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| The will of the blood - Pv Dylan | |
| Vittorio Alesi
« † Son of the Devil † »
▌A débarqué le : 10/12/2012 ▌Parchemins : 252 ▌Quantité de sang disponible : 22234 ▌Age du personnage : 544 ▌Rang : Second du Clan Alesi ▌Job : Tuer l'ennui en fessant de vous ma proie ▌Citation : L'apparence du mal se cache souvent sous la peau d'un agneau
| Sujet: The will of the blood - Pv Dylan Lun 14 Jan - 4:26 | |
| Vittorio Alesi & Dylan Shepherd[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]« Les hommes sont conduits plutôt par le désir aveugle que par la raison...». 19h30 Hurlent les craquements d'arbres aux branches rouges, Pantins de déchéance aux mille et un tourments, Hurlent les craquements de la forêt qui bouge Perçant les oreilles déjà trouées du vent.
Tombe la léthargie sur ces âmes maudites, Engeance indésirée, le déclin pour ami. Pleurent les racines-larmes de ces ermites, Vagabonds écorchés,la folie pour abri. Encore une brulure. Encore une marque. Qui ne disparaît pas. Le choix ne s'offre plus à moi. Elle s'impose. Je n'ai pas envie de gâcher cette partie. C'est un amusement délectable autant que la douleur. Mais l'urgence n'est pas là. Une chose a réglé. Une chose a exécuté. Un silence démesurable pèse. Avec violence extrême, le craquement de la chair qui recouvre les lèvres d'un homme sur le sol poussiéreux chasse le pâle silence qui s'encombre les lieux. Bien trop silencieux à ma guise. L'endroit plus que répugnant me donne une envie de meurtre. Cet endroit misérable indigne. Mais tout à fait à la hauteur de ce que je m'apprête à faire. Le sol est véreux, noir et sale. L'odeur du bois pourri, le métal rouiller agresse mes narines délicates. Des gloussements. Le corps bouge et mon pied vient s'écraser contre la joue d'un vampire incapable de bouger. Ma main agrippe sa chevelure, le traine contre le sol, la peau de sa joue se déchire sur le marbre noir qui griffe sa chair. Ce rien. C'est un damné. Il s'en remettra. Le mécréant tente de se débâte. Inutile. Il en est incapable. Sa peau semble fondre et s'attacher au sol. Il me fait rire, c'est un vrai déchet. Mais lui c'est autre chose. Ma main soulève son visage pour qu'il croise mon regard sombre et machiavélique. Le sang coule sur mon visage, une blessure superficielle qui ne cicatrice pas. Ma langue vient recueillir les gouttes de vermeille qui souille mon regard. Un regard qu'il n'a jamais vu. Un regard qui lui hurle que sa fin est proche. Répugnance. Il me dégoûte. La vie n'a pas d'importance si elle est déjà fade. Exclu. Je suis étrange et si je modère ma sanguinolente rage, ce soir je suis un être qui s'amuse de sa peur et qui aime procurer des tortures aux autres. Il l'ignore. Il le sait. À cet instant, il est comme un insignifiant petit insecte. Fragile. Disgracieux. Sordide. C'est fascinant de voir comment cet homme se fait détruire. Il est comme moi. Du même clan. Mais il a trahi. Je n'ai aucune pitié, je ne connais ni la solitude, ni la tolérance et ne la connaîtrai jamais. Elle m'est inutile. Il lui est inutile. Je suis un tueur. Je suis son fils. J'aime tuer. Tueur de sang-froid. Un démon assoiffé de sang qui cherche satisfaction. Si elle me retient. Elle me gronde. Me corrige, mais ça tout le monde l'ignore et ça me convient. Je suis siens. Là trahir, je ne le tolère pas. Tuer par plaisir et par vice. Non par punition. Mon coeur jouit de tous ses vices et mon âme resplendit de leurs cris. « Tu es une exception vampire. Patience. Le châtiment, tu recevras. » Celui qui t'est dû. Son insolence est de sa stupidité lassante. Les douleurs qu'il va ressentir dans sa chair ne seront que le prix de sa négligence. Il hurlera bientôt et le sang noiera sa vulgaire existence. Si seulement il avait su. Mais, « Si » est bien trop tard. Mais qu'y a-t-il de mieux que de mourir de la main de sa propre race. La lumière pale éclaire son visage blafard, sa peau éraflée qui cicatrice lentement et l'odeur de son sang me répugne. Elle ne me procure rien hormis un sourire vicieux. Mes prunelles obscures le fixent. Un regard à vous faire frémir d'effroi. « Tu ne comprends pas, ils ne m'ont pas laissé le choix. Pitié. Ce n'est pas ce qu'elle veut, elle a accepté de me laisser partir.» « Certes, mais ce n'est pas mon cas. Crois-tu que demander pitié t'accordera ce privilège de ma part. Pitié n'est qu'un mot qui ne représente pas grand-chose mes yeux. » « Que dis-tu ? On peut trouver un terrain d'entente. » « Malheureusement pour toi, le temps accordé est écoulé depuis longtemps. » « Comment ça ? Tu ne peux pas faire une chose pareille. » « Tu n'as rien compris n'est-ce pas. Ce n'est pas très étonnant après tout. » « De quoi tu parles, je sais que je n'aurais pas su faire cela mais ....» »Mon sourire dément reste afficher sur mes lèvres. « Ce n'est pas important ! Chut ! Le silence est mère de tous les mots.» Je ne tolère pas l'affront. Même si elle t'accorde son pardon, ce n'est pas mon cas, je suis bien plus sadique qu'elle et je n'accorde aucun salut.»Ma main relâche brusquement sa tête. Et mes pas produisent requiem effréné sur le sol noir de granite de ce qui ressemble à une sorte d'entrepôt répugnant, vétuste, insalubre et mal odorant, mon visage reste froid et fermé, devenant indéchiffrable. Mon visage parfait dans les moindres détails. « J'avoue que je ressens un immense plaisir de voir à quelque point, ta pitoyable existence va s'achever. Tu n'aurais pas dû trahir la famille. Je dirais même je m'en fiche des autres toutefois personne ne lui manque de respect. Personne ne trahit Lady Illithyia. Et je ne laisse jamais partir quelqu'un sans qu'il ne paye le prix. » « Non ... »Malgré sa force, mon pied percute son visage lui cassant le nez jusqu'à lui briser la mâchoire. Mon pied vient écraser sa main, un bout de bois perce son abdomen. Le sang gicle. Je ris. Je savoure. Il hurle. Hurle encore. Un mouchoir blanc tombe sur son visage démoli. Une douleur lancinante me paralyse un instant, comme des lames qui transpercent ma chair. Un geste désespéré. Mais il est bien trop faible. Je m'éloigne avec difficulté. Mon pied frappe un bidon d'essence sur le sol et l'essence recouvre, trace son chemin jusqu'au vampire. Je m'éloigne et allume le cigare que je lance derrière moi. L'essence s'embrasse. Brûle. Le corps gigote. 20h30 Dansent ces macabres arbres aux branches rouges Sur le rythme effréné du chant de leur démence, Implorant pour la fin de leur vie indécente.
fuit la verte sève de la forêt qui bouge, - Cette absinthe corsée au goût de délivrance - Quand vient la valse de la hache ricanante.
Au milieu de ce parc, je reste assis, jambes croisées sur ce banc isolé. Le regard noyé de haine. J'enlève mes mains ses gants noirs souillés que je jette sur l’herbe. D'un geste las, je passe la main dans ma chevelure, rejette ma tête vers l'arrière presque prisonnier d'innombrables pensés qui assaillît. Mes doigts se tachent de mon sang. Je fixe mes doigts couverts de résidu de mon sang et je soupire presque d'amuser de cette conjoncture. Je resens une étrange litanie qui me persécute. Tout comme cette soif qui me dévore. L'étrangeté de cette situation absurde. Risible. Même pour moi. Je n'ai pas d'autre choix que de la poursuivre cette nuit. Je ne peux pas réellement laisser mon amusement se dépérir lentement. Un partage étrange qui nous assaille. La douleur se mélange à la soif. Vive et insinueuse. C'est une étrange sensation qui m'étrangle. Une soif plus présente, plus vorace. Et la douleur semble se fondre à ses plaies crasseuses qui se sont invité sur ma peau. Des plaies disgracieuses qui se nécrosent lentement. Elles ont changé. À des marques rouges, elles dévorent. Malgré tout le sang ingurgité, ma cicatrisation semble ralentir. Ça ne me plaît pas. Et si la colère vrille mes yeux. Je connais parfaitement la responsable de ce désastre. Entre colère et frustration. Je garde un calme terrifiant qui sait faire fuir n'importe quelle créature. Je marche à travers les dédales de ce campus austère plus silencieux qu'un cimetière en ruine. Un silence qui disparaît, cédant sa place aux bruits et voix crapuleux de ses humains pathétiques. Ses dédales s'amoncellent d'âme en perdition. Les étudiants se promènent, quittant leurs cours du soir comme des insectes quittant une ruche. L'effervescence est éphémère et bientôt, les rues redeviennent sombres et silencieuses. Je déambule dans ce campus mort qui semble avoir perdu son âme. Me fondant littéralement dans la masse. Mon apparence physique peut faire croire que je suis l'un d'eux. Un jeune étudiant se rendant au cours du soir. Mais il n'en est rien. Je suis un monstre en quête de sa proie. La raison qui me mène dans ses lieux est simple et n'a qu'un nom. Qu'un seul visage. Je peux sentir sa présence . Il me sufis simplement de suivre son odeur. L'odeur de sa peau. Elle dégage une fragrance alléchante. Je me remémore la plénitude de sa peau. Et sourire carnassier se dégage de mes lèvres. Le plaisir de tuer m'enivre. C'est jouissif. Le plaisir de l'amusement avec cette petite humaine si particulière ? Je garde encore ce sentiment qui traverse toute mon échine. Des frétillements m'insufflent presque des frissons. Une sensation oubliée et fantomatique d'une vie humaine reniée. Un moment qui fera oublier ce début de nuit désagréable. Les battements se rapprochent. Douce mélodie à mon oreille. Ma silhouette comme une ombre perfide se glisse vers une salle isolée. Plongé dans le noir, où au centre s'illumine l'unique lampe, éclairant son visage blafard. Elle ignore ma présence. Je l'observe dans la pénombre pendant de longues minutes qui devient interminable, noyé dans ce noir qui dévore cette partie de la pièce non éclairer. Mon visage se fronce de manière violente. Ma mâchoire se serre. J'avance de quelques pas silencieux. Comme un fantôme. Un serpent qui se faufile pour morde ou charmer avant d'étouffer et dévorer. Me trouvant derrière elle, comme une ombre féroce, se refermant sur sa frêle silhouette. « Tu es vraiment une insupportable humaine. Me faire venir jusqu'à toi. » Une voix calme et impassible se dégage dans son dos. Je pose les deux mains à plat contre cette table ou git des ossements. Faisant d'elle une prisonnière. "La pauvreté est souvent la mère de tous les vices" |
| | | Dylan Shepherd
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▌A débarqué le : 09/08/2012 ▌Parchemins : 327 ▌Quantité de sang disponible : 22312 ▌Age du personnage : vingt et un ans. ▌Rang : chat, chien, lapin, voir plus encore... venez tous assister aux représentations du zoo dylan. ▌Job : étudiante en archéologie. ▌Citation : the human race is lucky i'm a nice girl, otherwise only 1/4 of them would be alive right now.
| Sujet: Re: The will of the blood - Pv Dylan Mar 15 Jan - 0:20 | |
| Biancaneve. Voilà le surnom auquel Dylan avait droit lorsqu'elle n'était encore qu'une petite fille. Sa mère aimait la comparer à Blanche-Neige. Et elle n'était pas la seule, d'ailleurs. Une peau blanche, douce, sans impuretés. De beaux cheveux noirs, sombres comme la nuit. Des yeux émeraudes. Le contraste crée par les différents traits faciaux de la jeune femme en faisait une petite Blanche-Neige sur pattes. Pourquoi Biancaneve ? Simplement parce qu'il s'agit là de l'appellation italienne pour cette princesse. Et que sa mère, en italienne qui se respecte, tentait d'inculquer au moins quelques notions à sa jeune fille, que ce soit la langue, ou des histoires, ou des habitudes... Bref, tous les moyens étaient bons pour atténuer autant que possible son américanisation. Sans succès malheureusement, car Dylan, comme bien d'autres enfants, finit par prendre plus du côté de son père, américain donc, que de sa mère. Elle ne sait pas cuisiner un seul plat italien. Elle ne parle pas la langue non plus. Et l'histoire du pays... Eh bien, elle n'en connaît que les grandes lignes. Et encore. Tout ce qu'elle connaît sur l'histoire de l'Italie, elle l'a découvert totalement par hasard un jour ou l'autre grâce à des fouilles, à des fossiles, à des ossements, à des antiquités... Questionnez-là sur des œuvres, des tableaux, et des momies, elle saura répondre. Mais les révolutions ? Les guerres ? Très peu pour elle. Elle n'y connaît strictement rien. Toutes celles rattachés aux Etats Unis, par contre... Eh bien, il s'agit là d'une toute autre histoire. La petite Dylan les connaît par cœur, et n'en raterait pas une. Comme quoi, toutes les tentatives de sa pauvre mère n'ont pas été bien efficaces. Mais on ne pouvait pas vraiment en vouloir à Dylan pour autant. C'est que ces choses-là ne faisaient pas partie du programme qu'on leur enseignait en cours. Etudier l'histoire de l'Italie et mettre de côté celle des Etats-Unis serait quelques peu étrange de la part d'américains, non ?
Et en parlant d'études... La jeune femme n'avait pas mis un pied dans son université depuis une bonne dizaine de jours. Elle ne pouvait pas. Elle ne pouvait plus. « Non. Non non non non non. Non c'est pas possible. PUTAIN MAIS QU'EST-CE QUE C'EST QUE CA ?! » Certaines de ses plaques rouges n'étaient malheureusement plus que des plaques. … Elles avaient creusé sa peau. Profondément. … Sa si belle peau. Le choc fut si violent qu'elle ne put s'en remettre avant une bonne semaine. Dès lors qu'elle constata le massacre devant son miroir, elle fondit tout d'abord en larmes, avant de se mettre à tout détruire sur son passage, chaises, décorations... Leur valeur lui importait peu. Elle les jetait sur le sol. Les fracassait sur le sol. Les unes après les autres. Et puis, une fois cette crise passée, elle se remit à pleurer. A pleurer toutes les larmes de son corps. Sa beau. Sa si belle peau. Sa magnifique peau. A laquelle elle tenait comme à la prunelle de ses yeux. Que sa mère appréciait tant. Dylan se souciait très peu de son apparence, elle n'était pas une fashion victime, elle ne mettait ni les derniers vêtements à la mode, ni des vêtements féminins. Un jean, un t-shirt, des baskets, et là voilà prête. Il ne lui en fallait pas plus. Mais sa peau. … Sa peau, elle s'en souciait énormément. C'était son petit... Son petit « trésor ». Le trait physique que l'on lui enviait le plus souvent. « Tu as une si belle peau ! Tu as une peau de bébé ! » On le lui disait constamment. Et elle adorait ça. Mais lui. Lui. Il avait... Tout gâché.
Lui ? Vittorio. Elle ne connaissait que son prénom. Mais peu lui importait. Dans son esprit, la manière dont il se nommait n'avait aucune importance, aucune. Dans son esprit, il était uniquement et simplement son pire cauchemar. Il la terrorisait. Depuis le jour où sa route avait croisé la sienne, plus rien ne tournait rond dans sa vie. Il la traquait, la prenait en filature, et s'amusait ensuite à jouer de sa capacité sur elle. Sa capacité... Il lui arrivait d'en rêver la nuit, et de se réveiller en sueur, et en criant. Sa capacité torturait sa chaire, sa peau, ses os... Il la torturait. Il usait d'elle comme on userait d'un jouet. D'ailleurs, au départ, il avait sûrement voulu la tuer. Et ses transformations l'avaient sauvée. A chaque fois qu'il usait de son pouvoir, elle se transformait, automatiquement. Et puis lorsqu'il recommençait, encore une fois, une transformation s'opérait. Il s'agissait là d'une sorte de réaction naturelle de la part de son corps. Qui lui sauvait la vie. Mais qui lui laissait tout de même des séquelles. Comme les nécroses qui parsemaient certains endroits de son corps désormais.
Elle avait tout essayé. Elle avait bu du sang de vampire, énormément. Celui d'un ami, qui avait accouru en l'entendant pleurer et paniquer tout en lui parlant au téléphone. Mais rien. Cela ne donnait rien. Et les blessures ne partaient pas. Pendant une semaine, elle était donc restée chez elle, enfermée, ne voulant plus sortir. Elle ne se sentait en sécurité que chez elle. Dehors ? Trop dangereux, il pourrait la retrouver. Elle ne voulait pas qu'il la retrouve. Elle voulait la paix. Elle voulait qu'il la laisse tranquille. Elle ne voulait plus le revoir. Il était en train de gâcher sa vie, de chambouler son quotidien. Alors non, elle ne voulait plus le revoir.
Mais elle dut bien se faire une raison et remettre les pieds dehors. De toute manière, elle n'avait pas le choix. Elle ne pouvait vivre en autarcie. Et puis, elle avait raté bien trop de cours. Elle devait tout rattraper. C'est d'ailleurs pourquoi elle resta le soir bien après que les autres élèves soient partis. Des amis lui avaient fait une copie de tout ce qu'elle avait à travailler, et son professeur s'était arrangé pour qu'elle ait accès à la salle de cours. Il y avait des ossements, et des feuilles éparpillés un peu partout. Il fallait qu'elle étudie chacun d'entre eux. Et... La vue de ces os, rongés par le froid et l'humidité... Lui rappelait par moments ses blessures, et lui rappelait la triste réalité. Mais elle tentait tant bien que mal de s'en détacher. Travailler. Tu dois bosser ma vieille. Oublie donc ça. qu'elle pensait, encore et encore, comme pour tenter de s'en convaincre. Et lorsqu'elle y parvint enfin... « Tu es vraiment une insupportable humaine. Me faire venir jusqu'à toi. » Sa première réaction fut de poser ses deux mains sur ses oreilles et de crier à ne plus en avoir de souffle. Un cri strident, et profond. C'était un cri de désespoir. Son cœur, quant à lui, s'était accéléré. Il battait à en sortir de sa poitrine. Non. Non non. C'est juste ton imagination. Ton imagination. Il allait la rendre folle. Peut-être l'était-elle déjà devenue ? Evidemment, puisque désormais elle avait des hallucinations auditives. Oui, c'était une hallucination auditive, il n'était pas là, il n'avait pas parlé, et elle tentait tant bien que mal de s'en convaincre, une nouvelle fois. Elle ne dit rien pendant un certain moment. Et doucement, elle retira ses mains de sur ses oreilles... Et tenta de se redresser. Elle se cogna alors contre son corps. Et se rendit bel et bien compte qu'il était là. Tout près. Sa panique se fit alors plus grande. Son cœur, encore plus rapide. Elle ne savait quoi faire. Que pouvait-elle réellement faire de toute manière ? A contrecœur, Dylan resta assise sur sa chaise, à fixer sa table et ses ossements tout en le sachant juste à côté d'elle. Elle pouvait le frôler. Et s'il était encore capable de respirer, elle aurait sûrement senti son souffle se perdre dans ses cheveux et dans son cou. Elle voyait ses mains s'appuyer sur son plan de travail. Il était bien réel. Et c'est bien ce qui la rendait folle. « Qu'est-ce que tu me veux ?! … Laisse-moi tranquille ! Je... JE T'AI RIEN DEMANDE !Je t'ai pas demandé de venir moi, ni quoi que ce soit ! … T'as sûrement envie de t'amuser, c'est ça ? Et tu comptes le faire à mes dépends ? Tu penses peut-être que tu n'en as pas suffisamment fait comme ça ? A cause de toi, ma peau ne ressemble plus à rien ! ALORS TROUVE-TOI UNE AUTRE VICTIME ! ... » Sa voix tremblotait légèrement, tout comme elle. Autant dire que cela lui faisait manquer de crédibilité. Et elle avait beau tenter de rester calme... Sans succès. Un mélange de peur, de colère... Mais, il fallait qu'elle le lui dise. Parce qu'elle avait bel et bien l'impression que s'il utilisait encore une fois son pouvoir sur elle alors qu'elle était dans un tel état... Elle ne ferait pas long feu. |
| | | Méphistophélès
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▌A débarqué le : 18/07/2010 ▌Parchemins : 696 ▌Quantité de sang disponible : 27399
| Sujet: Re: The will of the blood - Pv Dylan Sam 9 Mar - 20:44 | |
| qu'en est-il de ce sujet ? Doit-on l'archiver ? |
| | | Dylan Shepherd
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| Sujet: Re: The will of the blood - Pv Dylan Dim 10 Mar - 14:36 | |
| normalement le sujet est uniquement en pause car le p'tit Vittorio à quelques soucis avec son ordinateur, du coup il faudrait attendre d'avoir des nouvelles avant de l'archiver si possible. ♥ |
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| Sujet: Re: The will of the blood - Pv Dylan | |
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| | | | The will of the blood - Pv Dylan | |
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