• PHYSIQUEMENT, ÇA DONNE QUOI ? ; Alors, les premiers mots qui viennent à l'esprit des gens quand ils me voient sont : petite, mignonne, souriante, brune, blanche et fragile. Bon, je vous arrête tout de suite, je ne suis pas du tout fragile, petite, oui, je le suis, du haut de mon mètre cinquante-huit je ne pourrais prétendre le contraire, mignonne, je pense l'être, après on dit que les goûts et les couleurs ne se discutent pas, c'est vrai, certaines personnes me trouveront laide, d'autre sans intérêt, ou encore mignonne voir canon ( eheh ! ). Je ne vais pas vous dire que je me trouve magnifique, ce serait vous mentir, je ne me trouve pas moche, mais je ne me trouve pas non plus extraordinaire. Souriante, ça oui, je le suis, il est rare de me voir faire la gueule, je préfère être joyeuse et guillerette même si je ne vais pas bien, au moins, ça m'empêche de me retrouver avec plein de monde qui me demande si je vais bien. Quant à ma couleur de cheveux, ils sont châtains tout simplement, oui, malheureusement, ben oui, je n'aime pas ma couleur de cheveux, c'est pour cette raison que j'ai fait des couleurs, mais elle revient toujours à la charge, chassez le naturel et il revient au galop comme on dit. Après, si les gens pensent que je suis fragile, c'est surement à cause de ma petite taille et de ma silhouette, je suis plutôt mince, j'ai quelques formes, mais je suis loin d'être une bimbo, et pourtant je ne fais rien pour entretenir ma ligne, bien au contraire, je peux m'empiffrer autant que je le souhaite sans prendre un gramme, oui je sais j'ai de la chance. Quant à mon style vestimentaire, je ne suis pas extravagante, ni vulgaire et encore moins une poupée Barbie, je déteste le rose ! Disons que je m'habille simplement, cela dépend de mon humeur et de mon programme, autant je peux être sexy et féminine, autant je peux être un tue-l'amour et garçon manqué par dessus le marché. Mais lorsque je travaille, je suis en tailleur, c'est la moindre des choses, je me dois d'être bien habillée et présentable, oh je suis sûre que certains doivent être déçus, et non, je ne porte pas d'uniforme, désolée de briser vos fantasmes.
• ET MORALEMENT ? ; Alors, vous voulez vraiment savoir qui je suis ? Et bien, je vais vous parler en toute franchise, je suis parfaite ! Non, je plaisante, bien sûr - quoique. Bref, je me qualifierai comme étant une personne douce, gentille, souriante, aimable, généreuse. Mais attention ! Je n'ai pas que des qualités, loin de là ! Je peux être très chiante quand je m'y mets, j'ai un sale caractère, je l'admets, je suis têtue, ne cherchez pas à me faire faire quelque chose contre mon gré, c'est peine perdue. Je suis une grande fêtarde, un peu trop d'ailleurs, j'aime m'amuser et prendre du bon temps, que voulez-vous, je suis une vraie épicurienne. La vie est bien trop courte pour se prendre la tête, je profite, je m'amuse, je déconne et je n'ai pas peur du ridicule, comme on dit, le ridicule ne tue pas, et bien heureusement, sinon je serais morte plus d'une fois. Par contre en ce qui concerne mon boulot, je ne suis plus la même, je prends mon travail très au sérieux. J'ai une grande gueule, comme on dit, je ne me laisse pas faire, et je n'hésite pas à dire ce que je pense, ce qui est peut-être une qualité, mais je peux dire que ce trait de ma personnalité m'a causé de nombreux problèmes. Car, j'ai tendance à m'emporter, et quand je suis en colère, je dis tout ce qui me passe par la tête, j'ai beau être un petit bout de femme mesurant un mètre soixante-deux, mais je n'hésite pas gueuler face à une armoire à glace de deux mètres s'il me cherche des noises. A part cela, je suis plutôt courageuse, enfin, disons que je suis inconsciente, le danger ne m'effraie pas, je fonce tête baissée sans réfléchir à ce qui pourrait m'arriver, et si je continue comme ça je n'aurais plus besoin de me poser autant de questions. Alors vous en savez assez sur mon caractère je présume, bon, je vais vous faire un petit topo de mes loisirs et tout le tralala, même si vous vous en fichez surement. J'adore lire, et oui, ça peut vous étonner, j'aime me cultiver, attention quand je dis lire, je ne parle pas des magasines de beauté, non, mais vous me prenez pour qui ? Non, je parle de la grande Littérature, Shakespeare, Orwell, Maupassant, et j'en passe. J'aime beaucoup la musique aussi, d'ailleurs je joue de la guitare, de la batterie et je viens de me mettre au piano, il m'arrive même parfois de chanter. Je suis une vraie cinéphile, vous pouvez me poser des questions sur n'importe quel film de ces trente dernières années, je suis incollable. Donc, voilà, maintenant que je vous ai bien pris la tête avec ma petite personne, j'espère que vous m'apprécierez, et si ce n'est pas le cas, et bien tant pis.
• HABITUDES DIURNES ; Et bien je bosse ! Vous croyez que je passe mes journées à rien faire ?! Enfin, je dirais que mon travail est autant une occupation diurne que nocturne, et oui il ne faut pas espérer avoir une vie privée quand on est agent au sein de la BRIS ! Mais moi ça me convient parfaitement. Alors, quand je ne bosse pas et bien je m'occupe comme toutes les personnes normales - si cela existe. Je vais au cinéma, je fais mes courses, je fais beaucoup de sport également, je suis une personne qui a besoin de se dépenser, alors je vais quelquefois à la piscine, ou courir. Sinon, je ne suis pas trop du genre à passer des journées entières à faire les boutiques, très peu pour moi, je déteste me retrouver au milieu d'une foule de personne stressées prêtes à tout pour obtenir ce petit pull soldé ou cette jolie robe. Beurk ! Étant solitaire et ne connaissant encore personne à Saint-Louis, je passe le plus clair de mes journées toute seule chez moi. Je lis beaucoup, je regarde des films ou des reportages, il m'arrive aussi de jouer à des jeux vidéo - oui j'adore ! A part ça, je joue beaucoup de la musique, je viens de commencer à prendre des cours de piano et je passe des heures à essayer de jouer, ouais, je ne peux pas dire jouer parce que pour l'instant je joue comme un pied.
• HABITUDES NOCTURNES ; Ma principale occupation nocturne - comme diurne - reste mon travail, disons que la plupart des meurtres ont lieu la nuit, bien oui, les créatures - tout comme les humains - préfèrent frapper la nuit, c'est censé être plus calme. Mais quand je ne travaille pas - ce qui arrive que très rarement - je sors, je fais la fête, j'ai toujours été une femme qui aime faire la fête, depuis que je suis adolescente, je passe la plupart de mes soirées dans des bars ou des pubs. J'évite cependant de me rendre dans les clubs tenus par des vampires ou autres créatures, j'en vois déjà assez quand je travaille alors je ne compte pas passer mes soirées en leur compagnie. Ou alors, tout comme la journée, je lis, je regarde des films ou je joue à des jeux vidéo, oui, ma vie est palpitante !
Tell me your secrets
Dernière édition par Janaelle A. Bellamy le Lun 21 Fév - 3:36, édité 11 fois
Sujet: Re: Janaelle || Come Break me down. Bury me, bury me. [DONE] Dim 20 Fév - 15:06
Once upon a time...
• HISTOIRE ; Alors comme ça on veut tout connaître de ma petite vie ? Vous êtes bien curieux ! Je vous préviens tout de suite, ma vie est loin d'être super passionnante, alors j'espère que vous ne vous endormirez pas en lisant ceci. Donc, passons au sujet qui fâche ! Moi qui pensais que j'en avais fini avec ces questions. Alors qu'est-ce que je pourrais bien vous dire sur ma vie. Je suis née à Paris, le 02 Juin 1983, je suis la dernière d'une lignée de trois enfants, la seule fille. Autant vous dire que j'étais très attendue, vous imaginez vous, le bonheur que peut ressentir un parent pour sa première petite fille ? Personnellement, moi, non, je n'ai pas d'enfant et je ne suis pas prête d'en avoir alors je ne peux pas savoir ce que l'on ressent, désolée. Enfin, je m'égare. Donc, je suis la fille d'une institutrice et d'un gendarme. Alors, autant vous dire que mes parents voulaient plus que tout que nous réussissions mes frères et moi. Ils espéraient qu'on devienne de brillants avocats, médecins ou je ne sais quoi d'autre. Alors, ils se sont toujours montrés très exigeants avec nous, et pour moi ça a été encore pire. Car mes frères étaient très doués à l'école, ils rapportaient toujours de très bonnes notes et mes parents étaient très fiers d'eux, mais en ce qui me concerne, c'est tout le contraire. Je me suis faite repérer dès la maternelle, mon institutrice avait eu le malheur de dire à mes parents que je souffrais sûrement d'hyperactivité et que j'avais beaucoup de mal à me concentrer. Mes parents, en apprenant ça, se sont mis dans la tête de ne pas me lâcher pour que je puisse suivre de grandes études et ainsi devenir un jour quelqu'un.
Alors, je peux vous dire que j'ai eu beaucoup de pression, déjà en primaire, je n'avais pas des supers notes, bon, j'étais loin d'être bête hein, mais ça ne m'intéressait pas. Moi, j'attendais avec impatience qu'on fasse de la musique, des Arts Plastiques ou du sport. Et oui, vous devez bien vous dire que je n'ai jamais été une intellectuelle. Mes parents n'ont jamais baissé les bras, ils s'obstinaient à essayer de me faire aimer les Mathématiques ou l'Histoire, mais non, il n'y avait rien à faire. Même mes frères ont bien tenté de me rendre "intelligente" mais j'avais décidé que je ne serais pas comme eux. Franchement, je n'en avais pas du tout envie, je les voyais rentrer le soir et s'enfermer dans leur chambre jusqu'à l'heure du diner, pour bosser. Même lors des congés scolaires, ils restaient toujours enfermés pour travailler. Je ne voulais pas vivre comme ça, moi, je voulais m'amuser, être libre de faire ce que je voulais, je rêvais de voyager et ainsi découvrir le monde. Je n'avais que dix ans, mais je rêvais de faire le tour du monde.
A partir de mes onze ans - c'est-à-dire lors de mon entrée au collège - je me découvris une nouvelle passion : la Musique. Et c'est à ce moment que j'ai su que je voulais devenir une grande musicienne et devenir célèbre. Quand j'ai annoncé cela à mes parents, je ne vous dis pas la tête qu'ils tiraient ! Mon père me fit part de ses inquiétudes en me disant que le monde de la musique était plutôt difficile, que lui-même avait essayé de percer et avait préféré abandonner pour rentrer dans les forces de l'ordre. Je le comprenais bien sûr, mais je ne voulais rien faire d'autre. Déjà gamine, j'étais très entêtée et mes parents le savaient très bien, mais ils l'étaient eux aussi, alors ils ne comptaient pas lâcher le morceau. Mon entêtement et mon sale caractère me causèrent quelques ennuis, car alors que j'étais en quatrième, donc âgée de treize ans, je me fis renvoyée de mon collège. En fait, je m'étais retrouvée face à une fille insupportable qui ne cessait de me chercher, jusqu'au jour où elle me trouva, du moins, mon poing. Mes parents ne pouvaient pas tolérer une telle attitude, c'est pour cette raison qu'ils décidèrent de m'envoyer dans un pensionnat en Angleterre.
La séparation a été moins dure que je ne le pensais, bien sûr, il y avait des moments où je broyais du noir, mais je n'étais pas malheureuse. Je suivis des études comme tous les enfants de mon âge et je me fis quelques amis, surtout une jeune Anglaise adorable, Lexi. Elle était ma meilleure amie, ensemble nous faisions les quatre cent coups, elle avait perdu ses parents alors qu'elle n'avait que huit ans, alors quand je rentrais chez moi, à Paris, pour les vacances, elle venait avec moi. Nous nous amusions comme des folles et je la considérais comme ma sœur. A seize ans, je quittais le pensionnat pour entrer au lycée, je vivais dans un petit appartement avec Lexi, quand elle m'avait proposé de vivre avec elle, je lui avais demandé comment elle comptait payer un loyer, mais ce que j'ignorais c'est que ses parents avaient laissé derrière eux un généreux héritage. Je n'avais pas lâcher mon projet de devenir musicienne, d'ailleurs, au lycée, je suivais une option musicale, ce qui faisait remonter ma moyenne. Les années lycée ont été pour moi, les plus belles, je passais tout mon temps avec ma meilleure amie, la journée nous allions en cours et le soir nous sortions en ville, Londres ne manque pas d'endroits festifs.
Mais lors de ma première année de fac, un incident eut lieu. Je venais d'entrer à l'université, où je suivais ma première année de Musique, je voyais mon rêve s'approcher de plus en plus, je jouais extrêmement bien de la guitare et je me débrouillais plutôt bien à la batterie. Mais mon petit monde de rêve s'écroula en cette nuit d'hiver. On était le 5 Décembre 2001, Lexi m'avait proposée d'aller faire les boutiques avec elle, j'avais refusé sa proposition car je devais me concentrer sur ma musique. La dernière fois que j'ai vu ma meilleure amie fut au moment où elle passa le pas de la porte. Quelques heures plus tard, j'eus un coup de téléphone alarmant. On m'annonçait que Lexi avait eu un accident de voiture et qu'elle était dans le coma. J'ai bien évidemment foncé à l'hôpital pour la voir. Elle est restée dans cette état durant quelques mois, tous les soirs, après les cours je passais la voir pour lui parler. Mais un soir, je sentis que quelque chose n'allait pas, et lorsque j'ai pénétré dans la chambre de mon amie, elle était vide, Lexi venait de rendre son dernier soupir. Elle est morte le 8 Avril 2002.
Les mois qui suivirent furent très pénibles pour moi, je me retrouvais seule dans cet appartement que je ne pouvais plus payer. En Juillet 2002, je pris la lourde décision de quitter l'Angleterre, je ne pouvais plus rester ici, tout ce que je voyais me rappelait Lexi et elle me manquait terriblement. Il était hors de question que je retourne vivre chez mes parents, alors je décidais de partir pour New-York. Arrivée dans la Grosse Pomme, je fus éblouie, tout était encore plus beau que je ne l'avais imaginé et en Aout j'appris que j'étais acceptée dans une grande université où je décidai d'étudier le droit. Non, non, je ne me suis pas trompée, je me suis bien inscrite en première année de droit, je voulais faire un métier utile, et mettre les salopards du genre de celui qui avait tué ma meilleure amie, me semblait être un métier très utile. Je ne vous dis pas la réaction de mes parents quand je leur annonçai la nouvelle, ils étaient aux anges, depuis le temps qu'ils rêvaient d'avoir un enfant avocat ! L'année d'après les CESS se dévoilèrent au grand jour, comme tout le monde je dois admettre que cette révélation m'a mis un sacré coup, mais je n'avais rien contre ces créatures, après tout, elles étaient là depuis bien longtemps et même si nous n'avions aucune idée de leur existence, je n'ai jamais eu à me plaindre d'elles.
Je suivais toujours mes études de droit et j'avais de brillants résultats, j'avais enfin trouvé ma véritable voie. J'étais plus motivée que jamais et je comptais bien obtenir mon diplôme. Lors des vacances d'été de l'année 2004, j'avais décidé de rendre visite à mes parents que je n'avais pas vus depuis le décès de ma meilleure amie. Mais au lieu de retrouver les deux personnes qui m'avaient élevée, ma mère souriante et pétillante ainsi que mon père, toujours sérieux, dur et autoritaire; je retrouvai une femme brisée, en larmes dans les bras de deux jeunes hommes. Je compris alors que quelque chose d'horrible venait d'arriver à mon père. Je ne m'étais pas trompée car j'appris par la suite qu'il s'était fait assassiner par un petit brigand, je n'est jamais été particulièrement proche de lui, mais sa perte fut bien plus douloureuse que je ne l'aurais imaginé. Au lieu de rentrer à New-York et de poursuivre mes études, je décidai de rester auprès de ma mère pour ne pas la laisser seule, mais quelques mois plus tard, elle me demanda de repartir et d'avoir une brillante carrière. Mais je n'avais plus envie d'être avocate, je voulais suivre le chemin de mon père. Je repartis tout de même pour New-York et m'inscrivis dans la police. Je passai le concours d'entrée avec brio.
Comme je m'y attendais, le travail que je devais fournir n'était pas négligeable et j'ai bien failli abandonner à plusieurs reprises, mais je voulais que mon père - où qu'il soit - puisse être fier de moi. Alors je m'accrochai et en 2008 j'entai dans la brigade criminelle. Tout se passait bien, j'étais témoin de choses affreuses mais je me donnais à cent pour cent. Mais il y a un an, le responsable de mon unité périt et celui qui le remplaça n'était autre qu'un homme malhonnête et odieux. Bien évidemment, le courant est tout de suite très mal passé entre lui et moi, et il y a de cela quelques mois, j'eus la surprise d'apprendre qu'on me transférait dans un autre service, à Saint-Louis. Je peux vous dire que j'eus un sacré choc quand je découvris que j'allais devoir travailler au sein de la BRIS, je n'avais aucune expérience dans le surnaturel et je n'avais pas particulièrement envie de travailler au milieu des CESS. Mais je n'ai pas vraiment eu le choix, et me voilà nouvel agent de la BRIS. Je sens que ma vie va être bien mouvementée à présent !
▌A débarqué le : 21/07/2010 ▌Parchemins : 4682 ▌Quantité de sang disponible : 32125 ▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus ! ▌Rang : Chef du clan Blackstone. ▌Job : Chasseur à mes heures perdues. ▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.
Sujet: Re: Janaelle || Come Break me down. Bury me, bury me. [DONE] Lun 21 Fév - 18:15
Bienvenue par minou ! *BAF*
Une fiche toute simple, très classique, mais agréable à lire. N'empêche, ton perso est maso d'avoir fait du droit sans être une intellectuelle. XDD *Parle par expérience* *out*
Braef ! N'ayant rien de particulier à dire, je ne peux que t'accepter à bord du dernier train pour l'Enfer !
Amuses-toi bien sur le forum ! N'hésite pas à poser des questions, nous sommes là pour ça !
Dernière édition par Asher L. Blackstone le Lun 21 Fév - 18:26, édité 1 fois