• PHYSIQUEMENT, ÇA DONNE QUOI ? ; Gabriel est un jeune homme fort beau et plébiscité par la gente féminine. Celui-ci doit mesurer aux alentours d'un mètre 80 vingt pour à peu près septante kilos. Il est mince, mais à des muscles bien tracé qu'il à obtenu lors de son adolescence à force d'heure de travail acharné dans une salle de musculation. En effet, le bellâtre n'a pas toujours été ainsi. Lorsqu'il était plus jeune il n'était pas vraiment attirant. Un véritable gringalet qu'on ne remarquait pas dans son école. On le connaissait surtout pour son visage d'enfant d'ou perçait une continuel candeur feinte. Ce fut là qu'il eu le déclic et se lança dans toutes sortes d'exercices ayant pour but de renforcer sa carrure. Cependant, malgré tout les efforts qu'il fit pour affermir sa virilité, il ne pu changer son visage d'ange. Et oui, malgré les années qui défilaient face à lui, Gabriel ne pu échanger ce visage aux traits d'une juvénilité troublante. Ça ne faisait que renforcer son charme d'ange, mais il fut une époque où il se maudissait d'avoir de tels traits. Son regard troublant d'un brun profond semble être un perpétuel mystère. Les yeux qui sont les miroirs de l'âme ne sont dans son cas que deux images fixe qui ne délivrent en rien ses pensées. Ceux-ci semblent souvent dans le vide, perdu dans d'autre monde, ou d'autres contrées. Le beau parisien ne se privera jamais de regarder les autres avec une légère lueur de mépris dans le regard pas tout à fait avoué. Le garçon peut sembler d'une suffisance étrange. Son regard indifférent et son sourire en coin légèrement relevé vous donnera sans aucun doute l'impression qu'il se moque de vous. Cependant c'est dans ça nature de toujours paraître de la sorte. Il à toujours l'air un peu ennuyer et indifférent au monde qui l'entoure comme si les choses si terre à terre ne l'intéressait nullement. Cet air blasé colle toujours à son faciès même lorsqu'il est vraiment interpellé par l'une ou l'autre chose que vous lui dite. Le brun à souvent les cheveux en bataille ou pas correctement coiffé. Il arrive que son visage indifférent s'égaye lorsque vous arrivez à capter totalement son attention ou alors qu'il à entendu une nouvelle particulièrement bonne pour lui. Le nombre de manie que Gabriel à est assez effarent. En effet le beau parisien à pour habitude de se promener la majorité du temps une clope au bec en train de jouer avec un Zippo qu'on lui à offert lors d'un voyage en Russie. Il passe souvent une main dans ses cheveux sans réellement y réfléchir, trop habitué à la chose. Lorsque le jeune homme peut-être confronté à des choix plutôt important quant à la suite des événements il lui arrive de se pincer l'arrête de son nez à la recherche de calme pour pouvoir se concentrer. Il soupire très souvent, et aime troubler les autres à coup de sourire éclatant ou en coin.
• ET MORALEMENT ? ;Si je devais me décrire en une phrase ? Ok. Je dirais que : « Je suis un miroir brisé qu’on à tenter de recoller et qui ne renvoie plus qu’une image déformé par les milliers d’éclats qui me compose. »
Gabriel est un jeune homme très dur à cerner. Il n’offre au reste du monde de sa personnalité, que ce qu’il juge que les autres apprécieront. Ainsi il peut tout autant être quelqu’un d’un peu fou et au contraire entièrement réservé et timide. Sa personnalité ne pourrait être définie du point de vue de quelqu’un. Un ami de soirée pourrait dire qu’il est un jeune homme sans limite prêt à tout pour s’amuser. Alors que quelqu’un qui n’aurait des relations avec lui que dans le but de parler et de se confier, dirait que Gabriel est quelqu’un de réservé qui écoute et aide avec le coeur sur la main. Sa personnalité ainsi est très secrète. Mystérieuse même. Rare sont les personnes qui le connaissent réellement. On le voit, façonne son image sans réellement jamais savoir ce qui se cache derrière le masque qu’on lui offre pour se cacher. Ça convient très bien au beau parisien qui n’aime pas se retrouver à nu face à quelqu’un d’autre. Souvent décrit comme un bon amant, un très gentil frère de coeur, un incorruptible buveur qui aime les soirées. Les descriptions passent mais ne se ressemblent pas. A se demander si seulement il sait où il en est lui même.
Gabriel c’est d’abord un garçon sensible. Le monde à toujours eu l’air de lui faire des cadeaux, mais dans sa forteresse de solitude, il n’avait rien pour lui. Il ressent et vit les choses avec le coeur avant de les analyser avec une froideur incomparable afin de ne pas avoir à faire un choix inconsidéré et trop rapidement prit. Seul l’argent comptait dans son enfance et ça ne l’aidait pas à avancer, ni même grandir. Bien du contraire. C’est un enfant raté qui aimerait pouvoir retourner à l’époque où il pouvait rire en pleurant afin d’en profiter comme il n’a pas eu l’occasion de le faire. Le jeune homme fait preuve d’une pudeur quant à ses émotions et sentiments très étrange. Comme s’il ne pouvait s’avouer, ou avouer au reste du monde ce qu’il ressent réellement. Se montrer faible, ou montrer la tristesse qui l’étreint par moment et une chose à laquelle il se refuse vivement. Il préférera souffrir en silence et faire semblant d’être heureux, que de poser un genou à terre et demander à quelqu’un de l’aider. On pourrait croire qu’il s’agit de fierté mal placé, mais ce n’est nullement le cas, il n’arrive juste pas à s’ouvrir aux autres. Ainsi il lui est totalement impossible dans chaque relation de faire le premier pas. D’avouer à l’autre à quel point celui ou celle-ci compte. Comme si l’attachement pouvait un jour le perdre. Dans le fond, le parisien est un jeune homme un peu fragile, qui à peur de se casser les os en se frottant à des émotions et sentiments trop puissant pour lui.
Malgré sa nature très pudique et discrète quant à ses émotions et ses faiblesses, le jeune homme est quelqu’un qui sort souvent. Il aime l’ambiance étrange qui règne lorsque à la nuit tombé des dizaines d’inconnus dansent sur une piste en cherchant à oublier leur vie. Gabriel aime les soirées qui lui permettent d’oublier. Vider sa tête de tout ce qu’il déteste de ce monde et de tout ce qui ne va pas dans sa vie. Loin d’être le gars prétentieux qu’on pourrait croire aux premiers abords, il est quelqu’un de très sensible sur qui on peut compter. Souvent prêt à tout pour des personnes qu’il ne devrait pas fréquenter il ira jusqu’au bout du monde une fois qu’il à une idée en tête. Et oui, cet un parisien borné qui une fois qu’il est certain de ce qu’il veut sera prêt à tout pour l’obtenir. Pour dépeindre un tableau plus large de lui on pourrait dire qu’il est très intelligent et talentueux. Ainsi qu’inventif. Il aime bien imaginé de nouvelle chose, qu’il s’agisse d’une nouvelle mélodie à la guitare qu’une histoire qu’il s’inventerait pour lui même. Dans sa famille il dû suivre une foule de cours en plus de son cursus normal et n’a jamais montré aucun signe de difficulté quant au fait d’étudier ou de mettre en pratique quoique ce soit. Il réfléchit vite et assimile tout aussi rapidement tout ce qu’on lui demande. Très rigolo depuis toujours, lors de son adolescence il était le bon ami d’à peu près toutes les filles de son bahut alors qu’il aurait désiré être plus par moment. Toujours un sourire aux lèvres on le prend souvent à tord comme un bout entrain. Mais il s’agit plus là d’une habitude, ça lui permet de faire briller le monde autour de lui, même si rien en lui ne désir briller.
Au point de vue de la meute, le lukoï est très obéissant. Toutes sa vie il à d’abord obéit à ses parents et maintenant qu’il est devenu un loup obéir à l’Ulfric ne le dérange absolument pas. Il pourrait être considéré comme un parfait petit soldat si le fait qu’il soit si borné et un peu trop sensible ne l’empêche d’agir sans réfléchir. Car Gabriel ne peut jamais s’en empêcher. D’abord il laisse parler son coeur puis il se met à réfléchir jusqu’à trouver une réponse qui lui convient. Un peu immature par moment, on le prend pour le petit rigolo de la bande. Toujours à faire le pitre et à détendre l’atmosphère pour décompresser.
Pour faire simple Gabriel est quelqu’un d’illogique, souvent insensé qui souffle le chaud et puis le froid dès lors qu’il faiblit quant au fait de porter un masque en permanence. Il est complexe et très peu comprit, mais n’arrive pas à changer. Alors il se tait et souffre en silence, attendant que quelqu’un se rende compte de son double jeu et l’aide à sortir de cette image qu’il s’est créé et qu’il n’arrive pas à supprimer de sa vie.
• HABITUDES DIURNES ; Gabriel adore marché sa guitare sur le dos se poser dans un parc et jouer en chantant juste pour le plaisir. Il adore la nature et se balader des heures dans la forêt lui font un plaisir sans nom. Il adore par la même occasion se retrouvé entouré d’amis pour parler de tout et de rien autour d’un café ou alors de chose plus douteuse. Le jeune homme fréquente autant les bonnes personnes avec qui il parle et passe du temps pour se voir un film ou sortir que rencontrer des mauvaises personnes pour avoir une dose d’une ou l’autre chose. Il est complexe et sans réellement le vouloir est deux opposé. • HABITUDES NOCTURNES ;La nuit, Gabriel fait les mêmes choses. Il se ballade, rencontre des amis, mais pendant ces heureux là surtout ses fréquentations douteuses. Il sort en boite, s’amuse avec des inconnus. Cherche un but à ses insomnies, ne trouve rien. Retourne parfois se reposer chez lui tout en ayant des difficultés à trouver le repos.
Tell me your secrets
Dernière édition par Gabriel T. de Rendinger le Ven 3 Sep - 15:59, édité 8 fois
Sujet: Re: Once upon a time~ Gabriel Thomas de Rendinger Ven 3 Sep - 13:33
Souvent les pensées perdues loin dans les étoiles. Votre monde m'a fait peur j'ai dû mettre les voiles...
(c)Misery angel
• HISTOIRE ; Pourquoi est-ce que les nouveaux nés hurlent dans les premiers instants de leur vie ? N'est-ce pas parce qu'on les arrache au bonheur et à la chaleur d'une inexistence paisible pour les obliger à vivre dans un monde dont ils ne désirent pas ? Alors, dans leurs premiers instants, plein d'une force qu'ils perdront bien vite ils se mettent à pleurer, non ? Je ne sais pas. Moi, mes premiers instants je les ai passé silencieux. Le médecin avant beau m'avoir donné des claques sur mes fesses potelés je n'hurlai pas. Les yeux clos, je crois qu'inconsciemment je cherchais déjà à fuir ce monde qui ne me tentais guère.
Ma mère était un mannequin très connue et apprécié un an avant ma naissance. Elle avait parcouru le monde plus d'une fois allant de podium en podium avant de s'installer à Paris. La capitale française l'avait littéralement séduite et elle, petite russe qui avait bataillé fermement pour arriver au sommet voulait se reposer en cours de voyage. Elle m'a toujours dit que la France avait été un réel coup de coeur. Qu'elle s'était installée et n'avait plus pu s'en aller. Je ne sais pas trop ce que je devrais en dire personnellement. La France ne m'a jamais particulièrement parut extraordinaire, mais bon je suis né là, ça doit être ça. Elle rencontra mon père alors qu'elle était âgée de vingt-cinq ans. Lui avocat sans problème avait un empire familial à préserver. En effet, les de Rendinger sont une famille respectable et avec un patrimoine encore plus respectable. Je n'ai jamais réellement connu les détails quant à leur rencontre ou même de quelle manière ils se sont mariés et tout le tralalla. Je dois avouer que ça ne m'a jamais particulièrement intéressé.
Je suis né en février, le 14 pour être plus précis. Après de longues heures de travail ma mère peu enfin m'apercevoir alors que l'astre solaire allait se coucher afin de se reposer après une autre journée éreintante. Comme je l'ai déjà dit, je n'ai pas crié. Je suis resté tristement silencieux, comme sans vie, endormit dans un sommeil que je ne semblais pas vouloir quitter. Alors, les médecins m'ont branché à une tonne d'appareille tout aussi étrange les uns que les autres. Je ne me rappelle pas de ces instants de ma vie, ni de ce que j'ai ressentit et dans un sens c'est mieux. Les photos souvenirs qui ont été prises lors de ces instants retourne encore le coeur de ma mère. Moi ça ne me fait rien. Peut-être aurait il mieux valu que je n'ouvre pas les yeux, mais j'ai cédé. Après des mois passés à l'hôpital, je pu enfin rejoindre le foyer familial. Un superbe appartement tout équipé du XVI arrondissement. Mon enfance fut marquée par l'amour de ma mère et l'absence de mon père. Les premières années de ma vie, m'a mère fût présente, ce fut lorsqu'elle reprit sa carrière que je n'eu plus le luxe de profiter de sa présence à mon aise. Je grandis alors entouré par le silence d'un appartement tout équipé et d'une nounou qui tenait à ce que je finisse mon livre alors que moi j'aurais aimé courir dans la forêt ou me dégourdir les jambes n'importe où.Mais je n'avais pas le droit, je restais enfermé toutes la journée en dehors de mes heures de cours à l'école très chic et privé où mes parents avaient décidé de m'envoyer. Jusqu'à mes onze ans nous dînions au restaurant une fois par semaine le dimanche soir lorsque l'emploi du temps de mon père et de ma mère se concordait. Dans le cas contraire je passais juste une semaine de plus à chipoter dans mon assiette face à mon père avant de m'en aller après dix minutes. Je vécus donc mon enfance comme on lit une partition de musique. Tout était écrit, prévu, arrangé à l'avance et je n'avais pas le droit de faire autrement sous peine de me faire sévèrement réprimander et de me passer de télévision pendant une semaine.
Ma vie prit un tournant différent à mes onze ans. Mon père me jugea assez mur et préparer pour pouvoir rentrer dans le monde plein de conventions de la jeunesse dorée de Paris. Ayant été éduqué par ma nounou je savais déjà bien ce qui m'était permis et ce qu'au contraire je ne devais faire pour rien au monde. Je me souviens qu'avant d'aller à mon premier gala de charité mon père et ma mère avait décidé que nous irions faire un tour à Milan afin de m'acheter un des plus beaux costume pour enfant qui puisse. Fuir dans mon costume d'apparat je me suis rendu à ce gala plein d'une fierté incomparable, pourtant je suis resté seul. Encore et toujours. Assis sur ma chaise j'ai passé la soirée à regarder des gens parler de tout de rien, sans jamais s'écouter. Ma vie continua son petit bout de chemin et je grandissais. La liberté ne m'était toujours pas entièrement offerte, mais je pouvais au moins sortir et voir du monde. L'année 2002 fût un tournant pour le monde. Je me souviens être rentré un an plutôt dans le monde de la bourgeoisie et m'intéresser d'un tas de choses insignifiante. Et voilà que je me retrouvais à côtoyer les ténèbres depuis mon plus jeune âge sans jamais m'en être rendu compte. L'ombre était devenue lumière et la lumière ombre. Je ne comprenais plus. Les monstres qui habitaient mes livres d'enfant étaient réel. La peur qui étreignait quelqu'un dans une rue pas fort éclairé était tout à fait normal. A chaque coin d'ombre se cachait sa part de mystère. Sa part d'horreur. Je ne peux nier avoir été troublé. Ça me semblait tout bonnement impossible. Comment aurions pu, nous qui nous croyons si évolué et intelligent, ne rien remarquer tout ce temps ? C'était juste totalement impossible ! On ne pouvait pas faire sa vie sur ce qu'on croyait être la réalité pour découvrir que ce qu'on pensait être vrai n'était peut-être qu'un mensonge. Un mensonge qui aurait duré plus de temps que ce que je ne pouvais me l'imaginer. Seulement le monde s'y fit. Et comme toutes et tous, je m'y fis, tout en étant répugné à l'idée de savoir que je pouvais fréquenter des "monstres". Car ils n'étaient riens de plus que ça des monstres de foire bon à être éradiquer. La révélation avait tout chambouler. Mais comme pour tous les hommes finirent par s'y habituer choisissant leur camps. Je ne faisais pas parti des plus "gentils". L'idée même de cohabiter avec ces êtres me dégoûtait. Dans le fond j'étais juste effrayé. Il s'agissait d'une chose sur laquelle je n'avais aucune prise. On avait réussi à me berner et berner le reste du monde plus de temps que ce qu'on pouvait se l'imaginer. Alors, sincèrement ça m'effrayait et en même temps j'ignorais tout ça. Je faisais juste comme si ça n'existait pas, que ça n'avait jamais existé et vivre ma vie avec des oeillères ne me déplaisait pas. C'était tellement plus facile que d'affronter la réalité et la peur de ce que je n'arrivais pas à comprendre..
A l'époque je n'étais pas très attirant, même habiller chez des grand couturier ma maigreur sans égal raffermissait ce que je prenais pour de la laideur. Dans mon école on me connaissait pour être le gars au visage de gamin. N'en pouvait plus et étant superficiel comme toutes les personnes de cet endroit je me suis mis à faire de la musculation. Tous les jours, je me rendais dans une salle où je déboursais une fortune pour utiliser des machines afin d'affermir mon corps. Sans aucun doute j'étais superficiel, je bossais et je n'avais qu'un seul but, m'enfuir un jour de cette prison dorée. C'est pour cela qu'à mes dix-huit ans j'annonçais à mes parents que je voulais changer d'air et que le lendemain je prenais un avion pour Pékin. Je pense que ça ne les a pas trop peiné, de toutes manières l'appartement était toujours vide lorsque je n'étais pas là. Et puisque je sortais quasiment tous les soirs être ou ne pas être là ne changeait absolument rien.Je me souviens m'être envolé pour Pékin un large sourire aux lèvres. C'était un monde nouveau qui s'offrait à moi et malgré toutes les choses effrayante qui y régnait j'étais prêt à affronter mon destin. Je crois bien avoir vécu les meilleurs instants dans ma vie alors que je courrais après le temps. Un jour en Australie, le lendemain au Pérou. Je ne m'arrêtais jamais. Ça me plaisait trop que de voyager. Il n'était pas rare que pendant mon parcours je fasse des pauses pour aller voir ma mère. Elle était toujours aussi belle, mais avait prit un coup de vieux. Désormais ses contrats avec des agences de mannequins étaient plus compliqués à obtenir, mais elle y arrivait toujours. Un véritable petit brin de femme ma mère. Quant à mon père, je ne saurais dire ce qui lui est arrivé. Il a continué sa petite vie en voyant ma mère de temps à autre, en obtenant des nouvelles me concernant qu'à travers l'intermédiaire de celle-ci. Je ne le voyais plus, il ne me voyait plus et ça ne nous dérangeait pas le moins du monde. C'était la vie. Il arrive à un moment où on doit faire des choix et emprunter un nouveau tournant.
Je suis arrivé à Saint-louis un peu par hasard. Par hasard, ou alors c'est mon destin qui m'a appelé ici. Comment le savoir ? Je n'ai pas particulièrement aimé les lieux. Rien ne m'attirait réellement dans ces lieux, mais je n'ai pu repartir une fois face à la réalité. Un matin j'étais Gabriel, le lendemain je ne savais plus qui j'étais. Je me suis retrouvé dos au mur. Mais une fois encore ce n'est pas très clair. J'avais tout d'abord prévu de rester ici quelques jours avec de tout nouveaux amis que je m'étais fait en cours de voyage. Seulement mes plans furent troublé alors que je campais avec ces mêmes amis. On était tranquillement autour du feu en train de chanter en rigolant, je me souviens avoir décidé de m'éloigner un peu histoire de retrouver le calme après les longues heures qu'on avait passés à faire un boucan pas possible. Ce fût ma plus grosse erreur, ou ma plus bonne action. Je ne saurais le dire, je n'arrive pas trop à juger ma situation. Je ne saurais plus trop décrire comment c'est arrivé. J'étais allongé à regarder les étoiles au-dessus de moi lorsque j'entendis du bruit. Tout a été très vite. J'eu le temps de voir une ombre se diriger vers moi avant de me retourner que déjà je m'effondrai au sol sous l'effet de la douleur. L'arrière de ma chemise avait été lacérée ainsi que la peau de mon dos. Une griffure qu'un animal normal ne pourrait vous faire. Je me souviens avoir entendu du bruit derrière moi alors que quelqu'un s'approchait. Une fille qui était avec moi autour du feu un peu plus tôt. Le cri qu'elle poussa finit de m'achever alors que je me sentais tomber vers une douce léthargie. Je pense être resté de longues heures allongé sur le ventre dans la forêt. J'ai même du m'endormir trop perdu que pour savoir réellement comment réagir. Et lorsqu'au petit matin j'ai ouvert mes yeux je me retrouvais allongé à même l'herbe humide dû à la rosée du matin. Seul. J'étais seul. La jeune femme du jour avant n'était plus là, aucune trace de son passage, rien. Que lui était il arrivé ? Je n'en saurais finalement jamais rien. Je suis retourné voir mes amis croyant que le cauchemar était fini, je me trompais d'une façon que je n'osais même pas imaginer à l'époque. Après cet incident je me souviens ne pas m'être inquiété de la blessure que j'avais reçu. J'ai juste décidé de rester plus longtemps, le temps que ma blessure aie le temps de cicatrisé. Le temps que je puisse me remettre de tous ces événements et que je comprenne. Seulement rien ne se passa comme prévu. La vie n'est pas un ensemble d'événement logique qui se suivent les uns après les autres. On arrive à la fin pour recommencer à la case départ sans rien comprendre. Lors de ma première transformation je ne comprenais rien. Une force en moi me poussait à marcher, toujours tout droit. Je ne savais pas où mes pas allaient me mener ni même si j'allais aboutir quelque part, mais je continuais. Ça me semblait tellement vital que je ne pouvais réprimer l'impression d'urgence que je ressentais. C'est alors que je le rencontrais. L'alpha, ne le connaissant pas tout d'abord je fus étonné de me faire aborder par lui, puis tout prit un sens lorsque je me transformais pour la première fois. Tout était devenu clair tel la nuit qui devient jour. La pleine lune, la griffure qu'on m'avait infligé et qui après un mois était devenu une cicatrice nettement visible dans mon dos. À mes débuts je me souviens avoir été dur à canaliser. Voir incontrôlable. Je pense avoir donné du mal à l'Ulfric qui n'en a pourtant jamais laissé rien paraître. J'ai appris à me contrôler désormais et bien que je sois fort jeune, je pense connaître des loups pires que moi.
Depuis que je suis devenu un loup je vis à Saint-louis. Ça fait seulement quelques mois que je suis là et j'arrive petit à petit à m'intégrer et à me faire ma place dans ce monde. Je ne saurais dire si je regrette oui ou non de m'être fait transformer, je ne le sais pas moi-même. J'ai changé. Est-ce en bien ou en mal, la réponse est assez flou pour moi. J'espère un jour en trouver une qui sera clair.
Dernière édition par Gabriel T. de Rendinger le Dim 5 Sep - 11:54, édité 3 fois
Sujet: Re: Once upon a time~ Gabriel Thomas de Rendinger Sam 4 Sep - 14:12
BIENVENUE sur le forum Hm, concernant la conjugaison : j'ai pu remarquer que tu mettais souvent un accent au "a" alors qu'il s'agit du verbe avoir. Attention aussi aux accords. Tu oublies souvent le -e après le -é pour le féminin et certaines marques du pluriel telles que -ent ou même -s. Peut-être de la simple inattention ? Il y aussi des inversions entre le -é et le -er. Dommage car ton écriture est jolie et agréable à part tout ça. ^^
Septante. ça me fera toujours rire. C'est tellement plus logique que soixante-dix.
Ensuite, concernant l'histoire, Gabriel s'est fait attaquer comme ça, sans raison apparente en plein milieu de la forêt ? Je veux dire, si un lycan l'attaque, c'est pour le tuer, le dévorer. A moins qu'il eut l'obligation de déserter car surpris par quelqu'un ? Ou qu'il ait griffé Gabriel de façon intentionnelle afin qu'il rejoigne la meute ? Et la Révélation dans tout ça ? Tu n'en parles pas.
Voilà donc les petits détails à régler/expliquer avant de pouvoir être validé.
Sujet: Re: Once upon a time~ Gabriel Thomas de Rendinger Dim 5 Sep - 10:32
Pour ne rien te cacher je suis très très nul en conjugaison (sans blague vous l'aviez pas remarqué) J'ai fait des retouches au niveau de l'histoire et de même pour l'orthographe même si ça m'étonnerait pas qu'il reste encore des fautes.
Sujet: Re: Once upon a time~ Gabriel Thomas de Rendinger Dim 5 Sep - 12:59
T'en fais pas, ça arrive ! Pour l'histoire, c'est bon. Mais il y a toujours ce soucis avec les "a" auxquels tu mets constamment des accents et l'inversion entre -é et -er.
Je vais te valider mais histoire d'éviter cela dans tes futurs RPs, voilà de petites explications toutes simples :
Un accent sur le "a" ? Pour savoir si tu dois mettre un accent, il suffit de déterminer s'il s'agit de l'auxiliaire avoir ou non. Par exemple, tu mets souvent : Il à fait ceci... Il à fait cela. Là, le "a" qui se trouve avant faire est l'auxiliaire avoir car on dit avoir fait : donc il n'y a pas d'accent. Le reste du temps, le "a" porte un accent : Quant à moi... C'est à lui... etc.
Infinitif ou passé composé ? Pour savoir si tu dois terminer ton verbe par -é ou -er, tu dois déterminer s'il est conjugué ou non. Pour cela, il y a plusieurs moyens dits mémo techniques. Par exemple, tu veux dire : Il a ( regarder ) vers elle. Dans ta tête, tu remplaces le verbe regarder par le verbe prendre par exemple. Cela donne donc : Il a pris.... Dans une phrase tournée de cette façon, le verbe est donc au passé composé. Donc le verbe s'écrit regardé et non pas regarder : Il a regardé vers elle. C'est une méthode longue au début mais on s'y fait et puis, cela devient instinctif. Si jamais tu as un doute sur la conjugaison en général, tu peux jeter un coup d'œil à ce site très bien fait : Le Conjugueur.
En attendant, je t'annonce que tu as attrapé le dernier train pour l'Enfer. Mais attention, je te surveille pour voir si tu appliques bien ces règles. *baf* Non mais voilà, on est là pour t'aider et c'est toujours sympa de voir des joueurs progresser en conjugaison grâce au forum. Amuses-toi bien parmi nous !
Sujet: Re: Once upon a time~ Gabriel Thomas de Rendinger Dim 5 Sep - 13:14
Et ben je peux te dire que c'est plus clair avec tes explications qu'avec mes anciens professeurs de français. Merci bien de la validation et je vais faire de mon mieux pour appliquer ces quelques règles et m'amélioré.
Sujet: Re: Once upon a time~ Gabriel Thomas de Rendinger Dim 5 Sep - 13:33
C'est ce que je me suis dit ! xD J'ai d'abord voulu prendre un cours sur internet mais on comprend jamais rien. C'est comme les profs ouais, toujours à vouloir prendre des mots compliqués ou à tourner leurs phrases de façon incompréhensible, alors que c'est super simple. Du coup voilà, et contente si cela parvient à t'aider à progresser.
Sujet: Re: Once upon a time~ Gabriel Thomas de Rendinger Dim 5 Sep - 15:32
Han vilain Andrea qui m'a doublé ;____;
Bienvenue parmi nous Je peux te violer ? 'fin je demande mais en fait t'as pas le choix *out* Je veux un lien <3 *pousse Andrea d'un coup de fesses (aa)*
Sujet: Re: Once upon a time~ Gabriel Thomas de Rendinger Dim 5 Sep - 16:28
Khell ooohohoh chacun son tours (aaa) *OUT* c'est qu'il est entreprenant le petit loup je suis sur que la première chose que tu regardes dans les présa c'est : bisexuel, homosexuel ou hétéro ??? *RESSORS TRES LOIN*
Sujet: Re: Once upon a time~ Gabriel Thomas de Rendinger Dim 5 Sep - 16:33
T'en sais quelque chose mon petit chat (aa) Cries pas trop fort que tout le monde n'entende pas ce qu'on va faire Et non pas chacun son tour, je partage pas mes repas *out* Tu essaie de savoir si je fais comme toi là non ? °° Perdu, c'est la race que je regarde en premier xDD J'aime bien savoir quels rangs les petits nouveaux viennent grossir :p
Assume ta perversité, fais comme moi (aa)
Dernière édition par Khelliam S. Hennessy le Dim 5 Sep - 16:58, édité 1 fois
▌A débarqué le : 21/07/2010 ▌Parchemins : 4682 ▌Quantité de sang disponible : 32110 ▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus ! ▌Rang : Chef du clan Blackstone. ▌Job : Chasseur à mes heures perdues. ▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.