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| ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] | |
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| Sujet: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Lun 26 Sep - 23:07 | |
| Acélia Moïra Donovan ❝ They say that home is where the heart is. I guess I haven't find my home. ❞ | Identité Je m'appelle Acélia. Acélia Moïra Donovan, mais on m'appelle Lily. J'ai 24 ans, j'en fais à peine 20. Je suis né(e) le 31 Octobre 1987 et je suis Américaine, avec des origines Irlandaises. Je suis une Sorcière Hétérosexuelle et je suis Médium..
CAPACITE SPÉCIALE : Chimérie. Acélia a le pouvoir de plonger ses victimes dans des illusions qui deviennent, au fur et à mesure que son cirque infernal évolue, une réalité dans laquelle son martyr sera persécuté aussi longtemps que la belle empoisonneuse le décidera. C'est-à-dire que, loin d'être une simple illusion, ce que vivra la victime à travers l'imagination d'Acélia pourra marquer à la fois l'esprit et le corps : des lésions physiques peuvent découler suite à un passage dans ces enfers. Un pouvoir qui s'enclenche parfois automatiquement, directement en lien avec ses émotions et ses sentiments...
Natalia Viodanova © NEMESIS |
Histoire ❝ Give a girl the right shoes, and she will conquer the world. ❞ La porte claqua violemment derrière moi, le son se répercutant dans toutes les pièces de la maison. Je laissai tomber mon sac sur le tapis d'entrée, retirai mes chaussures que j'envoyai, chacune, valser contre le mur en face de moi et enlevai mon manteau d'un geste rageur. Je laissai le tout devant la porte d'entrée, sans prendre la peine de nettoyer la scène de crime que j'abandonnai derrière : je me dirigeai vers le salon, me laissai tomber sur le sofa et allumai la télé. Je soupirai, exaspéré. Du deuxième étage, le bruit du séchoir à cheveux que j'entendais depuis mon arriver s'arrêta soudainement. Des pas se promenèrent au-dessus de ma tête, se dirigèrent dans le corridor et s'arrêtèrent devant l'escalier. Puis, une il y eut une faible voix, hésitante quelques instants, mais qui finit par lancer :
-Lily ? Tu es rentrée ?
Je ne répondis pas. Elle avait probablement entendue le son de la télévision et connaissait donc la réponse. J'entendis distraitement un soupir, puis les pas se redirigèrent vers l'endroit d'où ils arrivaient. Satisfaite, je reportai mon attention sur l'écran, qui présentait un reportage sur les félins d'Afrique. Je m'appelle Acélia Donovan, et non Lily comme on vient tout juste de m'interpeller. J'ai quinze ans, bientôt seize puisque nous venons tout juste d'entamer le mois d'Octobre. J'habite à Waterford, une petite ville d'environ cinq milles habitants, dans le Sud de l'Irlande. Je vis avec ma mère Miranda depuis toujours. Mon père, quant à lui, s'est barré quand j'avais à peine trois ans. Maman disait qu'il avait peur de nous. Je savais très bien que ce " nous " n'était là que pour partager le blâme. En réalité, j'étais la seule à porter la faute de son départ. Je me doutais que, en secret, ma mère ne me l'avait jamais entièrement pardonné.
La voilà justement qui descendait l'escalier. Elle était hausser sur des escarpins d'une hauteur vertigineuse, avec lesquels elle avait un peu de mal à marcher. Sur son corps de vieille femme flottait une somptueuse robe d'un rouge passion, attaché en licol et qui offrait une vue plongeante sur un profond décolleté. Le tout était accompagné de bracelets, collier et boucles d'oreilles d'argent. Elle portait trop de maquillage avec ses lèvres d'un rose tout sauf naturel, de l'ombre à paupière noir et du fond de teint en abondance. Ses cheveux d'un blond cendré était relevé dans un chignon désordonné. Arrivée au bas de l'escalier, Miranda fit un tour sur elle-même et m'envoya un sourire satisfait.
-Alors ? Qu'est-ce que tu en penses ? J'ai un air de " femme fatale ", tu ne trouves pas ?
-Ouais, répondis-je simplement.
Elle ne relevait pas. Depuis quelques années, elle avait appris à gérer mon indifférence et le mutisme dans lequel je me réfugiai toujours. Il fallait dire que notre relation n'était pas la plus saine pour une mère et une fille. Nous ne nous voyions que très peu, et ni l'une ni l'autre ne semblait en être affecté. Enfin, de mon côté, moins je voyais ma mère, mieux je m'en portais. Miranda pris son sac à main dans la penderie, ne cillait pas devant mes souliers qui trainaient ainsi que mon manteau et mon sac qui jonchaient le sol de la porte d'entrée. Elle tourna sur elle-même quelques secondes, finit par s'immobiliser et soupirai, avant de s'exclamer :
-Tu n'aurais pas vue mes clés ?
-Sur la cheminé, me contentai-je de répondre sans lâcher la télévision des yeux.
Elle traversa la pièce et se saisit du trousseau au-dessus du foyer. Lorsqu'elle se retourna pour partir enfin, elle s'immobilisa et eut un hoquet de surprise.
-Lily ! S'écria-t-elle en découvrant enfin l'énorme coquard sous mon oeil gauche. Dommage, elle était presque partie sans s'en apercevoir.. Combien de fois faudra-t-il aborder le sujet ? Il faut que tu arrêtes de te battre à l'école. Un jour, tu seras mise à la porte définitivement !
Je lui lançai un regard agacé. Son air de mère inquiète ne m'impressionnait guère.
-Mêles-toi de tes affaires, crachai-je d'une voix venimeuse. Va t'amouracher d'un vieil ivrogne, au lieux d’essayer d'avoir l'air d'une mère.
Elle fit un pas en avant, tentant de se donner de l'assurance. Mais dans son regard, il luisait une sorte de lueur de crainte, et son corps entier trahissait le courage qu'elle tentait de se donner.
-Tu es ici chez moi, je te signale. Et tant et aussi longtemps que tu vivras sous mon toit, tu devras te plier à mes règles.
Je me levai d'un bond, les poings serrés, la mâchoire crispé. Je la fixai d'un regard noir, la respiration sifflante, et la pièce autour de nous se mit à vibrer. La peinture se mit à couler des murs, la pièce s'assombrit soudainement et la température chuta d'un coup. Miranda se mit à se frotter les bras vigoureusement, sa respiration envoyait des nuages de buée et ses lèvres se teintèrent de bleu.
-Assez ! Acélia, arrêtes ! S'écria-t-elle d'une voix terrorisée.
Nous n'étions plus dans notre maison, mais dans un désert de glace où le froid devint mordant et où la neige balayait la vallée comme un fouet de glace. Ses pieds étaient désormais enfoncé dans la neige et elle se tenait les bras pour tenter de se réchauffer, en vain, dans ce milieu arctique. Elle tomba à genoux, frigorifiée, et le manège pris fin. Nous réintégrâmes le salon, où la télévision jouait encore et où, malgré la température d'une maison en pleine été sans air conditionné, Miranda resta à genoux sur le tapis du salon, la peau pâle, les lèvres bleu et la pointe de ses cheveux crispées de givre. Je l'abandonnai là, montai les escaliers et m'enfermai dans ma chambre. Quelques minutes plus tard, je l'entendis se relever, prendre ses clés et son sac à main et partir en hâte. Je soupirai. Enfin tranquille.
Ce n'était pas la première fois que nous avions pareil accrochage. La plus part du temps, j'arrivais à contrôler ma colère, mais à d'autres occasions, Miranda me poussait à l'impensable. Pourtant, elle savait. Elle savait ce qui arrivait lorsqu'elle me provoquait. Je n'arrivais pas toujours à contrôler ce pouvoir que j'avais depuis toujours. Ce que j’appelais un don, elle l'appelait malédiction. Au fil des ans, les incidents s'étaient enchaînés les uns après les autres, si bien que mon nom n'était inconnue de personne, et l'on évitait de m'approcher de trop près. Ma mère était perçus comme une folle, tout comme sa mère avant elle et d'autres bien avant. Notre famille vivait ici depuis toujours et l'on me regardait comme la pauvre fille ingrate ayant hérité de ses aïeux fous à lier. Pourtant je savais que tout cela n'avait rien à voir avec la folie. Mon corps était porteur de magie et de puissance, j'étais destiné à bien plus que la vie d'une pauvre lycéenne solitaire en proie aux persécutions vécues chaque jour et aux humiliations qui s'en suivaient toujours. Toutefois, tout comme ma mère l'avait décidé pour elle plusieurs années auparavant, elle avait refusé, dès mon plus jeune âge, de m'enseigner l'art de la magie.
Je crois que c'est à partir du moment où elle a refusé de m'inculquer la magie que notre relation est devenue invivable. Miranda m'avait expliqué qu'elle refusait de me voir finir comme toutes ces femmes qui l'avaient précédés : Incarcérée dans un asile psychiatrique, après des années à avoir manier les plus vils pouvoirs et avoir échoué à une quête qu'elles s'étaient données. Parfois de pouvoir, parfois de gloire, on en sait trop rien. Excepté ma mère, je ne connaissais personne d'autres de ma famille. Tous était mort désormais, tous sauf ma tante Mélijna, la soeur de ma mère mais celle-ci vivait en Amérique depuis plusieurs années déjà. Miranda et elle ne s'étaient jamais entendue, par leur idées divergentes quant au fait d'être Sorcière. Comme j'aurais aimé pouvoir traverser l'océan et aller la rejoindre ! Hélas, Miranda avait coupé tout contact avec elle, et le dernier souvenir que je gardais de ma tante fut lors de l'un de mes anniversaires, lorsque j'avais à peine cinq ans.
Je soupirai et lançai contre le mur le sac de glaces que j'avais pris dans la cuisine pour mon coquard. Mon rêve depuis quelques années étaient de faire mes valises et d'aller rejoindre Mélijna de l'autre côté de l'océan, cette tante qui pourrait m'enseigner ce pourquoi j'étais née. J'étais sûr que l'avenir me réservait quelque chose de plus grandiose encore que ce que j'envisageais, mais sans l'enseignement nécessaire, j'étais une humaine des plus ordinaires avec des rêves intouchables et un don aussi dangereux qu'il était incontrôlable. J'étais poursuivie par la crainte qu'un jour il soit trop tard, et qu'en attendant le moment où plus rien ne pourrait me retenir ici, ce qu'il y avait de magique en moi m'ait déserté pour de bon. Cette éventualité me tuerait.
Je me levai d'un bond. Il n'était pas question de rester les bras croisés en attendant ma majorité. Je traversai le couloir et me rendis dans le bureau. Là, je m'installai à l'ordinateur et me rendis sur un site de localisation. J'entrepris une recherche. Je cliquai dans la marge " Où ? " et entrai la ville de Columbia, dans l'état du Missouri. Aux dernières nouvelles, c'était là que je pourrais la trouver. Et dans la marge " Qui ? " je tapai les lettres une à une. Mélijna Donovan. Je pris une grande inspiration, et cliquai sur " Entrée ".
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Cela faisait deux mois que je correspondais par mail avec Mélijna. Je n'avais pas réussis à dénicher l'adresse de sa résidence, mais en cherchant un peu sur google, j'avais découvert une boutique d'occultisme, de divination et de sorcellerie, dans la ville de Columbia. Après quelques clics sur le site officiel du magasin, j'avais découvert, par un heureux hasard, que la dirigeante de la boutique se prénommait Mélijna Donovan. La minute suivante, j'envoyai un mail via l'adresse publié. Mélijna me répondit quelques jours plus tard. Contrairement à ce que je m'attendais, elle ne fut pas surprise de voir que j'eus cherché à la contacter, et ne s'étonna pas non plus de mon désir de quitter l'Irlande pour aller la rejoindre en Amérique. Sans doute savait-elle, depuis le jour où ma mère eut décider de me tenir loin de la sorcellerie, qu'un jour ou l'autre, je me tournerais vers quelqu'un capable de m'enseigner la magie, et en l’occurrence, il ne me restait plus qu'elle. Néanmoins, elle confirma mes craintes en m'expliqua qu'il me faudrait attendre ma majorité avant de pouvoir traverser l'océan et aller la rejoindre. Par ailleurs, il me faudrait économiser pour être en mesure de payer seule mon billet d'avion, car Mélijna fut catégorique : Si elle se montrait prête à me montrer ses grimoires et de partager avec moi son savoir, elle n'endossait aucune responsabilité quant au voyage que j'entreprenais. Je devrai en informer ma mère, pour éviter tout malentendus, et elle ajouta, pour la forme, d'éviter de trop me servir de mon don, qu'elle trouva par ailleurs aussi fascinant que dangereux. Elle souligna que le plus grand atout pour une sorcière soit que personne ne sache qu'elle en soit une. Si j'en fus pour le moins étonné, j'avais acquiescé. Il faut se méfier de l'eau qui dort...
U.C.. Tell me your secrets PSEUDO: Faith. ÂGE: 630-200+3x....Eh p*tain j'me suis planté dans mon calcul.. FRÉQUENCE DE CONNEXION: Everyday, usually. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? Par un Partenariat! COMMENT TROUVEZ VOUS LE FORUM? Sublimement...Sublime. MULTICOMPTE ? [ ]OH YEAH / [X ]NO. J'AUTORISE LES CHRONIQUEURS DE RADIO STL A PARLER DE MON PERSONNAGE DANS LA PROCHAINE EMISSION ? [X ]OH YEAH / [ ]NO. CODE (en spoiler) : - Spoiler:
Ok by Jez'
Dernière édition par Acélia M. Donovan le Dim 2 Oct - 16:39, édité 10 fois |
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Lun 26 Sep - 23:08 | |
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Lun 26 Sep - 23:08 | |
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Mar 27 Sep - 11:24 | |
| Bienvenue jeune demoiselle. Bon courage pour ta fiche et tout et tout |
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Mar 27 Sep - 21:18 | |
| Bienvenue sur CoB ! Jessica Stam est déjà réservée pour un PV. Pourrais-tu choisir une autre célébrité. Et si tu as besoin d'aide, n'hésite pas à demander. |
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Mar 27 Sep - 21:35 | |
| Oh mince :/
J'avais attendue quelques jours avant de m'inscrire, le temps que le recensement soit terminé comme vous me l'aviez recommandé, et j'avais remarqué que la précédente joueuse dont le personnage était inspiré de Jessica Stam n'avait plus de compte sur le forum, alors j'ai cru qu'elle était libre...
Bon....Je vais me creuser les méninges et voir ce que je peux trouver d'autres.
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Mar 27 Sep - 22:12 | |
| Jessica Stam est réservée pour un PV, c'est pour ça. ça aurait été un membre qui partait il n'y aurait pas eu de soucis, mais là il s'agit d'un PV. Si tu as besoin d'aide pour trouver une nouvelle tête à ton personnage, n'hésites pas. |
| | | M. Rehan O'Neal
« You know I'll be your Queen »
▌A débarqué le : 08/01/2011 ▌Parchemins : 1455 ▌Quantité de sang disponible : 23429 ▌ Code couleur : #deb887 ▌Age du personnage : 39 ans ▌Rang : Kali du Pard ▌Job : Danseuse au Narcisse Enchaîné ▌Citation : « Sans ambition il n’y a pas de talent. »
| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Mer 28 Sep - 5:49 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Ven 30 Sep - 17:02 | |
| Merci !
Bon, je veux bien un peu d'aide pour trouver une célébrité puisque, je l'avoue, je ne connais que les " grands classiques " si l'on puis dire..
Dois-je me rendre dans un sous-forum en particulier ?
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Ven 30 Sep - 19:20 | |
| Pas forcément. On peut te donner des noms ici. Avec Jezebel nous t'en avons trouvé quelques uns. Enfin surtout elle, moi je m'y connais pas en mannequins xD. Donc en mannequins, dans le même style que Jessica Stam, nous pouvons te proposer : Julia Stegner, Jayne Wisener, Yen Trang. Après si tu peux aussi choisir une actrice. Mais je comprends que tu puisses tenir à prendre un mannequin Sinon, je peux te proposer d'aller dans la partie GALERIE, regarder les galeries des membres, certains avatars de plairont peut-être. |
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Ven 30 Sep - 20:04 | |
| Merci beaucoup, j'ai trouvé mon bonheur et je suis prête à faire avancer ma présentation ! Serait-il possible de changer mon pseudo pour Acélia M. Donovan pour remplacer celui-ci ? (La boulette, j'arrête pas de demander de l'aide, des services.. )
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| | | Tess E. Littleton
« SERIAL KICKEUSE »
▌A débarqué le : 22/07/2010 ▌Parchemins : 12385 ▌Quantité de sang disponible : 22692 ▌ Code couleur : #5F9EA0 - cadetblue ▌Age du personnage : 28 ans ▌Rang : Loque dépressive ▌Job : Maman perdue
| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Sam 1 Oct - 1:20 | |
| voilà qui est fait mademoiselle |
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Sam 1 Oct - 21:08 | |
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Mar 11 Oct - 18:45 | |
| Bienvenue =) J'aime beaucoup ton pseudo et ton avatar, le tout est très gracieux Bonne continuation ! |
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Mar 11 Oct - 20:16 | |
| Bienvenue jeune demoiselle ^^ J'espère qu'un jour nos chemins se croiseront |
| | | Asher L. Blackstone
« Votre Saigneurie »
▌A débarqué le : 21/07/2010 ▌Parchemins : 4682 ▌Quantité de sang disponible : 32110 ▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus ! ▌Rang : Chef du clan Blackstone. ▌Job : Chasseur à mes heures perdues. ▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.
| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] Mer 26 Oct - 3:14 | |
| Le délai pour terminer ta fiche est largement dépassé...Direction les archives !
Si tu veux la récupérer, adresse-toi à un membre du staff. |
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| Sujet: Re: ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] | |
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| | | | ❝ Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ❞ [45%] | |
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