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| rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) | |
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| Sujet: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 1:25 | |
| Rÿsiàh Thurstorn
« aux destins sans gloire »Sandrah Hellberg © myself Identité Je m'appelle Rÿsiàh, Ada Thurstorn mais on m'appelle Rÿs'. J'ai 197 ans, j'en fais la vingtaine. Je suis née le 31 octobre 1815 à salem et je suis Américaine, avec des origines svalbardes. Je suis une jaguar-garou hétérosexuelle et je suis la maya du pard, guérisseuse au dispensaire (tout ceia, si possible naturellement).
Capacité Spéciale ; GUÉRISON ASTRALE (ou par projection astrale) — Parfois, lorsque la blessure d’un lycan est trop importante pour que ce dernier puisse se régénérer seul, Rÿsiàh intervient dans la cicatrisation des plaies, par l’intermédiaire d’une voie de guérison aussi dangereuse que bénéfique. C’est en entrant dans une certaine transe causée par un philtre spécifique, que la projection astrale de la maya fait son œuvre, glissant ses mains telle une chirurgienne dans le corps du patient, aidant la guérison naturelle en accélérant les choses, notamment en venant d’elle-même refermer une plaie profonde en raccordant les bords de la blessure de façon à ce que son corps réel puisse par la suite prendre le relais. La caresse de la main peut de même relancer un cœur qui s’arrête, par un massage plus proche que ne le ferait le corps réel. Cette voie de guérison ne permet toutefois pas d’ôter l’argent du système. De même, c’est une approche qui reste relativement dangereuse, puisque qu’une seule maladresse de la part du corps astral peut causer des dégâts irréversible, au même titre que le fait de déranger la maya durant l’opération, puisqu’une immense concentration est en effet requise pour mener à bien la mission. Ce procédé demande à lui seul énormément d’énergie, et ne peut être utilisé plus de deux fois de suite dans une même journée. Une récupération d’une journée complète est alors nécessaire, puisque la projection astrale utilise la même quantité d’énergie, voire plus qu’un corps humain normal. Histoire Peut-on réellement oublier le jour de sa naissance ? Enfouie quelque part dans les méandres d’une parcelle de mémoire, relégué aux pensées inutiles, à ce qui ne saurait servir, passé peu important, qui ne saurait aider à avancer. J’ai oublié le premier jour de ma vie, mais ne saurait oublier le jour de ma mort. Souvenir douloureux qui hante mon palpitant, à m’en briser l’âme. « Rÿsiàh ! Tu m’écoutes ou bien ? » Un soupir, tandis que les lèvres de la rêveuses se font sourire pincé, son regard céruléen abandonnant à contrecœur le pelage blanc du lapin qui s’est aventuré hors des limites de son territoire, pour mieux se porter sur la femme d’âge avancé, aux courbes bien trop généreuses pour être ignorées. « Oui, tante Milicent, je t’écoute… » D’une oreille distraite, certes, mais la leçon se faisait bien trop longue pour qu’elle daigne y accorder de l’attention, et ne souffre encore du froid venant s’immiscer sous ses jupons. La neige avait cessé de tomber au petit matin, permettant ainsi aux deux abandonnées du village de Salem de sortir, et ainsi continuer d’instruire la jeune enfant de seize ans… Encore fallait-il que l’impudente daigne accorder une réelle attention à la leçon du jour ! ! Cette fois-ci, ce furent les lèvres de la quarantenaire qui laissèrent échapper un soupir glacé, tandis qu’elle repassait à l’arrière de son oreille une mèche de sa chevelure aussi rousse que les flammes de l’enfer. « N’oublies pas que des innocentes sont passées à la torture et le bûcher pour que tu puisses vivre ! Tiens compte de leur sacrifice pour aider ton prochain ! » L’éternelle leçon, morale basée sur l’histoire. Combien de fois y avait-elle droit par jour ? Deux ? Trois ? Oh non, bien sept fois, du lever au coucher, car voyez-vous, il y a plusieurs catégories de personnes dans le monde. Les riches, les pauvres, les simples, les fous, les mortels, les succubes de satan et les enfants de Dieux. Pauvre, la jeune fille l’était bien naturellement, vivant avec une tante aussi aimante qu’agaçante, dans un coin bien reculé du village qui avait connu la grande inquisition, aux abords d’une petite forêt. Enfant de dieu, c’est ainsi que chacun s’appelait sitôt les portes de l’église franchies, et croyante, sans doute l’était-elle, récitant la prière à la suite du prêtre qui en donnait les premiers vers. Mais fille de sorcière elle demeurait avant tout, descendante d’une femme certes accusée, mais qui avait eu la chance d’échapper à la question, et c’était son savoir que l’on voulait lui transmettre, glissant dans ses journées la notion des plantes permettant une guérison contre celles infligeant le poison, de protections à malédictions, sans que jamais on ne lui demande si c’était là, la vie qu’elle souhaitait. Toutefois, quel autre choix aurait-elle eut véritablement ? Devenir la bonne et docile épouse du fils du fermier d’à côté ? Oh certes, l’homme était beau, charmant et attirant l’œil de bien des filles des alentours, mais elle ? Docile ? Par tous les saints, c’était bien mal connaître la petite sorcière que de croire cela ! Nul homme digne de ce nom ne saurait même la prendre pour épouse ou maitresse d’ailleurs, la belle se refusant de laisser sa vertu pour le simple plaisir. Alors sorcière, guérisseuse, quelle différence au regard humain ? « Tu disais que le houx peut aussi servir à la guérison, principalement dans les rhumes, puis tu grommelais sur le fait que l’hiver était la pire des saisons pour tes rhumatismes. » Alors ? Pas si distraite que ça la Rÿsiàh, témoignent ce regard taquin et cette bouche moqueuse. Et déjà la vieille se lève, faisant déjà mine d’ignorer sa nièce, avant de finalement partir d’un éclat de rire. « Sale bête ! La leçon est terminée pour l’instant, va chercher du bois, histoire que je puisse réchauffer ma pauvre carcasse. Ne traîne pas trop, l’on m’a rapporté que des étrangers sont arrivés au village, ils ne m’inspirent pas vraiment confiance. » Un signe de tête entendu, tandis que la jeune fille rajuste son châle, et s’aventure déjà dans la partie boisée, à la recherche de branches idéales pour raviver un peu le feu de leur modeste chaumière. L’hiver sera bien trop rude cette année, et nul doute qu’elles auront du travail pendant ces quelques mois, à commencer par la vieille Anne, résistante depuis bien des saisons, d’aucun diraient qu’elle enterrerait certainement tout le monde dans ce village ! Une petite pensée qui amuse la sorcière, alors que ses doigts gelés ramassent les quelques branches cassées et abandonnées de leurs porteurs. Triste saison que cel… Qu’est-ce que ? Son regard céruléen se plisse, se fige. Son instinct s’affole et lui hurle de ne pas s’approcher plus, mais sa raison, à défaut de sa curiosité, s’en mêle et la voilà qui s’avance d’un pas, puis deux, avant de s’arrêter brusquement. Là, à quelques mètres d’elle, c’est un homme qui se tient nu dans la neige, le torse peint de sang, rivière qui coule le long d’une blessure qu’elle ne parvient à deviner. Le cœur s’emballe, l’instinct l’exhorte de faire demi-tour, de prendre son bois et de laisser l’inconnu ici, hélas, la jeunesse, l’insouciance, admet qu’il est préférable de vérifier si l’homme est mort avant, alors pose son bois et s’approche à pas de velours, avant de poser sa main glaciale sur une parcelle de peau de l’étranger, certainement un de ceux qui viennent d’arriver. Étrangement, la peau est brûlante, indiquant clairement que l’homme est toujours vivant. Fièvre ? Ses doigts inspectent, quand son regard évite soigneusement la partie dédiée au pêché de la chair. Comment peut-il encore être vivant avec une blessure pareille ? Mauvais, très mauvais. Maudite insouciance, perfide serment qui la tient entre ses paumes, quand elle enlève son manteau pour le lui poser dessus, alors qu’elle se place déjà au niveau de ses épaules, et attrape l’homme par les bras, commençant tant bien que mal à le traîner sur le manteau blanc. Lourd, il la fatigue déjà, mais ne renonce pas, cherche à s’accorder le moins de pause possible, ne prends pas même le temps de l’observer. Tant qu’elle sent la palpitation sous ses doigts, tout va bien. Enfin, son regard croise les fondations de sa maison, et déjà ses lèvres font écho à sa pensée. « NAAAAAN’ ! J’AI BESOIN DE TON AIDE ! » C’est à force de détermination et de force dans les bras que les deux femmes parviendront enfin à faire entrer le blessé dans la chaumière, bien que le laissant à terre. C’est aussi à cet instant seul que la plus jeune se permet enfin de porter plus d’attention à l’homme allongé, encore inconscient. Une admiration qu’elle n’a toutefois pas le temps de prolonger, alors que déjà les ordres fusent. Le feu se ravive, et de l’eau boue déjà. L’important serait de terminer le travail, de sauver l’homme qui n’est pas encore mort. « Nettoie bien sa blessure. Il a de la chance d’être encore en vie celui-là. » Et l’enfant de s’exécuter, ses mains glissant une fois de plus sur la peau brûlante de son patient, déjà elle devine les intentions de sa tante : c’est elle qui fera le travail quand l’autre supervisera. Certes, il serait plus simple d’aller chercher le médecin du village, mais il s’avère qu’il vit à l’autre bout de ce dernier, et qu’il n’est guère certain que l’homme survivra à l’attente. « Il y a quelque chose dans sa blessure… On dirait… C’est une balle. Elle n’est pas ressortie, et je… qu’est-ce que c’est que ça ? Nan’, c’est étrange, c’est comme s’il réagissait à la balle, il y a un tas de venelles noires sur sa peau. Tu penses que ce pourrait être un sortilège ? » Et bien qu’en y réfléchissant, jamais encore elle n’avait vu une chose pareille, la plaie était étrange, et lui semblait que le mal venait de là, et non pas seulement de la blessure. L’ignorance est quelque chose d’un brin agaçant. « Enlève la balle, rapidement, et tente de ne pas abîmer quoi que ce soit d’autres. Bien que dans son cas, je me demande si cela changerait quelque chose. » Une grimace, car contrairement au médecin du village, elle, n’a pas d’outils adéquate pour ce genre de choses. Y aller avec les mains ? Elle n’a pas le choix, et déjà ses doigts viennent s’incruster sous la peau, glissant contre le métal de la balle totalement rougie. L’ôter, n’est pas aisé, et déjà la nausée lui prend à la gorge, bientôt refoulée par une dose de courage et de détermination qu’elle ne se connaît pas : sauver l’homme d’abord, vomir après. Mais enfin la mission s’accomplit, et la sorcière glisse l’instrument de torture dans une petite coupelle de terre cuite. « Bien. Tu sais ce qu’il te reste à faire maintenant. Je vais au village, acheter quelques vivres, les hommes, ça ne se nourrit pas d’eau et d’air que je sache ! » Un signe de tête entendu, quand la nièce retourne à son occupation première. Son premier réel patient, client, qu’importe le nom qu’on lui donnera, car déjà, elle en prend soin, panse sa blessure, sans même remarquer que celle-ci se résorbe d’elle-même. Le rôle l’épuise, et la chaleur de l’homme l’inquiète, il faudra pourtant attendre qu’il se réveille pour lui faire prendre la mixture qui attend au chaud. Que ne souhaites-tu là, innocente sorcière ! Dans cette vie qu’il avait inventé pour le commun des mortels, il s’appelait Callel Walden, âgé de 28 ans, et ancien soldat. Dans son autre vie, il portait le même nom, était âgé néanmoins de cent ans de plus, sensible à la pleine lune et Rama de son pard. Détails qu’il s’était plu à cacher à la jeune fille qui lui avait sauvé la vie quand il n’avait fait que chercher à s’échapper d’un chasseur trop encombrant. En vérité, trois mois s’étaient écoulés depuis qu’elle l’avait sorti de ce mauvais pas, sans poser de question, sans jamais s’attarder sur les réelles raisons pour lesquelles il était toujours en vie. Triste réalité, elle ne semblait guère s’intéresser à lui, ni même à la troupe qui l’accompagnait. D’autres s’étaient montré bien plus curieux… elle… pas une fois. D’une discrétion sensible, d’un œil observateur, il lui semblait que de temps à autres, elle en savait bien plus qu’elle ne voulait en avouer, et quand bien même venait il pour aborder le sujet, se contentait de sourire sans jamais s’aventurer plus loin. Inutile de se le nier plus longtemps, l’humaine, la sorcière, la petite guérisseuse lui plaisait. Ne se montrait-il pas même entreprenant à son égard ? La vieille qui vivait avec elle était même bien plus perspicace que cette dernière, comprenant que derrière chaque aide apportée lorsqu’elle s’aventurait dans la forêt, venait un acte de séduction pour lequel elle n’apportait pas même de réponse. Ignorante ou consciente du charme qu’elle portait sur lui ? Le petit fermier du voisinage lui avait affirmé qu’elle était ignorante en matière des jeux d’amours, toutefois, il n’avait put se résoudre à y croire ne serait-ce qu’une seconde : comment diable, une créature de la sorte pouvait ignorer les effets octroyés sur un homme ? Il ne le lui avait pas même caché durant sa convalescence, se faisant dur à chaque fois qu’elle posait la main sur lui, jouant le jeu de l’homme guérissant lorsqu’il l’était depuis qu’elle avait ôté la balle en argent de son flanc. Le mieux qu’il avait put obtenir, avait été un baiser, qu’il lui avait volé contre le tronc d’un arbre. Si elle n’avait pas esquivé le geste, il n’avait fallut pas longtemps toutefois pour qu’elle se sauve à la seconde d’après, le délaissant sans autre forme de procès. Qu’y avait il à comprendre alors ? Elle n’en avait jamais reparlé, et lui, avait vu son silence comme un encouragement. D’autres avaient fini par suivre, sans qu’elle ne se dérobe plus, sans qu’elle ne cherche à s’enfuir. C’était hélas, bien la seule et unique chose qu’elle daignait lui offrir, ne cherchant pas même à écarter les cuisses quand il se montrait désireux de se loger en son creux, plus précisément les soirs de chaleur lunaire. Et cette nuit, si loin de la lune ronde fut-elle, ne diffèrerait nullement des autres. « Nous allons bientôt repartir. » Il ne l’avait mentionné que pour lui soutirer un regard, une réaction… Elle ne se contenta que de glisser son visage vers le sien, avant de finalement laisser son être se glisser contre le sien, si chastement, que c’en était… douloureux. « Quand ? », finit-elle enfin par demander. « Trois jours. » La requête lui brûlait la langue, en était-il réellement tombé amoureux ? Impossible en vérité, mais le fait était-là. « Viens avec moi. » N’en avaient-ils pas déjà parlé ? Elle voulait voyager, parcourir le monde, son pard et lui étaient à la recherche d’une contrée où vivre, pourquoi ne pas faire d’une pierre deux coups ? L’innocente pourtant soupire, se retire. « Non. » S’attendait-il à son contraire ? Assurément, car il savait alors, qu’il lui plaisait, qu’elle attendait plus de lui que de n’importe quel homme. Mais il n’était pas… Il y avait longtemps qu’il n’était plus totalement humain, partageant son être avec une parcelle des plus animales. Le jaguar en lui se faisait observateur, espérant pourtant que l’humaine change d’avis, qu’elle devienne leur compagne, qu’elle porte un jour leur progéniture, néanmoins, l’homme savait que cela n’arriverait pas, tant que sa belle ne le souhaitait pas. « C’était un bon moment Callel, mais il est temps qu’il prenne fin. » Ah par tous les saints ! Parfois, il oubliait qu’elle n’était pas réellement une enfant par son esprit. « Tu n’es pas tout à fait l’homme qu’il me faut, il y a un côté de toi que je ne connais pas, et c’est ce qui me pousse à refuser ta requête. » Alors elle avait bien deviné son secret ? Et celui de son clan ? « Et je suis une sorcière Callel, ma vie est ici, ma lignée s’est établie ici, je ne peux pas partir sur un coup de tête, alors n’en parle plus, cela n’arrivera pas. » Un baiser pour la faire taire, la fierté est blessée, mais l’avouer ? Il ne saurait le faire. Trois jours avant de ne plus jamais la revoir. C’était tout du moins ce qu’il avait cru, au dernier jour, à la dernière nuit. Elle allait faire partie des souvenirs, et lui, allait reprendre la route et protéger le pard, en espérant que nul autre chasseur ne viendrait prendre la place de celui qui était tombé. Tout cela sans compter sur l’arrivée soudaine et impromptue du dernier arrivé, Inty, affolé, arrachant un froncement de sourcils au raja de la meute. « Callel ! C’est Deenah ! Elle… Elle a mordu quelqu’un !! La sorcière ! » Fallait-il plus de mots ? La jaguar allait tous les mettre en danger, lui qui n’était pas Nimir-Raj, entrevoyait pourtant déjà les conséquences de l’acte ! Pis encore, pourquoi avait-il fallut qu’elle s’attaque à l’une des sorcières du village qui les avait accueillit, certes pas à bras ouverts, mais les avait toléré tout de même, eux, les étrangers. D’ailleurs… Quelle sorcière avait-elle… Il ne lui avait guère fallut longtemps pour comprendre, sitôt arrivé sur les lieux, sitôt le regard glissé sur le chaperon rouge couvrant le visage de celle qui n’avait pas voulu le suivre, sur celle qui désormais, connaissait son secret, et n’allait guère plus avoir le choix que de venir avec. « Tu devrais me remercier Callel, grâce à moi, ta chère et si précieuse bien-aimée restera avec toi. » … et allait le haïr pour cela. Parfois, le destin joue de drôles de tours, un jour, vous êtes mortelle, le lendemain, vous avez franchit les portes menant au Valhalla, et siégez parmi les immortels. Alors je suis devenue Hel, une partie du visage tournée vers la lumière, quand l'autre se repait dans les ténèbres. Nul tourment n'est pire que de partager deux âmes dans un seul corps. « Nimir-raj ! Aurais-tu faillit à ton rôle en jurant de protéger tes félins ? » Je sais d’instinct, que je n’ai pas de regard à lever vers le chef du pard, que ce dernier à déjà porté ses pupilles animales sur moi. Sa colère est palpable, glisse sur ma peau, comme sur celles des autres membres du clan. Ce n’est pas la première fois que je m’apprête à subir le courroux de ce dernier. En deux ans, ne l’ai-je pas déçue par diverses fois ? Au fin fond de mon être, j’ose espérer que c’est la dernière fois, comme bien d’autres je le suppose. « M’insulterais-tu mon frère ? » Voilà que je ferme les yeux, alors que je sens chaque regard aller aléatoirement. Le linge sale lavé en public, qui n’aime pas cela ? En l’occurrence, je suis la souillure, celle qui se doit d’être lavée pour reluire. « Ton félin blanc s’est laissé aller à la fièvre de sang, deux fois depuis que nous vous avons accordé l’hospitalité sur notre territoire. N’a t’elle pas apprit auprès de ton Kâma ? » Ce membre du pard a bien fait son travail, il l’a toujours fais auprès des nouveaux comme des anciens, hélas pour chaque jaguar ici, je suis une plaie, le maillon faible de la chaîne, l’élément dangereux qui mériterait qu’on l’enferme, et je sais pertinemment que ma punition ne devrait pas tarder à arriver, la vérité ? Je ne lutterai pas même contre cette dernière. Je n’attends qu’une chose : que cette discussion cesse, que tout bourdonnement cesse enfin à mes oreilles. Sous ma peau, ma bête à fourrure blanche est calme, peut-être trop étrangement, bien que je pourrai sentir ses pupilles cherchant à me sonder. Elle calme mes tremblements lorsque j’ai peur, trépigne d’impatience quand la lune s’annonce ronde, chatouille chaque parcelle de mon être lorsque je suis triste. Elle me comprend, et je l’aime pour ça. Ce soir toutefois, c’est le soutien qu’elle m’apporte, et se résigne. Je suis trop têtue, et notre sort ce scelle. Si j’avais pu l’avoir en face de moi, il me semble que je lui demanderai pardon, si j’avais le pouvoir d’ouvrir la cage, je lui rendrai sa liberté… Néanmoins, je ne peux bouger, c’est à peine si j’ose respirer. « Pour avoir enfreint les règles de mon hospitalité, voilà ma punition : celle-ci n’appartient plus à ton pard, considérée bannie, nul adieu, nul regard. Le félin est mien, et j’obtiendrai ce soir réparation aux torts qui ont été causés et nous mettent en danger. » La sentence tombe, et c’est le soulagement qui semble déjà se glisser de mes épaules. Des mains viennent par ailleurs se poser sur celles-ci, rudes, fermes, mais peu offensives et n’ai d’autres choix que de me laisser guider. Nul regard pour mon ancien clan, pas même pour celui qui est la cause de ma déchéance, de mon malheur. Je crois qu’il y a longtemps que je ne l’aime plus. Je suis enfin libérée de la présence de Deenah de même… Mais là où je vais, qu’adviendra t’il réellement de moi ? « Respire petite. » Encore une fois, je n’ose pas lever le regard sur celui qui m’accompagne, je n’attends qu’une chose, une seule, et j’espère que l’on ne fait pas durer le suspens. L’aura de la forêt me frappe, et m’apaise plus que je n’aurai pu le croire. Ma dernière maison, le sourire guette mes lèvres, enfin ! « Notre nimir-raj veut te voir petite. » Je ne tiens plus, et sous ma peau, mon félin s’agite, notre délivrance est proche, si proche que je pourrai la toucher du bout des doigts, enfin je peux lever les yeux, et observer les membres de ce pard, les observe brièvement, ils semblent sereins, bien plus que moi. Mais mon examen est de courte durée, car déjà l’on me mène dans une petite maison de bois, pour mieux m’y laisser seule, et au fond de moi, je cherche dans quel état d’esprit je me trouve. Il ne me semble pas avoir peur, pas même effrontée. « Tu as causé du tort à ton pard jaguar. » la voix caresse ma peau, harcèle mes oreilles. Je ne réponds rien à l’accusation, ni ne cherche à me défendre : je connais mes torts, même si la plupart sont inconscients. « N’est-ce pas au Rama que reviennent les exécutions ? » Mon ton se fait neutre, lassé. Je ne veux plus entendre d’accusations, d’autres mots qui n’arrangeraient par mon désir, je veux seulement partir, apaiser ma souffrance. Je n’ai jamais voulu devenir lycanthrope, je n’ai jamais désiré être soumise aux fièvres lunaires, j’accepte ma fin telle qu’elle me vient. « Qui a parlé d’exécution ? Si tu veux tant en finir avec la vie, pourquoi ne pas l’avoir fait de toi-même, Rÿsiàh ? » Mon souffle se coupe, mon cœur s’arrête. Je ne veux pas continuer ainsi, je ne veux pas continuer de me haïr, j’aspire à ce qu’on fasse taire ma souffrance, mais je ne peux le faire de moi-même pour une simple raison : « Parce que j’aime la vie… » Je me surprends moi-même à glisser cet aveu, et mon regard s’attarde sur la fenêtre. À mes côtés, le protecteur fait silence, mais son regard s’attarde sur moi. « La punition n’était pas pour toi, mais pour ton nimir-raj, pour n’avoir pas su voir ta souffrance. Un jaguar qui refuse de se contrôler est un jaguar malheureux. Voilà mon offre : considère cette chance comme une nouvelle naissance, laisse chaque membre de mon pard te montrer ce que c’est que d’être un jaguar, et au terme, deux choix s’offriront à toi : rejoindre notre meute, ou t’éteindre définitivement. » L’offre me surprend. Quel chef proposerait cela ? « Conte-moi ton histoire maintenant. » Et je lui raconte tout, de ce que j’étais avant de devenir félin, de comment j’en suis arrivée à rencontrer le pard qui a fait de moi ce que je suis, de mon ressentiment face à ce tour du destin que je n’ai pas demandé… Il me semble que de temps à autre, les larmes s’échappent bien malgré moi. Raconter mon histoire me fait un bien fou, exorcise mes démons. Il est tard lorsque je cesse enfin de parler, et c’est chez un autre lycan que l’on me mène, une femme âgée, la Brahma. Je sais pertinemment qu’elle jouera beaucoup dans mon intégration, dans cette mission à me faire aimer ma condition. « Coupe-moi cette machine, je n’arrive pas à me concentrer. » Le jeune jaguar à mes côtés s’exécute, et le bruit infernal de l’électrocardiogramme cesse enfin. Je n’ai jamais aimé cette évolution là. Les machines, l’internet, bref, tout ce qui peut remplacer le travail manuel d’un Homme. Vous vous en doutez, si je vous parle d’évolution, c’est que j’ai finalement abandonné mon projet de mettre fin à mes jours, et maintenant que j’y pense, un jaguar suicidaire, c’est un peu idiot. Mon Nimir-Raj a fait du bon travail avec moi, et même si aujourd’hui il n’est plus vraiment là, chaque soir, mes pensées sont tournées vers lui. Je ne comprendrai jamais vraiment sa motivation à m’avoir laissé une chance, néanmoins, grâce à lui, j’ai trouvé une raison de vivre, j’apprécie de courir la nuit sous la lune glaciale, et j’aime ce qui m’entoure, même s’il faut reconnaître que les voitures, les buildings et tout ça, c’est vraiment laid. Aujourd’hui, j’ai 197 ans, et si vous m’aviez dit quand j’étais encore mortelle que je vivrais jusqu’à cet âge là, nul doute que je vous aurais cloué le bec avec un sortilège aussi basique qu’inoffensif. Ah oui. Ma condition de sorcière, pendant des années, j’ai sincèrement cru que devenir lycan m’avait fait perdre mon essence natale, la maya du pard m’a démontré que non, elle était toujours là, cachée, et qu’il suffisait de me replonger dans mes grimoires pour que le tour de main me revienne. J'ignore aujourd'hui ce qu'est devenue mon mentor, au même titre que tous ceux qui m'ont accueillie à bras ouverts. Peut-être au fond, n'étais-je pas tout à fait prête à rester dans un clan, dans une meute, solitaire, amoureuse d'une liberté me poussant finalement à voguer ci-et-là. Néanmoins, la solitude ne m'a jamais très bien réussie, quel jaguar aime rester seul d'un autre côté ? Et puis j'ai apprit la création d'un nouveau pard, dans cette contrée abritant tant de mythes et légendes : La Nouvelle-Orléans. Je ne mentirai en affirmant que je voulais voir ma solitude prendre fin, par ailleurs, n'avais-je de même entendu dire que ce fameux pard cherchait une maya ? Qui mieux que moi aurait alors put prendre cette place ? À côté de ça, je suis guérisseuse au dispensaire de la Nouvelle-Orléans, avec presque deux-cents ans de vie, j’ai eu le temps de voir l’évolution de la médecine, même si les humains sont bien moins intéressants à guérir que les lycanthropes. Bref, comme vous pouvez le comprendre, je suis vraiment guérie de mes tendances suicidaires, de mon envie d’abandonner tout espoir de vivre bla bla bla, même si de temps à autres, je suis nostalgique du temps passé. Mais bon, on va pas s’attarder là-dessus hein ? Là, tout de suite, j’ai un lycan qui a subi du dégât, et je crois que l’on attends beaucoup de ma capacité de guérison. Derrière l'écran Pseudo ; 7›sins. Âge ; 24 ans. Fréquence de connexion ; 3/7. Comment avez-vous connu le forum ? prd. Comment trouvez-vous le forum ? so sexy !. Multicompte ? [ ]OH YEAH / [• ]NO. Code (en hide) : Ok by Blondie ♥
Dernière édition par Rÿsiah A. Thurstorn le Dim 4 Nov - 14:24, édité 39 fois |
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| | | | Tess E. Littleton
« SERIAL KICKEUSE »
▌A débarqué le : 22/07/2010 ▌Parchemins : 12385 ▌Quantité de sang disponible : 22712 ▌ Code couleur : #5F9EA0 - cadetblue ▌Age du personnage : 28 ans ▌Rang : Loque dépressive ▌Job : Maman perdue
| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 1:47 | |
| bienvenue petite abeille (a) Pour ce qui est de ton rôle de Maya et de ton travail au dispensaire, d'un point de vue staffien, si le niveau y est, nous ne voyons aucun inconvénient à ce que tu exerces à la fois ce rôle, et ce métier (a) après le mieux, c'est de voir avec la Nimira et la proprio du dispensaire Bon courage pour ta fiche et n'hésite pas si tu as des questions |
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| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 10:56 | |
| Bienvenue parmi nous, jolie patte de velours ! |
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| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 12:34 | |
| Huhu ! Merci à vous trois ! Je vais tâcher de ne pas trop vous décevoir. (Ce qui risque d'être un peu dur, malade comme je suis è.é, donc si vous voyez des incohérences dans mes phrases, indiquez-le vite, parce que mon pauvre cerveau réfléchit plutôt mal en ce moment ! ) SPENCER › hanwéééé ! Sandrah est trop hot ! (Je trouve d'ailleurs dommage qu'elle ait si peu de shoots ¬¬ … ) Pis je voyais pas d'autres célébrités pour le rôle que je vais lui donner. Alors j'espère ne pas trop te décevoir ! TESS › je note tout ça, en essayant de faire au mieux pour tout ce joyeux bordel, en me basant sur les souvenirs « flous » de mes lectures ILITHYIA › mwraour, merci sexy morte ! (oui bon, j'ai cherché un truc poétique, mais j'ai pas trouvé … ) |
| | | Maelenn A. Pendragon
« † SCRUMPTIOUS redhead † »
▌Age : 30 ▌A débarqué le : 14/08/2012 ▌Parchemins : 676 ▌Quantité de sang disponible : 22536 ▌Age du personnage : 1638 ans ▌Rang : Vampire solitaire ▌Job : Pianiste au Bloody Mary ▌Citation : Folâtre
| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 12:36 | |
| Bienvenue chaton T'es toute mimi ! Te manque plus que le costume d'abeille et tu feras une parfaite Maya Bon courage pour ta fiche ! |
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| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 12:44 | |
| Bienvenue ^^
Hâte de voir la suite de cette fiche qui promet d'être intéressante. N'hésite pas à me MP si tu as des questions sur le Dispensaire ^^ |
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| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 12:58 | |
| Bienvenue et bon courage pour ta fiche. |
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| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 13:06 | |
| Salut jolie panthère et tout d'abord, bienvenue par minou euh... parmi nous ! Pour le poste de Maya, je ne vois pas comment je pourrais le refuser à une rescapée de Salem !!! Tu as donc ma bénédiction sans aucun problème ! N'hésite pas à me mp si besoin ! Je te souhaite bon courage pour la rédaction de ta fiche que j'ai hâte de découvrir ! |
| | | Asher L. Blackstone
« Votre Saigneurie »
▌A débarqué le : 21/07/2010 ▌Parchemins : 4682 ▌Quantité de sang disponible : 32130 ▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus ! ▌Rang : Chef du clan Blackstone. ▌Job : Chasseur à mes heures perdues. ▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.
| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 14:12 | |
| Bienvenue, petit chat ! |
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| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 15:05 | |
| Maiiis euuuh ! J'suis pas un chaton, j'suis un félin sanguinaireeuuuuh * pousse sa pelote de laine du pied pour la cacher.* MAELENN › Mooooh, c'est trop chou comme jeu de mots (faudrait que je demande à Fai' de faire un sexy avatar avec le costume de Maya Ö) EILIDH › héhé, tu vas voir comment je suis INFERNALE quand je m'y met (a) SIOBHÀN › LILYYYY. LEENA › Muuuuuh *-* rescapée, rescapée, c'est un grand mot, le massacre a eu lieu moins de deux siècles avant sa naissance quand même xD. C'est juste une descendante :p je m'active pour ma fiche !! ASHER › t'adopte les petits chats perdus ? Je grimpe au rideaux, je griffe les cercueils, et je fais caca à côté de la litière |
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| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 15:10 | |
| Mrwaaar j'crois bien qu'on se connait Dylüviàh? si c'est pas l'cas, désolée XD Anyway, bienvenue ici dans tout les cas *^* |
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| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 15:13 | |
| Ooooh. On se connait *o* C'est quiiii ? C'est qui c'est qui c'est qui c'est qui ? |
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| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 15:14 | |
| C'est ZAAANE (et Absolem & Barry ♥) y a aussi Adélaïde/Luce qui est ici, sous le nom de Céleste ^^ |
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| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Jeu 1 Nov - 15:18 | |
| HAN WÉÉÉÉ *O* (ça me fait penser que je t'ai pas répondu là-bas. Je le fais après) Niiiih, va falloir qu'on se trouve un super link ! |
| | | Tess E. Littleton
« SERIAL KICKEUSE »
▌A débarqué le : 22/07/2010 ▌Parchemins : 12385 ▌Quantité de sang disponible : 22712 ▌ Code couleur : #5F9EA0 - cadetblue ▌Age du personnage : 28 ans ▌Rang : Loque dépressive ▌Job : Maman perdue
| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Dim 4 Nov - 13:53 | |
| trèès trèès jolie fiche par contre, y a un détail qui coince : « Oui, je dis ancienne, puisqu’aujourd’hui, et ce depuis 73 ans, c’est moi, la nouvelle maya du clan, et je tente de faire de mon mieux pour protéger ce dernier. » Le Pard actuel vient tout juste d'être créé. Ca date de... quoi, 3, 4 semaines dans le jeu (disons début octobre - et oui, on joue en temps réel, ou presque ^^) Donc voilà, Rys a forcément du quitter son 2ème pard et accepter le rôle de Maya dans celui de LNO tout récemment. |
| | | Lexy Williams
« »
▌Age : 34 ▌A débarqué le : 05/02/2012 ▌Parchemins : 573 ▌Quantité de sang disponible : 22228 ▌Age du personnage : 25 ans ▌Rang : Fouille-merde ▌Job : Mécano au Black Lion ▌Citation : Kawabounga !
| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Dim 4 Nov - 14:15 | |
| Welcome |
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| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Dim 4 Nov - 14:25 | |
| Ah bah oui, effectivement, ça peut pas coller ! XD C'est modifié, en espérant que ça passe un peu mieux |
| | | Tess E. Littleton
« SERIAL KICKEUSE »
▌A débarqué le : 22/07/2010 ▌Parchemins : 12385 ▌Quantité de sang disponible : 22712 ▌ Code couleur : #5F9EA0 - cadetblue ▌Age du personnage : 28 ans ▌Rang : Loque dépressive ▌Job : Maman perdue
| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) Dim 4 Nov - 14:57 | |
| Félicitations !
« Tu viens d'attraper le dernier train pour l'Enfer ! »Officiellement bienvenue sur COB ! Très belle fiche et personnage intéressant, comme je le disais déjà plus haut (a) Maintenant que tout est bon, te voilà ajoutée chez les jaguars ! Amuse-toi bien parmi nous, et n'hésite pas à contacter un membre du staff si tu rencontres un problème ou as besoin de renseignements ! Ce qui suit a été rédigé pour te guider après ton arrivée Se Préparer
A ce stade, t'as passé la validation, et ça mérite avant tout un bravo ! Tu fais officiellement parti de la famille, et tu vas pouvoir commencer à t'éclater. Mais avant, il y a encore quelques détails à régler. Si ce n'est pas encore fait, un agent d'intégration va bientôt te prendre sous son aile pour t'aider à t'intégrer. Pour rappel, voici le fonctionnement de L’Équipe d'Intégration. Tu trouveras là la liste des agents ainsi qu'un petit descriptif, qui te permettra d'en savoir plus sur ton parrain. Enfin, te voilà arrivé à la phase des obligations administratives ! Plusieurs étapes : Pour commencer, il est prudent de faire recenser ta célébrité dans le Bottin des Avatars, en respectant le formulaire évidemment ! Si ton personnage est un Prédéfini ou bien un Scenario, n'oublie pas de préciser dans ce sujet que tu l'as choisi, afin qu'un Modérateur spécifie qu'il est désormais pris ! Pense aussi à réserver ton métier/rôle , histoire qu'on sache un peu qui est qui. De même, il te faut recenser ton pouvoir dans la Liste des Capacités. N'oublie pas de respecter le formulaire qui est proposé Puis, il est impératif de créer ta Fiche de liens, histoire de te faire quelques potes dans le coin. Tu peux aussi créer un sujet dans les Répertoires de topics, histoire de recenser tes futures aventures ! Enfin, tu peux si tu le souhaites venir réclamer un Rang Personnalisé. Une fois que t'as fait tout ça, t'es paré pour le jeu, soldat ! En revanche, il te reste encore des choses indispensables à savoir, et pour cela, on te donne directement rendez-vous dans le GUIDE DU JOUEUR |
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| Sujet: Re: rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) | |
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| | | | rÿsiah ❅ ‹ I will take the train, leave the sun for the rain › (terminée) | |
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