Jensen possède un charme absolument déroutant. Typiquement représentatif des peuples de l'Europe de l'est, le jeune homme reste fidèle aux stéréotypes que l'on se fait d'eux. Les cheveux d'un blond platine, des yeux d'une exquise couleur bleu-grisé, à la limite du surnaturel, tels sont les attributs "raciaux" du garçon. Mis à part le fait de sa finesse au niveau du visage, l'on remarque bien assez vite sa bouche, charnue, rouge, et totalement attirante. Ses lèvres pulpeuses sont un véritable atout pour lui, bien qu'il ne se trouve vraiment pas charmant, croyant même qu'il est affreusement hideux. Il ne se plait pas, alors que les autres ne font que vanter ses charmes ainsi que ses courbes ravageuses. Car oui, en plus d'avoir en sa possession un visage sublime, ce n'est rien comparé à ce que la nature lui a donné au niveau corporel. Il s'avère taillé en forme de "v", tel un éphèbe. Son corps est son outil de travail, pour autant, il ne porte pas plus attention que cela à son physique. Cependant, lorsque c'est вампир qui dirige sa vie, sa tenue va de paire avec le caractère de sa partie adoratrice vampirique, et il se pare alors de couleurs chatoyantes, et de matières moulantes, qui soulignent avec délice son physique parfait. Étant donnée que oui, on dit souvent que la perfection n'existe pas, mais c'est faux, la preuve en est...
• ET MORALEMENT ? ;
Introduction
Aux premiers égards, Jensen s'avère être un garçon fermé, insociable, qui passe son temps à se plaindre, pour un oui ou pour un non. Mais derrière ce masque de négligence, se camoufle un esprit torturé, façonné par la vie de merde, excusez du mot, qu'il a vécu. Le fait d'avoir grandit beaucoup trop vite, de par son histoire, participe grandement à ce malaise qui persiste en lui. De plus, sa naissance ayant été un grand sujet de débat autour de lui, et de tant de drames, qu'il a oublié, volontairement ou involontairement, telle est la question, une grande partie de sa vie. Pour aider à son épanouissement mental, il s'est protégé, en doublant sa personnalité, faisant de lui ce que l'on appelle dans le jargon médicale, un "schizophrène". Comme beaucoup de maladies mentales, sa schizophrénie est apparue lors de son adolescence, à savoir vers douze ans. Tout cela pour dire que sa maladie s'est déclarée alors qu'il était le plus faible psychologiquement. Son père l'avait assimilé à sa mère durant cette période, et l'apparition de sa maladie n'aidait en rien. Le fait est, que du jour au lendemain, son caractère à évolué.
Explications
Selon les instances médicales, la schizophrénie est une psychose, qui se manifeste par des signes de dissociation mentale, de discordance affective et d'activité délirante, ce qui a pour conséquences une altération de la perception de soi-même, des troubles cognitifs, et des dysfonctionnements sociaux et comportementaux allant jusqu'au repli autistique. D'un point de vu sociale, il est dit que les individus schizophrènes présentent davantage de risques d'être atteints d'éléments de comorbidité tels que les troubles anxieux et dépressifs. Ils sont également davantage touchés par des troubles addictifs, ainsi que des problèmes sociaux comme le chômage de longue durée, le sans-abrisme et la pauvreté. Pour finir, une personne schizophrène est plus facilement tenté par le suicide, qu'elle considère comme la meilleure solution à ses problèmes. Et bien, tout cela résume parfaitement l'état d'esprit dans lequel se trouve le jeune homme actuellement. Cependant, il est sans doute utile de préciser et d'interpréter les deux esprits qui sommeillent en lui, peut-être cela sera t-il plus facile à comprendre. Autre chose, il ne connait absolument pas l'existence de cette maladie chez lui, puisque son père, refusant de le croire "génétiquement atteint de la tare de sa mère" n'y a jamais prêté attention, ni d'importance outre mesure...
Blanc comme neige
Jensen possède un tempérament calme, à la limite de la naïveté absolue. Cependant, la vie que lui infligeait son père était telle, qu'il s'était perdu dans un monde remplie d'illusion, un monde où tout allait bien, en somme. Rêveur et passionné de musique, il du pourtant vivre avec le fait qu'il ne serais jamais un virtuose, puisque son géniteur lui interdisait tout. Il devint rapidement encore plus renfermé, silencieux, et plongea dans un semblant d'autisme. Des tocs se manifestèrent chez lui, et la dépression toqua à sa porte. Il était jeune, bien trop jeune lorsque des pensées suicidaires s'introduisirent en lui. Comment un petit garçon de huit ans pouvait penser à de telles choses ? Son père, de plus en plus fou, le frappait, essayant de le faire réagir. Mais il était trop tard. Le garçon refuse présentement tout contact physique avec les autres, que ce soit avec les hommes (à cause des violences qu'il a subit) ou avec les femmes (qu'il déteste à cause de sa mère). Il refuse de sortir, et se laisserait mourir si ses amis ne l'en empêchait pas. Il déteste l'odeur du sang, n'acceptant jamais d'en voir, ou d'en manger, si un vampire le lui offrait. Cependant, et c'est là tout le paradoxe de sa maladie, Jensen ressent continuellement le besoin d'être entouré, choyé, aimé... Sauf que si une seule personne ose répondre à ses désirs, elle se retrouve avec un bras en miette, puisque le jeune homme se protège du mieux qu'il le peut de toutes agressions extérieures, à savoir un contact corporel. La seule personne qui arrive à le toucher, c'est Fuzzy, un Doberman qui le suit partout. L'animal lui apporte un grand réconfort, même s'il ne permet pas au garçon de combler le trou béant qui envahit son cœur. Pour finir, ne vous étonnez pas de voir Jensen toucher trois fois une poignée de porte, éteindre puis rallumer une lumière quatre fois de suite. Il évacue du mieux qu'il le peut son malaise, en accomplissant des rituels plus ou moins violents, que l'on appelle "Toc". L'isolement dont fait preuve le jeune homme, est additionné d'une énorme perte de motivation, ainsi que d'une forte envie de ne rien faire. Il ne passe son temps qu'à dormir, sans se soucier de son avenir. Il ne participe à aucune activité, mis à part prendre soin de son corps pas plus qu'il n'aime quelque chose. Rien ne lui plait, à part sa propre personne et la compagnie de Fuzzy.
Rouge comme sang
L'autre personnalité de Jensen, est celle qu'il essaie au maximum de refouler, bien qu'inconsciemment, puisque comme déjà dit précédemment, il ne se doute pas une seule seconde d'être schizophrène. Ces deux personnalités ne sont pas exactement opposée, mais très différente, tout de même. Pour commencer, cette autre facette de lui même, que l'on appellera вампир pour la suite (vampire en langue russe, puisque le garçon ressent une attirance très particulière pour eux), a décidé de passer sa vie à venger tout ce qui est arrivé à son autre soi, c'est ainsi qu'il rejette et violente tout le monde, considérant que personne n'est digne d'appartenir à ce monde. Il s'amuse ainsi à torturer des pères de familles, des mères, rien que pour atténuer sa souffrance personnelle, en se nourrissant de celle des autres. Extrêmement violente et meurtrière, cette personnalité n'en demeure pas moins protectrice. Son humain est tout pour elle. Lorsqu'il agit ainsi, le jeune homme est aussi expansif qu'il demeure calme dans son état normal. Assez excentrique, il aime se faire remarquer, quitte à passer pour un demeuré. Bref, si jamais vous croiser le jeune homme dans la rue, priez pour que cela soit le bon, au risque de vous retrouvez bien vite à la morgue... Autre facette de son changement de caractère, la dépendance. вампир est un drogué fini, se nourrissant plus d'ecstasy que de véritable nourriture, buvant plus que de raison. Ces dépendances augmentent d'autant plus sa violence, qui atteint des sommets dans de tels moments. C'est aussi sous cette personnalité que la nature cachée de groupie de vampire apparait, lui demandant plus de sang, encore et toujours. Étrangement, ses pulsions envers les vampires ne se dévoilent que lorsque c'est вампир qui contrôle son corps. Habituellement, c'est juste un être humain normal. Des hallucinations audiovisuelles, auditives et olfactives font aussi leurs apparitions, s'acharnant à compliquer d'autant plus la vie déjà assez mouvementé que cela du jeune homme. Cela lui donne un sentiment constant de rejet, comme si tout le monde le regardait, et disait du mal de lui. Il est totalement paranoïaque, et si quelqu'un à le malheur de le regarder dans les yeux, il se sent tellement agressé, qu'il s'attaque à la personne responsable de son trouble. Il possède aussi un comportement beaucoup plus sexy, provocateur et dragueur lorsqu'il est sous l'impulsion de son autre lui. L'apparition de la schizophrénie de Jensen se produit lors d'émotions fortes, ou de danger. Ainsi, l'autre apparait, et s'en donne à cœur joie pour aider la seule personne qu'il aime, à savoir son autre lui...
"Écris l'histoire, tout c' que tu voudras entre, mes lignes" Ouais ben tu vas plutôt fermer ta gueule avec ta phrase à deux balles ! J'vais pas l'écrire mon histoire, je vais la raconter à l'oral, bien moins fatigant...
*Prends son dictaphone et l'allume*
Salut, moi c'est Jensen, Jensen Scott Peverell pour être plus précis, pour toi, la fouine qui veut tout savoir de ma vie. Au passage, j'en profite pour dire que je suis célibataire, sait-on jamais. Alors, alors. Par quoi commencer ? Par le commencement peut-être non ? Bien. Je suis né à Saint Petersbourg, d'un père chirurgien plasticien, et d'une mère .. En fait, elle ne foutait rien cette conne. Toujours avec son mini sac-à-puce sous le bras, à arpenter les milliers de magasins que compte Saint Pet'. Remarque, avec la paie de mon père, elle pouvait se le permettre. Père, que je n'ai à vrai dire, que très peu connu. Il n'était jamais là, toujours entre les jambes de ses patientes, car ouais, mon géniteur était un sacré enfoiré avec les femmes. J'pense même que c'est l'un des gênes qu'il m'a transmit ce con... Bref, quand j'ai eu quatre ans, ma mère s'est barré avec un mec infiniment plus riche que mon pauvre père, une sorte de sénateur si je me souviens bien. Du coup, j'étais seul avec lui. Seul avec cet abruti, qui ne pouvait s'empêcher de passer ses nerfs sur moi. Ouais, on peut le dire, j'étais son souffre douleur. Sa poupée gonflable aussi, si vous voyez ce que je veux dire. Étant donné que oui, lorsqu'il n'arrivait pas à tirer son coup, il buvait, plus que de raison, et devait passer ses pulsions et ses envies sur quelqu'un. Mais, et je n'ai pas eu de chance sur ce coup-là, il n'y avait que moi avec lui à la maison. Moi et le chien, mais il n'était pas encore assez timbré pour se le taper... Bref, j'avais beau le supplier, il n'écoutait pas. D'ailleurs il ne m'a jamais écouté. La police non plus ne m'a pas écouté quand je l'ai dénoncé. Par contre, tout le monde entendait les cris que je poussais lorsqu'il me frappait, mais personne ne disait rien. Pourquoi ? Mon père faisait peur. A tout le monde. C'était un véritable psychopathe. J'évite de la montrer, mais la cicatrice en forme de griffe que j'ai sur le dos pourra en attester. Ses scalpels n'étaient pas tous utilisés pour de bonnes raisons...
*Bois un verre d'eau*
C'est à l'adolescence que j'ai commencé à me rebeller. Il ne faut pas croie qu'il avait arrêté. Oh non. Loin de là. Plus je grandissais, plus il continuait. Je devenais de plus en plus attirant à ce qu'il me disait. Plus "homme". C'est alors que j'ai compris. Oui, il était totalement malade, mais pire, il était fou de moi. Et très attiré par moi. Et moi, je subissais. De toute manière, personne ne me croyait. Il m'appelait son ange, son amour, le délire qui le submergeait prenait de plus en plus d'ampleur. Son amour pour moi aussi. Il voulait, et ce n'est pas une blague, se marier avec moi, et qu'on fasse un gosse. Et tout ça pourquoi ? Je le sais maintenant... Il faut dire que je ressemble beaucoup à ma mère. J'ai un visage fin, et des yeux qui lui ressemblait énormément. Mon père la voyait à travers moi, et il s'était mit en tête qu'il pouvait tout faire en m'utilisant pour l'atteindre. Mon corps n'était qu'un objet, un objet qui lui permettait d'être près d'elle... Il m'embrassait, il me faisait l'amour, juste parce qu'il pensait qu'elle était là, au fond de moi. Inutile de vous dire que cela m'a rendu complètement fou. Je suis donc devenu renfermé, extrêmement sarcastique sur le monde qui m'entourait. Mais ce qui m'a permis de tenir autant de temps, ce sont les bouquins. J'avais une telle soif d'apprendre, et lire me faisait oublier ce que mon géniteur me faisait subir. Quand je n'étais pas obligé de faire le ménage, de cuisiner ou de le rejoindre dans son lit, j'étais libre. Libre de me perdre dans un monde loin de cette vie merdique que j'avais... Les livres de médecines de mon père me fascinait, je rêvais de pouvoir faire pareil plus tard. Mais pas pour aider les autres, non, pour le faire souffrir LUI. Apprendre le corps humain pour lui provoquer le plus de tortures possibles, apprendre à manipuler les divers techniques médicales, juste pour m'amuser avec son corps, comme lui s'était tant amusé avec le mien... C'était mon seul but, mon seul rêve, et j'étais prêt-à-tout pour le voir devenir réalité.
*Pause clope*
A l'école, j'étais plutôt bon. Bon, ok, je me sous-estime. en fait, j'étais un génie. Mais vraiment quoi, pas qu'un peu. J'ai sauté deux classes c'est dire... Mais j'avais tellement envie de commencer mes études de médecine, tellement envie de sortir de cet enfer qu'était ma vie. Mon père trouva l'idée formidable. Une preuve d'amour pour lui. D'après ce débile, j'allais pouvoir intégrer sa clinique, et nous serions ensemble pour toujours. Pour qu'il ne m'empêche pas de continuer, je lui ai en effet faire croire cela. Mais il n'en était rien, je voulais le buter à chaque instant ce gros connard. Pour autant, ce n'était pas juste en le plantant que j'allais bander. Non, il me fallait quelque chose de plus grand, quelque chose de plus horrible. Une fois mon bac en poche, j'ai intégré l'université, ou, enfin, j'étais débarrassé de lui. Il m'appelait tout les jours, m'envoyait sans arrêt des textos, mais au moins, je ne l'avais plus sur le dos. C'est la-bas que j'ai rencontré Katherine. Une fille géniale avec qui je suis sorti une semaine. De par mon traumatisme que je subissais à cause de mon père, j'avais énormément de mal avec les contacts humains. Lorsqu'un homme me touchait, je n'avais qu'une envie, le tuer. Quand c'était une femme, je repensais à ma mère, en me disant que si elle était resté, jamais mon père ne m'aurait fait ça. C'est pour cela que j'en voulais presque à toutes les filles de la terre... J'aimais les hommes, honteusement, même avec ce que mon père me faisait subir, j'aimais ça. Pour autant, Katherine était très gentille, et j'appris très vite que nous avions de multiples points communs. Tout comme moi, son père la violait, à cause de l'absence de sa mère. Pour ne rien lui cacher, je lui apprit mon souhait de tuer mon père, et, je fus surpris, elle n'en fut même pas choqué. Mieux, elle voulait m'aider. En échange, je devais tuer le sien. Aucun soucis, mon plan fonctionnerait pour les deux... A chaque fois que l'heure était venue de rentrer chez moi, je pensais sans arrêt à mon plan, de sorte à ne pas trop penser à ce que mon père me faisait subir. Un jour, je le savais, il allait payer.
*Se ronge les ongles, un peu stressé*
Mon plan arriva bien plus vite que ce que j'imaginais. Avant même que je puisse finir mes études en fait. Un soir, une fois de plus, alors que je subissais ses assauts, je repensais à mon plan, inlassablement. "Je vais le buter, je vais le buter" était devenue ma phrase habituelle. Mais ce coup-ci, son comportement dépassa les bornes. D'une, j'avais maintenant 22 ans, et de deux, ce qu'il me dit ce soir-là était si atroce, que j'en ai encore les larmes aux yeux rien qu'en ni pensant. "Tu es un bien meilleur coup que ta mère mon grand". Là, c'était le début de la fin. Pourquoi me direz-vous ? Parce que cela changeait tout ! Non seulement je ne pouvais plus excuser ses gestes par la seule perte de ma mère, mais en plus, il était conscient de ce qu'il faisait ! Il savait que j'étais son fils, il le savait ! Pendant toutes ces années, j'avais cru au fond de moi que c'était pour oublier ma mère, que c'était pour atténuer sa douleur. et bien non, rien de tout ça. Ce fut à cet instant que les prémices de mes crimes futures se manifestèrent. Je l'ai alors violemment repoussé, empli de haine. Ce connard allait morfler pour tout ce qu'il avait osé m'infliger. Sans réfléchir, ma main le gifla, une fois, deux fois, trois fois. je ne m'arrêtais plus. Je ne sais même pas combien de fois j'ai porté la main sur lui ce soir-là. Mais je me rappelle de sa terreur, de sa peur de voir qu'enfin, je me rebellait. La suite fut un calvaire pour lui. Il voulait coucher avec son fils ? Soit. Je l'ai violé, avec acharnement, lui demandant de crier mon nom puisque cela l'excitait. Je ne contrôlait plus rien. Ses hurlements de douleur ne faisait qu'empirer la situation. Mes mains se sont alors agrippées à ses cheveux, tandis que j'ai frappé sa tête sur le sol, plusieurs fois, augmentant sans cesse ma puissance. Les larmes coulaient sur mes joues. Pas des larmes de tristesse, non, des larmes de joie. La joie de l'avoir enfin à mes pieds, la joie de pouvoir le faire souffrir autant que moi j'avais souffert. Quand je me suis retiré de lui, il n'était même pas mort. Seulement inconscient. J'étais si heureux de le voir dans un tel état de soumission... La suite, fut beaucoup moins drôle pour lui. Je lui ai infligé plus de cinquante coups de scalpel dans le visage, m'acharnant à détruire cette figure que je haïssais tant. Il en est mort, mais je continuais, ne m'arrêtant que lorsque plus rien en lui n'était reconnaissable. Ensuite, profitant de l'obscurité, je l'ai enterré, dans notre jardin, et personne n'en a jamais rien su. Tout le monde croyait qu'il s'était barré, me laissant seul, comme d'habitude. Ainsi j'étais libéré d'un poids énorme, mais, si j'avais endigué un problème, un autre venait de faire son apparition. J'aimais tuer...
*Fume une deuxième clope*
J'ai très facilement obtenu mon diplôme, et avec Katherine, nous sommes passés au niveau supérieur. Après avoir tué son père, comme promis, nous avons élaboré un plan pour nous garantir un futur parfait. Elle se chargerait de charmer des hommes, de les épouser, et de les envoyer dans ma clinique, puisque j'avais été engagé en tant que chirurgien plastique dans un célèbre hôpital. Ses maris acceptaient toujours, puisqu'ils voulaient tout faire pour lui plaire, et être jeunes à ses yeux. De mon côté, je m'occupais de leur injecter un produit extrêmement mortel, mais cependant indétectable, ce qui les conduisaient inévitablement à une mort certaine. Ensuite, Katherine empochait l'héritage, de même que l'assurance vie de ces abrutis. Quand l'un d'eux ne l'avait pas mise sur le testament, je m'occupais de m'introduire chez lui, afin d'y voler le plus d'objets de valeurs possibles. Mais Katherine en voulait plus, toujours plus. Et pour elle seule. Nos meurtres augmentaient considérablement, et un jour, la police eut des soupçons. Ils ont alors remontés la piste jusqu'à nous, et je fus mis en examen pour meurtre, escroquerie ainsi que cambriolage. Katherine, elle, s'était enfuie, me laissant seul dans la merde la plus totale... Quelle salope quand j'y pense. Dés que je sors, elle peut être sûr que je vais lui faire la peau... Je fus alors incarcéré dans une prison. Prison dans laquelle je suis resté cinq ans, cinq ou je subissais les assauts des autres détenus. Sérieusement, j'ai vraiment jamais eu de chance dans ma vie. Mais, étrangement, j'oubliais. Je ne savais plus ce qu'on me faisais. Ni ce que je faisais aux autre, d'ailleurs. Je me réveillais quelque fois, les mains pleines de sang, le corps de mon co-détenu près de moi. Jamais je ne su ce qu'il se passait lors de tels moments...
*Soupire en regardant sa montre*
Je ne fus pas libéré. En fait, je me suis tout bonnement échappé. Lors de la grande révélation, le jour où les vampires ont émergés des surfaces de la terre, la prison fut assailli par certains d'entre eux, qui escomptaient se venger de certains prisonniers. J'ai alors quitté cet endroit horrible, observant de loin les prouesses de ces démons. Car oui, ils ne pouvaient pas être humains, c'était tout bonnement impossible... De suite, je fus admiratif, et devint leur plus grand fan. J'aimais les voir se déplacer, j'aimais leurs beautés. Je savais qu'un jour, j'en deviendrais un. Mais mieux encore, je serais l'amant d'un tel être. C'est ainsi que je suis parti de Russie, me rendant sous de faux papiers du nom de Jensen Scott Peverell, car, comme tout le monde viens de le comprendre, ceci n'est pas mon vrai nom. Mon vrai nom, je ne le revendiquerait qu'en ceux en qui je ferais le plus confiance... J'ai décidé de me rendre à Saint-Louis, aux USA, afin de rester dans l'anonymat. Là, j'ai décroché un poste de mannequin, métier qui me permet de subvenir à mes besoins. Mon passé de meurtrier est derrière moi, et, avec la quantité d'argent que je possède à présent, je suis riche. Plus riche qu'un homme ne pourrait l'être... Je n'ai plus qu'un objectif en tête, me rapprocher des vampires et devenir le jouet de l'un d'eux. C'est mon unique but, et je ferais tout pour l'atteindre...
Sujet: Re: Jensen S. Peverell ~ Un serviteur de la mort attend son vampire ♥ Ven 10 Déc - 3:20
Hum, du coup, désolé du double post, c'était pour signaler que j'avais terminé ma fiche J'ai carburé pour faire un truc potable, c'est court, je m'en excuse... Je suis d'avance désolé pour les fautes, je suis pas doué !
Sujet: Re: Jensen S. Peverell ~ Un serviteur de la mort attend son vampire ♥ Ven 10 Déc - 21:03
bienvenue ! je lirais ta fiche ce weekend en rentrant du boulot donc sûrement dimanche dis jpeux t'adopteeeeeeeer ? *sort*
*passe en mode modo-pot-de-fleur-qui-fait-joli-mais-qui-peut-toujours-servir* promis je me dépêcherais et peut être qu'un admin sera plus rapide que moi huhuhuhuhu !
▌A débarqué le : 21/07/2010 ▌Parchemins : 4682 ▌Quantité de sang disponible : 32125 ▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus ! ▌Rang : Chef du clan Blackstone. ▌Job : Chasseur à mes heures perdues. ▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.
▌A débarqué le : 21/07/2010 ▌Parchemins : 4682 ▌Quantité de sang disponible : 32125 ▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus ! ▌Rang : Chef du clan Blackstone. ▌Job : Chasseur à mes heures perdues. ▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.
Sujet: Re: Jensen S. Peverell ~ Un serviteur de la mort attend son vampire ♥ Dim 12 Déc - 21:30
C'est vrai que c'est pas mal. Par contre, pour tes problèmes d'orthographe, je ne saurais que trop te conseiller un correcteur en ligne, style Bonpatron.
Tu as visiblement beaucoup de mal avec les accords féminins/masculins. J'espère que cela s'améliorera en RP. ^^
En tout cas, comme l'a dit Morrigan, il n'y a aucune raison à ce que tu ne rejoigne pas le dernier train pour l'Enfer, BEUHAHAHAHA !
Bienvenue à bord mon garçon, et amuses-toi bien parmi cette bande de tarée qui peuple le forum.