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 Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.

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MessageSujet: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeSam 14 Aoû - 18:07


Darius Von Verlagen



© MIMI.


    ÂGE PHYSIQUE ; J'avais 29 ans lorsque j'ai été transformé mais j'ai toujours donné l'impression d'avoir la vingtaine physiquement.
    ÂGE RÉEL ; En pleine crise de la centaine.
    DATE ET LIEU DE NAISSANCE ; 15 avril 1910 à Berlin en Allemagne.
    ORIGINE ET NATIONALITÉ ; Allemand pure souche mais de nos jours, pour pouvoir s'intégrer dans le coin, il vaut mieux se faire naturaliser. C'est chose faite.
    RACE ; Un buveur de sang, et en plus j'adore ça.
    RANG ; Ayant participé à la Seconde Guerre Mondiale - en tant que Nazi certes - je m'y connais pas mal en armes. On peut même dire que je suis un expert. Je me sert de ça pour gagner ma vie. Une sorte de tueur à gage si vous voulez, ou un assassin professionnel. Proposez donc vos contrats, je ne fais aucune distinction de race ou de statut. Ma seule condition : ne pas toucher à un enfant. ( Notez qu'un enfant de deux cent ans n'en est pas un. )
    ORIENTATION SEXUELLE ; Hétéro. Ah non vraiment, les hommes ne me tentent pas !
    CAPACITÉ SPÉCIALE ; Je ne sais pas si je possède un pouvoir spécial mais si tel est le cas, il ne s'est toujours pas manifesté.




Tell me your secrets




PSEUDO ; Superman super SBAF
ÂGE ; 21 ans.
FRÉQUENCE DE CONNEXION ; Autant que je le pourrais. What a Face
COMMENT TU NOUS A CONNUS ? ; Par SH1, puis SH2.
COMMENT TU TROUVES LE FORUM ? ; A se damner, évidemment !
MULTICOMPTE ? ; [ x ] Oh yeah ! (a)
CÉLÉBRITÉ DE L'AVATAR ; Ben Barnes
CODE DU RÈGLEMENT ; La nuit, tous les chats sont gris !


Dernière édition par Darius Von Verlagen le Lun 27 Déc - 11:39, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeSam 14 Aoû - 18:15


Chapitre I ; Son Of War



Des bruits de pas précipités se firent entendre dans la maison. Elle savait, on venait de la mettre au courant. Sans doute voulait-elle simplement m'embrasser une dernière fois, me prendre dans ses bras, me supplier de ne pas y aller. Mais ce n'était pas vraiment comme si j'avais le choix. On savait tous qu'une guerre allait éclater et je savais que j'étais en âge d'y participer. Vingt-neuf ans. Ni trop jeune, ni trop vieux, j'étais plus que parfait. Et puis, mon engagement dans l'armée ne datait pas d'hier. En vérité, je suivais tout ce qui se rapportait à la politique depuis la fin de la Guerre Mondiale. Né en 1910 à Berlin dans une famille fortement nationaliste, je suis moi-même tombé là dedans, suivant avec vivacité chaque fait et geste de notre nouveau dirigeant depuis Janvier 1933, Hitler. Fervent adorateur, mon père m'a poussé à m'engager dans le sillage du Chancelier en tant que protecteur. Évidemment, j'ai tenté ma chance sans réellement penser y arriver ; mais bien vite, j'intégrai la Schutzstaffel, la plus grande organisation du régime nazie chargée de la protection d'Hitler. Au fil du temps, les missions qui m'étaient confiées se sont beaucoup éloignées de la simple protection et je reçu un véritable choc en l'année 1934. En effet, je reçu l'ordre de retrouver et d'exécuter plusieurs membres des Sturmabteilung. Pourtant, ces derniers étaient dans notre camps mais Hitler avait apparemment souhaité s'en débarrasser afin de donner le pouvoir aux SS et ainsi, en faire une sorte d'État à part entière. Mais surtout, afin d'éviter une révolution sociale. Je n'ai pas aimé ces nuits durant lesquelles j'ai dû abattre ces anciens soldats. J'ai souvent voulu me retirer mais ce fut avec surprise que ma propre femme, Ilse, me poussa à rester. J'ai appris ensuite qu'il n'était question que d'argent étant donné qu'elle voulait pouvoir élever notre fille de deux ans correctement. Et j'étais d'accord avec elle.

La porte de la chambre conjugale s'ouvrit à la volée et je pu voir son visage déformée par le chagrin. Des larmes glissaient le long de ses joues d'ivoire et ses yeux bleus étaient d'une intensité surprenante. Je tendis les bras afin de la consoler. Elle s'y blottit en sanglotant fortement. J'eus du mal à retenir mes larmes mais y parvins cependant. Je posai ensuite doucement mes mains sur les côtés du visage de ma femme. Je plantai mes yeux dans les siens. « Arrêtes de pleurer s’il te plait. » Ma voix était calme et douce, je ne voulais pas l’effrayer. Ma main droite dégagea une mèche de cheveux dorés de son visage puis je déposai un doux baiser sur son front. « Ne me laisses pas.. » Souffla-t-elle, comme si elle était mourante. Je n’eus la force de lui dire que c’était elle qui m’avait forcé à continuer ma route au sein de l’armée. Je ne souhaitais la blesser d’avantage. « Je n’ai pas le choix, Ilse. » Elle éclata en sanglots puis me prit dans ses bras. Elle me serra de toutes ses forces avant de relâcher prise, comme si elle venait d’utiliser toute son énergie. J’avais peur qu’elle ne s’évanouisse et l’installai donc sur le lit. Elle posa ses coudes sur ses genoux et enfouit son visage dans ses mains. Assis à son côté, je me mis à lui murmurer des phrases réconfortantes, malgré que leur sonorité semblait bien fausse.

La porte de la chambre grinça sans même que je m’en rende compte, trop occupé à consoler ma dulcinée. « Pourquoi maman elle pleure ? » Demanda une petite voix. Ma femme releva la tête vers sa fille et je pus voir ses yeux briller. Elle allait sans doute éclater de nouveau. Rapidement, je me mis debout pour prendre ma fille dans mes bras. Un câlin familial s’imposait. « Elle est triste car papa va devoir partir quelques temps. » Ma fille s’appelle Dita et n’avait que sept ans ce jour là. Je savais qu’elle était capable de comprendre que j’allais me rendre à la guerre et que je n’en reviendrais peut-être jamais. Une larme coula sur sa joue. J’avais terriblement l’impression de revivre la même scène que précédemment, tant elle ressemblait à sa mère. Le même visage angélique, la même peau diaphane, les mêmes cheveux blonds. La seule différence se situait au niveau de ses yeux. Les siens étaient marrons ou noir selon le temps et très expressifs. Comme moi. « Réconfortes ta mère, veux-tu ? » Je déposai ma fille dans les bras de sa mère. Il me fallait préparer mes affaires avant de partir. Je ne connaissais pas encore la date mais j’étais certain qu’il s’agirait de demain ou d’après demain. La lettre que j'aurai dû recevoir avait sans doute du retard.

Ce fut le lendemain. Je reçu la lettre - en retard donc - qui m’indiqua de partir à une date qui n’était autre que celle d’aujourd’hui. Mes affaires étaient prêtes. J’avais passé la nuit dernière à consoler ma moitié qui se vidait de toute l’eau de son corps tandis que ma fille avait réussi à s’endormir peu avant l’aube. Cela me fendait le cœur de devoir les laisser, même si cela n’apparaissait pas sur mon visage ou dans mes réactions. J’avais la tête du parfait insensible, mais ce n’était pas toujours vrai. Seule ma famille pouvait profiter de ma gentillesse ou de ma bonne humeur. Les autres n’avait droit qu’à un masque froid et sans émotions qui était capable de tuer ou de torturer n’importe qui. Mais à l’époque, ce n’était qu’un rôle et j’étais loin d’être réellement ainsi. « La voiture... Elle... Elle vient d’arriver… » Parvint à formuler Ilse entre deux sanglots. Il s’agissait du chef des SS qui avait souhaité venir me chercher lui-même. C’était un honneur et je me devais d’être propre sur moi. J’embrassai Ilse comme si c’était la dernière fois - et il était probable que ce soit le cas. Elle eut du mal à s’en remettre et voulu tendre les bras pour me faire reculer mais c’était trop tard. J’avais été faire mes adieux à ma fille qui dormait. « Prends soin de Dita. » Ne me restait plus qu’à monter dans le véhicule verdâtre pour filer droit en Enfer.






Chapitre II ; Last Fight



Les heures de repas étaient toujours très conviviales lorsqu'elles se passaient entre SS. On ne manquait pas de rire, de se moquer mais surtout, on parlait de la guerre. Nous étions tous certains de la remporter, vue la puissance militaire de l'Allemagne. Évidemment, nous avions beaucoup d'ennemis, mais c'était sans compter sur notre plus proche allié, le Royaume d'Italie. Ce dernier pouvait attaquer par le Sud tandis que nous attaquions par le Nord. « N'empêche, on les a bien surpris ces enfoirés de Polonais ! » Toute la table se mis à rire et moi-même, j'esquissai un bref sourire. Je n'avais jamais aimé la guerre mais égoïstement, j'espérais tout de même la victoire de mon pays. Et c'était bien normal. A l'heure actuelle, nous étions d'ailleurs en Pologne en train de fêter notre victoire lors de l'invasion du pays. Évidemment, plusieurs de ses alliés nous avaient déclaré la guerre afin de la défendre et notre prochaine étape était la France. Étant privilégié en tant que SS, j'avais pu obtenir pas mal d'informations et je savais que nous allions attaquer via la Belgique afin de garder un effet de surprise. Pourtant, je n’avais pas grand-chose à faire pour le moment si ce n’était parler de la guerre, proposer des plans d’action, me moquer en compagnie des autres, etc. En effet, c’était les soldats qui allaient se battre et même si je savais que mon tour viendrait, je profitais largement des derniers instants de ‘tranquillité’.

Ou pas. « Un autre soldat a été tué dans la zone ! » Je relevai la tête de mon assiette pour considérer le SS qui venait d’entrer dans la pièce. Depuis quelques temps, les soldats n’arrêtaient pas de se faire tuer. Oui, cela peut sembler parfaitement normal en temps de guerre ! Mais là, ce n’était pas des corps criblés de balles que l’on retrouvait, mais des corps vidés de leur sang. On ne savait comment il était possible de vider un corps de cette façon et on doutait qu’il s’agisse des Polonais. Et puis, la zone était largement protégée aux intrusions, et il était impossible qu’un de nos ennemis puissent y pénétrer. Nous étions dans l’incompréhension, et cela durait depuis près d’une semaine maintenant. Nous n’allions plus tarder à changer d’emplacement mais ces meurtres restaient tout de même dans les esprits de tout le monde et il fallait avouer que je n’étais pas des plus rassurés. « Vidé de son sang ? » demanda un SS installé deux chaises sur ma droite. « Oui, exactement la même chose qu’il y a deux jours. » Tous les SS présents s’échangèrent des regards inquiets. Personne ne demanda le nom du soldat. A la vitesse où nous étions massacrés, il nous aurait de toute façon été impossible de retenir toutes les identités. Nous penchions parfois pour des animaux inconnus - après tout, nous étions en terre inconnue - ou pour une nouvelle arme Polonaise donc nous n’avions pas connaissance. Mais toutes nos hypothèses semblaient floues et improbables.

Quelques jours plus tard, ce fut le campement entier qui se fit attaquer. Nous n’avions rien vu venir. Les guetteurs non plus. Et pourtant, des corps tombaient les un après les autres, sans pour autant être entièrement vidés de leur sang. Nous avons tout d’abord tenté de nous battre, mais ne sachant même pas quelle chose nous étions en train de combattre, nous avons opté pour la fuite. Le véhicule roulait à pleine vitesse et le vent me glaçait le visage. Nous étions tous terrifiés. Il nous fallait sortir de la zone même si nous craignions une probable attaque Polonaise. En effet, sans prévenir, notre véhicule heurta quelque chose que le conducteur n’avait pas eut le temps d’identifier et en une fraction de seconde, chaque soldat se retrouva au sol. « Dispersez vous ! » Hurla notre chef. Nous ne nous sommes pas fait prier et chacun de nous choisis une direction différente dans la vaste et sombre forêt. Je pus entendre des hurlements atroces mais jamais je ne me suis arrêté de courir. Je heurtai finalement quelque chose et en tombait à la renverse. Mon arme tira presque sans que je m’en rende compte et quelque chose émit une gémissement étrange. Je me remis debout en vitesse et, plissant les yeux pour mieux discerner ma cible, je tirai de nouveau. Je m’approchai ensuite prudemment de la personne qui venait de tomber à terre mais cette dernière s’empara de ma jambe pour me faire tomber. Comment avait-elle pu survire à deux balles dans la poitrine ?

Je sentis qu’on était en train de m’étrangler et appuyai de nouveau sur la gâchette de mon arme, par simple réflexe. L’étreinte fut moins forte et je pu de nouveau respirer. J’étais prêt à me battre avec cet enfoiré qui tentait de tous nous liquider. Sûrement un Polonais. Je voulu le terminer en posant mon arme sur sa tête mais il parvint à me prendre mon arme avant de me plaquer contre un arbre. « T’es franchement chiant tu sais ? » Lança-t-il. Il avait tellement de force que j’en étais totalement immobilisé et mon dos qui s’écrasait contre l’écorce de l’arbre me lançait vivement. « Putain, mais vous êtes qui ? Un assassin Polonais ? » Contre toute attente, il explosa de rire. Je ne comprenais pas. Qui était ce type et qu’attendait-il pour me finir ? « T’es un spécimen plutôt intéressant. Peut-être que je devrais te garder, c’est que je rencontre peu de gens qui affrontent la mort avec tant de témérité. » Je fronçai les sourcils puis tentai de me débattre. Je ne comprenais rien à son charabia. « Ma parole, mais t’es un vrai dur à cuir ! » Il se mit de nouveau à rire. D’où détenait-il toute cette force, c’était incroyable. « Qu’est-ce que vous me voulez ? » Hurlai-je à mon tour, ne comprenant pas pourquoi faire durer les choses. « M’amuser. » Il esquissa un sourire carnassier qui me glaça le sang avant de déchirer le haut de mon uniforme, usant de cette incroyable force, puis j’eus l’impression qu’il avait enfin pris la décision de m’achever, ressentant une douleur ressemblant à celle d’un poignard traversant ma gorge.

Je compris mieux ses paroles après avoir compris que ce type n’était autre qu’un vampire. Il était devenu mon Maître et pourtant, je n’avais aucune envie de le respecter. Il avait tué les trois quart des gens que je considérais comme des amis et avait fait de moi un putain de mort vivant. J’avais voulu m’enfuir mais il me força à retourner au campement. « Fais comme si de rien n’était et continue à te battre. Tu te nourriras des blessés ni vu ni connu. J’adore vraiment la guerre ! Ça donne une sacrée couverture pour tuer tout ce que tu souhaites. » Et il était fier de lui. Ne souhaitant pas qu’il m’envoie en Enfer pour de bon, j’exécutai ses ordres à la lettre et repris ma place au campement, où je fus accueilli en héros pour avoir survécu plusieurs jours dans la forêt sans me faire descendre. Je reçu même une récompense pour ça. Évidemment, ce n’était pas mérité. Chaque nuit, je profitais du silence pour me rendre au cœur de la Pologne où j’aidais carrément mon armée à avancer en décimant les adversaires. Mais personne ne savait qu’il s’agissait de moi et c’était mieux ainsi. Je ne voulais pas tuer simplement pour me nourrir et cette solution m’avait parue être la meilleure. La guerre s’est pourtant terminée avec une capitulation de mon propre pays. J’avais la sensation d’avoir été trahis, je me sentais humilié. J’avais toutefois échappé à une arrestation qui condamna la plupart des SS à des procès pour crime de guerre. Je me suis finalement enfui avec mon Maître, Wilm.




Dernière édition par Darius Von Verlagen le Lun 16 Aoû - 9:17, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeSam 14 Aoû - 18:16


Chapitre III ; Betrayal



La fin de la guerre. Cela signifiait que ma vie ici était décidément terminée. J'étais déjà mort même si les autres soldats me pensaient vivant. Aucun n'a parut être surpris de ne plus me voir une fois le soleil levé. Pourtant, le jour de notre capitulation, mon Maître m'ordonna de le rejoindre afin de fuir le pays. Je n'étais pas réellement en état de lui refuser. Je le craignais, c'est bien vrai. Et je craignais surtout de mourir une bonne fois pour toute. Je quittai donc le campement et tous mes anciens collègues qui ne me reverraient jamais. Immédiatement, la première rumeur qui leur parvint à mon sujet fut l'annonce de ma mort. Je n'étais pas à l'origine de cette rumeur. Mais peut-être était-il plus judicieux que tout le monde me pense mort dans un coin de l'Europe plutôt que de lancer de vaines recherches. Durant les guerres, beaucoup de pertes sont à déplorer et ma mort passerait donc inaperçu. La nuit de notre départ pour les États-Unis, quelque chose me revint. Il m'était impossible de quitter le continent sans avoir revu ma femme et ma fille. Je ne voulais pas les quitter et bien vite, mon envie de partir avec mon Maître s'effaça. Ce dernier, incapable de comprendre ce que je pouvais ressentir, m'interdit de les approcher. Il disait que c'était pour mon bien, éviter une éventuelle déception. Mais je ne voulais pas comprendre ce dont il voulait parler. Tout ce que je voulais, c'était revoir cette magnifique femme que j'avais abandonnée en pleurs à l'entrée de la maison, et cette petite fille aujourd'hui âgé de treize ans que j'avais laissée dans son sommeil.

Une nuit, alors que cette dernière venait tout juste de tomber, je m’éveillai. Mon Maître dormait encore et je savais qu’il en serait ainsi encore un bon petit bout de temps. Il n’avait jamais été… ‘du matin’ si je puis dire. J'étais décidé à revoir ma femme et pourquoi pas, lui expliquer ce qu’il s’est passé durant la guerre afin de pouvoir rester avec elle. Certes, j’étais naïf mais elle en valait vraiment la peine, je ne voulais pas la perdre d’une façon aussi idiote. Doucement, je quittai la crypte dans laquelle nous nous étions installés pour passer nos derniers jours à Berlin. Car oui, j’avais forcé mon Maître à revenir à Berlin afin de profiter une dernière fois des lieux. Mais, contre sa volonté, j’allais me rendre auprès de ma femme et de ma fille. D’un côté, j’avais tellement peur de les effrayer que j’eus un moment d’hésitation. Je jetai un coup d’œil à l’heure. Normalement, elles ne devaient pas encore être couchées. Je pourrais donc même profiter de ma fille avec un peu de chance. Sans vraiment réfléchir à ma tenue vestimentaire pour ses retrouvailles, j’enfilai une simple et longue veste noire qui aurait pour mission de cacher tout le reste, très banal. Je passai devant une vitre dans la rue. Cette dernière me renvoya mon image. Je m’arrangeai rapidement les cheveux puis continuai ma route.

Enfin devant la porte de ma dulcinée, je fus pris d’un horrible stresse. Pourtant, j’approchai calmement ma main de la porte et frappai doucement sur cette dernière. Cela sembla s’affoler derrière. On aurait dit qu’il y avait beaucoup de monde dans cette maison qui était la mienne. J’eu soudainement la peur d’un déménagement et commença à reculer lorsque enfin la porte daigna s’ouvrir. « Darius ? » demanda une magnifique femme blonde qui n’était autre que ma femme. J’esquissai un sourire étrange qu’elle n’avait jamais du voir. J’aurais pu pleurer de joie mais il me fallut me retenir. J’avais déjà fait l’expérience des larmes de sang et ce n’était pas joli à voir. « Ilse ! Tu es… resplendissante ! » Je m’avançai alors vers elle mais ce fut la première à sauter dans les bras de l’autre. Elle me serra de la même façon que le jour où elle avait apprit mon départ pour la guerre. « Maman, c’est qui ? » Je croisai le regard de la fille par-dessus l’épaule de ma femme. « C’est Papa ? » demanda-t-elle en planquant sa main sur sa bouche. Elle semblait totalement perdue. En reculant, elle se heurta à une tierce personne. Je me séparai alors d’Ilse pour toiser l’inconnu. « Qui êtes-vous ? » lançai-je. « Je vous retourne la question mon vieux ! » ria ce dernier. Je croisai ensuite le regard d’Ilse, elle n’avait pas fait ça ? « Tu as été rapide pour me remplacer. » Sans rien ajouter, je fis volte-face pour reprendre la route de la crypte. Wilm avait eut raison de m’interdire de les voir. C’était pour moi qu’il l’avait fait et je lui avait désobéi. Ça n’arriverait plus.

« Non Darius attend ! » cria Ilse avant de se mettre à ma poursuite. « Laisses Ilse. » Marmonna le type. Un étrange sentiment naquit en moi avant que les larmes ne coulent réellement. Ilse me rattrapa au même moment et me força à me retourner. « Oh mon dieu ! Tu es blessé ? » demanda-t-elle avant d’éponger mon visage avec le premier morceau de tissus qui lui était tombé sous la main. « Non, tout vas bien, arrêtes. Je n’aurais pas du revenir. » Ma voix commençait à devenir plus dure et ma femme - ou ex-femme, je ne savais comment la nommer - sembla perturbée. Je sentis ensuite une pression au niveau de mon ventre et remarquai Dita qui m’encerclait de ses petits bras. Je lui souri doucement avant de poser ma main sur sa tête. L’homme à la porte de la maison sembla s’énerver devant cette scène et s’avança à son tour. « Mais putain, c’est qui ce type ? » Dommage pour lui, j’étais affamé. Lorsqu’il attrapa Ilse part le bras avant de la projeter au sol, ma main vint se plaquer contre sa gorge que je me mis à serrer de plus en plus fortement jusqu’à ce qu’il tombe à genoux. Ma fille hurla avant de se précipiter vers sa mère. « Je ne sais pas d’où tu sors, mais je sais où tu vas. » En une fraction de seconde, mes crocs se plantèrent violemment au creux de son cou avant que je ne le vide de pratiquement tout son sang. En me relevant, j’arrachai volontairement une partie de sa peau que je balançai plus loin, tel un animal. Essoufflé, je posai ensuite le regard sur Dita, dont les yeux étaient cachés par les mains de sa mère. Je venais de tuer quelqu’un devant ma propre famille et de lui révéler ma véritable identité. Jamais elle ne m’accepterait.

Des larmes coulaient le long du visage des deux femmes de ma vie. Elles étaient désormais assises à même le sol, totalement dévastées parce qu’elles venaient de voir. Dita pleurait toutes les larmes de son corps tandis qu’Ilse semblait totalement ailleurs. Elle était en état de choc et son regard se perdait à l’horizon. Je m’approchai d’elles prudemment avant de m’accroupir juste en face. Désormais, Ilse me regardait. Elle voulut balbutier quelque chose mais aucun son ne pu être émit par ses cordes vocales. « Je suis vraiment désolé. » C’était tout ce que j’avais trouvé à dire et il n’y avait plus aucune émotion dans ma voix. « Vas-t-en… » venait de murmurer Ilse. Je serrai les poings. Les ordres m’insupportaient depuis quelques temps. Mais soit. J’embrassai rapidement Dita sur le crâne avant de me remettre debout. « Je ne voulais pas. » Je cherchais mes mots moi aussi mais j’avais agis bien trop rapidement. Agir sans réfléchir m’avait fait perdre ma femme, ma fille, ma maison, ma vie… Je n’avais plus rien à faire ici. Avant de faire volte-face pour disparaître, je prononçai une phrase qu’Ilse avait déjà entendu précédemment. « Prends soin de Dita. ». Voilà que je n’étais plus qu’un souvenir pour elles.





Chapitre IV ; Burning Heart



Comment avais-je pu croire que ma femme serait restée seule durant toutes ses années de guerre ? C'était clair maintenant et je comprenais finalement son choix. On avait dû lui rapporter ma mort et sans réfléchir plus loin, elle avait trouvé un idiot plein d'argent afin d'élever notre fille dans les meilleures conditions. Seulement, je l'avais tué et avait tout perdu par la même occasion. Le point positif était qu'elle et ma fille ne manqueraient jamais de rien avec tout l'argent dont elles avaient dû hériter. Le point négatif était ma fuite vers les États-Unis. Je savais que je ne les reverrai jamais et c'était d'ailleurs mieux pour tout le monde. Je ne voulais plus les faire souffrir. De mon côté, je ne souffrirai plus. C'était une décision comme une autre. Porter vingt quatre heures sur vingt quatre le fameux masque insensible que j'avais porté les fois où j'étais sans ma famille. Devenant solitaire et étant définitivement séparé de cette précieuse famille, je ne voyais l'intérêt de faire semblant d'être gentil. Je préférais être neutre. Mon Maître lui, était plutôt dur avec moi et me forçait à tuer de tout et du n’importe quoi. Je n’ai jamais voulu m’en prendre à des enfants et bien souvent, nous finissions par nous battre tous deux. Il fit de moi ce que j’aurais appellé un véritable monstre lorsque j’étais encore humain. Je penchais parfois du côté obscur, comme du bon côté. Mais pour un vampire, le côté obscur est évidemment favorisé.

Je quittai mon Maître après avoir passé plus de cinquante ans avec lui. Désormais en dix-neuf cent quatre-vingt dix, je pouvais enfin voler de mes propres ailes. En vérité, je n’ai pas fait grand-chose si ce n’est visiter le continent Américain de haut en bas sans jamais m’attacher à tel ou tel emplacement. J’aimais beaucoup cette vie de voyage et de toute façon, rester à un endroit précis était bien trop risqué. J’avais besoin de me nourrir et les morts qui s’empilaient, ce n’était pas beau à voir. Et on risquait fortement d’en arriver à moi, même si je faisais tout mon possible pour que les meurtres ne ressemblent jamais à un drainage digne d’un vampire sortit de l’histoire du Conte Dracula ! Ce n’était pas tâche facile mais j’y parvins cependant. Sans attache, je profitais du monde comme je le pouvais, vivant à sang à l’heure. ( Le jeu de mot était totalement non voulu mais j'ai préféré le laisser. *paf* ) L’alcool, la drogue, les femmes, le sang, le sexe, que du bonheur. J’en arrivais presque à oublier Ilse et Dita, qui n’étaient maintenant pour moi que de lointains souvenirs. Et puis, vu les âges qu’elles devaient avoir, je ne serais peut-être même pas capable de les reconnaître ! J’avais donc fait mon deuil de ces deux magnifiques femmes qui avaient été les miennes à une époque et j’espérais qu’elles avaient fait de même. Le moins dur était pour ma fille et j’étais presque persuadé qu’Ilse aurait du mal à m’oublier et à oublier tout ce qu’elle avait vu le fameux soir.

Pourtant, je n’étais pas à l’abri d’éventuels souvenirs désagréables. Mon deuil s’est un jour révélé bien bancale. Cela faisait huit ans que j’avais quitté mon Maître et que je vagabondais un peu partout. Il me prit l’envie de revoir mon pays et quelques jours plus tard, j’embarquai dans un avion à New York. Ce dernier fit une escale à Londres. Étant dans l’obligation d’attendre le lendemain soir pour mon prochain vol, je décidai de faire un tour dans cette ville que je ne connaissais absolument pas. Par pur hasard, je passai devant un célèbre orphelinat. Moi qui avait perdu toute sensibilité, ou croyais l’avoir perdu, je fus presque ému de voir tous ces enfants s’amuser dans un grand parc. La nuit tombant, ils ne tardèrent pas à rentrer dans l’établissement. Totalement déboussolé, j’entrai dans ce dernier. « Désolée, l'entrée au public va bientôt être fermée. Je peux vous aider ? » me demanda-t-on à l’entrée. « Euh et bien. Non, pas vraiment. » La femme parut intriguée et fronça les sourcils. Très mauvaise et glauque idée d’être entré ici. J’adressai un sourire crispé à la femme avant de faire volte-face. Mais je tombai alors nez-à-nez avec une demoiselle qui ne semblait même pas avoir dix ans. J’eus l’impression qu’on venait de me fendre le cœur. J’avais tellement empêché mes sentiments de sortir depuis toutes ces années que cela m’avait fait un sacré choc lorsque je me suis remis à en ressentir.

Je dévisageai la petite fille. Immédiatement, je pensai à la mienne. Quel âge avait-elle désormais ? Je ne me souvenais même pas de sa date exacte de naissance. Mais elle ne devait pas être loin des soixante-dix ans. Et pourtant, cette gamine devant moi lui ressemblait comme une goutte d’eau ressemble à une autre. A l’exception de ses yeux. Les yeux de cette petite fille étaient d’un bleu plutôt rare. Un peu comme celui d’Ilse. Et voilà que je me remet à penser à toute ma vie d’avant simplement en ayant croisé les yeux de cette gamine ! Elle était vraiment le portrait d’Ilse et de ma fille en même temps. « Monsieur, tu es malade ? » demanda-t-elle d’une petite voix en serrant un ours en peluche. Nerveusement, je me mis à rire. Il fallait mieux éviter les larmes ce coup-ci. « Non, je vais parfaitement bien. » lui annonçai-je doucement en m’accroupissant devant elle. J’avais l’impression de revivre la même scène que lorsque j’ai abandonné ma famille. Sauf que la petite n’était pas en train de pleurer dans les bras de sa mère, même si elle ne semblait pas heureuse pour autant. Je passai mes doigts sur sa joue diaphane avec un sourire. Trop mignonne. « Monsieur ? Excusez moi ? » La voix de la femme me rappela à quel endroit je me trouvais. Un orphelinat.

La procédure aurait pu être longue mais l’hypnotisme que je maîtrisais depuis peu me fut bien utile. Je loupai mon avion pour Berlin afin d’en prendre un autre pour New-York, et tout ça en compagnie de la petite Kaëna qui était désormais ma fille adoptive. Et ce, pour son plus grand plaisir, comme du mien ! Elle avait l’air tellement heureuse de quitter cet orphelinat que ça me rendait heureux moi aussi. Dans quel merdier je venais de me mettre. Non mais imaginez un peu ! Un vampire de près de cent ans qui adopte une gamine de dix ans. Je ne pourrais pas l’emmener à l’école, ni sortir jouer au parc avec elle, ni la voir étant donné qu’elle dormirait quand je serais éveillé. J’ai presque tout de suite regretté de vouloir lui infliger une telle chose. Pourtant, elle ne sembla rien remarquer durant nos premières années de vie commune à Chigaco. Je faisais souvent appel à une nourrice, prétextant avoir un travail de nuit très prenant. Et à son âge, même s’il on est curieux, on gobe n’importe quelle excuse. La véritable surprise se passa en deux mile deux, lorsque l’existence des CESS fut révélée à la population. Kaëna n’était âgée que de treize ans mais elle comprit immédiatement que j’étais une créature de la nuit. Inutile donc de lui cacher, elle semblait trouver que c’était ‘carrément trop cool’ d’avoir un papa vampire. Elle s’était d’ailleurs toujours intéressée aux vampires et n'hésita pas à s'en vanter dans la cour de l'école. Autant vous dire qu’elle était plus que ravie. Elle voulu immédiatement devenir comme moi et cette nouvelle me choqua sur le coup. Mais c’était compréhensible. Je lui promis de la transformer le jour où elle serait prête, et où je serais prêt. Depuis, nous sommes installés à Saint-Louis, ville accueillante du Mississippi.
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeLun 16 Aoû - 21:49

    Fiche terminée ! huhu Bonne lecture ! Very Happy
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Asher L. Blackstone
« Votre Saigneurie »





Asher L. Blackstone



▌A débarqué le : 21/07/2010
▌Parchemins : 4682
▌Quantité de sang disponible : 31065
▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus !
▌Rang : Chef du clan Blackstone.
▌Job : Chasseur à mes heures perdues.
▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.


« Moi je veux ♥ »
▌Alignement: Mauvais
▌Relations:
▌Pouvoirs :




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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 0:03

Bienvenue ! Un de mes PVs favoris ! I love you I love you

Une fiche claire, nette et on ne peut plus intéressante à lire ! Il manque un peu de description physique, mais ce n'est pas bien grave. Le reste rattrape le coup ! What a Face

Je t'annonce donc que tu as attrapé le dernier train pour l'Enfer ! flammes

Bon jeu parmi nous ! I love you
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https://cup-of-blood.1fr1.net/t2103-asher-l-blackstone-back-in-black https://cup-of-blood.1fr1.net/t1062-asher-l-blackstone-sweet-nightmare
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 10:46

Bienvenue Darius hug
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 10:52

BIENVENUE yeah

Un multi compte... un joueur qui était déjà sur les deux versions précédentes, ... curiosité quand tu nous tiens... ^^
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 10:58

Trishka, tu te poses trop de questions Wink

Encore un calin pour Darius ! hug
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 10:59

Même pas vrai ! Je suis juste d'une curiosité maladive ^^

+1 hug
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 11:37

un tueur à gages ? Shocked et vampire en plus... bon je vais faire abstraction de ta nature de sangsue et te souhaiter la bienvenue ticoeur ticoeur ticoeur ticoeur ticoeur ticoeur ticoeur
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 15:22

    Merci à tous ! hug
    Oui j'ai totalement oublié la description physique, je ne sais pas pourquoi ! xD SBAF

    Hm que de jolies demoiselles. huhu
    Héhé, Trishka je n'étais pas sur les deux SH mais je connaissais tout de même. ( a )
    Erika a raison. *prend la miss dans ses bras* Tu te poses trop de questions. What a Face

    Oui un tueur à gages, pourquoi ? oO Tu veux peut-être que je t'attrape ? huhu *OUT*
    Ton avatar... ♥️

    Bref XD Merci à vous ! bisous
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 15:46

Ouuuaiii calliiiinnnn hug

- SBAF -

( Hey, Darius, t'as un messaggggee )
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 15:49

    Héhéhé. héhé
    Ah merci de me le dire, je n'avais même pas remarqué. Au moins, je sais de qui ça vient comme ça. oO
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 16:16

    Bienvenue ! On dirait le grand méchant loup MmM *sort sur la pointe des pieds*

    coeur
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 16:47

    Oui, je suis le grand méchant loup. oO J'peux te manger ? ( a )


    Merci. hug
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 16:58

    AHAH ! essaie oO

    je sais pas si je préfère finir entre tes crocs ou ceux de ton double moins poilu MmM

    Spoiler:
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeMar 17 Aoû - 17:54

content jvais te prendre comme collègue/associé Darius ! ticoeur ticoeur ticoeur ticoeur
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeDim 22 Aoû - 0:34

    *Honte à moi, je n'avais pas vu* SBAF

    Oh vraiment ? C'est que ça m'intéresse fortement la miss. héhé
    Pressé de connaître le genre de relation que vous avez entre... collègues. oO

    *out*

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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeDim 22 Aoû - 9:07

*sort directement avant de dire quelque chose qu'elle pourrait regretter par la suite*

Spoiler:
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeDim 22 Aoû - 10:26

*rattrape la miss* Ne sors pas déjà. héhé

Je ne pense pas envoyer d'assiette mais le reste me va. Bon par contre, j'irais pas voir sous la couette d'Asher, de toute façon, je suis certain qu'il n'y a pas assez de place. MmM *BAF* Et puis, c'est pas certain qu'il veuille de moi après tout ce que je lui ai fait, même si c'était pour la bonne cause. Hein Ashou ? héhé
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitimeDim 22 Aoû - 11:43

Hello nouveau Vampire What a Face
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MessageSujet: Re: Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you.   Darius Von Verlagen • You can't hide. I will find you. I_icon_minitime

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