V E S P U C C I ♦ I got ice in my veins

Cristina Esméralda

Vespucci

❝ Donne-moi du poison pour mourir ou des rêves pour vivre. ❞

kaya scodelario © tumblr

Identité

Je m'appelle Cristina. Cristina Esméralda Vespucci , mais on m'appelle Cristina, ou Cris' . J'ai 19 ans, j'en parais tout autant. Je suis née le 16 Août 1992 à Florence et je suis Italienne. Je suis une Humaine Bisexuelle et je suis une dealeuse de drogues et une danseuse endettée jusqu’au cou..

Capacité Spéciale : X

Histoire

❝ Cristina's Diary ❞

Citation :: Cendres

Septembre 1999, Florence

« Fuego ! Aller viens mon beau ! » siffla l'enfant à l'entrée du paddock, tenant le licol de cuir entre ses mains. Du troupeau de juments poulinières se détacha soudainement une fière bête à l'encolure puissante et au hennissement joyeux. Sa robe couleur acajou étincelait au soleil et sa longue crinière d'ébène s'agitait dans la brise. Les autres chevaux s'écartèrent à son passage, les sabots d'encre de Fuego labouraient la terre et la retournait, comme si toute la nature elle-même s'écartait à son passage. L'étalon galopa droit vers la fillette, mais cette dernière ne cilla pas lorsque l'animal s'arrêta à quelques centimètres d'elle, malgré le fait que Fuego devait bien faire deux fois sa taille. Docilement, le cheval baissa sa tête et laissa la petite fille lui passer le harnachement. Puis, l’emmenant près de la clôture, la jeune cavalière grimpa sur la barrière avant de sauter sur le dos de sa fier monture. C'est sans selle, et sans bombe, remarqua son père qui se tenait à l'orée de la clairière, qu'ils s'élancèrent, la fillette et le fougueux étalon, dans les sentiers sinueux de la pampà italienne.

Décembre 2011, États-Unis
Je me réveillai en sursaut lorsque la porte de ma chambre s'ouvrit brusquement sur une silhouette familière. L'homme, pourtant élégamment vêtu, avait mauvaise mine. Ses cheveux couleurs d'encre étaient plaqués contre son crâne comme si on lui avait cassé une douzaine d’œufs sur la tête. La sueur perlait sur son front, ses vêtements pourtant amples lui collaient à la peau et ses yeux trahissaient une anxiété grandissante de seconde en seconde. Après avoir furtivement balayé la pièce du regard, il attrapa un sac et commença à y enfoncer quelques vêtements. Je me redressai dans mon lit, passant une main dans ma chevelure en bataille. « Cad atá ar siúl? » m’exclamai-je d'une fois encore rouillée par le sommeil. À peine sortie des bras de Morphée, j'avais peine à me concentrer pour m'exprimer en anglais. Eduardo, lui, s'expliqua parfaitement dans la langue typique américaine, malgré son fort accent qui lui était resté après toutes ces années. « La polizia fait une descente. Habilles-toi, on fout le camp. » La police ? Mon regard s'illumina. Et si je restais ici ? Et s'ils m'attrapaient ? C'était peut-être là mon unique chance de me sortir de cet univers infernal. Mon unique ticket V.I.P pour rejoindre ma douce Italie, ma mère patrie...Car oui, si la police me mettait le grappin dessus, je n'aurais plus à gagner ma croute auprès de crapules comme celle qui venait de pénétrer dans ma modeste chambre. Mais, loin d'être dupe et irrité par mon inaction, Eduardo vint se planter devant moi. Et pointa le bout de son Colt 45 sur ma tempe. Mon sang se figea dans mes veines. « J'ai dit : Habilles-toi. » Nous nous toisâmes mutuellement. Mes yeux lançaient des éclairs alors que les siens étaient aussi noirs que du goudron. Je finis par céder. Voyant que je m'acquittai enfin de ma tâche, il recula et sortit. Cinq minutes plus tard, nous abandonnions ce qui restait de notre ancien QG et disparûmes dans la nuit.

Par la fenêtre du 4x4, je regardai la nuit dévorer chaque parcelle du monde alors qu'au loin, le bruit des premières sirènes se faisaient entendre. Trop tard, pensai-je avec amertume. Pour vous comme pour moi. J'étais encore prisonnière pour les mois à venir. Ce n'était pas la première fois que la police nous pourchassait jusque dans notre base établie, et ce n'était pas non plus la première fois que nous passions entre les mailles du filets. Et ce n'était certes pas la dernière fois, non plus, que je réfléchissais à la manière dont j'avais atterris dans un tel merdier...

Exil

Avril 2006, Florence

Je me souviendrai toujours de cette journée. De comment elle a commencée, mais surtout de comment elle s’est terminée. C’était une journée chaude et humide du printemps, le soleil inondait les champs d’une lumière dorée où les juments Lusitaniennes broutaient, flanquées de leur poulain encore frêle sur pattes. Les jeunes étalons galopaient nerveusement dans les champs d’à côtés, naseaux dilatés et la queue en panache pour impressionner leurs belles. Nous étions en début d’après-midi et je sellais Fuego lorsque ça commença. Il y eut d’abord un vacarme monstre, des chaises et des tables qu’on renverse, des jurons, des éclatements de voix. Je courus jusqu’à la villa juste à temps pour voir une armoire à glace s’avancer vers mon grand frère Frederico et lui tirer une balle dans le crâne. Ma mère s’effondra dans un hurlement à fendre le cœur, tenant entre ses bras ensanglantés le petit corps inanimé de mon frère. Mon père aussi était là, brandissant sa carabine vers tous ceux qui osaient l’approcher, lui et ma mère, à moins de trois mètres, mais bientôt un torrent de coup de feu s’abattirent sur eux et la salle familiale toute entière fut baignée dans leur sang. Je restai là, immobile, invisible du reste du monde. Je ne saurais trop dire comment ni pourquoi, mais j’ai, quelque part, toujours su et toujours redoutée qu’un tel soleil se lèverait un jour sur nous. Ce n’était pas à cause de notre demeure fortunée ou encore des beaux habits que nous portions. Non. Au cours de ces dernières années, j’avais toujours attentivement regardé mon père. Il était beau, fort, probablement le meilleur des pères, mais il était toujours nerveux. Il ressemblait à ces gamins qui craignaient le noir. Comme s’il s’attendait à tout instant de voir surgir des ombres, un monstre ou une abomination tout droit sortie de ces cauchemars. Au fil des ans, j’avais appris à craindre les mêmes choses que mon père, même si elles m’étaient inconnus. Ce jour-là, nos démons avaient enfin revêtis un visage que je ne risquerais jamais d’oublier…

Immédiatement, j’eus une pensée pour ma petite sœur, Sofia, qui était resté dans les jardins, à l’arrière de la maison. Je ne me souvins pas avoir courus aussi vite de toute ma vie. Non plus d’avoir ressentis pareil soulagement lorsque je la découvris, tranquille et coupée du reste du monde, en train d’arroser quelques fleurs. Aussitôt, je prononçai son nom pour attirer son attention. Je lui saisis le poignet et l’entraînai à ma suite. À l’intérieur de la maison, je pouvais entendre les vases qu’ils projetaient contre le sol et les murs, les meubles qu’ils renversaient comme s’ils cherchaient quelque chose. Moins d’une minute plus tard, je soulevai Sofia de terre pour la jucher sur Fuego, dont j’avais rapidement passé la bride, et refermai ses petites menottes sur les rênes. Elle me regardait, les yeux pétillants de plaisir, inconsciente du danger qui rôdait. « Écoutes-moi bien, Sofia. Tu te souviens le chemin qu’il faut prendre pour aller chez notre Oncle qui habite au Nord de la ville, non ? » Elle eut une mine boudeuse. « Bien sûr, qu’est-ce que tu crois! » Je lui souriais. « Bien. Je veux que tu t’y rendes le plus vite que tu peux, sans regarder en arrière. » « On fait la course ?! » s’exlama-t-elle avec toute la naïveté qu’une fillette de 8 ans peut faire preuve. Je donnai une tape sur la croupe de Fuego et ils s’élancèrent ensemble dans les sentiers sinueux de la campagne.

Oui, pensai-je lorsque deux colosses m’empoignèrent solidement pour m’entraîner à leur suite. On fait la course, attends moi à la ligne d’arrivée…

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« Regardes. » m'ordonna-t-il, et je détournai obstinément le regard, les yeux humides, les lèvres frémissantes. Il empoigna mon menton entre ses doigts et m'obligea à regarder. Leur corps inanimé jonchait le sol, étalé les uns sur les autres comme du bétail fraîchement tué. Déjà, les mouches voltigeaient autour d'eux, prêt à se repaître de leur carcasse. Une vision d'horreur qu'une jeune adolescente ne devrait jamais avoir de ses parents. « Ils ont bien moins fière allure, comme ça, hein ? » ricana le monstre. Je lui lançai un regard noir, les jointures blanches et la haine au ventre. Je vais le tuer. L'éventrer, le torturer, le réduire à un tas de cendres. C'était tout ce qui me venait en tête à cet instant présente. Mais alors simplement âgée de 14 ans et sans réel moyen de me défendre, j'aurais eu tôt fait de finir comme le reste de ma famille. Le bourreau se pencha vers moi, me fixant droit dans les yeux. « Ma pauvre Cristina...Toi qui pensait que ton père avait gagné cet argent de façon honnête...Que vous méritiez de vivre dans une villa comme celle-là et de gagner plus que modestement votre vie. Tu pensais que ton père avait réussi grâce à la sueur de son front, hein ? Pauvre gamine. Ce fric, il venait me moi, petite. Ton père me devait un paquet d'argent. Et il me le doit toujours...» Son regard vagabonda sur le cadavre de mon père, étalé sur celui de ma mère qui enlaçait mon petit frère. Puis, il me lança un sourire sardonique. « D'ailleurs, cette dette-là tiens toujours. Et comme ton cher paternel ne peut plus l'endosser...Tu travailleras désormais pour moi. » Il y eut un moment de silence, comme si cette sentence-là était une fatalité, ma seule échappatoire. Puis, aussi courroucée que dégoûtée, je lui crachai au visage. Suivit irrémédiablement par une gifle magistral, mais si ce salaud-là pensais me voir suivre docilement comme un chien bâtard...Ses deux acolytes m'empoignèrent solidement, histoire que je ne récidive pas, et croyez-moi, l'envie de manquai pas. « Ta passion et ton courage sont louables, Cristina, mais ne crois pas avoir le choix...Tu vois, j'avais envisagé le fait que certaines vermines tenteraient de s'échapper, alors mes hommes ont attrapés ta petite soeur au vol... » L'horreur. Je hurlai, me débattis avec la violence d'une lionne, mais rien n'y fit. Un coup de crosse, et j'étais presque partie dans les vapes. « Laissez ma sœur tranquille. » « Aucun mal ne lui fera fait, je ne donne pas parole. Enfin, si tu t'acquittes sagement de tout ce que je t'ordonnerai, s'entend... » Le salopard de manipulateur, pensai-je en essuyant le sang qui coulai de ma lèvre inférieur. Me voilà prisonnière de son jeu infernal. Je gardai le silence, interprété comme mon accord. Après tout, quel choix avais-je ? « Bien ! Si tout le monde est d'accord, fichons le camp d'ici. Notre vol nous attend. » « Notre vol ? » l’interrogeai-je, perplexe. Les hommes de main du Diable s'activèrent à mettre le feu aux écuries et aux champs, laissant derrière nous le crépitement des flammes et les hennissements terrifiés des chevaux.

« Oui, » dit-il lorsque le ranch ne fut plus qu'un lointain nuage de fumé. « Nous partons pour les Amériques. »

Survie

Octobre 2009, Washington DC

Je regardai ma montre pour la énième fois. 20:47. J'étais là depuis presqu'une heure déjà, à poireauter dans cette ruelle puante derrière le bar de Northwest Street. " Même s'il n'est pas là à l'heure, attends ", qu'avait dit le boss, mais il fallait l'avouer : La fraîcheur glacial de la fin Octobre et son humidité collante commençaient à avoir raison de ma patience. Sauf que j'étais là pour le boulot, et qu'apparemment, celui-là allait me rapporter un paquet de fric. Quelques centaines de dollars en moins sur ma dette interminable, pensai-je avec amertume. À cette allure, je devrais encore la moitié de cette fameuse somme lorsque je reposerais en paix dans ma tombe. Je soupirai et m'allumai une clope. Déjà 5 ans que j'étais envoyée de tous les côtés pour accomplir les basses besognes de cet enfoiré d'Eduardo, et le chiffre gargantuesque de ma dette n'avait presque pas bougé. Moi qui avais prévu de me venger lorsque j'aurai tout remboursé. À la cadence à laquelle j'avançai, Eduardo dormirait sur un lit de billet de 100 dollars avant que je n'ai tentée quoi que ce soit. D'ailleurs, l'idée de le tuer bien avant mon heure m'avait de nombreuse fois titiller les nerfs, mais il était trop bien protéger, trop fort et surtout, je manquai cruellement de puissance et d'agilité physique, même si je m'entraînais plus que quotidiennement. Un jour viendrai, cependant, ou la gueule béante du Tanfoglio à ma ceinture goûterait au sang d'Eduardo Borgia.

« C'est vous, le contact de Borgia ? » Je fis volte-face, le souffle court. À quelques centimètres de moi se tenait un homme de haute carrure, à la mâchoire carré, aux cheveux blond vénitien et aux yeux aussi bleu que deux icebergs. Viking. C'est le premier mot que m'inspira la silhouette svelte et athlétique de l'homme. Devant ma stupeur, ses lèvres charnues s'étirèrent dans un sourire amusé, dévoilant une série de dents blanches parfaitement alignées. « Cris'. » fit-il en me détaillant de la pointe des pieds jusqu'à la racine des cheveux. « Ce diminutif m'évoquais quelqu'un de plus...Masculin. Surtout pour une rencontre de ce genre. » Je reculai de quelques pas, histoire d'instaurer une distance à la fois physique et psychique. Cet homme avait quelque chose de troublant, bien au-delà de sa physionomie incroyablement parfaite. Il avait une mine un peu trop parfaite à mes yeux, pour un junkie. Je me raclai la gorge et redressai les épaules, pour me donner un peu plus de contenance. « Oui, c'est bien moi l'envoyée. Vous n'avez qu'à me donner la marchandise, je vous paie et on repart chacun de notre côté. » « Je veux d'abord voir l'argent. » Un connaisseur, hein. Bien. Je fouillai dans la poche arrière de mon jean et sortis un paquet d'argent, que je brandis sous son nez. Il tendit la main pour s'en saisir, mais je fus plus rapide. « Non. Le paquet d'abord, ensuite l'argent. » Encore une fois, il me sourit, nullement troublé. Il fouilla à son tour dans l'une des poches de son manteau de cuir et en sortis deux petites fioles, qu'il me tendit. Surprise, je m'en saisis et examinai son contenu. Le liquide était opaque, noir, ou presque noir, jaugeai-je en y voyant des reflets rougeâtres. Bien qu'ayant souvent entendu parler de cette nouvelle drogue communément appeler le " V ", je n'en avais jamais vue auparavant. « C'est tout ?! » m'exclamai-je en regardant les deux malheureuses fioles au creux de ma paume. « C'est plus que suffisant. Dites à Borgia qu'il ne faut jamais en prendre plus qu'une goutte à la fin, et qu'il est préférable pour la vente d'en faire des petites...Comment dire ? Pastilles. » Je fronçai les sourcils. Je n'avais jamais eu affaire à une drogue semblable, et croyez-moi, j'avais vue plus de drogues en 5 ans que la plus part des gens voyaient en toute une vie. Je haussai les épaules. « Bien, merci. Voilà votre fric. » Je lui tendis la liasse de billets, fourrai les fioles dans mes poches et tournai les talons. Je n'avais pas encore quittée l'ombre du pont qui avait désigné notre point de rendez-vous lorsque le Viking m'empoigna par le bras. « Hé, attendez, ce n'est pas ce qui avait été convenu. Il n'y a que 1500 dollars, ici. Votre patron m'avait promis le double. » Merde. Ça aurait dû lui prendre beaucoup plus de temps compter la somme. J'inspirai profondément, me retournai vers le type. « Désolé, je n'étais pas au courant de la somme promise. Je ne suis qu'un homme de main. Si vous avez à vous plaindre, vous n'aurez qu'à aller en parler à mon patron. » Je voulus me dégager, croyant l'entretient finis, mais la poigne sur mon avant-bras se raffermit, au point que c'en devint douloureux. « Lâchez-moi. » Silence. Je dégainai mon gun et le pointai vers le front de mon opposant, mais il fut plus rapide que moi. En moins d'une seconde, je me retrouvai désarmée et plaquée contre la parois en béton du pont, le visage de l'homme à moins de quelques millimètres du mien. Il eut un rictus mauvais en lisant la peur dans mon regard, et je le dévisageai longuement. « Va au Diable, saleté de pourriture. Je n'ai rien pour te payer. » Sa main caressa ma gorge avidement, et j'eus un haut le cœur. Je vis avec horreur ses yeux se teindre d'une effrayante couleur rouge, et ses canines s'éffilées dangereusement. « Oh, si, crois-moi : tu me paieras. » Et comme dans les pires films d'horreurs, il planta ses dents dans mon cou violemment. Il étouffa sans mal le petit cri étranglé qui jaillit de ma gorge, plaquant sa main libre sur ma bouche. Je ne saurais dire combien de temps je restai comme ça, petite chose fragile et inoffensive en proie au chasseur. Après une période qui me sembla interminable, il finit par me relâcher, m'abandonnant, sale et faible, dans ma petite ruelle solitaire. Il disparut dans les ténèbres par lesquelles il était venue, et je restai là, le souffle court, le cœur battant, une main sur la plaie encore sanglante à mon cou. J'étais resté immobile, paralysée par la peur, incapable de me défendre. J’assignai un coup de poing rageur au sol, ramassant mon revolver et me relevai en le replaçant derrière mon jean. Pantelante, fatiguée mais gonflée à bloc, je disparus dans la nuit, en me faisant la sombre promesse qu'il viendrait un jour où j'aurais la force nécessaire pour écraser tout ceux qui se dresseraient contre moi.

À commencer par la tête d'Eduardo Borgia sur un plateau d'argent.

Tell me your secrets

Pseudo : l'indolente Âge : V E S P U C C I ♦ I got ice in my veins 878137005

Fréquence de connexion : quasiment tous les jours. Comment avez-vous connu le forum ? via Best RPG Comment trouvez-vous le forum ? Sublime ! Multicompte ? [ X ]OH YEAH / [ ]NO. Code (en spoiler) :

Spoiler:

Bienvenue Miss Vespucci !

Bon courage pour ta fiche Wink

bienvenue sur Cup, mistinguette What a Face

et je plussoie : une humaine I love you

bon courage pour ta fiche et n'hésite pas si tu as des questions coeur

Welcome tout plein What a Face

Bienvenue, joli coeur...

Et voilà, je pense bien avoir terminée ma fiche V E S P U C C I ♦ I got ice in my veins 3229147817

Félicitations !

❝ Tu viens d'attraper le dernier train pour l'Enfer ! ❞

Officiellement bienvenue sur COB ! Superbe fiche *-* j'en aurais volontiers lu davantage tellement c'est agréable Magnifique personnage qui promet bien des aventures ! Tata sera là pour te protéger *w* *baf* Te voilà donc ajoutée chez les humains ! Amuse-toi bien parmi nous, et n'hésite pas à contacter un membre du staff si tu rencontres un problème ou as besoin de renseignements !

Ce qui suit a été rédigé pour te guider après ton arrivée tromimi

Le Guide du joueur
Alors, heureux ? Bon, tant mieux. Mais... tu croyais pas t'en tirer si facilement, si ?!

Parrainage ₪ Pour commencer, il faut savoir que tu peux solliciter l'attention et le temps d'un ancien pour mieux comprendre le forum et t'intégrer ! C'est sympa pour créer de nouveaux liens et apprendre à connaître les autres. Pour ça, tu peux choisir ton parrain en allant par là, et faire un tour dans les mini-flood. N'hésite pas à t'incruster surtout Wink

Avatar ₪ Pour commencer, il est prudent de faire recenser ta célébrité ici même, en respectant le formulaire évidemment !
Pouvoir ₪ Pour recenser ton pouvoir c'est par là.
Métier ₪ Pense aussi à réserver ton métier/rôle, histoire qu'on sache un peu qui est qui.
Liens ₪ Puis tu peux créer ta fiche de liens, histoire de te faire quelques potes dans le coin.
RP ₪ Tu peux aussi créer un sujet dans les répertoires de topics
Te Loger ₪ Pour un logement il faudra passer par la boutique et avoir assez de litres de sang pour ne pas être SDF. Pour acheter les clefs, ben c'est justement à la boutique que ça se passe.
Les Litres de Sang ₪ Tu les vois, dans ton profil ? Eh bien garde les précieusement ! Ce système de points te permet d'acheter des cadeaux sympathiques à la boutique justement, et de faire évoluer ton personnage. Pour savoir comment gagner des Litres de Sang et devenir plus puissant, c'est par là (a)
Les Annonces ₪ Il est impératif de surveiller ce coin là qui est le témoin de tous les changements importants qui auront forcément une influence sur ton perso.
Faire Connaissance ₪ Évidemment, tu peux flooder avec et t'amuser avec les autres à cet endroit. Sinon il y a des rendez-vous Skype, organisés régulièrement pour permettre à tous de bien s'intégrer à la vie du forum !
Commencer à jouer ₪ Pas toujours évident de trouver un partenaire RP, on est d'accord. C'est pourquoi, sur COB, on a les demandes
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