Mael Saint-Clair

Rose

• ÂGE PHYSIQUE ; 23 ans • ÂGE RÉEL ; 250 ans • DATE ET LIEU DE NAISSANCE ; 19 Mars 1757 à Bordeaux • ORIGINE ET NATIONALITE ; Française • RACE ; Vampire • RANG ; Officiellement un touriste visitant le monde ; officieusement échappe à de vieux amis un peu trop collants • ORIENTATION SEXUELLE ; Bisexuel • CAPACITÉ SPÉCIALE ; Mael est capable de contrôler et de manipuler les champs magnétiques, lui permettant de plier tous métaux à sa volonté mais son don a des limites qu'il apprit à ses propres dépends

Once upon a time...

• PHYSIQUEMENT, ÇA DONNE QUOI ? ; Grand châtain d'un mètre quatre vingt, Mael est le genre d'homme faisant tomber toutes les femmes sous son charme. Ses cheveux variant du blond au brun selon la luminosité et retombant négligemment sur son regard acier lui donne ce petit air bad boy ténébreux ou alors est ce son visage aux courbes si douces qui vous font tomber indéniablement dans un état second ? Ou ses yeux qui brillent d'une faible intensité lui donnant cet air éteint et malheureux vous donne cette envie de le prendre dans vos bras ? Bien sur il y a toujours son corps puissant et musclé, couvert de cicatrices et transpirant une force incroyable qui vous attire ? Ses mains douces et froides qui grâce à un simple contact vous déclenchent un frisson à peine contrôlés ? Vous l'aurez compris, Mael ne manque pas de charme et ce n'est pas lui qui s'en plaindra bien au contraire car ce corps, ce visage, ces mains peuvent s'avérer être les armes les plus redoutables qu'il y ai sur cette terre. Des mains pouvant casser des os d'une simple pression, un regard aussi envoûtant qu'effrayant, laissant place au doux amant à celui du tueur impassible et implacable. Tout comme la couleur de ses prunelles changeantes qui une fois excitées par l'odeur du sang et la stimulation d'une chasse intéressante deviennent d'un rouge écarlate semblable à une mer de sang. Vous pensez pouvoir lui échapper ? Grossière erreur car Mael est un vampire ce qui signifie qu'il jouit d'une vitesse surprenante et qu'il vous rattrapera dans tous les cas.

• ET MORALEMENT ? ; Jugé instable psychologiquement par ses pairs, j'entends par la qu'il peut rapidement péter une durite. Un son, une odeur lui ravivant des souvenirs et voilà vous avez un vampire voulant la mort de tous ceux qui se trouve dans la pièce mis à part ces petits écarts il n'en reste pas moins un vampire classe et distingué. Il se comporte en parfait gentleman avec ces demoiselles et il vous en coûterait cher d'en insulter une devant lui. Froid et hautain ce sont les premières impressions qu'il vous fera car des amis il n'en a pas, à quoi cela peut il bien lui servir ? Il s'est toujours très bien débrouillé seul. Quand aux femmes...elles défilent les unes après les autres car aucune d'entre elles n'ont touché son cœur. Parfait sociopathe, Mael n'aime pas les contacts sentimentaux, à vrai dire il préfère les fuir comme la peste et remplace le vide et l'abstraction de sentiments par la rage et l'agressivité. La seule chose que Mael aime plus que tuer ou chasser est...le sexe, à vrai dire on pourrait penser qu'il ne vit que pour ça mais c'est un peu plus complexe que ça. Conscient de sa sociopathie aigüe, une partie de jambe en l'air lui donne un vague sentiment de paix intérieure et de sérénité partagée qui lui procure l'impression d'être "normal" mais le sexe pour lui, doit être violent et sanglant ce qui en général pour ne pas dire quasiment tous le temps stimule son côté tueur. Sinon il est très joueur, il peut passer des heures à torturer ou à traquer une proie, juste pour savourer l'espace d'une demi seconde la lueur de peur envahissant les prunelles de sa victime. Contrairement à la plupart de ses pairs, Mael ne mord uniquement qu'au poignet histoire de pouvoir contempler sa victime agonisant et le suppliant du regard, car rien dans ce bas monde n'est plus merveilleux que le fait de voir une personne mourir en suppliant Mael...l'impression de puissance qu'il ressent lui fait oublier tous ses soucis.

• HABITUDES DIURNES ; Il dort dans son armoire Ikéa fraîchement montés que voulez vous c'est plus discret de se trimballer une armoire qu'un cercueil
• HABITUDES NOCTURNES ; Fréquente les bars, les prostituées. Bois, saute sur tous ce qui bouge puis mange avant d'aller dormir dans son armoire (très important). En quelques mots profite un max de la nouvelle situation des vampires pour boire un cou ou deux.

Tell me your secrets

• PSEUDO; Batman, Babar, Doudounator (réservé), Babou vous avez le choix faîtes vous plaisir
• ÂGE ; 19 balais (bientôt 20)
• FRÉQUENCE DE CONNEXION ; je me met un 5.5/7, vu que c'est l'année de mon BAC et que je pratique du sport
• COMMENT TU NOUS A CONNUS ? ; Bah en fait je me promenais en forêt et je me suis perdu puis y a un chat violet a rayure rose qui m'a dit "va par la tu trouveras des gens aussi fou que toi" je vous jure que c'est vrai, je n'ai rien bu, ni fumé demandez à Morrigan
• COMMENT TU TROUVES LE FORUM ? ; Bien, très bien même sinon me serait pas inscrit =D
• MULTICOMPTE ? ; [] Oh yeah ! [X] Nope =P
• CÉLÉBRITÉ DE L'AVATAR ; Dimitri Vankerkoven
• CODE DU RÈGLEMENT ; Ok par Morrigan

Petit mot de bienvenue

Je suis né à une époque bien différente de celle d'aujourd'hui, j'ai vu et vécu beaucoup de choses : la traite des noirs, la guerre de sécession, la révolution française ainsi que les deux guerres mondiales. J'en ai déduis que l'homme est la pire monstruosité qui soit, quand on me dit que les vampires et les lycans sont des créations du diable cela me fait gentiment sourire. Nous des créations du diable, non nous sommes bien plus que cela, nous sommes votre plus grand fléau, car sans nous l'homme seraient le plus grand prédateur, car aucun lycan ou vampire n'a jamais créé de bombe capable de raser une ville et ses fondations en l'espace d'une minute. Nous préférons ce qui prend du temps, car la chasse est ce qui a de plus passionnant dans ma vie, l'excitation du moment, l'adrénaline coulant dans vos veine, sentir la peur de votre proie, tout ceci m'était autrefois possible, mais plus maintenant il parait qu'on doit s'attacher à un humain ou un lycan et ne sucer que son sang. Au diable les règles, j'ai vu et vécu l'apogée de notre race où nous pouvions faire ce que nous voulions tant que la discrétion était de mise. Mais laissez moi vous conté mon histoire, mais ne venez pas vous plaindre de sa violence, nous portons tous notre fardeau je vous déverse le mien.

Soulless is everywhere

Un homme faisait les cent pas dans un long couloir où des dizaines de tableaux jonchaient les murs, l'homme ne s'arrêtait que pendant une brève période et toujours au moment ou des hurlements de douleurs déchiraient le silence de la nuit. Partout les femmes de chambres courraient pour apporter du linges propres et de l'eau chaude conformément aux ordres du médecin, car un enfant était sur le point de naître dans cette demeure et vous l'aurez sans doute compris l'homme faisant les cent pas n'est autre que mon père, mais revenons à la scène présente. Le docteur sortit de la chambre en se nettoyant les mains avec un linge propres :

- Alors, est-ce que l'accouchement c'est il bien passé ? pressa mon père

- Je suis au regret de vous annoncer...que vous avez un héritier et un sacré battant j'ai cru le perdre pendant un instant, mais il s'est mis à braillé de plus belle.

Mon père ce précipita à l'intérieur de la chambre, ma mère me berçait doucement alors que je tétai avec avidité son sein droit, mon père resta un moment à nous fixer sans un mot, ma mère l'aperçu et lui souris tendrement.

- Il a des yeux magnifiques, on dirait de la glace, déclara ma mère

- Il tient de toi, regarde moi cet adorable visage...toi tu feras craquer toutes les filles

Ma mère resta silencieuse un moment puis sourit, la vérité est qu'elle n'avait jamais épousé mon père par amour, on l'avait mariée de force et même si elle aurait pu tomber sur pire, elle ne pouvait s'empêcher de penser que son mari n'était pas en phase avec son époque. Ils déclaraient qu'un jour ce sera le peuple qui gouvernera, qu'il élira une personne pour représenter le pays. Il fallait absolument qu'elle l'empêche d'éduquer son fils, ce genre d'idée vous donne une descendance faible et facilement manipulable.

Je grandis donc au milieu d'un père ayant pour passion de m'apprendre l'écriture, l'art, la littérature, la philosophie et une mère m'enseignant la politique, l'escrime, l'art de la tactique ainsi que la boxe anglaise, mais dans tous ce litige d'enseignement on en oublia de me donner de l'affection ce qui dut jouer sur ma sociopathie actuel. Ma mère se refusait à tout geste tendre envers moi et mon père...mon père était disons plus occupé à donner de l'affection à d'autres femmes plutôt qu'à sa famille. Plus le temps passait et je ressemblais de moins en moins à mon père, a vrai dire je ne lui ressemblais pas du tout. Évidemment, il était trop occupé avec les prostitués du coin pour remarquer que son fils n'était peut-être pas le siens. Ma mère se refusait à tout commentaire et qui se contentait de me donner quelques leçons de politique en me disant qui était qui et surtout quelle demoiselle je devais courtisé, chose que je prenais comme un jeu...un jeu auquel je devenais de plus en plus redoutable à mesure que les années passaient. Mon père m'ayant enseigné la littérature ainsi que l'art, je pouvais tenir une discussion ayant pour sujet autre que la guerre ce qui me donnait un avantage considérable sur les autres prétendants.

Rapidement notre famille acquis une grande notoriété, nous fréquentions les grandes familles bordelaise, nous faisions partie de la grande noblesse française.

Le jour de ma vingtième années, je m'engageais dans l'armée française en tant qu'officier évidemment faisant partie de la noblesse. On peut dire que je ne fus pas le bienvenu, peu de noble accepte de se mêler au petit peuple dans l'armée. Ce fus un soir où je compris à quel point mon manque d'émotion était grave. En effet, nous mangions tous assis autour d'un bon feu, l'hiver était vigoureux cette année là je m'en souviens encore, car on enterrait tous les matins les morts de froid la nuit bref un soldat c'est approché et à cracher dans ma soupe :

- Si c'est querelle que tu cherches soldat, retourne à ta tente nous règleront ceci demain...il est trop tard pour enterrer ton cadavre et ton corps attirerait les loups.

- Dit plutôt que tu as peur de te battre sergent

Je me levais et dégaina mon pistolet à deux canon, arma le chien du premier canon et posa l'arme sur la tête du soldat.

- Bah alors sergent t'attend quoi ? Vas-y tire petit sergent

BOUM !, la détonation déchira l'air sous le regard choqué de tous les soldats, le bruit mat d'un corps sans vie tombant sur le sol ce fit entendre, l'officier supérieur arriva et contempla la dépouille sans vie du soldat.

- Sergent Saint-Clair suivez-moi, vous éloignez ce cadavre du camps...

Je pensais que ce fut les heures les plus difficiles de ma vie mais j'étais loin de penser qu'elle serait si douce en comparaison de ce qui m'attendait, les châtiments corporels étant encore pratiqué à l'époque on m'infligea 30 coups de fouet, mais pire que ça à chaque coup la brulante morsure du fouet rentrait en contact avec mon dos gelés, je crus qu'on m'arrachait le dos à chaque coup. Je demandai mon transfert dans la marine, après tout je m'étais avant tout engagé pour combattre et la plupart des batailles actuels avait eu lieu sur la mer, mon désir d'en découdre fut certainement ce qui me permit d'intégrer rapidement une frégate. Par chance, la frégate opérait dans la mer méditerranée les températures furent beaucoup plus supportable que ce que j'avais jusque alors supporter. Je me sentais bien sur la mer, comme libéré de toutes entraves, j'écrivais des pages et des pages de récits tous plus fantastique les uns que les autres, certains faisaient l'objet d'une lecture le soir histoire de divertir l'équipage, car c'est bien sur ce navire qu'on m'accepta comme j'étais et ce pour la première fois. Un matin, un moussaillon nous réveilla précipitamment, en quelques minutes l'équipage étaient réunis sur le pont. Une frégate anglaise nous poursuivait, la bataille semblait inévitable. Tout le monde connaissait son rôle et tout l'équipage ne désirait qu'à en découdre. Je me souviens des bruits des canons, du tonnerre que les boulets produisaient une fois qu'ils entraient en contact avec le bois puis je ne me souviens de rien... le noir total. Je me réveillai durant la nuit, je devais m'être laissé porter par le courant et avait du terminer ma course sur une plage. J'avais des difficultés à respirer, je contemplais ma poitrine qui était parsemée de trou comblé ici et la par des bouts de bois ou d'acier solidement enfoncé. Je tirai lentement mon pistolet histoire d'en finir une fois pour toutes, j'armai le chien avec autant de calme que je le fis quand j'abattis ce soldat, je pressai le canon sur ma tempe et je tirai.

CLIC !, le chien avait bien fait son office, mais la poudre étant mouillé, l'arme ne put remplir pleinement son office. Ainsi donc j'étais condamné à mourir dans d'atroces souffrances, au moins je pourrai profiter du paysage et de la douceur des lieux, l'air ambiant était chaud, la lune me berçait de ses rayons et les étoiles brillaient de mille feux. Une femme se pencha au-dessus de ma tête, je la fixai et dieu qu'elle était belle, sa chevelure brune et ses grand yeux marron, je fus touché par sa beauté banale :

- V...vous...ê...êtes un ange ?, murmurai je faiblement

- Jake dépêche toi y a un vivant, tiens bon soldat mon mari va te soigner, déclara-t-elle, Foutre dieu Jake tu fais quoi ?

- I..il...es...est trop tar.., hoquetais-je alors qu'un flot de sang s'échappa de ma bouche, r...rem...remettez ç... ça à... ma famille, je lui tendis en tremblant une lettre.

- Y à plus de temps à perdre retire lui tous ces éclats, dit elle en s'adressant à l'ombre qui s'activa au travail, dis-moi soldat veux tu vivre ?
Son boucher de mari m'arracha un solide bout de bois fichés dans mon estomac, j'hurlais alors de toutes mes forces commençant à me débattre faiblement pour que le boucher arrête son travail. D'une main experte l'ange m'immobilisa avec une telle force que cela me surpris, elle se retrouva a califourchon sur moi et me regarda droit dans les yeux :

- Veux tu vivre ?

- OUI !, hurlai je alors.

Je voulais vivre pour faire payer les tourments que cet homme m'infligeait, vivre parce que la mort m'effrayait, vivre parce que je n'avais fait qu'obéir aux ordres toutes ma vie et qu'aujourd'hui je désirais tout changer. L'ange saisit alors mon poignet et le mordit délicatement, je sentis alors que cette dernière m'aspirai le sang et je la contemplais alors qu'un plaisir immense m'envahissait, j'étais sans défense et je sentis la vie m'abandonner quand mon ange s'ouvrit le poignet et déversa son sang dans ma bouche. D'un coup je ressentis de vive douleurs dans tous mon corps, je me remis à hurler de plus belle, la douleur était insoutenable je pleurais tant je souffrais. Ma respiration ce fit courte et saccadé, je n'avais plus assez de souffle pour hurler, mes yeux se fermaient seuls, le froid et l'obscurité m'envahirent. Je pensais que tout était terminé, mais je me trompais... ce n'était que le début d'une nouvelle vie.

Attention, le délais d'une semaine est dépassé.

Ta présentation va être déplacée dans la section des fiches en danger.
Come back my dear !

Aucune réponse après deux semaines. Je déplace.
Si tu souhaites récupérer ta fiche, adresses-toi à l'un des deux administrateurs.