Leah est sans doute ce que l'on appelle communément une belle jeune femme. De taille moyenne , elle possède une silhouette fine et élancée. Ses cheveux quant à eux sont bruns et lisses et retombent en cascade , sur ses frêles épaules. Son visage lui possède des traits fins, harmonieux et impassibles. Ses yeux en amandes, aussi sombres que ses cheveux, demeurent extrêmement expressifs à l'instar de son visage qui lui, est constamment figé sur une expression quasi-neutre.
Vestimentairement parlant, Leah prônera toujours la sobrieté . Loin de se laisser influencer par les dictat de la mode, elle se maîtra en valeur sans dénigrer son confort personnel. Aussi, elle arborera plus souvent des baskets, laissant les talons vertigineux aux rares occasions. La jeune femme aime porter les couleurs sombres qui font ressortir son teint légerement basané. Ainsi, ces couleurs de prédilections seront incontestablement le noir, le rouge, le bleu nuit ou encore le violet. Elle apprécie également le blanc, mais ne le porte que rarement.
• ET MORALEMENT ? ; Constamment d’humeur changeante, Leah pourrait s’apparenter à un balancier, changeant de personnalité à sa guise. De nature introvertie, elle la désire, elle la recherche, cette solitude exacerbée sécurisante qui lui permet d’évoluer en toute sécurité. D’une apparence imperturbable, la jeune femme au regard sombre, n’est autre qu’une armure de glace que nul ne pourrait briser.
Souriant peu, voir jamais, cette impassibilité qui la caractérise perpétuellement est l’esquisse du trouble qui se passe perpétuellement en elle. Préférant de loin les paroles acides aux douces, elle demeure une personne particulièrement étrange dont l'apparence est un mélange de fragilité et de dureté.
Tenant son instabilité de sa mère, Leah n’a jamais été femme à se laisser enchaîner en un seul lieu. Rêvant constamment d’autre chose que ce qu’elle possède, n’y allant que très rarement par quatre chemin, l’ennui chez elle ne se fera jamais ressentir. Sans autres formes de jugement, si quelque chose lui déplait, elle pourra plier bagage, sur un coup de tête. Imprévisible, et encore, c’est peu dire. Quant à son côté volage, nous ne pouvons l’assimiler à de l’infidélité, puisqu’elle ne s’est jamais attachéé à personnes. Disons plutôt que sa liberté est la seule chose qu’elle chérit plus que tout au monde. Le reste n’a à ses yeux, aucune espèce d’importance.
Seulement, sous sa personnalité complexes demeurent les revers doux de son être . A savoir, un côté aimant, presque rêveur, un tempérament semblable à un volatile insouciant. Calme, dotée d’une espièglerie enfantine incomparable et d’un humour de petite fille, cet aspect de sa personnalité ne se dévoile cependant qu’en de rares occasions. D’une sensualité dont elle n’est parfois pas consciente, Leah se plaît parfois à user de ses charmes pour manipuler, jouer avec le feu, pour mieux disparaître avant de se laisser consumer par des flammes qui ne feraient que la détruire un jour ou l’autre. Jouer, mais disparaître à l’aube de la bataille finale.
Irrémédiablement attirée, et paradoxalement, terrifiée par les flammes, Leah subit parfois les revers de sa folie, emportée jusqu’au tréfonds de son être dans des crises bouleversantes qui pourraient l’assimiler à un démon sans aucune pitié, ni once d’humanité.
Jeune femme intelligente, se plaisant parfois à philosopher sur peu de choses, cet aspect de sa personnalité est celui le plus apparent dans son travail. Douce, patiente, à l’écoute des besoins des personnes qu’elle déteste tant en temps normal, cette douceur toute entière est celle qui la caractérise lorsque rien ne semble pouvoir venir la perturber. Lorsque le calme, imperturbable après une vive tempête, s’empare de ses sens pour faire d’elle une femme attachante, presque touchante en un sens.
• HABITUDES DIURNES ; Aller en cours entre autres ... • HABITUDES NOCTURNES ; Essayer vainement de vaincre ses insomnies, finir par céder et faire une promenade nocturne.
Dernière édition par Leah H. Strickland le Lun 11 Oct - 0:09, édité 1 fois
Sujet: Re: Quand les ténèbres prennent le pas ; Leah H. Strickland Dim 10 Oct - 21:44
• HISTOIRE ;
Almudena Serrano , jeune femme, vivant au gré des plaisirs fugaces et simplistes que lui accordaient la vie, avait toujours eut une existence paisible, évoluant dans une ferme au sud de l'Espagne avec ses parents qui, desesperés par le tempérament rêveur de leur fille unique, s'étaient résignés à placer en elle des espoirs pour leur famille qui tombait en ruine. Subissant la torture de ses envies d'evasion, et d'une terre d'exile différente que celle à laquelle elle était rattachée depuis sa plus tendre enfance , la jeune femme rêvait d'un nouveau monde, d'une autre vie, plus florissante et en accord son ambition de réussite. Alors qu'elle se plaisait à s'imaginer placée au plus haut rang de la societé , elle maudissait son quotidien et redoutait son avenir, copie conforme de la vie éprouvante et dénuée de plaisirs, de ses parents. Charmante, agréable, à la fois fragile et indomptable, la première fois que Lawrence Ainsworth, un jeune Anglais de bonne famille, passant ses vacances en Espagne, avait posé ses yeux sur elle, il avait tout de suite su que c'était elle qu'il lui fallait. Au seul regard qu'elle lui adressa, à son seul sourire qui le questionnait silencieusement, il comprit qu'il ne pourrait envisager partager sa vie avec une autre femme. Il la vit soudain s'évaporer derrière un convoi de marchandises, comme un songe trop éphemère. Seulement, il la revit le soir même, plus belle encore que lorsque de leur première "rencontre" . Elle dansait alors au bras d'un autre homme que lui, il s'était alors avancé sans rien dire , la musique venait de se terminer. Elle l'avait detaillé avec une telle intensité, un tel amusement délicieux, qu'il en avait finit par en perdre ses moyens.
Cette soirée fut ainsi le prologue d'une histoire d'amour presque irréelle entre un homme que le charme d'une femme avait emprisonné à jamais. Almudena avait enfin trouvé la terre d'exile dont elle avait rêver silencieusement durant toute son existence. Et à peine deux semaines après leur rencontre, elle et Lawrence s'étaient mariés, sans prevenir personne puisque la jeune femme savait que ses parents seraient contre son choix: un étranger n'était pas immaginable. Redoutant la foudre qui s'abattrait en annonçant à ses parents la nouvelle de son mariage, Almudena ne rentra jamais. Emportée par son coeur dans un periple qui la menerait à sa vie nouvelle, elle suivit son mari jusqu'aux Etats-Unis où il s'installèrent , à Détroit.
A peine leur emmenagement terminé que Almudena, fut porteuse d'une agréable nouvelle qui enchanta le couple autant que cela le destabilisa. Elle était enceinte de quelques semaines à présent. Le futur père ne se ménageant donc pas pour créer à sa famille naissante un foyer digne de ce nom, du haut de ses vingt ans, il n’avait jamais songé qu’en si peu de temps, sa vie puisse prendre une telle tournure. Aveuglé par l’amour qu’il portait à sa ravissante épouse, toujours plus belle au fil des mois tandis que leur futur enfant évoluait en elle, arriva bientôt l’instant fatidique de l’accouchement. Celui qu’il n’avait pas redouté un seul instant, simplement parce qu’il était persuadé que nul ne pourrait lui retirer le bonheur qu’il avait acquit. La mise au monde du bébé se révéla éprouvante pour la jeune femme, qui, considérablement affaiblie, avait perdu cette luminosité du regard qui la caractérisait tant. Pourtant, lorsqu’il la vit, portant leur petite fille entre ses bras, les cheveux encore humidifiés par ses efforts, et tombant sur ses épaules hâlées, jamais il ne vit plus belle femme qu’en cet instant, et ce, malgré les cernes qui tiraient les traits de son visage, et la pâleur maladive de son teint. Lawrence s’approcha pour tenir sa fille entre ses bras, glissa son index sur cette petite chose, ce petit être qu’il aimait déjà. Puis, ses yeux emplis d’émotions se tournèrent vers sa femme. Son visage, penché gracieusement sur l’oreiller, lui conférait cette beauté angélique qu’il ne cessait d’admirer . Les lèvres entre-ouverte, il murmura son prénom, s’enquit de son état silencieusement en s’en retournant vers sa fille. Alors qu’il observait le visage du nourrisson entre ses bras, ses yeux se posèrent de nouveau sur son épouse, dont la poitrine ne se mouvait plus sous son souffle. Il déposa l’enfant dans son berceau, puis sa main effleura le visage de la jeune mère, caressa la froideur de ses lèvres, puis ce fut le choc, brutal, fatal, voir mortel. Son visage ne décomposa, comme un verre que l’on aurait jeté sur le sol. Répétant son prénom, pressant son visage entre ses doigts en lui criant presque de se réveiller, ses suppliques d’homme brisé avaient éveillé les soupçons des infirmières dans le couloir, qui avaient accourue la minute qui suivit. Almudena avait rendu son dernier souffle après avoir donner la vie, et en mourant, elle avait emporté le bonheur qui aurait pu être le leur. En mourant, elle avait tué celui à qui elle s’était unie à jamais.
Lawrence complétement anéantit par la mort prématurée de son épouse, ne parvenait à ressentir la joie qu'éprouvait communément un tout jeune père. Pire encore, il ne parvenait à regarder sa fille, sans voir en elle la cause de la mort de sa femme. Il avait finit par donner à son unique enfant les deux prénoms que sa défunte femme avait choisit si cela eut été une fille, puis craignant de ne savoir donner l'amour nécessaire à cet enfant qui n'avait au fond rien demandé, il emporta le nourrisson avec lui dans un ultime voyage et le déposa sur le seuil de la porte de ses beaux-parents, avec une lettre, leur demandant de s'occuper d'elle et en leur expliquant en quelques mots ce qui s'était passé. Il disparut ensuite, et nul ne l'eut plus jamais revu. Des rumeurs avaient courut comme quoi il aurait mis fin à ses jours, des rumeurs vites tut et tombées dans l'oubli.
Leah a donc grandit dans l’ignorance de la réalité, ne cherchant pas plus d’informations au sujet de ses géniteurs que ses grands-parents daignaient lui en donner. Portrait de sa mère jusque dans les plus infimes détails de sa personne. De son père, elle avait acquit son talent pour l'art, la logique et tout ce qui pouvait porter à une connaissance quelconque en général.Petite fille débordante d’énergie, parfois interloquée que sa grand-mère l’appela Almudena avant de fondre en larme, elle se plaisait à évoluer dans ce cadre champêtre. Bien qu'elle rêva à son tour de parcourir d'autres horizons et ce, dès son plus jeune âge. A sept ans à peine, son avenir était déjà prometteur, et rien n’aurait pu amener à penser qu’elle se dirigerait vers une voie aussi sombre, étouffait dans son parcours ce qui la définissait jusqu’aux tréfonds de son être.
Plongée dans l’ignorance de son enfance, son grand-père, propriétaire de ses terres depuis des années à présent, avait dû s’endetter afin de lui offrir un avenir prometteur. Le vieil homme qui avait fini par pardonner à sa défunte fille de s'être mariée à "un étranger", voulait obtenir sa redemption auprès de sa petite fille. Aussi en essayant de lui offrir le meilleur, il finit par s'endetter. Des dettes importantes, non pas à l’égard de la société, mais auprès d’un riche comte local auprès duquel il avait fait des crédits. Celles-ci ne faisait qu’augmenter au fil des jours, et le vieil homme arriva bientôt devant une impasse irréfutable. Il avait fait affaire auprès de lui parce que, en tant que professionnel, il avait sut lui camoufler les revers de la médaille. Mais au fond, et lorsque son bourreau vint lui réclamer sa pitance accompagné de ses hommes de main, il comprit qu’au lieu de mettre sa famille à l’abri, il venait, et ce sans avoir put s’en rendre compte, de la condamner à mort.
« Brûlez moi tout ça. »
Cachée, sur l’ordre de sa grand-mère, dans une armoire dont elle avait discrètement entre-ouvert la porte, elle se souvient encore aujourd’hui de la façon dont s’étaient déroulés les évènements. Son grand-père avait commencé à supplier l’homme en costume beige d’épargner ses biens, et un acolyte l’avait empoigné par le col en l’envoyant valser par terre. Son épouse, pleurant à chaude l’arme, avait été frappée à son tour, et, ignorant ce geste d’une extrême violence, elle s’était précipitée vers son mari pour s’assurer qu’il allait bien. L’homme en costume avait tendu la main vers l’arrière, on lui avait placé entre les mains un bidon d’essence, il s’était mis à rire, puis avait vidé une partie du contenu sur l’homme et sa femme au sol, qui, ne comprenant pas ce qui se passait, criant presque à présent, avaient rejoint les flammes de l’enfer lorsque l’allumette de leur bourreau, fraîchement allumée, avait effleuré le sol maculé de l’essence même d’un brasier. Demeurée cloîtrée dans son armoire, ne parvenant même plus à cligner les yeux, son cœur lui sembla s’être arrêté, tandis que les hurlements de ses deux « parents » ne devenaient plus que murmures au fond de sa conscience. La fumée commençait à prendre son ampleur dans la maison, celle-ci se consumant peu à peu sous un brasier dévastateur. Les flammes n’atteignirent l’armoire que plus tard, et, étouffées par la fumée charbonneuse, elle avait déjà perdu connaissance depuis longtemps. Lorsqu’elle se réveilla, la lumière au dessus d’elle était blanchâtre, aveuglante, et elle entendait un son régulier qui devait correspondre aux battements de son cœur. A cet instant, elle avait cru qu’elle était morte, et que le paradis avait une bien piètre allure. En un sens, cela était vrai. Leah était morte cette après midi là, brûlée vive avec sa famille. Cet être qui demeurait étendu sur un lit d’hôpital, ce n’était pas elle, c’était le démon qui avait pris sa place.
Après l’incident, Leah demeura à l’hôpital pendant plusieurs mois, avant d’être transférée, une fois ses brûlures soignées, dans un hôpital psychiatrique. Sous le choc, elle avait perdu l’usage de la parole. Les mots ne pouvaient passer la barrière de ses lèvres. La seule chose qui témoignait du fait qu’elle puisse encore parler étaient les cris qu’elle poussait nerveusement, témoin de la détresse qui la tiraillait de l’intérieur. Les médecins lui avait dit, sachant qu’elle comprendrait tout à fait, et que, malgré le choc qu’elle avait subit, son intelligence demeurait la même, que ses brûlures ne disparaîtraient jamais. Que les marques de l’incendie, qui lui lacéraient une partie du dos, de la hanche, et d’une épaule, évolueraient en même temps qu’elle sans que l’on puisse rien y faire. Mais tout cela n’avait pas d’importance à ses yeux. Ce qu’elle voulait, c’était fermer les yeux, et ne plus jamais se réveiller. Elle voulait fermer les yeux et ne plus voir ses grands-parents hurler sous la douleur calcinant qui les avait emporté tout deux. Quoiqu’il en fut, Leah fut suivit psychologiquement pendant toute son adolescence. Elle avait reccomencé à parler et rejoint un centre spécialisé avant d'être placée dans une famille d'accueil relativement aisée . Matthew et Elisabeth Strickland étaient un couple de quadragénaire dans l'incapacité d'avoir des enfants. Matthew avait hérité d’une fortune colossale de son père, et ne savait que faire de cet argent qui permettrait à leur foyer de prospérer pendant des dizaines d’années. Les premières années furent difficiles pour les deux nouveaux parents, qui devaient essuyer les crises de leur fille adoptive. Ils étaient au courant de ce qu’elle avait subit. Savaient pourquoi elle se mettait à hurler chaque fois qu’elle fermait les yeux. Cependant, ce qu’ils ignoraient, était la fascination que Leah avait envers le feu. Tantôt il lui faisait peur, tantôt au contraire elle se sentait irrémédiablement attirée par celui -ci.
Adolescente à problèmes, ne parvenant à se faire une place dans une société dont elle ne faisait pas partie, ses résultats scolaires étaient pourtant plus qu’honorables. Et un avenir brillant s’offrait à elle pourvu qu’elle veuille s’en saisir. Mais du haut de ses dix-sept ans, ce qu’elle désirait vraiment était différent de tout ce qu’on aurait pu lui offrir. Elle le voulait lui, cet homme qui avait brisé sa vie, cet homme qui l’avait tué. Elle voulait le voir brûler, souffrir de la même façon qu’elle-même avait souffert. Jamais ô grand jamais les médecins qui s’étaient occupés d’elle pendant des années n’avaient découvert chez elle des pulsions meurtrières, frôlant la psychose. Leah était victime parfois de troubles de la personnalité qu’elle était à même de contrôler. Mais sa violence, son tempérament, celui-ci, elle ne pouvait faire quoi que ce soit à son encontre. Commençant à cotoyer de douteuses connaissances, travaillant en parallèle pour ne pas compromettre son avenir, qui avait tellement couté à ses grands-parents, sa vie sillonnait entre décadence et réussite. Ses parents étaient médusés de ses fréquentations douteuses, et lorsque leur fille disparaissait parfois pendant plusieurs jours sans donner signe de vie, mais pareillement, ses résultats scolaires étaient plus qu’honorables, ils ne savaient donc comment la résonner. Était-ce seulement possible ? Peut-être pas après tout.
Leah évoluait alors en batifolant avec insousciance , aveuglée par la haine qui l'empêchait d'aimer qui que ce soit. La plupart des "amis" de son âge se vantaient de multitudes d'aventures plus ou moins serieuses. Elle, ne pouvait s'enorgueillir que de sa solitude exacerbée.
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Sujet: Re: Quand les ténèbres prennent le pas ; Leah H. Strickland Lun 11 Oct - 20:39
Welcome aboard !
J'aime beaucoup ta façon d'écrire ! Cela dit, fais attention aux vilaines fautes d'orthographe et de ponctuation.
Je cite, par exemple : « elle se maîtra en valeur sans dénigrer » Le verbe maître n'existe pas. XD Tu voulais dire « mettre » je pense. XD
Enfin, tout ça pour dire : fais attention, ces petites fautes font mal aux yeux. ><
Mais je ne vais pas te refuser pour ça ! Ainsi, je te souhaite un bon voyage à bord du dernier train pour l'Enfer !
Amuses-toi bien parmi nous, et si tu as la MOINDRE question, n'hésite pas à contacter l'un des membres du staff ! Pour t'intégrer, je te conseille de flooder ou bien de t'inscrire au parrainage.
En espérant que tu aies une longue vie sur le forum.
Sujet: Re: Quand les ténèbres prennent le pas ; Leah H. Strickland Lun 11 Oct - 21:10
Merci beaucoup à vous
Je suis désolée pour les fautes d'orthographes, je devais être fatiguée. Je m'efforcerai de repasser sur ma fiche pour corriger, c'est promis. Arf... --'
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