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| .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. | |
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| Sujet: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Jeu 5 Juil - 22:52 | |
| Harlan Dereham ❝ Heart like a hole, my soul like a howl ❞ Tobias Sorensen © copyright signature Identité Je m'appelle Harlan Dereham mais on m'appelle Harlan. J'ai 78 ans, j'en fais 30. Je suis né(e) le 3 février 1933 au Texas et je suis Américain, avec des origines américaines -si si que c'est vrai-. Je suis un(e) Loup-Garou hétéro' et je suis garde du corps du couple dominant. Capacité Spéciale : dis m'en plus à ce sujet ! Histoire ❝ 100 lignes minimum. ❞ Prelude to Decay And all along, The answer to everything.
Would you like to walk into the kingdoms of the moon ? We could walk into the fields to see where it begun, It could be the answer to everything, It could take you anywhere that you have never been. Une silhouette sombre se détache à la lueur d'un lampadaire. Le ton de la lumière est jaunâtre, tressautant, elle diffuse une aura macabre à la scène, et à la vue de l'animal, inspire la peur. La bête rentre dans une maison aussi intriguante que sa personne. Omnibulé par la bestiale animalité humaine vous suivez l'ombre, tout est sombre... Un murmure souffle avec une suave douceur, tintillonante et glaciale : « Viens et vois » A l'embrasure d'une porte se dévoile un mâle sur la trentaine d'année, habillé d'un costume trois pièces aussi proche d'une nuit sans lune, les bras croisés... Il semble attendre quelque chose, quelqu'un par ses miroirs dirigés sur sa montre sans parvenir à s'y détacher, par ce bouquet de roses pourpres fraîches comme la rosée du matin... Curiosité à suivre des mires son corps entraîné, désir de caresser les muscles cachés des étoffes gênantes, de profiter de son souffle sur la nuque sous le signe du pêché, de vérifier si cet étalon est bien bâti des pieds à la tête. Ses deux iris plus froids que la glace se déposent sur vous, un sourire s'affiche sur ses lèvres si délicieuses, sa main passe dans le cœur de sa tignasse de jais, geste où votre regard ne peut que suivre le mouvement. Sa façon de vous scruter vous perce par cette impression de force latente et de froideur, des yeux ayant déjà contemplés le champ de la mort et ses mains ont déjà versées le carmin de la vie. Tentation imprudente à venir émettre un pas en avant au moment où une silhouette vient le rejoindre. Un étrange halo l'entoure durant le bref instant où ses prunelles ambres prennent l'apparence de deux perles charbonneuse, prévenance sourde de partir. Une sueur froide forme une fine pellicule à ces abimes dardées sur vous. Qui est cet étrange inconnu qui arrive même à vous percer en votre âme sans aucune impunité ni gêne ? Qui perçoit derrière la porte de vos secrets votre fantasme en cet instant ? Ce fils de la Lune à la si belle apparence vous laisse seul dans votre monde de rêve en ayant pris soin de murmurer de sa voix suave un : « Je vais te raconter un compte bien réel. » First Quarter When I was a Child, I was human. Ma vie, cette existence qui hante un corps dont l'apparence est double. Déboires successifs du destin que le parcours suivit par l'enveloppe charnelle servant de réceptacle à mon esprit. Ma naissance s'est effectué le trois février 1933, à l'aube de la guerre la plus cruelle qu'on ai jamais vu. Tout du moins c'est ce qu'on disait, mais j'ai vu et fait bien pire à une époque. Certains souvenirs se trouvent mieux lotis dans la case omission de nos cerveaux, mais d'autres restent gravés en nous, comme une morsure scarifiant la chair de notre encéphale. En fermant les yeux, je peux me remémorer mon enfance. Comment résumer ces années qui défilaient ? Autant en faire un résumé des plus fatiguant … A cinq heure du matin, le jeune Harlan était réveillé par ce putain de galliformes et son cri strident. Ce fut même ce supplice que le joli garçon détestait, le son le faisant vraiment bondir. Se défaisant nu des draps, il s'empressait de sauter sous la douche avant d'aller aider ses frères et son père, fidèle patriote à hisser le drapeau patriotique comme on peut apercevoir en caserne militaire chaque matin. Une fois fait, appuyé par un bref salut et l'hymne national récité comme un chant psalmodique. Il était temps de prendre des forces avec un petit-déjeuner, courir jusqu'au bus et direction l'apprentissage de la vie par le biais de l'école. En pur Texan, la fin de la journée se soldait par une aide totale du ranch. Et rebelote tous les jours, mis à part le week-end où c'était "ranch" "ranch" et église le dimanche matin. A noter que s'il était sage, ainsi que ses frères. La fin de semaine pouvait être un peu plus souple, le tout traduit par voir du rodéo ou du sport. Principalement du football concernant le dernier point, le père affirmant qu'il s'agissait du seul sport digne d'un homme. 8 mai 1945. Une date qui resterait encrée. C'est la fin de la seconde guerre mondiale. Plus patriotique que jamais, la famille Dereham célèbre cet avènement. Alors âgé de douze années, Harlan est poussé par son père vers le sommet, en tant qu'aîné c'est à lui de montrer l'exemple à ses frères et de devenir aussi doué dans l'armée qu'il l'était actuellement à l'école et en sport. Mais revenons à ce mois de mai 45. C'est englué, à la limite du formatage que débuta donc son adolescence. Propulsez vers les hautes-sphères, Harlan n'eut pas d'adolescence... disons normal. Pas de cours séché, plus d'entraînements au football, pas question de se reposer en rentrant chez lui. Non, son père le pousse physiquement à se dépasser. A tel point, qu'on aurait presque pu dire qu'être aussi fort dans tous les domaines, qu'il avait déjà perdu à cette époque son humanité. 4 Juillet 1950. Parfois, ce jour revient en lui, griffant son encéphale comme s'il voulait s'envoler, s'échapper tel une bulle et éclater en plein vol. Le son d’une musique funèbre à tendance patriotique retentissait tel des battements de cœur précipités, dans la ville du Texas. De nombreuses personnes étaient présentes pour célébrer le jour de l'indépendance. Harlan se surprit, à aimer ce cortège, plus particulièrement, les gestes parfaitement ordonnés dont ils faisaient preuve, leur visages impassibles face à toute circonstance, mais d’où on parvenait à lire malgré tout une certaine fierté. Le regard du jeune homme s’attarda sur leurs vêtements, décorés, ou non, ils étaient parfaits. C'est ce jour là qu'il rejoignit l'armée. 24 Juin 1953. La guerre n'était pas terminée, non. Loin de là, la soif de pouvoir des hommes est sans limites. Le soleil de Pyongyang diffusait ses vastes rayons sur la peau d'un médecin, au regard fier et joyeux. Il salua brièvement quelques têtes familières, en traversant une des rues populaires de la capitale nord coréenne d’un pas vif. Cela faisait déjà une bonne année qu'il s’était installée ici, pour étudier auprès des plus grands de la profession, exerçant le travail d'assistant. Officiellement cela était le cas. Bien que d’une manière plus officieuse, on l’y avait envoyée pour bien autre chose. Il lui fallait une raison que l’on jugerait valable et plausible pour se trouver sur le seuil étranger, et le métier d'assistant paraissait tout trouvé à ses supérieurs hiérarchiques. Harlan Dereham avait accepté. On ne disait pas non au Gouvernement. On acceptait d'être patriote, être espion traduit par être prêt à tout pour avoir les renseignements nécessaire. 11 novembre 1962. Crise de Cuba. Mais pour l'intérieur, et ce qui n'a jamais été communiqué. C'est le bain de sang causé par les espions. En haut de la fiche et en représentation depuis déjà presque deux semaines, l'armée des Etats-Unis est fière de vous présenter son génie en la matière : Le Major Dereham, Harlan. Officiellement il aurait dû être jugé pour crime de guerre, mais il n'en fut rien. L'importance de son rôle dans la crise, ainsi que son efficacité à obéir sans discuter, ni hausser un sourcils était tant apprécier. Officieusement, et ce qui n'a jamais été dit au média, c'est qu'une partie des codes de lancement furent en la possession du Major. Castro n'avait donc plus de moyens aussi dissuasif, et dans sa grande bonté, la mère patrie offrit une phase dîtes de "détente". Jetant aux supports de l'information, une belle histoire de compte le vingt de cette période de l'année. Full Moon Dangerous. I'm out of control... Silence... Où les larmes coulent encore sur les joues d’un homme, suivant la danse lente et cruelle des souvenirs. Nous arrivons au point de non-retour. 1964 Guerre du viêtnam. Septembre, et cet date le marquera à vie : le dix-huit. Les militaires avaient déjà fait des prisonniers à son arrivée, tout un petit peloton. Une voix résonna dans l’entièreté du lieu. Une rangée de vietcongs visiblement amaigries et en piteux état, vêtues de vêtements à sales, était dressée devant un petit baraquement qui leur servait de dortoir. C'était plus un bon six mètre carré, remplis d'urine, de sang, de mouches et des rats. La voix, haut perchée et autoritaire s’éleva à nouveau, tandis que son corps se mouvait d’un pas conquérant devant la ligne de ces foutus bouffeurs de riz. Après un petit discours, annonçant la situation et demandant avec politesse qui serait le premier à passer entre ses mains expertes ; les bras croisés derrière son dos, frôlant le tissu de sa veste foncée, le menton bien levé, fier de son travail. De son regard, il balaya la rangée, pour vérifier que son discours avait fait son petit effet. Tous les yeux des captifs se baissèrent immédiatement vers le sol poussiéreux. Il en eut un petit rire amusé. Soudain un visage l’alerta. Ce fut son collègue, qui le lui fit remarquer en lui murmurant quelques brèves paroles au creux de l’oreille distraitement. Hochant la tête en silence, puis agitant son bras droit, comme pour faire signe aux autres soldats de reculer d’un pas et de le laisser passer jusqu’à l’élément perturbateur. Le séditieux leva bien son regard vers le major, sans ciller, en profitant même pour cracher au sol, juste à côté de ses bottes noirâtres et parfaitement cirées. Ce geste en fit sourire certaines dans la rangée des prisonniers. Harlan arqua un de ses sourcils, se demandant s'il était actuellement entrain de rêver. Un rictus de contrariété naquit au niveau de son front au moment où il réalisa que cela n’était pas un songe, tandis qu’il se baissait pour voir un morceau de salive, à quelques millimètres de sa botte droite. Inspirant une profonde bouffée d’air, afin de calmer la montée d’adrénaline qui commençait à sommeiller en lui, et sortit son pistolet en un mouvement rapide, avant de le pointer vers un interné au hasard et de tirer, les sourcils froncés, et sans une once de regret. Tout sur son visage inspirait à la colère, à la rage, et au profond dégoût de voir des êtres inférieurs se rebeller. Mais aucun trait de compassion, d’hésitation, n’arborait ses traits délicats et si patriotiques. Harlan restait purement impassible, et ce, en toutes circonstances. Il le fallait, pour se trouver ici, parmi les hommes. Au viêtnam. .•°°•.•°°•.•°°•. Les doigts tapotèrent nerveusement le bord du long bureau en bois, dans cette petite salle d’interrogatoire, uniquement pourvue de deux chaises, se faisant face à face, avec pour seule barrière, le bureau. Un de ses doigts ganté de cuir passa vers sa chevelur, dont une mèche s’était furtivement échappée de sa coiffure compliquée, qu’il s’empressa alors de remettre correctement derrière son oreille gauche. Brusquement, des bruits résonnèrent tout près, le long du couloir, laissant deviner des pas de bottes et de chaussures. Au coin des lèvres rosées du major, un fin rictus apparût, à la brève idée que l’on puisse lui amener celui qui le ferait grimper dans la hiérarchie militaire. Celui qu'on fusillerai par la suite, sans regrets. Torturer, jusqu’au sang, aux supplications amères. Jusque l’écho de sa voix s’effacent enfin. La porte claqua, et deux officiers américains s’avancèrent, tenant les avant-bras respectifs d’un homme brun aux yeux noisettes, visiblement en piteux état, fatigué à l’extrême, aux longs cernes, et à la tenue négligée. Ils ne dirent point un mot, et se contentèrent de jeter l’homme sur la chaise en face de leur supérieur. Ils sourirent. Sombrement. Imaginant ce qu’un homme comme lui pouvait accomplir, et quittèrent la pièce, confiants. Harlan avait une réputation, une sacrée réputation de sadique, et une chose était sûre... ils retrouveraient un corps massacré, et mutilé, d’ici une heure. Le prisonnier ne sembla pas daigner vouloir adresser la parole à son bourreau, ni même lever un quelconque regard vers lui. Il persista à l’ignorer, s’enfonçant dans son mutisme. Cela n’échappa pas au major qui alluma un cigare avant de poursuivre et lui demander où était celui qui fournissait les armes aux vietcongs. Pour se faire comprendre, il s’empara d’une vieille photographie en noir et blanc déchirée, d’où on apercevait le corps d’un homme brun, et au regard malicieux, habillé tel un archéologue avec en arrière-plan les favélas. Le prisonnier, souriait en disant ne pas le connaître, toisant le robot du gouvernement du regard. Ce dernier sourit, d’une façon malveillante, s’étant bien douté qu’il mentirait et chercherait à nier toute implication avec ce russe. S’en suivit une nouvelle photographie, plus nette cette fois-ci. Le prisonnier déglutit péniblement, et il sembla même avoir perdu un peu de ses couleurs. Il regarda attentivement l’image cette fois-ci, et la repoussa d’une main. Cette fois l'homme, ne pouvait plus nier. Le voir en train de serrer la main du recherché. Mais, curieusement il préferait observer celui qui le séquestrer, c'était comme si chaque mouvements d'Harlan était osciller dans ses yeux. Harlan soupira, et ramassa les photographies, tout en tournant le dos au prisonnier enchainé. Il fit volte-face, et son poing heurta le visage du prisonnier. Il sembla satisfait, et se contenta de lui sourire, ignorant le sang qui perlait en un fin filet au coin de ses lèvres. Puis, sa main gantée attrapa son menton d’un geste, et le força à le regarder, lui laissant le droit de respirer, et profiter de cette douce satisfaction de ne plus subir aucune torture, il écarquilla grand les yeux, lorsqu’il prit d’assaut sa cavité buccale d’une main, lui tirant la langue avant d’y introduire un couteau. Répétant ainsi, sa question une énième fois. Ce fut là, sa plus grande erreur, encore fallait-il le savoir à cette époque. Harlan relâcha son attention un instant, et les traits de son visage, d’ordinaire si glacés, voire indifférents, n’abordaient à ce moment précis qu’une vulgaire envie de faire taire cet homme, de le massacrer. Un éclat de sang jaillit au niveau de son visage... Ce foutu captif venait de le mordre ! Et il en rigolait. Un retour de main le fit terre, alors qu'Harlan serra les dents. Claquant les talons et la porte, il n'en resterait pas là. Ca c'était certain, mais pas dans le sens dont il pensait. .•°°•.•°°•.•°°•. C'est le lendemain qu'Harlan découvrit le cadeau que le prisonnier lui a fait. Bien qu'au début, ce n'était pas franchement un cadeau de vivre avec ça. Les souvenirs de ce que fut le commencement se cachent comme des fragments de cristal dans le puits profond de l'oublie. L'angoisse provoque des rêves incertains d'attachement à l'autre. Son désir latent de néant vibre. Ses yeux se ferment en voyant comment le temps a passé depuis. A l'époque, il s'effondre dans l'obscurité en comprenant qu'il est damné. Quelque chose s'est perdu, faisant fondre ses sentiments. Un temps vide... et le sentiment vide... d'une âme bien en vie. La nuit guette, dévorant nos phantasmes. Il faut vite détourner l'animal de sa folie. Il entend des voix intérieures l'appeler. Des flammes glacées lui poignardent l'estomac. Bienvenue jeune loup. Alors que la journée fut encore normale, bien que moins que sa moyenne jusque là. Plus irritable, un mal de crâne insoutenable dû à l'éveil des sens. Plus la nuit s'approche, plus la douleur l'envahit. La lune monte dans le ciel jusqu'à trôner sur la voûte céleste. La douleur se fait plus lancinante. Les pulsions, roulements de tambour, frappent et vrillent son crâne. poils claquent avec violence, comme animées d'une vie propre et deviennent fourrure. La chignole poursuit son travail. Elle perce son os frontal dans un bruit assourdissant. Ses naseaux en frémissent, ses tympans déjà ouverts semblent vouloir imploser. Ses doigts s'agrippent au bois du plancher, y plantant des griffes. Ses poumons sont de flammes et, se déchiquettent puis s'embrasent dans la plus atroce des immolations. De sa bouche le sang est recraché, liquide âpre, insolite, au goût de métal. Ses dents poussent, deviennent crocs. Sa langue humide est rendue baveuse par la salive. Ses hanches se serrent pour ne former plus qu'un amas de charpente longiline et canin. Il sait, odieuse créature qui se tord tel un torturé, qui se cambre sous des vibrations déchirantes que tout ça n'est pas réel. Du moins, il le croit. Cette souffrance, engendrée par le mal n'est qu'un prélude. Cette agonie qui est sienne, n'est en réalité qu'une transformation où il peut accéder à la vue de son immortalité. Les tremblements s'accentuent, ses orbites d'un profond rouge sanguin s'écarquillent. Devenant perçant, jaune. Et il exécute sa première ôde à la Lune, son premier hurlement comme un nouveau né son premier cri. Il ne se souvient pas de ce qui s'est passé jusqu'à son réveil. Toujours est-il que se retrouver nu en pleine guerre du viêtnam... disons que c'est pas rassurant. L'horizon était en feu et illuminait le périmètre d'une myriade de couleurs, le jeune loup respirait profondément, sentant le picotement de l'effervescence et de l'incompréhension. Portant par hasard un regard à sa main, mordue la veille. Il se rendit compte qu'il n'y avait plus aucune trace. Rien. Niet. Nada. Un petit "Holy shit" traversa son esprit. A son retour miracle au camp, il alla directement voir le prisonnier. Le regardant comme apeuré. Ce dernier sourit et lui annonça la bonne nouvelle. Imaginez qu'on vous annonce "Votre mère est en vie" alors que les fossoyeurs viennent de reboucher le trou du cercueil , et ça vous fera à peu près le même effet qu'Harlan a ressenti ce jour là. New Moon And the mist will fade into one more today La suite est plutôt simpliste. Conscient, que son nouveau monde de vie lui prendrait un temps d'adaptation. Il devait regner alors tout ce qu'il était jusque là, ou une bonne partie en tout cas. Libérant l'otage, le patriotique se soumis à son nouveau gouvernement : son mentor. Le sable du temps s'écoulait. Harlan n'avait jamais vraiment fréquenter des loups, et c'est avide de curiosité, que lui et son mentor ont quitter le vietnam, pour rejoindre cette Terre pleine de promesse, cette Terre où il est né, ce nouveau territoire où il s'épanouira dès lors. Il a donc quitter sa vie, pour se rendre dans ce dernier jardin de loups : La Nouvelle-Orléans. La suite, je ne vous la conterais pas, car elle n’est encore que trop récente, et je n’ai pas assez de recul pour ne pas mêler mes sentiments personnel à mon histoire. Sachez juste, que c’est loin, d’être la fin....
Tell me your secrets Pseudo : Une montagne. J'ai commencé ici en tant que "Auzecour" alors, poursuivons sur cette lancé. On n'a pas encore gardé les sardines ensemble. Âge : 23ans et toutes mes dents, sauf celle de devant, derrière et sur les côtés. Fréquence de connexion : Techniquement je n'éteins pas le pc, donc H24. Ou disons régulièrement sur un plan quotidien. Comment avez-vous connu le forum ? Si vous saviez, ça mériterait d'être dans un bon livre de blagues. Comment trouvez-vous le forum ? En cliquant sur mes fav' mais comme on a déjà du vous la faire un paquet de fois ; je dirai qu'à fortiori il est bien, intéressant, sur le premier plan "joli", les premiers contacts que j'ai eu on l'air sympathique. Mais reposez donc moi la question un peu plus tard, le temps que je puisse écrire un pavé qui poussera vos globes occulaires à un suicide des plus marginal. Multicompte ? [ ]OH YEAH / [x ]NO. Code (en spoiler) : - Spoiler:
Ok by Blondie ♥
Dernière édition par Harlan Dereham le Ven 6 Juil - 22:05, édité 5 fois |
| | | Tess E. Littleton
« SERIAL KICKEUSE »
▌A débarqué le : 22/07/2010 ▌Parchemins : 12385 ▌Quantité de sang disponible : 22707 ▌ Code couleur : #5F9EA0 - cadetblue ▌Age du personnage : 28 ans ▌Rang : Loque dépressive ▌Job : Maman perdue
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Jeu 5 Juil - 23:32 | |
| PREUMS ! Bienvenue et bon courage pour la suite ! Tu sais où me trouver si tu as des questions (aaa) *donne du crumble* |
| | | Freyja Svensson
« »
▌A débarqué le : 22/01/2012 ▌Parchemins : 176 ▌Quantité de sang disponible : 22170 ▌Age du personnage : ohlala je viens de me réveiller je n'en sais rien ! ▌Rang : Witches are bitches ▌Job : sorcière réincarnée pour la deuxième fois ▌Citation : DOUYOU DOYOU SAINT TROPEEEEEEZ
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 7:48 | |
| comme il est choupi ce louuuuuuup ! bienvenuuuue, au plaisir de te croiser |
| | | Feina Litovski
« »
▌A débarqué le : 10/01/2011 ▌Parchemins : 1022 ▌Quantité de sang disponible : 24053 ▌Job : gérante du Lunatic Café
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 7:51 | |
| Bienvenuuuuuuuuuue c'est cool, jvais devoir me battre contre toi pour ensuite aller bouffer les oreilles de Connor HAHAHAHA ON VA BIEN S'AMUSEEEEER *se servira de Dhanya comme d'un bouclier* |
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| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 8:33 | |
| Merci à vous .-. Feina → Oh, je pense pas qu'il demande mes services si t'as envie de le mordre. Je pense plutôt que ça va l'exciter. Du coup, il n'est pas nécessaire d'emmener les enfants au baby-sitter *offre le crumble à Freyja* |
| | | Feina Litovski
« »
▌A débarqué le : 10/01/2011 ▌Parchemins : 1022 ▌Quantité de sang disponible : 24053 ▌Job : gérante du Lunatic Café
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 9:44 | |
| non mais en fait Coco et moi c'est de l'amour vache, on passe notre temps à se taper dessus, ça entretient notre relation cordiale et pas du tout violente mais comme toi je t'aime bien je te casserais pas de bouteille sur la tête et ptêt même que j'irais te filer un coup de main avec Dhanya pour t'éviter les séances shopping |
| | | Freyja Svensson
« »
▌A débarqué le : 22/01/2012 ▌Parchemins : 176 ▌Quantité de sang disponible : 22170 ▌Age du personnage : ohlala je viens de me réveiller je n'en sais rien ! ▌Rang : Witches are bitches ▌Job : sorcière réincarnée pour la deuxième fois ▌Citation : DOUYOU DOYOU SAINT TROPEEEEEEZ
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 9:45 | |
| Oh qu'il est gentil *le gratouille derrière les oreilles* |
| | | Dhanya A. Gadhavi
« On se lève tous pour Danette ! »
▌A débarqué le : 28/06/2012 ▌Parchemins : 333 ▌Quantité de sang disponible : 22866 ▌ Code couleur : #87CEFA ▌Age du personnage : Nouvelle-Orléans ▌Rang : Petit louveteau et fille de l'Ulfric ▌Job : Apprentie sorciére ▌Citation : Rêveuse
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 10:28 | |
| Mais euuuh Feina elle fait rien que m’embêter. J'veut pas être utiliser comme bouclier. Tu me défendras Harlan ? (Mais bon si elle promet de m’emmener faire du shopping ) ETTt biiienvenue à toi. |
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| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 11:10 | |
| Ah c'est gentil ça Feina. Mais si la bouteille est pleine, je veux bien la boire avant hein, ne gaspillons pas '_'
Bien sûr ma petite Dhanya que je te défendrai. Attend, le meilleur baby-sitter de la nouvelle-orléans, j'ai une réput' à tenir.
*aime se faire gratouiller* |
| | | M. Rehan O'Neal
« You know I'll be your Queen »
▌A débarqué le : 08/01/2011 ▌Parchemins : 1455 ▌Quantité de sang disponible : 23444 ▌ Code couleur : #deb887 ▌Age du personnage : 39 ans ▌Rang : Kali du Pard ▌Job : Danseuse au Narcisse Enchaîné ▌Citation : « Sans ambition il n’y a pas de talent. »
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 11:16 | |
| bienvenuuue x___x comment jvais faire pour faire sombrer Coco maintenant que t'es là pour le suivre comme son ombre ? Y a moyen de te corrompre ? |
| | | Dimitri O'Neal
« Daddy Cool »
▌A débarqué le : 23/01/2012 ▌Parchemins : 791 ▌Quantité de sang disponible : 22077 ▌Age du personnage : 112 ans ▌Rang : Freki de la meute O'Brien ▌Job : Superman à temps partiel.
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 13:37 | |
| Rehaaaaan Te laisse pas faire Harlan, elle est fourbe, c'est de famille Sinon bienvenue quoi, ce début de fiche est bien sympa |
| | | Ruby B. Fitzgerald
« »
▌A débarqué le : 19/05/2012 ▌Parchemins : 233 ▌Quantité de sang disponible : 21643 ▌ Code couleur : #b1d572 ▌Age du personnage : 120 ans ▌Rang : Draugad de la meute O'Brien ▌Job : Chanteuse au Lunatic
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 13:44 | |
| GAAAAH. Un mâle. Horreur Bienvenue sinon et promis jte mangerai pas |
| | | Dhanya A. Gadhavi
« On se lève tous pour Danette ! »
▌A débarqué le : 28/06/2012 ▌Parchemins : 333 ▌Quantité de sang disponible : 22866 ▌ Code couleur : #87CEFA ▌Age du personnage : Nouvelle-Orléans ▌Rang : Petit louveteau et fille de l'Ulfric ▌Job : Apprentie sorciére ▌Citation : Rêveuse
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 14:27 | |
| Mais euh... Je ne suis pas fourbe... c'est juste que.... j'obtiens naturellement tout ce que je veut. EDIT : Cette appellation ne me concernant pas... mais je me maintiens, j'obtiens tout ce que je veut.
Dernière édition par Dhanya C. Gadhavi le Ven 6 Juil - 19:51, édité 1 fois |
| | | Connor O'Brien
« Big Bad Wolf »
▌A débarqué le : 26/06/2011 ▌Parchemins : 2098 ▌Quantité de sang disponible : 25812 ▌Age du personnage : 112 ans, en parraît 35 ▌Rang : Ϟ Ulfric de la Nouvelle-Orléans Ϟ ▌Job : Un des plus riche PDG du monde et propriétaire du Lunatic café
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 17:04 | |
| Dhanya est comme son père sur ce point Elle obtient toujours ce qu'elle veut ---> Welcome Harlaaaaaan! |
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| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Ven 6 Juil - 22:07 | |
| Merci pour l'accueil .-.
Fiche terminée. Navré pour la fin, la fiche également, je n'aime pas faire ce genre de choses malgré les années de rp au compteur. Je souhaite à ceux/celles qui liront une bonne lecture néanmoins `_' |
| | | Tess E. Littleton
« SERIAL KICKEUSE »
▌A débarqué le : 22/07/2010 ▌Parchemins : 12385 ▌Quantité de sang disponible : 22707 ▌ Code couleur : #5F9EA0 - cadetblue ▌Age du personnage : 28 ans ▌Rang : Loque dépressive ▌Job : Maman perdue
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Sam 7 Juil - 16:36 | |
| Félicitations ! ❝ Tu viens d'attraper le dernier train pour l'Enfer ! ❞ Officiellement bienvenue sur COB ! Jolie fiche, le personnage est parfaitement cerné Je ne te demanderai pas de corriger mais je pense qu'une petite relecture aurait pu éviter des fautes d'accord notamment dans le dernier paragraphe ("ont quitter", etc.) et quelques points malvenus au milieu de certaines phrases. Mais bref ! Rien de dramatique, c'est même tout ce que j'attendais du personnage Te voilà donc ajouté chez les lycanthropes ! Amuse-toi bien parmi nous, et n'hésite pas à contacter un membre du staff si tu rencontres un problème ou as besoin de renseignements ! Ce qui suit a été rédigé pour te guider après ton arrivée Le Guide du joueurAlors, heureux ? Bon, tant mieux. Mais... tu croyais pas t'en tirer si facilement, si ?! Parrainage ₪ Pour commencer, il faut savoir que tu peux solliciter l'attention et le temps d'un ancien pour mieux comprendre le forum et t'intégrer ! C'est sympa pour créer de nouveaux liens et apprendre à connaître les autres. Pour ça, tu peux choisir ton parrain en allant par là, et faire un tour dans les mini-flood. N'hésite pas à t'incruster surtout Avatar ₪ Pour commencer, il est prudent de faire recenser ta célébrité ici même, en respectant le formulaire évidemment ! Pouvoir ₪ Pour recenser ton pouvoir c'est par là. Métier ₪ Pense aussi à réserver ton métier/rôle, histoire qu'on sache un peu qui est qui. Liens ₪ Puis tu peux créer ta fiche de liens, histoire de te faire quelques potes dans le coin. RP ₪ Tu peux aussi créer un sujet dans les répertoires de topicsTe Loger ₪ Pour un logement il faudra passer par la boutique et avoir assez de litres de sang pour ne pas être SDF. Pour acheter les clefs, ben c'est justement à la boutique que ça se passe. Les Litres de Sang ₪ Tu les vois, dans ton profil ? Eh bien garde les précieusement ! Ce système de points te permet d'acheter des cadeaux sympathiques à la boutique justement, et de faire évoluer ton personnage. Pour savoir comment gagner des Litres de Sang et devenir plus puissant, c'est par là (a) Les Annonces ₪ Il est impératif de surveiller ce coin là qui est le témoin de tous les changements importants qui auront forcément une influence sur ton perso. Faire Connaissance ₪ Évidemment, tu peux flooder avec et t'amuser avec les autres à cet endroit. Sinon il y a des rendez-vous Skype, organisés régulièrement pour permettre à tous de bien s'intégrer à la vie du forum ! Commencer à jouer ₪ Pas toujours évident de trouver un partenaire RP, on est d'accord. C'est pourquoi, sur COB, on a les demandesTes Oeuvres ₪ Pour exposer tes oeuvres et en demander ce sera dans les galeries d'art ! Absence ₪ En cas d'imprévu, un petit post dans les absences ne tue pas Staff ₪ Tu apprendras à mieux connaître ton staff en cliquant là La loterie ₪ T'as envie d'un RP totalement intégré à l'intrigue ? Tu te sens de frôler la mort avec un partenaire inattendu ? Consulte donc ce sujet ! Le PNJ ₪ Si tu veux mettre du piment dans ton jeu, demande à utiliser le PNJIntervention du MJ ₪ Envie de pimenter tes RPs sans savoir où, quand, comment, et ce qui va te tomber dessus ? C'est par làààLe Membre du Mois ₪ pour en savoir plus, c'est là !
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| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Sam 7 Juil - 16:48 | |
| Wouhou Merci pour la couleur Navré pour les fautes, j'avoue avoir eu une flemme doublé d'une envie d'en finir avec la fiche. Promis, je me ferai pardonner en rp. |
| | | Tess E. Littleton
« SERIAL KICKEUSE »
▌A débarqué le : 22/07/2010 ▌Parchemins : 12385 ▌Quantité de sang disponible : 22707 ▌ Code couleur : #5F9EA0 - cadetblue ▌Age du personnage : 28 ans ▌Rang : Loque dépressive ▌Job : Maman perdue
| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. Sam 7 Juil - 16:49 | |
| c'est ce que je me suis dit & je n'en doute pas |
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| Sujet: Re: .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. | |
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| | | | .•- Night lullaby, whispers me your symphony -•. | |
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