• PHYSIQUEMENT, ÇA DONNE QUOI ? ; Nowlan fascine par la candeur de son physique, et l'innocence de son regard. Du haut de son mètre soixante dix, il contemple le monde avec désintéressement et amertume. Ses prunelles obscures masquent ses pensées, et son visage alimente le doute et le questionnement en demeurant inexpressif. Ses lèvres, aux légères formes pulpeuses, n'ont jamais daigné s'animer d'un doux sourire ; seuls la peur, le désarroi, l'inquiétude et la colère semblent se lire sur ses traits. Rudement sculpté, son corps garde néanmoins les marques de l'enfance : Une peau de porcelaine qui attise le vice, et une pilosité s'attachant à rester inexistante. Son poids nous est inconnu, mais à en juger par la présence, non négligeable, de côtes saillantes, il se place très certainement dans une catégorie avoisinant la minceur à la maigreur. Pudique, il en convient de surcroît que cette apparence fragile tient à être jalousement dissimulée sous de larges vêtements. Ces derniers sont le plus souvent confectionnés dans un tissu sombre, et épais à la fois. L'adolescent cache sa plastique et cherche à se fondre dans le décor. En guise de bas, il enfilera donc un jean, comme un jogging ou encore un baggy, pour finalement se chausser d'une paire de baskets souples, et ordinaires. Ses hauts, quant-à eux, varient du sweet XXL, aux pulls tout aussi grands ainsi qu'aux longs T-shirt totalement difformes.
• ET MORALEMENT ? ; Nowlan séduit pour son mystère, pour sa discrétion et son mutisme intangible. De prime abord, vous l'observez avec curiosité, et timidité à la fois. Vous plait-il ? Le doute vous ronge. Il est là, recroquevillé dans un coin, inerte. Il est seul, et pourtant il vous semble confiant, rassuré. L'envie de l'aborder vous fusille, et pourtant vous restez immobile, concentré sur l'aura plaisante qu'il dégage, comme si vous étiez enchaîné à son charme inexplicable. Un frisson parcourt votre échine, vous arrache un battement cardiaque fougueux. Vous cherchez à distinguer les traits de son visage, et à garder, à tout jamais, le souvenir de cette silhouette sinistre, plongé dans la noirceur d'une infâme ruelle abandonnée. Mais il est déjà trop tard : Il s'est enfuit, vous laissant sans réponse. Personnage réservé, et renfermé sur lui-même, il en convient que les relations qu'il peut avoir avec autrui se limitent à un simple croisement de regard. Plus que méfiant, il prend soin de ne révéler aucune information personnelle à qui que ce soit, et il n'accorde de surcroît sa confiance à personne. Angoissé de nature, il lui arrive d'enchaîner plusieurs nuits sans fermer l'œil et ainsi épier le moindre mouvement ou bruit suspect des alentours. Parfois même, il lui arrive de tendre des pièges à n'importe quel inconnu qui pourrait s'approcher trop près de lui, néanmoins, il n'a jamais eu le cran de tuer quelqu'un, puisque de toute évidence : il est terrifié à la vue du sang. Faible physiquement, comme psychologiquement, Nowlan est une proie facile pour les nombreux troubles de la personnalité qui menacent à tout instant de s'abattre sur lui et d'en faire un véritable malade mental. Néanmoins, il est bon de préciser qu'il possède une forte volonté et qu'en dépit de son jeune âge, il n'est pas encore prêt à abandonner la partie. Outre ceci, c'est un adolescent à l'innocence remarquable et ce, malgré son impulsivité, elle-même provoquée par une très forte sensibilité. C'est avant tout un personnage qui manque cruellement d'une présence rassurante et protectrice.
• HABITUDES DIURNES ; Nowlan est étudiant au lycée public de la ville, la journée donc, en semaine, il va en cours. Durant les week-ends il ne sort que très peu de chez lui. Malgré tout, si cela devait se produire, il préfère se rendre dans des endroits très fréquentés pour ainsi se fondre dans la masse et éviter de se retrouver à arpenter des ruelles lugubres et dangereuses. • HABITUDES NOCTURNES ; Durant la nuit, il se barricade du mieux qu'il peut et ne daigne dormir que lorsqu'il tombe de fatigue. Il est effrayé par le noir et tout ce qui peut s'en échapper. L'hiver, il est obligé d'emprunter les petites ruelles pour rentrer chez lui, et ce la nuit car il sort tard de ses cours. Cette saison l'angoisse plus que tout et le plus souvent, il ne se rend pas à son lycée de peur d'affronter l'obscurité à sa sortie.
• HISTOIRE ; “ Nowlan, était à l'image même de ses parents : voué à une vie remplie de difficultés. Si Maria, sa mère, ne s'était pas retrouvé à chercher désespérément ses clés de voitures malencontreusement égarée dans une des rues piétonnes de La Paz, jamais elle n'aurait rencontré Ole, un sans-papier tout droit débarqué des bas-fonds de Roumanie. Découverte burlesque de sentiment tout d'abord charnels, leur amour naissant ne connaîtra sa gloire que lors de la venue au monde de leur unique fils : Nowlan. Né il y a de ça maintenant seize ans, ce fut dans une banalité affligeante que le jeune garçon vit toute son éducation se construire. Famille plus que modeste, les premières années de sa vie se déroulèrent dans la capitale Bolivienne, dans l'un des innombrables quartiers insalubres de la ville. Son père travaillait comme épicier dans une petite boutique louée en grande partie grâce au travail de sa conjointe, à l'époque éducatrice.
Son enfance n'avait rien d'extraordinaire, elle demeurait même un tant soit peu ennuyante. Malgré quelques problèmes d'argent quand venaient les fêtes, les parents de Nowlan avaient su garder une part importante pour les cadeaux de leur précieuse progéniture. Banque alimentaire aidant, les premières années de leur vie à trois s'écoulèrent sans grand soucis, permettant, à de rares occasions certes, un voyage ou deux dans les campagnes verdoyantes du territoire Bolivien. Ils déménagèrent d'ailleurs de nombreuses fois durant cette période, mélangeant petits appartements à maisons à rénover ainsi que villes et petits hameaux. Cette bougeotte perpétuelle value, entre autre à forger un certain sang froid chez Nowlan. Le fait de ne s'attacher que très peu à un endroit et se construire des repères toujours plus différents au fils des déménagements lui fut bénéfique. Voyez en cette pratique une certaine initiation à une autonomie future plus que facilement franchissable.
Si les beaux jours innocents marquèrent le début enchanteur d'un rêve presque réel, 2002 mit fin à ce tableau pourtant idyllique. Les créatures de Satan furent dévoilées au grand jour, sonnant alors le début d'une longue et sanglante bataille dans le territoire Sud Américain. Les vampires se sont multipliés rapidement, faisant de la Bolivie une terre souillée par le vice de ces cruelles créatures. La Paz, ville natale de Nowlan, tomba, de surcroît, entre les griffes d'un Maître de Ville habité par ce virus démoniaque, faisant ainsi de cette agglomération un royaume où la pauvreté se mêla à l'animosité infâme des ouailles de Lucifer. Le père de Nowlan, une année seulement après cette arrivée massive de suceur de sang, fut la victime de la soif incommensurable de ces derniers. Il laissa seuls sa femme et son fils. De ce fait, la mère de l'adolescent entreprit de migrer vers le Nord, là où peut-être ce fléau n'avait pas encore sévit et ainsi sauver la prunelle de ses yeux.
Malheureusement, arrivé à la frontière entre le Mexique et les U.S.A, on refusa l'accès au territoire à la mère de Nowlan, à cause de la clandestinité de celle-ci -seuls les enfants étaient acceptés-. À l'aube de ses douze ans, donc, le jeune garçon fut placé dans un orphelinat d'Oklahoma où il poursuivit sa scolarisation tant bien que mal, malgré l'énorme retard qu'il avait accumulé. La veille de son entrée au Lycée, il fut envoyé à Saint Louis dans un énième orphelinat en attente d'un tuteur qui accepterait de prendre sa charge jusqu'à sa majorité. Depuis ce jour, il n'a plus aucun contact avec sa mère restée au Mexique. Il est pour le moment sous la garde de l'Etat qui règle ses diverses dépenses, bien que cela ne soit pas étonnant que du jour au lendemain, il se retrouve sans foyer : Car ne l'oublions pas, Nowlan est avant tout un immigré, malgré qu'il ait acquis la nationalité Américaine. Au jour d'aujourd'hui, l'adolescent attend patiemment le retour de sa mère. ”
Tell me your secrets
Dernière édition par Nowlan A. Lichtman le Mar 22 Fév - 19:22, édité 1 fois
Sujet: Re: «Fuir, tant qu'il est encore temps.» - Nowlan A. Lichtman Mar 22 Fév - 18:59
Bienvenue sur le forum ! Alors, j'ai quelques remarques en ce qui concerne ta fiche. Elle est courte, nette et précise, c'est ce qu'il faut. Par contre, certains détails me paraissent un peu étranges.
Tu dis qu'un vampire a pris le pouvoir et est devenu dictateur. Il aurait pu le faire avant la Révélation de 2002 mais une fois la Révélation faite, les vampires sont plus coincés qu'autre chose. Ils sont considérés comme des citoyens normaux mais n'ont pas encore de droits réels. Donc un peu dur de faire ce genre de coup d'état, surtout s'il ne peut sortir que la nuit ! En revanche, il peut être Maître de Ville, comme Asher. Ce qui pourrait être une autre raison à la famille de Nowlan pour quitter les lieux.
Deuxième chose, l'accès aux USA n'aura surement pas été refusé à qui que ce soit pour ce genre de raison. Considérés comme des citoyens, les vampires passent de la même façon que des humains s'ils ont des papiers et tout le bordel. Donc la seule raison pour que la mère de Nowlan ne passe pas reste le fait qu'elle soit clandestine. Là, elle trouverait le moyen de le faire passer quand même en le confiant à quelqu'un ou quoi.
Et enfin, si Nowlan déteste tant les CESS, je ne comprend plus la raison de sa présence à Saint-Louis. Certes, il a été à l'orphelinat ici mais s'il les détestait tant que ça, il serait partit non ? Même s'il est un peu coincé, y a toujours un moyen de fuguer si la situation est si gênante. Donc il faudrait quelques petites précisions supplémentaires. (:
Sujet: Re: «Fuir, tant qu'il est encore temps.» - Nowlan A. Lichtman Mar 22 Fév - 19:11
Merci pour la Bienvenue ! (: Et désolé pour ces petits points, j'avoue que par moment j'ai un peu eu du mal à intégrer vraiment le contexte (À chaque fois je me perd dans les différentes informations et je les confond avec d'autre que j'ai pu lire ou voir je ne sais où >_< -comme par exemple le fait que les Vampires et les LG se détestent...Mais ça j'ai vu que ce n'était pas vraiment le cas sur le forum ! xD)
Donc je change tout ça. Ensuite pour le fait que Nowlan n'ait pas tout bonnement quitté Saint-Louis, c'est parce qu'il ne sait pas où aller. Le fait est que même si il a peur des Vampires (c'est plus de la crainte que de la haine.), il sait que là où il est il sera toujours plus en sécurité que s'il fugue on ne sait où. De plus, il n'a pas le cran pour s'aventurer en dehors de la ville et plus encore de se retrouver larguer en pleine nature. Même s'il est un peu étrange, il n'est pas bête et il se contente pour le moment de ce qu'il a. De plus, s'il reste à Saint Louis, sa mère aura plus de chance et plus de facilité à le retrouver que si il est porté disparu.
Sujet: Re: «Fuir, tant qu'il est encore temps.» - Nowlan A. Lichtman Mar 22 Fév - 22:14
Alors, je viens de voir tes changements et ça me parait très bien, tout comme ton explication sur le fait que Nowlan ne quitte pas la ville. En effet, les vampires et les loups-garous s'entendent plutôt bien. Après cela dépend des personnes, ça reste quelque chose de personnel en fait.
Voilà donc c'est parfait ! Tu as officiellement attrapé le dernier train pour l'Enfer ! En espérant que tu t'y amuses sans devenir cinglé. *out* Bon jeu à toi !
Sujet: Re: «Fuir, tant qu'il est encore temps.» - Nowlan A. Lichtman Mer 23 Fév - 19:13
Bienvenue parmi noussss J'aime les nouveaux, du sang neuf ça fais du bien! ( couchez les vampires ><""" Ou vous tâterez de mon pieu! et moi du vôtre *-* XD )
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Sujet: «Fuir, tant qu'il est encore temps.» - Nowlan A. Lichtman 
Lun 21 Fév - 15:16
*out*
si les vampires t'embêtent tu me le dis et j'irais les réchauffer un peu 
pm open^^
