Sujet: Re: Annabeth P. Spencer • "When I was a child, I was a Jedi !" Mar 3 Mai - 21:01
Once upon a time...
• PHYSIQUEMENT, ÇA DONNE QUOI ? ; Physiquement... je n'ai rien d'une louve, je suis frêle. La peau blanche, une poitrine petite, enfin non... normal pour mon gabarie. Légèrement musclée, mais je suis loin d'être comme l'ulfric de la meute. Je suis grande en revanche, avec un bon mètre soixante-quinze. Mes cheveux ... blonds, longs, ondulés, souvent mal coiffés. Je n'aime pas les coiffer au grand damne de ma mère. Je n'en vois pas l'utilité car ils s'emmêlent au moindre mouvement. Mes yeux sont d'un bleu très clair, les mêmes yeux que mon père. Ils sont vifs, aux aguets de chaque mouvements autour de moi. Quant à mes lèvres, elles sont très roses naturellement, et sont pulpeuses. Je ne me maquille jamais, sauf pour les grandes occasions tels que mariages, ou grandes soirées, mais cela reste extrêmement rare. Je n'aime pas perdre mon temps à me mettre des poudres ou crèmes sur mon visage. Je préfère que l'on me voit au naturel qu'avec tous ces artifices. Ah oui, grâce à l'éducation de ma mère, j'ai une démarche élancée et légère, et je me tiens droite. J'ai plutôt intérêt vu ma taille en même temps. Bref, et je m'habille très simplement, un style un peu bohème et rock. Je privilégie les vêtements confortables aux vêtements où l'ont n'arrive plus à respirer. Je suis quelqu'un de simple, et cela se voit dans mon apparence. Je n'aime pas les fanfreluches, le surplus, l'inutile, et le too-much. Je suis une fille de la nature, un peu sauvage, je n'aime donc pas me compliquer la vie avec tout ce que l'on trouve dans les magazines. Dernier détail : j'ai un lys tatoué sur ma nuque, mon frère l'a également. Quant à mon apparence de lycan, je suis une louve rousse.
• ET MORALEMENT ? ; Sauvage, impulsive, instinctive, vulnérable, câline, changeante, bordélique, inconsciente, intolérante, sauvage, agile, fière, rancunière, tête brulée, distraite, esprit de famille, joueuse, taquine, loyale, franche, simple, ... Je suis une jeune femme très dynamique, je déborde d'énergie. Une énergie je j'arrive pas à canaliser. On me le reproche souvent, tout comme mon impulsivité et mon inconscience. J'ai ce côté sauvage et un instinct très fort. j'agis plus en fonction de mes instincts que de ma raison. Je ne l'écoute jamais, au grand damne de mon entourage, car cela me fourre bien trop régulièrement dans des situations délicates. Souvent, mon côté loup prend le dessus au côté humain, une vraie tête brûlée. j'ai donc également un instinct de conservation très fort pour moi et mes proches, je n'hésiterais pas à foncer pour défendre quelqu'un qui m'est cher. La famille est également quelque chose de primordial à mes yeux. Je suis très soudée à mes parents et à mon frère, ainsi qu'à ma meute. J'aime les miens plus que tout, et ferai tout pour les protéger, ils passeront sans hésiter avant mon bien être et mon bonheur. A côté de ça, je suis une fille simple, je vais droit au but, je suis franche et loyale. J'ai été éduqué avec certaines valeurs primordiales : celle de la famille ainsi que la loyauté. Je ne suis cependant pas loyale à tout le monde. Étant très observatrice, je ne suis loyale qu'avec les miens, les loups. Je n'accorde que difficilement ma loyauté aux autres. Un peu farouche, et méfiante, je ne fais pas confiances aux autres races qui peuvent causer du tord à la mienne, par principe qu'eux ne nous font pas confiance. Aux premiers abords, je suis donc distante et méfiante. Mais ceux qui me connaissent pas savent que je suis quelqu'un qui déborde de vie. Je suis joueuse, et taquine. J'aime les bonnes choses et profiter de la vie dans son plus simple appareil. En contrepartie, je suis câline, vulnérable et je change très vite d'humeur. Et la personne fière que je suis n'accepte pas ce côté vulnérable de ma personne, de plus que cela à engendrer de la rancune que j'éprouve lorsque je me sens trahis ou sujet aux mauvaises blagues.
• HABITUDES DIURNES ; Je dors, principalement, vu que mon travail n'est que le soir. Il m'arrive cependant de faire quelques heures sup' la journée pour dépanner le patron, mais cela reste rare. Sinon, je fais du sport, cela varie : athlétisme, boxe, natation, ... mais je consacre une bonne partie de mes après midi à me défouler, pour canaliser toute mon énergie et éviter les dérapages. Je suis ce rythme de vie depuis que je me transforme. Il y a quelques années, avant de travailler à la radio, j'étais maître nageuse et surveillante de baignade. • HABITUDES NOCTURNES ; Je suis animatrice radio, et j'anime la libre antenne le soir sur 'Zone SL' (Zone Saint Louis), jusqu'à minuit. De 20h à 00h je suis donc en studio à écouter se plaindre ou soulager leur conscience pour qui en ressent le besoin dans la ville ou ses environs, puisque la station de radio n'est diffusée qu'à Saint Louis et ses proches environs. Après il m'arrive souvent de profiter de la soirée en allant faire la fête ou boire un verre, je profite de ma jeunesse !
Dernière édition par Annabeth L. Spencer le Jeu 5 Mai - 21:22, édité 7 fois
Sujet: Re: Annabeth P. Spencer • "When I was a child, I was a Jedi !" Mar 3 Mai - 21:02
• HISTOIRE ;
Mes parents sont tous deux des lycanthropes, des loups. Mon père l’est depuis maintenant plus de soixante ans, et ma mère l’est par mon père. Pour la petite histoire : mon père est tombé amoureux de ma mère, mais étant une humaine, il n’avait pas le droit de l’approcher. Mon grand-père était très vieux jeu et lycanthrope également (il a été transformé en même temps que mon père). Il est actuellement mort, enfin, son squelette repose au Lupanar, j’ai même eu le droit de le gouter. Et papy, il a bon gout ! Bref, mon grand père est lui aussi né lycan. Il insistait pour que sa descendance soit « pure », qu’il n’y ait que des lycans. Par crainte qu’un enfant né d’une union « lycan-humain » ne donne qu’un humain, il insistait pour que l’humain choisi soit transformé en lycan, même si cela pouvait quand même donner naissance à des humains. Ma mère n’a donc pas eu le choix, mon père lui a sauté dessus, l’a griffé pour qu’elle devienne une louve. Autant vous le dire, au début elle n’était pas du tout d’accord, elle voulait même se laisser dominer par sa nature de louve, pour qu’au bout des trois ans d’adaptation elle se fasse tuer. Mon père a réussi à la convaincre, et c’est l’amour qui a réussi à sauver ma mère de la mort qu’elle voulait se donner. Aujourd’hui, ma mère s’est fait à sa condition de lycan. Elle ne dit rien, mais dans le fond, je le sais, elle a fait beaucoup de sacrifices pour mon père et aimerait que ses enfants ne soient pas lycans. Quoi qu’il en soit, moi, je suis une lycanthrope, une louve-garou, une vraie, je n’ai pas plus de sang humain qui coule dans mes veines que de cœur qui bat chez un vampire, même si j’ai bien faillit ne jamais devenir une lycan. Mais avant ma naissance, ma mère mit au monde mon frère : Nathanael. C’est un an après que je suis venue au monde. Mes parents m’ont élevé, mon frère et moi dans un esprit de meute. Jamais on ne nous a caché que nous étions enfants de loups-garous et que nous pouvions en devenir. Au contraire, très tôt nous étions sensibilisés à ce que nous allions devenir. J’ai grandis comme tous les enfants, dans l’amour de leurs parents, je me suis crées monts et merveilles, me prenant pour une princesse ou un pirate, mon frère étant toujours la pour jouer avec moi. J’étais toujours la demoiselle en détresse, et lui le prince charmant. Enfants, nous nous sommes créés un lien très fort qui nous unissait. Nous étions à l’école du village. Nous n’avions pas encore les signes physiques des loups, ce qui nous permettait de nous fondre dans la masse, et d’avoir des copains, même si je n’avais pas le droit de les inviter à la maison. Mes parents, même s’ils se contrôlaient devaient avoir peur qu’une transformation précoce se produise. Notre maison aurait pourtant pu nous permettre d’inviter plein de gens, elle est grande, est en lisière de la forêt.
A l’âge de douze ans, mes parents m’ont retiré de l’école. Ma part de loup ne devait pas tarder à se manifester, et mes parents préféraient éviter que je devienne un danger pour les autres, car cela se manifestait par une augmentation de la force, des pulsions incontrôlables, nos sens qui se développaient, … Ils préféraient garder un œil sur nous, mon frère étant logé à la même enseigne. Nathanael, à quinze ans ne manifestait toujours aucun signe de transformation, ce qui inquiétait mon père. Refusant d’attendre, car mon frère était un atout trop précieux à ses yeux pour qu’il reste simple humain : il se chargea lui-même de sa transformation par la force. Nathanael dut luter pour contrôler le loup qui était en lui, mais il s’en sorti au bout de quelques mois. Ce ne fut pas mon cas. Je ne manifestais toujours pas de signes de transformation. Mon père commençait à s’en prendre à ma mère, l’accusant de l’avoir trompé, que ses enfants n’étaient pas de lui. Que je n’étais pas sa fille. Celle-ci lui interdit de provoquer ma transformation comme il l’avait fait avec Nathanael. Je crois qu’elle voulait me laisser une chance d’avoir la vie qu’elle n’avait pu choisir. Les années passèrent, et je suivais les cours à domicile. Je n’avais plus de vie sociale, si ce n’était avec ma famille ou des gens de la meute. Je ne devais fréquenter que des loups, ne sachant pas quand ma transformation allait arriver. Mais le fait de ne trainer qu’avec des loups pouvait favoriser ma transformation d’après mon père. Les journées étaient longues, et je n’en pouvais plus de rester à la maison, enfermée, ou de sortir, mais toujours avec un adulte. Les nuits de pleines lunes étaient pires.
A dix-sept ans, j’étais toujours humaine. J’avais noué avec mon frère une relation très soudée. Il était le seul à me comprendre, j’étais la seule à le comprendre. Mais notre relation avait parfois des tournures ambigües : Des étreintes, des rapprochements, … mais cela restait sacré. Je ne voyais pas cela comme des actes mal placés, que par convention il ne nous était pas possible d’agir comme cela l’un envers l’autre, mais c’était plus là l’amour d’un frère et d’une sœur très fort. A l’arrivée d’une pleine lune, toute la meute était sous l’emprise des chaleurs lunaires. Je voyais Nathanael en subir les frais, et essayer de les satisfaire en se rendant en ville. J’étais à la maison, mes parents étant en train de satisfaire leurs besoins à l’étage. Je sentis en moi une bouffée de chaleur. Je ne savais pas ce qu’il m’arrivait. J’étais prise de panique. Nathanael n’était pas là, il devrait être là pour m’aider. Et je ne pouvais déranger mes parents, risquant de subir leur colère. Me passant la main nerveusement dans les cheveux, je compris. Je savais ce qu’il fallait que je fasse, il me fallait deux choses : du sang et du sexe. Je déglutis avec peine. Ayant été enfermée depuis plus de cinq ans, je n’avais jamais eu de relations sexuelles. Je pris les clefs de ma moto, pour me rendre en ville. Sur la route, je sentais déjà les effets de ma transformation : mes sens s’aiguisaient, j’entendais mieux, sentais mieux, voyais mieux, … Je me suis rendue dans le premier bar qui me tombait sous la main. D’un geste rapide, je me mis du rouge à lèvres, ouvris ma chemise et ébouriffa mes cheveux. J’avais plus l’impression de ressembler à une prostituée qu’autres choses, mais peu importe, je devais satisfaire ces nouveaux besoins, au risque d’en subir la colère de l’ulfric de la meute. Je me suis assise au bar, commandant une vodka tonic. Je me fis abordée par un homme quelques minutes après. Grand, brun, peu musclé, la trentaine, le regard pervers. Parfait ! Après quelques mots échangés, il me conduit chez lui. J’étais tellement obnubilée par le fait de satisfaire ce besoin capital que j’en oubliais de lui dire que j’étais encore vierge, ce qu’il ne manqua pas de me faire remarquer après l’acte. Me rapprochant furtivement de lui, je fis glisser mes ongles le long de son dos, jusqu’à lui déchirer la peau. Le sang coulait par petites perles, puis enfonçant plus encore mes ongles jusqu’à ce que le sang coule à flot. Il hurlait. Beaucoup trop à mon gout. Son cri était strident, mes oreilles, fraichement dotées d’une ouïe plus fine ne pouvait les supporter plus. Instinctivement, sans vraiment me contrôler, je sautais sur lui pour lui rompre le cou de mes mains. Impulsive. J’étais bluffée de ma force croissante. Je pris le temps de me rassasier de son sang avant d’allumer une clope, tirer quelques lattes, puis poser la clope sur les draps couverts de son sang ainsi que du mien. Une flamme ne tardait pas à s’élever, juste le temps pour moi de me rhabiller, et de m’enfuir. En rentrant à la maison, mes parents m’attendaient, ils allaient m’engueuler, avant que je leur dise que ça y est : ma transformation avait commencé, qu’ils n’avaient pas à s’en faire, leur fille était belle et bien une lycan. Je les informais également que j’avais satisfait mes besoins, que j’avais tué l’homme, puis fait bruler son corps histoire qu’on ne remonte pas jusqu’à moi. Je ne leur laissais pas le temps de me répondre quoi que ce soit, j’étais épuisée et m’empressais d’aller me coucher. Lorsque la pleine lune fit son apparition, j’eus le privilège d’accompagner enfin mes parents, mon frère et la meute au Lupanar. Mon frère était là, pour m’aider. Mon père était rempli de fierté d’avoir un enfant né loup–garou. Quant à ma mère… elle était désolée de me donner cette vie. Mais je ne lui en voulais pas, j’étais fière d’être une lycan, qui plus était que les nés-lycans étaient rares. Je déchantais vite, lorsque ma transformation en louve commença. J’hurlais, je sentais mon corps se déchirer, mes os exploser. Pendant un instant j’en ai voulu à mon père d’être fière de me faire autant souffrir. Lorsque je rouvris mes yeux, je n’avais plus la même vision. J’étais fasse à une meute de loups. Je n’avais jamais pu les voir avec leur apparence de loup. J’étais surprise, émerveillée, perdue. Mon frère, un grand loup, brun foncé, beige et gris. Ma mère, une louve blanche, et mon père, tacheté de plusieurs couleurs de pelage. Mon frère me fit signe de la tête de le suivre. Je mis un certains temps à m’habituer à mes pattes, à marcher avec quatre pattes aussi. Il m’amena à un point d’eau, pour que je m’y voie. J’étais une louve, au pelage roux. Tournant sur moi-même j’essayais de voir la bête que j’étais, jusqu’à ce que mon odorat m’en arrête. Levant le museau, je sentis … de la chaire fraiche. Mon père me fit signe d’y aller. C’était une explosion de nouvelles sensations : courir aussi vite, sentir le vent glisser sur mon pelage, sentir la terre sous mes pattes. J’avais l’impression d’être enfin complète, d’avoir enfin trouvée ma personnalité. Ce soir là, je pris mon premier repas de louve-garou : un pauvre innocent qui se promenait dans la forêt. J’en pris gout. Je mis un an à contrôler parfaitement ma transformation, m’habituer à mes nouveaux besoins, à mes nouveaux sens. A me réhabituer également au monde, à cottoyer des gens. Je pris mon indépendance, habitant en ville. Je rendais visite à mes parents chaque week-end cependant, ainsi qu’à la meute, car je faisais enfin partie de la meute de Saint Louis. Je n’avais pas se don spécifique, mais cela ne semblait pas déranger mon père, si fière d’avoir une fille lycan. Il en avait délaissé Nathanael pour se concentrer sur moi. Je devais devenir une arme parfaite. Sauf que je n’étais pas ce genre de personne. J’étais quelqu’un de butée, impulsive et sauvage. Je refusais de voir son autorité planée au dessus de moi. Si lui était foncièrement mauvais, et ne rêvais que de voir les vampires chuter de leur piédestal, moi je préférais rester neutre. Même si mes intentions, avec mon impulsivité et mon côté sauvage se tournaient souvent du mauvais coté, et que je n’hésiterais pas à protéger ma meute. Il avait beau être un vieux loup, avec plus d’expérience, j’avais plus de force que lui. Craignant de me perdre il préféra donc me laisser, faire ma vie, retournant son attention sur mon frère. Cela ne l’empêchant pourtant pas de me donner des consignes à chaque fois que je le voyais. Mon frère était conditionné par mon père, ce qui n’était pas mon cas. Mais le fait d’avoir refusé tout conseil de mon père avait fait de moi une femme inconsciente. Mon impulsivité était mon plus gros trait de caractère, je n’agissais que par lui, inconsciemment.
Les années sont passées. Aujourd’hui, j’ai vingt ans, mon corps à physiquement dix-sept ans, âge de ma transformation. Je refuse toujours d’écouter mon père, même s’il ne cesse de me donner des conseils. Je joue avec le feu en n’étant pas vigilante. Je suis animatrice radio, j’anime la libre antenne de Zone SL, et n’hésite pas à cracher du venin sur les vampires. Je sais que cela peut m’apporter des ennuis, mais je me dis que derrière mon micro, je ne risque rien, et que de toutes façons je suis une lycan. Je suis une jeune louve, et je sais que ce qui m’attend n’est pas un conte de fées. Etre lycan m’apportera certainement des ennuis, mais je ne veux pas me priver de vivre. Je veux me casser la gueule, avoir des peines de cœur, rire, me construire des souvenirs. Je veux profiter de la vie avant que le malheur me tombe dessus sans crier garde. Je suis bien consciente de ça, et c’est pour cela que je refuse de faire des plans sur l’avenir, d’avoir des relations stables avec les humains ou les autres. Ce qui est durable, je ne l’ai construit qu’avec les lycans.
Sujet: Re: Annabeth P. Spencer • "When I was a child, I was a Jedi !" Mer 11 Mai - 19:46
FICHE TERMINEE. Je m'excuse des éventuelles fautes d'ortho, s'il en reste. Et si ma construction de mon histoire a quelques erreurs par rapport au contexte.
Je suis prête aux modifications !
(et vous pouvez supprimer ce post s'il dérange =D)
EDIT : Serait-il possible de changer mon pseudo "Annabeth L. Spencer" en "Annabeth P. Spencer" ?
Sujet: Re: Annabeth P. Spencer • "When I was a child, I was a Jedi !" Ven 13 Mai - 17:34
Alors je dois tout d'abord te dire que j'ai beaucoup aimé ta fiche un style direct et efficace (et je n'ai relevé que deux-trois petites fautes alors bravo *__* !!!!)
J'ai donc le plaisir et l'honneur de t'annoncer que tu as attrapé le dernier train pour l'enfer !
Je t'invite donc à aller faire ta fiche de liens et rp
N'hésite pas à appeler au secours si tu as la moindre question ou le moindre problème
▌A débarqué le : 21/07/2010 ▌Parchemins : 4682 ▌Quantité de sang disponible : 32115 ▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus ! ▌Rang : Chef du clan Blackstone. ▌Job : Chasseur à mes heures perdues. ▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.
▌A débarqué le : 21/07/2010 ▌Parchemins : 4682 ▌Quantité de sang disponible : 32115 ▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus ! ▌Rang : Chef du clan Blackstone. ▌Job : Chasseur à mes heures perdues. ▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.