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| SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. | |
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| Sujet: SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. Dim 17 Juin - 13:37 | |
| Ivy Spencer Jones
❝ La vengeance est plus douce que le miel. ❞ Extrait de L'Illiade, Homère.Amber Heard Tumblr Identité Je m'appelle Ivy Spencer Jones mais on m'appelle Spencer. J'ai 171 ans, j'en parais la vingtaine. Je suis née le 18 Août 1841, à Oxford en Angleterre et je suis Américaine, avec des origines anglaises. Je suis une lycanthrope bisexuelle et j'appartiens corps et âme à la meute de Connor O'Brien.
Capacité Spéciale ; Insensibilité à la domination. De nature dominante, Spencer a toujours été une louve un peu en marge des autres. Cette mise à l'écart n'était pas due au fait qu'elle ne possède aucun respect pour autrui, ni parce qu'elle avait tendance à se conduire comme la pire des garces, et sa tendance à la solitude n'entrait pas non plus en ligne de compte, bien que ça soit gênant pour une meute. Non, ce qui dérangeait les autres femelles, c'était la capacité de la lycanthrope à résister à la domination des mâles, ou de loups plus âgés qu'elle. Déjà dotée d'un fort caractère, ce « don » qu'elle chérit plus que tout, lui permet de garder la tête haute alors que toutes courbent l'échine. Elle se sait privilégiée, parfois crainte ou haïe, mais du moment qu'elle peut garder son libre-arbitre, elle se fiche bien de ce qu'on peut penser de son attitude.
Au premier niveau, Spencer peut, avec un peu de volonté, résister à l'ordre d'un loup plus dominant qu'elle. Qu'il soit plus âgé ne changera rien. En ce qui concerne l'Ulfric, c'est nettement moins facile. Le plus souvent, elle évite de se voir octroyer des ordres, ou joue sur le fait qu'ils ne sont pas clairement exprimés, elle profite des failles dans les phrases. Si, par contre, elle ne voit aucun moyen de passer outre et que l'ordre ne lui plaît pas, elle peut tenter de briser le contrôle exercé sur elle ; c'est long, affreusement douloureux et épuisant. Mais elle peut y arriver... Au second niveau, c'est de façon plus naturelle qu'elle peut envoyer balader les autres loups. Presque avec nonchalance, en fait. Mais pour l'Ulfric, c'est toujours difficile ; moins qu'au début, c'est déjà ça. Au troisième et dernier niveau, prête à défier n'importe qui, Spencer est totalement libérée du joug de la domination. Pour elle, c'est un paradis permanent, pour d'autres, elle peut être un danger pour la meute et pourrait donc s'attirer des problèmes. Histoire ❝ Il y a un temps pour le diable et un temps pour le Bon Dieu. ❞ Proverbe créole.
◊ PREMIÈRE PARTIE.
« Face au miroir, on ne peut plus rien cacher. Nos pires défauts nous reviennent en pleine face, ils semblent même devenir plus importants qu'ils ne le sont. Et puis, on peut bien sortir toutes les conneries qu'on veut sur la beauté intérieure, ça ne compte pas face au miroir. T'auras beau avoir fait les pires merdes, avoir trahi, tué, menti, volé, ton reflet te paraîtra toujours plus flatteur si t'as le physique d'une actrice. »
Spencer défit sa queue-de-cheval en soupirant, laissant une cascade dorée se répandre dans son dos musclé. Elle s’était toujours sue attrayante. Enfant, on la disait mignonne, adolescente, jolie. Plus tard, elle avait testé ses charmes auprès de la gente masculine, s’étonnant elle-même d’y parvenir avec autant de facilité. Et c’était bien l’unique chose qui lui paraissait aisée, à l’époque. Penchée au-dessus du lavabo, rivant son regard à son reflet dans le miroir, elle se dévisagea. Oui, elle se savait belle, même si elle n’avait apparemment jamais égalé la beauté envoûtante de sa sœur aînée. Des traits fins, réguliers, un visage harmonieux mais différent. Chez Léonara, tout était parfaitement dessiné, ses hautes pommettes, ses sourcils droits, sa mâchoire exquise. Elle était la douceur incarnée, tandis que la cadette dévoilait parfois, au fond de ses iris bleutés, une flamme incertaine qui faisait fuir ou qui effrayait. Spencer, dominante et fière de l’être, n’avait jamais pu prétendre à l’image de l’enfant chérie et fragile. Et cela se voyait immédiatement dans son regard, dur, intelligent, moqueur. L’éclat de ses yeux suffisait à détruire son portrait de femme délicate, le pli sévère de sa bouche balayant les ultimes vestiges de sa candeur. Sa louve n’était pas tapie au fond de son corps, elle était bien là. Dressée face à l’adversité, montrant les crocs, hurlant à la pleine lune. Elle suintait à travers chaque pore de sa peau, presque comme une maladie contagieuse. L’omniprésence de la prédatrice n’aidait pas la jeune femme dans son processus d’acceptation de soi. Elle n’avait qu’à se regarder dans un miroir pour savoir qu’elle n’était pas normale, qu’elle était un danger permanent pour autrui. Spencer ne faisait pas peur, pas à proprement parler. Comment l’aurait-elle pu, de toute manière, puisqu’elle n’excédait pas les soixante kilos toute mouillée et qu’elle avait davantage l’allure d’une mannequin que d’une camionneuse ? Mais quiconque se montrait assez attentif à l’ombre dans ses iris pouvait deviner qu’elle n’était pas ce qu’elle paraissait. La jeune femme dénoua la corde de son peignoir, le suspendit derrière elle et se glissa dans la douche. Elle fit jaillir un puissant jet brûlant, savourant le brusque changement de température et la légère douleur qui s’était brièvement installée. Une fois propre, elle ne s’attarda pas plus que nécessaire ; ses pieds nus laissant des traces sur le carrelage de la salle de bain, elle effaça les dernières gouttes qui roulaient encore sur sa peau nue à l’aide d’une serviette, puis déambula entre sa chambre et la salle de bain, l’esprit ailleurs. En tant que lycanthrope, elle avait rapidement appris à ne pas être gênée de sa nudité, les choses étant telles qu’elles sont, elle se retrouvait bien plus souvent à moitié nue qu’habillée. Mais cela ne signifiait pas pour autant que Spencer se baladait tout le temps en tenue d’Eve, elle avait sa dignité. Qui plus est, elle savourait bien plus les regards qui se posaient sur elle lorsqu’elle était vêtue que le contraire. Ses formes, dissimulées tout en étant mises en avant, captaient l’attention. Elles attiraient, enflammaient, semaient le chaos sur leur passage.
◊ DEUXIÈME PARTIE.
« Certains idiots disent que l’argent ne fait pas le bonheur, je ne les crois pas. L’argent est partout, dans ce que vous regardez à la télévision, dans votre assiette, dans vos produits ménagers, dans vos vêtements. Même lorsque vous baisez, il est là. C’est impossible de vivre sans argent, et donc d’être heureux. L’argent contribue au bonheur, il faut juste savoir comment en disposer et ne pas croire qu’il peut tout acheter. Il peut acheter le sexe, pas l’amour ; il peut acheter des cadeaux somptueux, mais pas l’affection. Il peut acheter le silence d’une personne, mais pas son respect. »
D’une démarche de reine, le menton très légèrement relevé, elle se fraya un chemin jusqu’à la penderie, qu’elle ouvrit d’un geste vif, et plissa les paupières devant l’amas de vêtements dont elle ne savait parfois que faire. La majeure partie provenant de cadeaux faits par son père ou achetés grâce à l’argent qu’il faisait parvenir à ses filles. Si Léonara avait toujours semblée à l’aise avec cet état de fait, sa cadette ne partageait pas son avis – c’était par ailleurs souvent le cas et ce sur n'importe quel sujet de discussion. Délaissée au profit de son aînée, elle a immédiatement compris que si son père s’affairait à ce point à les couvrir de présents, ce n’était que pour mieux acheter leur affection. Ou en tout cas, celle de Spencer, qui en bonne rebelle s’efforçait de vivre le plus normalement possible. Elle aurait pu agir différemment, prendre l’argent, faire des folies, quémander encore plus de billets verts auprès de son père en minaudant comme une enfant. Sauf qu’elle savait qu’elle ne serait jamais capable de s’abaisser à une telle humiliation ; elle se voulait indépendante, capable de subvenir à ses propres besoins. Et si, par le passé, Léonara lui avait invariablement reproché le fait qu’elle soit incapable de prendre l’argent que « père a gagné à la sueur de son front », aujourd’hui elle avait au moins gagné le silence. Plus de sermons bienfaisants, plus de regards lourds de sens. La jeune femme décrocha une simple robe bleue, sans artifices ni broderies. Elle la tint un instant, un long moment à vrai dire, devant son regard soudainement d’un bleu presque noir. La simple vision de ce vêtement, si banal à première vue, la fit remonter des années en arrière. Londres, l’accent distingué des anglais, la capitale. Ses propres origines remontaient jusqu’ici, elle était née sur ce sol, mais dans une autre ville, Oxford. L’Angleterre n’avait plus aucun secret pour elle, c'était la terre qui l'avait vue naître mais aussi celle qui avait observé en silence sa lente transformation. Spencer avait toujours été jalouse de sa sœur, de son éternel succès, des attentions qui lui étaient accordées. Néanmoins, avant que Dimitri ne la choisisse, elle s’était accommodée, vivant dans l’ombre de Léonara, le vilain petit canard dans une famille de cygnes. Lorsqu’il fit son choix, sa vie prit un tournant décisif. Elle se souvenait de la scène avec une netteté inquiétante, il suffisait qu’elle ferme les yeux pour la voir se dérouler sous ses paupières. Elle, penchée à son bras, amoureuse et naïve. Lui, qui la repousse un peu trop fermement en lui disant qu’elle se fait des idées, qu’il l’apprécie, oui, mais pas de cette façon. Et ensuite, les flammes et le vide. La haine et la douleur, mélangées en un tourbillon dangereux. Pendant les jours qui suivirent, elle n’en toucha pas à un mot à son aînée, se bornant à sourire et à donner l’illusion que tout allait bien. Parce que tout allait bien, au fond, n’est-ce pas ? Ce n’était pas la faute de Léonara si le Destin persistait à la favoriser, si ? Que pouvait-elle faire si sa force d’attraction, son charme, était plus forte que celle de sa cadette ? Rien ? Elle n’avait pas fait exprès, non ? Elle avait eu beau tourner le problème dans tous les sens, elle se sentait quand même trahie. Brisée en un milliard de minuscules morceaux, délaissée, esseulée, désespérée. L’idée prit forme parmi ses pensées moribondes, elle pouvait se venger. Sa louve, plus blessée qu’elle dans le processus, la poussa à prendre sa revanche à coup de crocs et de griffes. Elle gronda, du plus profond de son abîme de chairs, se faisant à la fois caressante et perfide. Dominée par l’animal, Spencer se laissa bercer de douces illusions, de rêves extatiques dans lesquels elle riait aux éclats, recouverte du sang de son aînée, enfin apaisée de l’affront qui lui avait été fait. Mais elle se fit violence, repoussant la prédatrice afin d’avoir les idées plus claires. Toutefois, l’idée resta. De plus en plus concrète, de plus en plus lourde, de plus en plus colorée. Et lorsqu’elle repensa à toutes les fois où Léonara était passée avant elle, elle prit la décision d’accepter l’idée. Elle la nourrit, la cajola, la dressa, l’aida à grandir et à prendre de l’ampleur. Jusqu’à ce fameux soir.
◊ TROISIÈME PARTIE.
« Un soir, un type m’a dit qu’il avait tout perdu et qu’il n’avait plus goût à rien. Il m’a fait pitié, ce gars, parce qu’il n’était même pas foutu de se mettre en colère. Il était simplement là, comme un cadavre animé par sorcellerie, à vider verre après verre et à se lamenter sur son sort. J’aurais pu être ce type. Mais j’ai appris à me servir de la tristesse pour qu’elle devienne de la haine, et cette haine, je l’ai jetée sur toutes les personnes qui avaient pu me blesser ces dernières années. Qu’importaient nos relations passées, ils avaient fini par me blesser, physiquement ou mentalement, et ça suffisait à alimenter mon brasier intérieur. »
Les jointures de ses doigts devenues blanches, elle se força à les desserrer et à relâcher le tissu bleu. Bien que bouillant encore de rage au souvenir de cette nuit, elle entreprit, à l’aide de gestes mécaniques, de défroisser la robe, la suspendre avec les autres vêtements et d’opter pour une autre, d’une coupe un peu plus soignée, aussi noire que la nuit. Toute à sa colère, elle s’habilla avec un calme olympien, une part de son esprit revivant les évènements du passé. La présence de Dimitri, alors qu’elle aurait dû être seule, la brûlure de son regard de mortel. Il réprimait ses actes, elle le savait. Mais elle n’en n’avait strictement rien à faire, tout ce qui comptait, c’était de faire couler le sang. Rouge, chaud, si tentant. Débraillée, ses pieds nus et sa chevelure en bataille, elle attendait que Léonara daigne lui répondre. Ainsi, elle n’était pas capable de le tenir loin d’elle ? Elle avait besoin de sa protection ? Pauvre petite Léo, toujours triste, toujours gentille, toujours parfaite. A cet instant, il suffisait qu’elle la regarde pour sentir la colère monter et être à deux doigts d’éclater. Un bruit sec la tira de sa mémoire ; sa brosse à cheveux gisait sur le meuble, face à elle, en deux morceaux distincts. Spencer inspira profondément, prenant la moindre dose de haine qui subsistait en elle pour l’expulser d’un souffle apaisant. Elle n’était plus cette jeune louve qui se laissait dominer par ses pulsions et les dictions de sa prédatrice. Elle savait faire ses propres choix, prendre ses propres décisions. Être née lycanthrope n’avait longtemps été qu’une malédiction pour elle, elle voulait se marier, fonder une famille, vieillir et mourir un jour. Mais lorsque son père et sa mère lui avouèrent qu’elle resterait à jamais figée dans sa vingtaine, elle crut qu’on lui avait jeté un sort. Qui pouvait bien désirer une telle vie, faite de douleurs, de sang et de sexe ? A l’âge de seize ans, Léonara se fit transformer par leur père. Spencer aurait dû se sentir plus forte qu’elle, ayant bénéficié du gène à sa naissance, elle était une « sang-pur. » Elle n’avait pas été souillée et contaminée, elle était née ainsi. Mais même ainsi, elle ne parvint jamais à se trouver à un pied d’égalité avec son aînée. Elle ramassa lentement les morceaux de la brosse, comme elle avait autrefois dû ramasser les restes de son cœur meurtri. La tâche anodine lui permit de retrouver un calme apparent, l’éclat féroce dans son regard se faisant plus doux. Après cette nuit, durant laquelle Léonara transforma accidentellement Dimitri – en même temps, quel crétin fallait-il être pour rester près de deux louves lors d’un combat à mort ? – les deux amants prirent la fuite et, deux semaines plus tard, elle s’achetait un billet pour l’Europe. Peu rassurée à l’idée de traverser l’océan sur un bateau, elle ne garde que de désagréables souvenirs de ce voyage – elle a même été malade, le mal de mer. Débarquée en France, elle préféra partir vers des climats plus froids ; l’Allemagne, la Suisse, les frontières de la Russie, la Finlande. Véritable globe-trotter, la lycanthrope noya son chagrin coléreux dans la neige et les coups d’un soir. Elle rencontra d’autres loups, certains solitaires et d’autres en petits groupes. Parfois, il arrivait qu’elle se retrouve à chasser sur le territoire d’une meute particulièrement territoriale, néanmoins elle parvenait toujours à fuir. Ou à trouver grâce aux yeux de l’Ulfric, écartant les jambes le temps qu’il parvienne à se convaincre lui-même qu’il avait un pouvoir sur elle, qu’il la dominait. Le lendemain matin, elle avait filé à l’anglaise, l’ayant délesté de sa fierté et de quelques billets. Puisqu’elle n’avait pas d’adresse fixe, elle ne pouvait plus bénéficier de l’argent paternel, se retrouvant dans l’obligation de travailler. Ou de se faire payer des verres, se faire entretenir. Tous les moyens étaient bons pour qu’elle ait l’illusion d’être aimée, d’être choisie à la place d’autres femmes, d’être meilleure que Léonara. Loin de sa sœur, elle avait l’impression de revivre. D’être enfin devenue un cygne à son tour.
◊ QUATRIÈME PARTIE.
« On a beau essayer d’oublier, y’a toujours un détail qui nous fait revenir des années en arrière. Un parfum, une couleur, un vêtement. C’est souvent con, comme détail, comme la façon de replacer une mèche de cheveux ou la marque de clopes. Mais ça suffit. Et c’est le signe que pendant toutes ces années, on s’est bernés. On a cru avoir oublié, parce que c’était mieux comme ça et plus facile. Le réel oubli, inaccessible, n’étant jamais venu, on se retrouve à sursauter au moindre prénom qui nous semble familier. C’est épuisant. »
En 1998, elle se lassa de l’Europe et prit l’avion pour l’Amérique. La belle et « nouvelle » Amérique. Elle s’attarda dans quelques villes, descendant toujours plus vers le sud. Vers la Louisiane. Portée par l’instinct, elle posa le pied à la Nouvelle-Orléans l’année où l’ancien Ulfric perdit face à Connor O’Brien. Poussée par un besoin étrange, elle demanda à rejoindre sa meute. De toute sa vie, jamais Spencer n’avait cru au destin. Elle ne jurait que par des coïncidences, des hasards. Sauf à la Nouvelle-Orléans. Dans le lupanar, elle sentit, pour la première fois depuis des décennies, l’odeur de Léonara et de Dimitri. La chasse reprenait son cours, c’était un signe pour la belle et sa colère se raviva. Face à son miroir, la louve rajouta une légère couche de rouge à lèvres sur sa bouche légèrement entr’ouverte. Son intense regard bleuté, son port altier, son teint à peine bronzé. Elle était désirable, elle était décidée et dangereuse. Oh oui, bien plus dangereuse qu’elle n’en n’avait l’air. Un sourire carnassier vint étirer ses lèvres, dévoilant sa dentition immaculée et parfaite. Le reflet que lui renvoyait le miroir n’était pas celui d’une femme, c’était celui d’une louve au pelage argenté, dominante et sûre d’elle, avec une tache foncée sur le haut du crâne. Comme une couronne.
Derrière l'écran Pseudo ; MoonofBlood. Âge ; Vingt ans. Fréquence de connexion ; Régulière. Comment avez-vous connu le forum ? J'y étais autrefois. Comment trouvez-vous le forum ? Juste... à tomber Multicompte ? [ X ]OH YEAH / [ ]NO. Code (en spoiler) : - Spoiler:
Ok by Blondie Anne Rice, Lestat le vampire. (a) bravo eheh (a)
Dernière édition par I. Spencer Jones le Lun 22 Oct - 22:39, édité 17 fois |
| | | Dimitri O'Neal
« Daddy Cool »
▌A débarqué le : 23/01/2012 ▌Parchemins : 791 ▌Quantité de sang disponible : 22087 ▌Age du personnage : 112 ans ▌Rang : Freki de la meute O'Brien ▌Job : Superman à temps partiel.
| Sujet: Re: SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. Dim 17 Juin - 14:12 | |
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| | | | Dimitri O'Neal
« Daddy Cool »
▌A débarqué le : 23/01/2012 ▌Parchemins : 791 ▌Quantité de sang disponible : 22087 ▌Age du personnage : 112 ans ▌Rang : Freki de la meute O'Brien ▌Job : Superman à temps partiel.
| Sujet: Re: SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. Dim 17 Juin - 15:18 | |
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| | | | Dimitri O'Neal
« Daddy Cool »
▌A débarqué le : 23/01/2012 ▌Parchemins : 791 ▌Quantité de sang disponible : 22087 ▌Age du personnage : 112 ans ▌Rang : Freki de la meute O'Brien ▌Job : Superman à temps partiel.
| Sujet: Re: SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. Dim 17 Juin - 16:03 | |
| J'imagine, vous êtes toutes sauvages dans c'te famille Le début est très prometteur en tout cas |
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| | | | Tess E. Littleton
« SERIAL KICKEUSE »
▌A débarqué le : 22/07/2010 ▌Parchemins : 12385 ▌Quantité de sang disponible : 22717 ▌ Code couleur : #5F9EA0 - cadetblue ▌Age du personnage : 28 ans ▌Rang : Loque dépressive ▌Job : Maman perdue
| Sujet: Re: SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. Dim 17 Juin - 17:28 | |
| Huhu, rebienvenuuue (aaa) Et moi aussi j'ai hâte de lire la suite, connaissant le style je ne peux qu'être impatiente - Dimitri O'Neal a écrit:
- J'imagine, vous êtes toutes sauvages dans c'te famille
J'ai toujours dit qu'il te fallait un entourage plus civilisé ! |
| | | Ruby B. Fitzgerald
« »
▌A débarqué le : 19/05/2012 ▌Parchemins : 233 ▌Quantité de sang disponible : 21653 ▌ Code couleur : #b1d572 ▌Age du personnage : 120 ans ▌Rang : Draugad de la meute O'Brien ▌Job : Chanteuse au Lunatic
| Sujet: Re: SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. Dim 17 Juin - 17:49 | |
| - Spoiler:
Gosh, mais qu'est-ce qu'elles ont toutes avec le Freki ? y a q'moi qui ai dû voir son vrai visage ...
Sinon bienvenue ! Bon courage pour ta fiche et dans tes projets de vengeance Les femmes au pouvoir |
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| Sujet: Re: SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. Dim 17 Juin - 21:45 | |
| Pardonnez mon double post, mais...
J'ai officiellement terminé ma fiche, et j'espère qu'elle vous conviendra. Surtout à Léo, en fait. (a) |
| | | Léo A. Jones
« LADY BURN »
▌Age : 37 ▌A débarqué le : 30/12/2011 ▌Parchemins : 701 ▌Quantité de sang disponible : 23011 ▌ Code couleur : #E1D1A1 ▌Age du personnage : 175 ans ▌Rang : lady burn ▌Job : serveuse au lunatic ▌Citation : « L'amour ne tolère pas la liberté. Où il y a l'amour, il n'y a plus de liberté. »
| Sujet: Re: SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. Dim 17 Juin - 22:06 | |
| Félicitations ! ❝ Tu viens d'attraper le dernier train pour l'Enfer ! ❞ Officiellement bienvenue sur COB ! Je suis heureuse de constater que mon scénario est tombé entre de bonne main ! Une fiche magnifique, complète sans être longue et redondante, tu as merveilleusement bien cernée le personnage. Je te souhaites donc la bienvenue, même si tu risques d'amener ton lot de problèmes par ici...(aaa) Te voilà donc ajoutée chez les Lycans ! Amuse-toi bien parmi nous, et n'hésite pas à contacter un membre du staff si tu rencontres un problème ou as besoin de renseignements ! Ce qui suit a été rédigé pour te guider après ton arrivée Le Guide du joueurAlors, heureux ? Bon, tant mieux. Mais... tu croyais pas t'en tirer si facilement, si ?! Avatar ₪ Pour commencer, il est prudent de faire recenser ta célébrité ici même, en respectant le formulaire évidemment ! Pouvoir ₪ Pour recenser ton pouvoir c'est par là. Métier ₪ Pense aussi à réserver ton métier/rôle, histoire qu'on sache un peu qui est qui. Liens ₪ Puis tu peux créer ta fiche de liens, histoire de te faire quelques potes dans le coin. RP ₪ Tu peux aussi créer un sujet dans les demandes de topicsTe Loger ₪ Pour un logement il faudra passer par la boutique et avoir assez de litres de sang pour ne pas être SDF. Pour acheter les clefs, ben c'est justement à la boutique que ça se passe. Les Annonces ₪ Il est impératif de surveiller ce coin là qui est le témoin de tous les changements importants qui auront forcément une influence sur ton perso. Faire Connaissance ₪ Evidemment, tu peux flooder avec et t'amuser avec les autres à cet endroit. Sinon il y a des rendez-vous Skype, organisés régulièrement pour permettre à tous de bien s'intégrer à la vie du forum ! Tes Oeuvres ₪ Pour exposer tes oeuvres et en demander ce sera dans les galeries d'art ! Absence ₪ En cas d'imprévu, un petit post dans les absences ne tue pas Staff ₪ Tu apprendras à mieux connaître ton staff en cliquant là La loterie ₪ T'as personne pour RP ? Consulte donc ce sujet ! Le PNJ ₪ Si tu veux mettre du piment dans ton jeu, demande à utiliser le PNJLe Membre du Mois ₪ pour en savoir plus, c'est là ! |
| | | Ruby B. Fitzgerald
« »
▌A débarqué le : 19/05/2012 ▌Parchemins : 233 ▌Quantité de sang disponible : 21653 ▌ Code couleur : #b1d572 ▌Age du personnage : 120 ans ▌Rang : Draugad de la meute O'Brien ▌Job : Chanteuse au Lunatic
| Sujet: Re: SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. Dim 17 Juin - 22:31 | |
| Haaaan. Bon, officiellement je te dis bravo, mais... jsuis JALOUUUUSE de ton pouvoiiir *out* - Spoiler:
mais tant mieux, ça sent le lien d'enfer tout ça (aaa)
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| | | Connor O'Brien
« Big Bad Wolf »
▌A débarqué le : 26/06/2011 ▌Parchemins : 2098 ▌Quantité de sang disponible : 25822 ▌Age du personnage : 112 ans, en parraît 35 ▌Rang : Ϟ Ulfric de la Nouvelle-Orléans Ϟ ▌Job : Un des plus riche PDG du monde et propriétaire du Lunatic café
| Sujet: Re: SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. Dim 17 Juin - 23:39 | |
| Je te dis welcome en retard jolie Spencer! N'hésite pas à gratouiller ma porte s'ils sont vilains avec toi. Je te ferai des câlins *file avant que Léo passe et le massacre* ---> |
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| Sujet: Re: SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. Lun 18 Juin - 15:17 | |
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| Sujet: Re: SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. | |
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| | | | SPENCER. ♡ Ashes to ashes, everything's gonna burn. | |
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