y tasse (sans s’y enfoncer -parce qu’il a de la fierté) lorsque que Joaquin se penche doucement par-dessus les pots de crayons et les piles de dossiers boursouflés. «J’ai guéri ton fils exact? » il dit d’un ton vaguement ennuyé, presque chantant pourtant -ce type est un foutu de psychopathe, au moins ça, une espèce de nonchalance puérile et déplacée, franchement trop confiante aussi. Il était jeune, trop pour ça, quelque chose comme 27 ans (32 à ce moment-là en vérité), un visage de petite frappe tandis que ses sourires se transforment en cruelles grimaces -elles déforment son masque affable comme de la cire brulante. - je n’ai pas l’argent. Pensez-vous vraiment qu’il est possible de réunir autant en si peu de temps ? C’est impossible.» il est calme -il n’a aucune raison de ne pas l’être ; pourquoi ne le serait-il pas ? Joaquin hausse les épaules et ses syllabes se détachent sèchement les unes des autres : « je t’ai demandé de le faire. » MAIS il n’y a pas d’autre réaction qu’un sourire las de cet homme replet et (brusquement) nerveux, presque condescendant (il a du travail à faire ! Il est un travailleur occupé. Occupé et honnête.): «soyez raisonnable. » après quelques secondes de silence il ajoute : « et lâchez ce coupe papier, s’il vous plait. » (mais Joaquin ne le fera pas , il soupirera en levant les yeux au ciel, « je t’en prie un peu de dignité » par-dessus les cris, les gargarismes enfoncés dans la gorge du type, au fond de sa bouche sèche)
vi « Du premier coup -à chaque fois, tout le temps. » avait fait son père avec fierté : «Joaquin est un très bon chasseur. » et c’était faux, en réalité -parce qu’il y avait eu ce cerf, le plomb enfoncé dans une de ses pattes longilignes et ses sauts étaient maladroits et tremblants comme ceux d’une biche alors qu’il s’éloignait vivement, l’échine nerveuse et le corps hérissé, sali par la chute et les brindilles tissées sur sa robe ébène , noire et brillante et lisse dans le brouillard compact, et tout ça, tout ça s’était achevé avec un poignard -les vêtements de Joaquin, raides de sang, rigides sur son corps sec, tachés de tendons élastiques et déformés, de muscles brulants et sinueux, bandés, leur odeur âcre sur sa peau exsangue. vii La peau et les muscles comme du papier mouillé...pâteux alors qu’il enfonçait ses doigts gantés dans la gorge (du cuir noir -il n’aime pas se salir, il admet dans un haussement d’épaules coupable, amusé). «Vous êtes un homme dégoutant» il crache, avant de secouer la tête : « un putain de déchet, vous savez » ; et c’est vraiment drôle, la grimace écœurée de Joaquin, son visage froissé, répugné, et pourtant si près de celui du type, ce cinquantenaire dont le costume trempé de sang se plaque contre son torse tandis qu’il respire frénétiquement, son visage humide et glissant contre son bureau. Joaquin souffle sur ses yeux écarquillés, ses mouvements sont élégants, ils le sont toujours, il chantonne un peu et les yeux du type se plissent très fort comme avant un coup. « Je peux réparer tout ça mais tu vas vraiment devoir être serviable.» C’est une façon pour lui de devenir riche aussi -le chantage, les dons, les interviews télévisés, ces revenus qu’il brasse avec insouciance, indifférence (ce n'est pas sa priorité -son obsession dévorante et fiévreuse pour ce qui n'est pas humain; pour la disparition de ce qui n'est pas humain).
viii C’était « temporaire », une maison de campagne défoncée -les murs sales, la tapisserie jaunie où des fleurs grisâtres boursouflées s’apprêtent à éclore depuis toujours -et dans la lumière dévorée par les murs et les épais meubles en bois noir, gorgés d’humidité, elles ressemblent à de la pourriture, écœurantes et tordues. Il y a de la cendre et des tapis flétris, des rideaux trop minces et râpés, verts pastels comme un liquide vaisselle bon marché, les doigts pales et graciles de Lou, les costume sur-mesure de Joaquin. « Temporaire » il répète et l’espace d’un instant son visage est fatigué, creusé de cernes comme des hématomes tracés au compas sous ses yeux clairs, il mord sa bouche et clos ses paupières, les plisse comme pour s’éveiller et alors hausse les épaules, demande à Louise avant de fixer les champs vides et mouillés, déformés de pluie : « l’air de la ville est tellement pollué, hm ?» et en vérité le centre-ville devient juste trop dangereux pour lui à ce moment précis. Les monstres ne l’aiment pas. Plus tard il y a 327 morts le 4 juillet. Il pense : martyrs, plus rarement, avec cynisme, des dommages collatéraux. La vérité : les chiffres l’indifférent. Si durant ce débat télévisé il pense vous irez tous en enfer, sauf moi derrière son visage courtois (attentif, intéressé et tellement volontaire ! respectueux), il déplore, plus tard, auprès des micros qui se pressent contre sa bouche : « je trouve dramatique le fait d’avoir à attendre un drame pour voir des lois votées» l’air vaillant, affligé, où étiez-vous ces derniers mois Révérend, quel regard portez-vous sur les rumeurs Mr. Riverst, quel est votre prochain combat -leurs voix sont fiévreuses, un débit rapide et affolé, et il sourit, articule paisiblement : « j’essaye simplement de m’opposer à ce que les Américains, l’organisation et moi-même jugeons malsain, vous savez» il explique avant de s’éloigner.
Plus que n’importe quoi il pense : triomphe et : je vais pouvoir revenir en ville (car il est innocent et cette innocence, officielle, clamée et solide, massive, est presque nouvelle ; et toutes ces tensions ultérieures, les menaces et les ennemis et les plaintes -« vous encouragez à la haine Mr.Riverst»- sont étouffés par le nombre de ses nouveaux adhérents effrayés.)
ix « Ils proposent samedi. - Dis leur que si nous ne nous voyons pas jeudi, je les démembre avec un tournevis. » Joaquin ne lève pas la tête des pages glacées du magazine qu’il feuillette paresseusement (de quoi parle cette chose... ? Il n’est pas vraiment concentré) tandis que le garde du corps numéro trois (il fera un jour l’effort de mémoriser les prénoms de ces types) répète ça dans son téléphone. Il porte machinalement une cigarette à sa bouche mais s’ennuie -Joaquin s’ennuie rapidement parce qu’il n’est pas curieux, et ses parents, longtemps (jusqu’à ce qu’il devienne source de fierté dans le foyer Riverst -sa mère collectionne fidèlement les articles de presse où il apparaît ; et ils sont nombreux, un épais cahier déformé de coupures de journaux), l’assurèrent avec dépit auprès de leurs proches. Il n’aimait même pas le base-ball -quel genre de gamin était-ce ? Son soudain regain de popularité, un travail acharné quoique réalisé avec une brillante nonchalance (il les avait suffisamment observés, eux tous, ses camarades de classe pour imiter convenablement leur chaleureuse inaccessibilité , leurs manières désinvoltes et leur ton distrait, un peu rêveur) cet intérêt soudain pour sa personne donc, une attention violente et massive, était survenu comme une vingtaine d’année après sa naissance -au moment où il se sentait suffisamment mûr pour le recevoir ; et de toute manière il avait toujours aimé l’attention -même plus jeune, à l’époque où il n’avait pas adopté encore son masque mielleux (sauf à l’égard des adultes -bien sûr) et que ses phrases étaient sèches et sarcastiques, l’exposaient aux types plus âgés, plus robustes.
x « AMBITION» l’ambition, l’objectif, « le but » de Joaquin est une notion plutôt floue, brumeuse, quelque chose comme des doigts noués autour d’eux (eux, le peuple, d’un ton condescendant et moqueur), le ronronnement (satisfait et méprisant) d’un chat ou la boucle de sa queue souple et palpitante. Mais il assure d’un haussement d’épaules négligent : « je veux faire des êtres Humains ma priorité -tout simplement » adresse parfois aux journalistes un clin d’œil comme après une mauvaise blague.
xi Affalé derrière son massif bureau vernis sur lequel il avait posé ses pieds chaussés de mocassins en cuir, du luxe plutôt inutile (mais qui oserait lui faire remarquer ? lorsqu’il n’était pas considéré comme un saint discret et modeste, il était un tyran mielleux et sournois, vaguement psychotiques et parfois instable) , il jetait un regard endormi à la télévision où en direct d’une chaine câblée ses parents, invités dans le cadre d’une émission chrétienne et proprement empaquetés de leurs vêtements les plus couteux, expliquaient : « nous sommes très fier de lui. » le sourire (fier, oui, indéniablement) de sa mère s’étirait sur sa bouche boursouflée de rouge-à-lèvre pâteux. Sa peau était crémeuse et molle comme de la pâte sous son tailleur Chanel et un massif collier de perle s’enfonçait dans son pudique décolleté. « il a toujours été un bon garçon » acquiesce son père, raide dans le costume presque trop étroit pour ses épaules larges et puissantes -mais à 66 ans ce n’est plus réellement ce type massif et paternel et ses muscles, comme après un accident bizarre, gonflent par endroit son corps tassé par l’âge. Pourtant il conserve, conservait (et conserverait) cette bienveillance quasiment inconsciente ; Mr. Riverst était propice à se montrer sympathique envers les adolescents pieux et courtois, les femmes vertueuses et ultra-conservatrices, les hommes virils et républicains et les gamins enjoués. Les enfants « sont le futur de l’Amérique » expliquera-t-il plus tard à l’animatrice passionnée -et pour cette raison il tenait à leur épargner les « perversions de ce monde » -films pornographiques ou violents ou pornographiques et violents, les jeux vidéos, les groupes de hard-rock, la télé-réalité, le tabac l’alcool et la drogue, les chanteuses de pop vulgaires.
xii C’est une traque -une chasse brusque, violente et presque, presque insensée parce que : pourquoi s’acharner de cette manière sur les CESS ? Joaquin ne se pose jamais la question mais il y répond avec assurance, ses dents très blanches et ses yeux humblement baissé, une soumission intimidée et pieuse « parce que Dieu le veut. J’en suis intimement convaincu, à l’instar de beaucoup de mes frères américains.»
Tell me your secrets PSEUDO: x ÂGE: 17 ans FRÉQUENCE DE CONNEXION: & biennn, plutôt souvent. Mais je rp genre une ou deux fois par semaine -plus pendant les vacances où je deviens ermite & ne voit plus personne, genre en ce moment. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? je trainais sur forumactif, et je suis tombé sur celui-ci (OK, ce n’est pas un récit très funky.) COMMENT TROUVEZ VOUS LE FORUM? très cool ! Le contexte est très sympa. & le design est génial. MULTICOMPTE ? [ ]OH YEAH / [X]NO. J'AUTORISE LES CHRONIQUEURS DE RADIO STL A PARLER DE MON PERSONNAGE DANS LA PROCHAINE EMISSION ? [X]OH YEAH / [ ]NO. CODE (en spoiler) : - Spoiler:
Pas de doute, c'était bien ça. Vu par Alex
Dernière édition par Joaquin Riverst le Sam 25 Fév - 20:20, édité 2 fois |
| | | Tess E. Littleton
« SERIAL KICKEUSE »
▌A débarqué le : 22/07/2010 ▌Parchemins : 12385 ▌Quantité de sang disponible : 22707 ▌ Code couleur : #5F9EA0 - cadetblue ▌Age du personnage : 28 ans ▌Rang : Loque dépressive ▌Job : Maman perdue
| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 20:46 | |
| Bienvenue ici ! OMG, Jojo, ça fait si longtemps qu'on t'attend |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 20:47 | |
| Bienvenue parmi nous |
| | | Connor O'Brien
« Big Bad Wolf »
▌A débarqué le : 26/06/2011 ▌Parchemins : 2098 ▌Quantité de sang disponible : 25812 ▌Age du personnage : 112 ans, en parraît 35 ▌Rang : Ϟ Ulfric de la Nouvelle-Orléans Ϟ ▌Job : Un des plus riche PDG du monde et propriétaire du Lunatic café
| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 20:48 | |
| Welcome tout plein! *l'Ulfric qui va se faire un bon dîner pendant une pleine lune* *sbaf* |
| | | Alecto A. Karova
« »
▌A débarqué le : 27/06/2011 ▌Parchemins : 840 ▌Quantité de sang disponible : 22309 ▌ Code couleur : #bc8f8f ▌Age du personnage : A la Maison Mère ▌Citation : Changeante
| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 20:50 | |
| Bienvenue ! Tu tombes à pic pour me sauver la mise. même si ça ne va pas marcher, je crois ==> |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 20:52 | |
| Bienvenue sur le forum! |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 20:58 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 21:03 | |
| Wow, merci beaucoup ! ♥
Haha, des menaces de mort dès le premier message, tout va bien !
(& je serais ravie d'être utile !... Disons d’essayer d'être utile. )
Dernière édition par Joaquin Riverst le Sam 25 Fév - 20:22, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 21:04 | |
| Officiellement bienvenue La fiche est déjà finie ? |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 21:12 | |
| Merci beaucoup ! Oui, elle est terminée ! |
| | | Tess E. Littleton
« SERIAL KICKEUSE »
▌A débarqué le : 22/07/2010 ▌Parchemins : 12385 ▌Quantité de sang disponible : 22707 ▌ Code couleur : #5F9EA0 - cadetblue ▌Age du personnage : 28 ans ▌Rang : Loque dépressive ▌Job : Maman perdue
| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 22:16 | |
| Félicitations !
❝ Tu viens d'attraper le dernier train pour l'enfer ! Mwahaha ! ❞ Officiellement bienvenue sur COB ! Bien... je n'ai même pas la patience d'attendre un avis de mes collègues, et en fait, je n'en vois pas l'utilité pour une fiche aussi parfaite et un PV si bien cerné *-* C'est plus que j'en espérais pour Joaquin, tout ce mystère qui flotte encore autour de lui après toutes ces lignes... c'est juste magnifique. Très belle plume, très beau style qui colle parfaitement au personnage... En espérant que tu sois le bon et que tu aies une longue vie parmi nous Te voilà donc ajouté chez les Serviteurs du Ciel ! Amuse-toi bien parmi nous, et n'hésite pas à contacter un membre du staff si tu rencontres un problème ou as besoin de renseignements ! Ce qui suit a été rédigé pour te guider après ton arrivée Le Guide du joueurAlors, heureux ? Bon, tant mieux. Mais... tu croyais pas t'en tirer si facilement, si ?! Avatar ₪ Pour commencer, va faire réserver ton avatar : listing des avatars, en respectant le formulaire évidemment. Pouvoir ₪ Pour ta capacité spéciale, c'est par là pour en prendre note et recenser ton pouvoir et pense à réserver ton métier/rôleLiens ₪ Puis tu peux créer ta fiche de liens, histoire de te faire quelques potes dans le coin. RP ₪ Tu peux aussi créer un sujet dans les demandes de topicsTe Loger ₪ Pour un logement il faudra passer par la boutique et avoir assez de litres de sang pour ne pas être SDF. Pour acheter les clefs c'est à la boutique que ça se passe. Les Annonces ₪ Il est impératif de surveiller ce coin là qui est le témoin de tous les changements importants qui auront forcément une influence sur ton perso. Faire Connaissance ₪ Pour flooder avec les autres pour t'amuser et faire connaissance. Sinon il y a Skype mais la nouveauté de cette saison c'est aussi FacebookTes Oeuvres ₪ Pour exposer tes oeuvres et en demander ce sera dans les galeries d'art Radio STL ₪ Si tu veux te rencarder sur tous ce qu'il se passe en ville c'est la RadioAbsence ₪ En cas d'imprévu, un petit poste dans les absences ne tue pas Staff ₪ Tu apprendras à mieux connaître ton staff en cliquant là Défis ₪ Et si jamais t'as l'amour du risque, va voir tout ce qui concerne les missionsLe PNJ ₪ Si tu veux mettre du piment dans ton jeu, demande à utiliser le PNJLe Membre du Mois ₪ pour en savoir plus |
| | | Léo A. Jones
« LADY BURN »
▌Age : 37 ▌A débarqué le : 30/12/2011 ▌Parchemins : 701 ▌Quantité de sang disponible : 23001 ▌ Code couleur : #E1D1A1 ▌Age du personnage : 175 ans ▌Rang : lady burn ▌Job : serveuse au lunatic ▌Citation : « L'amour ne tolère pas la liberté. Où il y a l'amour, il n'y a plus de liberté. »
| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 22:18 | |
| Bienvenue et félicitations |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 22:33 | |
| - Tess E. Littleton a écrit:
- Bien... je n'ai même pas la patience d'attendre un avis de mes collègues, et en fait, je n'en vois pas l'utilité pour une fiche aussi parfaite et un PV si bien cerné *-* C'est plus que j'en espérais pour Joaquin, tout ce mystère qui flotte encore autour de lui après toutes ces lignes... c'est juste magnifique. Très belle plume, très beau style qui colle parfaitement au personnage... En espérant que tu sois le bon et que tu aies une longue vie parmi nous
Tu vois, y avait pas de raison de s'inquiéter Et même si mon avis ne compte plus, je vais lire, tiens EDIT : Eh ben dis donc |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Mer 15 Fév - 23:34 | |
| Wow merci énormément, vraiment ! Je vais gaiement aller m'occuper des liens & du pouvoir à présent |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Jeu 16 Fév - 6:57 | |
| Welcomeuh vilain ! Félicitations =) |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Jeu 16 Fév - 14:32 | |
| Owiiii, un chef Bienvenue parmi nous m'sieur |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Jeu 16 Fév - 16:35 | |
| Vilain?! Mais non ! Haha, merci ! |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Jeu 16 Fév - 17:22 | |
| Bienvenue sur CUP |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light Ven 17 Fév - 15:16 | |
| Merci ! Argh, encore un ennemi. Vraiment je ne comprends pas |
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| Sujet: Re: Joaquin Riverst | Let There Be Light | |
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| | | | Joaquin Riverst | Let There Be Light | |
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