|
| Théodore H. de York ♦ Henry VIII | |
|
| Sujet: Théodore H. de York ♦ Henry VIII Dim 28 Oct - 20:52 | |
| Théodore H. de York
« Post Tenebra Lux »Jonathan Rhys Meyers Tumblr Identité Je m'appelle Théodore Henry de York mais on m'appelle Théo. J'ai 521 ans, j'en fais 35 ans. Je suis né le 28 juin 1491 à Greenwich et je suis Américain, avec des origines anglaises. Je suis un vampire hétérosexuel et je suis professeur d'Histoire.
Capacité Spéciale ; dis m'en plus à ce sujet ! Habitudes Diurnes Théodore comme tous les autres vampires, ne sortait guère de chez lui le jour. Il ne passait pas non plus son temps à dormir. Installé dans son bureau, il était toujours à plancher sur les cours qu’il allait donner à ses étudiants ou encore sur un nouveau sujet d’études qui lui demander plus de réflexions sur ses souvenirs. Ben que l’époque contemporaine offrait beaucoup de d’innovations en matière technologique, informatique, médecin, il gardait une certaine nostalgie de son époque où il avait la sensation qu’il existait une certain qui aujourd’hui avait disparu. Mais à côté de ça, il avait une passion sur les autres créatures qui vivaient dans la Nouvelle-Orléans, les loups garous et plus spécialement les jaguars garous. Ces derniers étaient vraiment des spécimens pour lui qui n’en avait alors jamais vu. Il étudiait plus précisément sur la façon donc ces jaguars garous ont pu exister dans ce bas monde. Peut-être avec un peu de chance il pourra en rencontrer un. | HABITUDES NOCTURNESEn tant que professeur à l’université de la Nouvelle-Orléans, il se doit d’offrir à ses étudiants un enseignement complet sur une période historique qu’auraient manqué les élèves dans un cursus spéciale ou parce qu’ils ne seraient pas forcément très bon dans cette matière. Il pouvait traiter de n’importe quel sujet avec une grande facilité ayant tout de même une préférence pour la Renaissance et l’histoire d’Angleterre. A la fin de ses cours, il avait pris pour habitude de rejoindre la classe de musique pour voir Svetlana. Ensemble ils discutaient de tout et de n’importe quoi avant d’aller au manoir Newrewell pour passer un peu plus de temps ensemble. Théodore apprécie la présence des autres vampires de ce clan, étant sociable. Il est toujours avide d’en apprendre plus. Pour ce qui est de se nourrir, avec le temps il s’est assagit, évitant ainsi les carnages qu’il avait provoqué par le passé. Il choisit deux ou trois pommes de sang ou bien il hypnotise des étudiants pour le prélever un peu de sang sans qu’ils ne se souviennent de quoi que ce soit. C’est également la nuit, qu’il fait des investigations à propos des jaguars garous dont il reporte ce qu’il a trouvé le lendemain matin. N’oublions pas non plus qu’il est toujours aux basques de Raphaëlle Sands qu’il épie discrètement dans le but de mieux la piéger quand le moment sera venu. |
DESCRIPTION PHYSIQUE Il est plus grand que la moyenne, mesurant un mètre quatre-vingt. Théodore accorde une grande importance à son physique non pas pour séduire les demoiselles en détresse, quoi que pour se divertir de temps à autre c’est fort utile. Il envisage de viser l’excellence que ce soit dans les conditions physiques ou morales. Les traits de son visage sont fins ce qui accentue un peu plus son visage allongé. Il a les cheveux châtains clairs, coupés très courts. Les filles apprécient également son regard bleu gris qui les attire comme un aimant. Mais prenez garde, Lorsqu’il laisse son côté bestial prendre le dessus, son regard vire au noir et son visage devient rougeaud. Théo a également de grandes mains douces aux contacts des corps chauds de ses victimes et intransigeantes. A son époque, tout d'or vêtu, son air majestueux prenait le dessus. Son charisme et ses bonnes manières étaient l'une de ses armes redoutables. Il avait cette prestance, ce corps imposant et attirant à la fois. | CARACTÈRELe vampire n’a pas besoin de hausser la voix pour se faire respecter, sa simple présence suffit pour dégager de sa personne une aura puissante. Théodore possède une forte personnalité, ce qui lui confère de l'ascendant sur autrui. Il se montre actif, énergique, dynamique et courageux, et son tempérament est passionné. Adaptable et malléable en apparence, il saura faire valoir ses droits et ses idées, certes, mais aussi avec une pointe de machiavélisme et, le cas échéant, de fermeté : une main de fer dans un gant de velours... Il a de multiples projets, de grandes idées, encore faut-il qu'il soit capable de les mettre en application. L'action est cependant son exutoire, car sa grande nervosité ne le met pas totalement à l'abri de crises émotionnelles. Il a des réactions violentes devant toute désobéissance. Ce qui est humain ne lui est point étranger et il possède souvent un idéal de fraternité qui le fait s'intéresser à autrui et adhérer à des groupes. C'est aussi un homme intuitif bien qu'il préfère afficher son esprit logique... Il peut osciller entre une possessivité absolue et un certain altruisme. Il possède également une grande intelligence qu'il exploite pour rester en haut du tableau et être remarquer des professeurs. Toujours dans le but d'avoir un peu plus de pouvoir. Théodore est quelqu'un de manipulateur, qui aime dominer et diriger son petit monde. Pour lui cela toujours été ainsi et cela continuera éternellement ainsi. Son but dans la vie est de rejoindre de se créer un clan à son nom et d’être entouré de sa cour. Mais ce que Théodore veut, Théodore l'a. Il va donc devoir user de ruse et de flatterie pour arriver à son but. Il est très attaché à sa famille et fera beaucoup d'efforts pour conserver une bonne harmonie avec ses proches. En amour, il est souvent difficile car il cherche la perfection. Aussi, à cause de ses intransigeances, risque-t-il de passer à côté du bonheur sans le voir. Dirigiste et pointilleux, imbu de grands principes, il n'est pas toujours facile et risque de rompre un peu vite en pensant toujours trouver la perle rare. Mais existe-t-elle ? |
Histoire «Veni, vidi, vici»« Jamais âme innocente en ces lieux ne s’embarque, Voilà pourquoi Caron te chassait de sa barque : Tu comprends maintenant d’où venait sa fureur. »
Dante ALIGHIRTI, l’Enfer, Chant III. Jackson 2012 Il était 20h30 à Jackson, la ville se transformait petit à petit, au fur et à mesure que le crépuscule s’affichait aux dessus des gratte-ciels. La ville appartenait aux fêtards, aux jeunes gens et aux couples aimant se rendre à l’opéra. Ce soir, il se produisait Hamlet de Shakespeare, une occasion en or pour un rendez-vous galant. Mais la nuit était également propice à toutes sortes de créatures qui laissaient apparaître leurs véritables visages. C’étaient des personnes comme vous, dont vous ne vous seriez jamais douté qu’ils puissent être autre chose qu’humain. Non, le paranormal c’est juste bon pour exciter les jeunes adolescents qui sont à la recherche d’une identité. Un homme, de grande taille au visage fin, marchait précipitamment pour se rendre à son appartement. Il adressa un petit signe de la main au concierge armé qui surveillait l’immeuble puis appuya sur le bouton pour appeler l’ascenseur. Impatient, il exprima sa nervosité en tapant la mesure avec son pied avant d’entrer dans « la boite en fer » comme il l’appelait lui-même. Une personne âgée si trouvait déjà, tenant son petit caniche entre ses bras. Le chien grogna à l’approche de l’individu, celui-ci lui adressa un regard froid qui ne calma pas plus que ça la bête. Sa propriétaire s’excusa du comportement de son « bichon » n’arrivant pas à expliquer ce qu’il se passait. Ce à quoi, son voisin d’immeuble se contenta d’un sourire quelque peu forcé, avant de sortir et de s’avancer face à la porte de son appartement. Lorsqu’il entra, il se débarrassa de ses chaussures en cuir noir parfaitement cirés puis lorsqu’il atteint son salon, il y déposa son attaché-case puis sa veste marron à carreaux. Prestement, il s’approcha du petit bar dans un coin de son salon et se servit un verre de Scotch whisky. En relevant sa tête, il aperçut son reflet dans le miroir. Ses traits étaient durs, son regard sombre presque noir les vaisseaux autour de ses yeux semblaient comme prêt à exploser. Il sourit laissant apparaître sa dentition, plus particulièrement ses deux proéminentes canines. Lentement, tout en se détournant de son miroir, il but son verre d’alcool jusqu’à la dernière goutte avant de le poser sur la table basse. Sa montre affichait 20h45. Il était en retard, et pas du tout prêt à accueillir sa douce amie qui venait lui rendre visite mais également de quoi se nourrir. Il se dirigea vers sa chambre et se doucha rapidement, il n’eut le temps que de mettre son pantalon noir que la sonnette lui indiqua que son invitée était déjà présente. Il ne put s’empêcher de grimacer de ne pas être parfaitement prêt, mais rapidement il prit une attitude désinvolte passant sa chemise blanche sur lui sans la fermer. Il ouvrit la porte et adressa un sourire charmeur à la jeune femme dénommée Raphaëlle Sands. « Serais-je arrivée trop tôt pour vous, monsieur Théodore Henry ? » Dit amusée la jeune femme bien apprêtée dans une robe bleu marine qui mettait en valeur la pâleur de sa peau, très discrètement maquillé, les cheveux ramassés en élégant chignon. « Je ne vois pas de quoi vous parlez, ne suis-je pas assez décent pour vous accueillir ma douce ? » Répondit-il tout en ouvrant un peu plus la porte pour l’inviter à entrer. La demoiselle ne se fit pas prier. Pour être un peu plus décent, Théodore boutonna sa chemise tout en lui proposant un verre qu’elle refusa. Il s’excusa de devoir la faire patienter et retourna dans sa chambre pour finir de se préparer. Animée par la curiosité, celle-ci amena Raphaëlle à pénétrer dans l'endroit interdit, le lieu de tous les secrets. Il s’agissait du bureau personnel, Théodore lui avait, depuis le début de leur relation, interdit l’entrée de cette pièce sans qu’elle sache les raisons de ce refus. C’est tout ce mystère qui l’avait poussé à profiter de l’inattention de son amant pour aller à l’aventure. En pénétrant dans la pièce, elle fut surprise par l’ambiance qui y régnait. Il lui semblait que toute une époque historique fut transportée à un même lieu. Posant son index sur le bois du bureau, elle le contourna puis s’installa sur le fauteuil. Elle ouvrit ensuite un tiroir et vit une jolie petite boite finement travaillée qu’elle prit dans sa main et ouvrir. Ses yeux s’agrandirent devant la surprise que lui procura le collier en or qu’elle avait face à elle. C’était un véritable trésor. Délicatement, elle ouvrit le pendentif et vit une miniature d’une jeune femme, blonde tout comme elle et dont les traits ressemblèrent étrangement aux siens. Avec sa main libre, elle farfouilla un peu plus dans le tiroir et trouva d’autres miniatures de cette même personne. Derrière l’une d’entre-elle fut gravée « Jane Seymour. » Sa surprise fut à son comble, lorsqu’elle se détourna et qu’elle tomba nez à nez à ce qui semblait être la parure où s’affichait une lettre de l’alphabet « B » qu’aurait porté une célèbre reine d’Angleterre. Elle chuchota à voix basse « Anne Boleyn ? ». Une des reines d'Angleterre, comment aurait-il pu se procurer cette parure ? Jusque-là, pas même les historiens n'en avaient vu la couleur. Elle sursauta en sentant une morsure à son cou, la douleur fut telle qu’elle ne put s’empêcher de pousser un cri serrant encore plus fort le collier dans la main. La fureur de cette attaque l'avait littéralement paralysée. Elle sentait sa chair se séparer sous les canines tranchantes de Théodore. D’habitude, les morsures lui procuraient du plaisir, mais là, il n’en était rien. Elle comprit alors qu'il la punissait de lui avoir désobéit. Raphaëlle sentait ses forces physiques la quitter, diminuée par la soif avide de Théodore. Celui plus que furieux en l’ayant vu dans son antre, n’arrivait plus à se calmer même si le sang de sa victime lui procurait le plus grand bien. Il savait que son secret avait été découvert à présent c’est ce qui l’énervait d’autant plus. Il ne fit rien pour se rendre plus doux, il voulait qu’elle paye de sa trahison. Brutalement, il la lâcha. Son sang coula à la commissure de ses lèvres mais il ne perdit pas le temps pour s’essuyer sa bouche l’entrainant rudement vers le canapé qui prônait dans son salon. Le vampire la projeta avec violence avant de faire les milles pas pour tenter de se calmer. Lorsqu’il parvint enfin à reprendre un peu de sang-froid il se tourna vers Raphaëlle. « Que faisais-tu dans mon bureau ? Qu’est-ce que tu cherchais ? Je pensais pourtant t’avoir dit de ne jamais y aller. » Celle-ci resta les bras ballants, les yeux à demi-fermés. Bien qu’elle grimace à cause de la douleur, elle s’asseyait comme elle put avant de prendre la parole. « La curiosité causera ma... ma perte. » Râla-t-elle en se redressant difficilement sur le divan. N'étant pas à sa première morsure vampirique, Raphaëlle se faisait à la douleur. Elle commençait à apprécier son goût, sa texture, ce mélange de bestialité et de possession. Pourtant cette fois-ci, c'était amer. Acide. Désagréable. Elle n'allait pas s'en tirer aussi facilement que la fois dernière. « J'ignore tout de toi, Théodore... Tu n'as jamais évoqué ton passé et... » Interrompant sa phrase pour contempler une fois de plus le bijou, Raphaëlle garda ce dernier dans le creux de sa main avant d'ajouter avec lenteur. « Et même si tu es un vampire, tu ne peux pas avoir été... son mari ? »Théodore se mit à rire devant la naïveté presque enfantine de la jeune femme. « Si je ne t’ai jamais rien dit à propos de mon passé, c’est que tu n’as pas besoin de le connaitre. Je ne me suis pas intéressé au tien non plus et tout fonctionnait très bien jusqu’à maintenant. » Il tendit sa main réclamant son collier. Raphaëlle le maintien contre sa poitrine. Comme l’avait dit justement le vampire, il ne connaissait rien du tout à son passé, ni même dans ses capacités magiques. Malgré sa blessure au cou, elle défia l’homme qui lui faisait face affrontant son regard noir. Elle avait peur, oui mais ce sentiment éveillait chez elle des pulsions impulsives comme si elle voulait aller encore plus loin. Posant sa main contre le dossier du canapé, elle le contourna pour créer une sorte de barrière entre les deux. Tremblante, elle posa sa main libre contre la blessure. « Si tu tentes de me faire quoi que ce soit d’autres, ou même de récupérer ton précieux collier, je te jure qu’il brûlera dans ma main. » Un petit rictus se dessina sur les lèvres de la jeune femme, elle savait que son chantage fonctionnerait puisqu’il semblait vraiment attaché à cette miniature. « Dis-moi ce que je désire savoir sur toi, et seulement après ça, je te le rendrais. » Le mensonge avait ses vertus. En voyant le trouble qu’elle avait réussi à créer chez son agresseur, elle se sentit pour une fois en supériorité. L’animal qui habitait Théodore semblait avoir du mal à retrouver son calme, il ne cessait de regarder la nuque de sa potentielle victime, la pièce semblait s’être imprimée de l’odeur du sang. La menace qu’elle osa lui faire ne faisait qu’accroitre un peu plus l’impatience et l’envie de meurtre qui grandissait chez lui. Il ferma les yeux, et petit à petit son visage reprit ses traits normaux, lorsqu’il rouvrit ses yeux, le regard sombre avait laissé place à la couleur naturel de ses yeux, un bleu si clair qu’il tirait vers le gris. « Puisqu’il en va ainsi. » Il se pencha et récupéra son verre, il se servit à nouveau en alcool doublant la dose avant de s’affaler sur le fauteuil proche du feu artificiel qui crépitait offrant tout de même une certaine chaleur. « Installe-toi, je ne vais rien te faire. Fais comme bon te semble. » Raphaëlle, ne voyant plus de menaces apparentes dans le comportement de Théodore, s’installa à l’autre bout du canapé pour garder une certaine distance avec lui, et pour rester à ses gardes également. « Je t’écoute. » Il prit son temps pour boire quelques gorgées, avant de s’éclaircir la voix. « Dans ce cas commençons par le début. Je suis naît au palais de Placentia à Greenwich le 28 juin 1491. J’étais le troisième enfant d'Henri VII et d'Élisabeth d'York et deuxième sur la liste de succession au trône, derrière mon frère ainé Arthur. J’avais également deux sœurs Magaret et Mary. Mon frère, âgé de quinze ans, avait été fiancé à Catherine d’Aragon, mon père voulait une alliance avec l’Espagne, malheureusement ou bien heureusement, tout dépend comment on voit les choses, il mourut le 2 avril 1502. A cette époque j’étais déjà duc d’York, et mon père voulant toujours de cette alliance avec l’Espagne, je me devais d’épouser la femme de mon frère. Catherine avait confirmé le fait que son mariage n’avait pas été consommé, le mariage pu être célébré le 11 juin 1509. Tu l’auras compris, c’est la première de mes épouses tout comme tu as deviné qui je suis. Je devins roi le 22 avril 1509. La première grossesse de ma reine en 1510 fut interrompue par une fausse couche. Puis, le 1er janvier 1511, Catherine donna naissance à un garçon qui ne vécut que jusqu'au 22 février de cette même année. Je commençais à me poser des questions à propos de la descendance. » Théodore s’interrompit puis but ce qu’il restait dans son verre. « Je me suis tourné vers la théologie pour trouver des réponses par rapport à mes questions. Dans le Lévitique 20, 21, il avait été dit : « Quand l’homme prend pour épouse la femme de son frère, c’est une souillure ; il a découvert la nudité de son frère, ils seront privés d’enfant. » J’ai quand même eu une fille avec Catherine, elle s’appelait Mary, et la loi salique n’existe pas en Angleterre, elle aurait pu devenir reine après moi. Mais ce n’était pas forcément bien vu. De plus, mon père est arrivé à la tête du pays grâce à une bataille. Il me fallait absolument avoir un garçon pour assurer la légitimité de notre famille. Catherine était plus âgée que moi, et par la suite elle ne put avoir d’enfance. Il m’avait semblé nécessaire alors de demander le divorce qui m’avait été refusé par le Pape. J’avais rompu les liens avec le Vatican pour devenir chef de la religion en mon royaume. Ainsi j’avais pu divorcer avec mon épouse. Ma fille Mary n’était donc plus légitime.
Vint alors ma deuxième femme, Anne Boleyn. Ce fut également mon premier amour. Elle m’avait rendu fou à me résister, elle me procurer ce que n’importe quel autre homme attendait d’une femme. Elle était également très ambitieuse, elle avait refusé la moindre de mes avances si je ne lui avais pas promis de devenir ma reine à son tour. Le temps que j’ai passé avec elle avait été vraiment… » Théodore détourna la tête, son regard se montra absent, Raphaëlle prit la parole pour forcer l’homme à poursuivre son histoire. « C’était comment avec elle ? » Il reprit sur un ton des plus indifférents. « C’était des années de frivolités. J’avais eu une autre fille avec Anne, il s’agissait d’Elizabeth, une merveille. Je l’aimais tout autant que mon ainée Mary. Mais encore une fois je n’avais pas eu la chance d’avoir un héritier. Je me confesse en disant que je me suis lassé d’Anne, les jolies filles ne manquaient pas à la cour. Anne avait fait déjà plusieurs fausses couches, et j’ai appris par la suite qu’elle avait été accusée d’adultère, de complot contre l'État et inceste avec son frère George. Elle fut exécutée à mort à l’épée. Je n’ai pas eu le courage d’assister à cette sentence. Après tout, je l’avais aimé. Mais ma douleur fut rapidement remplacée par ma troisième épouse, celle dont tu tiens le portrait entre tes mains. Jane Seymour. Ma relation avec elle fut assez courte. Elle m’offrit un garçon, Edward VI. Elle te ressemble beaucoup physiquement. D’ailleurs la première fois que je t’ai vu Raphaëlle j’ai cru qu’elle était revenu des morts pour m’offrir un peu de douceurs. Mais je me suis rendu compte que votre ressemblance n’est que physique. Jane mourut douze jours après avoir donné la naissance à mon fils… Je fus pendant un long moment inconsolable de cette perte.
Je me suis éloignée de la cour pendant cette période de deuil. J’essayais de reprendre gout à la vie et à ses plaisirs. Mes filles avaient tentés à plusieurs reprises de me voir, mais je m’y refusais à chaque fois. Après tout, elles n’étaient plus légitimes. Je sais que je n’étais pas un bon père, mais elles ont toutes les deux reçurent une éducation digne des princesses européennes. Dans le fond, comme je te l’ai dit, je les aimais tout autant de mon fils. Mes conseillers les plus proches me faisaient parvenir de nombreuses femmes pour tenter de me redonner envie de serrer dans mes bras, leurs frêles corps chauds contre moi. Je m’y suis refusé à de nombreuses reprises. Et parmi l’une de ses femmes, il y avait eu un fléau, un monstre tout comme moi actuellement. Je me souvins encore parfaitement de la peur et de la douleur que j’avais ressentie lorsqu’elle m’avait mordu. J’avais eu la sensation qu’elle me déchirait la gorge. Ma transformation me fut bien plus douloureuse. Mais à côté des années qui ont suivi ce n’était rien. Si je suis en vie, c’est uniquement grâce aux hommes qui m’ont été d’une incroyable fidélité et qui m’apportaient des putains pour assouvirent à mes instincts les plus bestiaux. Ma soif. Le sang. Je devais gérer cette mutation en plus du contexte politique de mon royaume. Je n’avais qu’un fils, et l’on redoutait qu’il meure dans son jeune âge.
Ecoutant ce que l’on me préconisait de faire, j’ai pris pour épouse Anne de Clèves le 6 janvier 1540, dans le cadre d'une alliance avec les protestants allemands. Je l’ai répudie six mois plus tard en juillet 1540, en refusant de consommer le mariage et en ayant rompu l'alliance avec les protestants. Elle était bien trop laide pour me satisfaire, rien que de me rendre dans sa chambre ne m’était qu’un supplice. La bête qui est en moi ne voulait qu’une chose, la vider de son sang. Puis vint Catherine Howard : je l'épousai le 28 juillet 1540. Elle était la cousine d'Anne Boleyn, je me souvins de la surnommer « la rose sans épine ». Après l'avoir accusée d'adultère et de trahison, je l’ai fait exécuter par décapitation le 13 février 1542. Je n’appréciais pas particulièrement être vu comme le roi cocu dont toute l’Europe se moquait.
Ma dernière épouse fut Catherine Parr en 1543. Cette femme était très intelligente et elle avait réussi à me persuader de remettre sur mon testament mes filles dans l’ordre de succession après Edward. Je suis bien content de l’avoir écouté cette brave femme. C’était quelqu’un de bien. Mais j’avais de plus en plus de mal à rester discret sur ma nature. Je faisais des carnages, la guerre était mon moyen de m’abreuver en sang. L’élément déclencheur qui me poussa à disparaître fut le jour où j’ai presque assassiné mon propre fils. J’ai disparu après cela sans laisser de trace, je fus reconnu comme mort et mon fils de neuf ans prit la tête du royaume. Selon mes volontés, mon cercueil fut installé auprès de Jane.
J’ai toujours eu un œil sur ce qu’il s’est passé après « ma mort », mon fils ne survécut guère longtemps après moi. Mary, ma première fille eut le surnom de « Bloody Mary » et avait plongé le royaume dans la tourmente et le sang. Elizabeth me fit honneur et resta longtemps sur le trône mais contrairement à moi, elle ne s’était jamais préoccupé d’avoir une descendance. Elle mourut et laissa s’éteindre la dynastie des Tudors avec elle.
Ce que j’ai fait à travers les siècles seraient trop long à t’expliquer, mais j’ai voyagé partout dans le monde avant de m’installer durablement ici en Amérique du Nord. J’avais changé plusieurs fois mon identité. Enfin, si on me demande mon identité en entier je serais alors Théodore Henry de York. J’ai effectué plusieurs petits boulots ici, avant de trouver mon métier, celui d’enseignant chercheur à l’université. Qui peut mieux parler des Tudors qu’Henry VII lui-même ? » Un petit sourire se dessina au coin des lèvres de Théodore. Il se leva posant son verre sur la commode avant de rejoindre Raphaëlle qui frémit à son approche. « Et puis, je t’ai rencontré petit ange blond, toi qui me rappelait tant ma muse, ma Jane. » Doucement, son index caressa sa joue, parcourant le contour de sa mâchoire pour descendre vers la nuque. « Je te trouvais si esquisse, il me fallait te goûter savoir ta saveur. Tu n’as pas été facile à conquérir, il m’a fallu me montrer imaginatif, ce qui te rendait d’autant plus attrayante. Puis tu t’es donné de plein à moi, en sachant ma nature avant de me révéler la tienne. Ce fut des mois de plaisir à tes côtés ma tout douce… » Délicatement, ses doigts appuyèrent sur sa blessure. Blafarde, Raphaëlle feinta un malaise et s’excusa en se dirigeant vers les toilettes. Théodore la regarda s’éloigna ne se doutant pas de ses intentions, d’un pas tranquille il se dirigea vers la cuisine tout en se disant que malgré le fait qu’elle sut la vérité à son propos, peut-être que rien ne changerait entre eux. Il s’exclama à voix haute pour qu’elle puisse l’entendre. « On a rater la pièce ! Je te propose de rester manger ici ce soir. » Raphaëlle se trouvait à présent dans la salle de bain à se laver les mains après avoir soigner sa plaie au cou. Elle avait posé à côté d’elle son sac à main et ses mains tripotaient un poignard en argent. Elle se scruta dans le miroir hésitant, se demandant si elle parviendrait à sauter le pas. En entendant la voix de Théodore qui semblait bien plus chaleureuse, son cœur lui disait de ranger son poignard et de le rejoindre mais sa conscience le lui interdisait. Il lui avait menti pendant trop longtemps, il l’avait choisi uniquement pour sa ressemblance avec l’une de ses défuntes femmes et non pas pour ce qu’elle était vraiment. Juste un appât pour se nourrir. Elle posa doucement l’arme blanche et accrocha le collier autour de son cou. Elle rangea ensuite toutes ses affaires dans son sac puis prit le poignard. Déposant son sac juste à côté de la porte d’entrée avant de se diriger vers la cuisine. Son cœur se crispa à la vue de Théo qui était dos à elle, et en train de lui cuisiner un petit plat. Doucement elle s’approcha de lui puis posa sa tête contre le dos de son amant, sa main libre l’entoura glissant sous la chemise. Elle sentit le sang lui monter à la tête, les souvenirs de ses nuits passés avec lui se bousculèrent dans sa mémoire. La sorcière ferma les yeux puis le poignarda dans le dos. Théodore surprit par l’attaque se rattrapa sur le plan de travail de la cuisine, la douleur fut tel qu’il comprit qu’elle l’avait attaqué avec le métal qu’un vampire ne pouvait pas supporter : l’argent. Il s’écroula par terre alors qu’il essayait de l’enlever poussant des cris rauques, son visage avait repris tout son aspect bestial alors que son sang coulait de par sa blessure. Raphaëlle se trouvait déjà au niveau de l’encadrement de la porte de la cuisine et lui adressa une dernière fois la parole avant de fuir. « Tu es le deuxième homme que je laisse rentrer dans ma vie, et tu seras le dernier à me mentir. » Elle était déjà trop loin lorsque Théodore parvint enfin à se défaire du poignard. Affaiblit, il se traina vers sa chambre marchant comme une vulgaire marionnette désarticulée. Il s’écroula sur son lit se maudissant de s’être fait avoir tel un jeune premier. Une image lui revint en mémoire, celle de son collier au cou de la jeune femme. Il grogna et marmonna. « Tu ne m’échapperas pas Raphaëlle Sands. » Nouvelle-Orléans 2012 Voilà quelques mois maintenant que Théodore s’était installé à la Nouvelle-Orléans. La vie dans cette ville n’avait rien avoir avec celle qu’il menait à Jackson. Il avait acheté une petite maison non loin du quartier français et vivait grâce son nouveau poste d’enseignant d’Histoire à l’université de la Nouvelle-Orléans. Il commençait à se plaire dans son nouvel environnement, appréciant les cultures différentes que l’on pouvait retrouver dans un même lieu. Mais ce changement de ville n’avait pas que ce but, il était également à la recherche de Raphaëlle. Il savait qu’elle s’était réfugiée dans cette ville et comptait bien la retrouver pour récupérer son précieux bien. En attendant, il essayait de connaître les individus qui l’entouraient. A commencer par la ravissante jeune femme qui offrait également des cours du soir en musique tout comme lui en Histoire. Il savait qu’elle est son semblable, une vampire. Svetlana Petrova, il adorait ses discutions avec elle, elle était si douce et attentive à moindre détail. Ils avaient en commun la passion pour la musique. C’est grâce à Svetlana qu’il apprit ce qu’il se passait dans cette ville. Il fut surprit d’apprendre qu’il y avait tant d’espèces différentes regroupés dans une seule et même ville. C’est ce qui décida d’autant plus Théodore à vouloir rester même s’il retrouvait Raphaëlle. D’autant plus qu’il aimait vraiment enseigner aux jeunes l’époque à laquelle il avait vécu de même qu’il pouvait briser les stéréotypes préconçues dans l’esprit des jeunes étudiants. Il avait réussi à convaincre le directeur de l’université qu’il ne pouvait enseigner de jour, puisque c’est dans la journée qu’il devait faire un peu plus de recherche concernant des sujets d’études intéressants. Il ne pouvait que le soir à partir de dix-huit heures se calquant aux horaires de la deuxième vampire. Ses cours permettaient aux élèves de rattraper leur retard parce qu’ils avaient un job d’étudiant à côté ou bien parce qu’ils n’étaient pas bons en histoire. C’est également sur ces horaires qu’il faisait part de ses recherches en donnant des conférences. Svetlana lui apprit à la façon de se nourrir en tout discrétion dans la ville surtout à cause du contexte actuel. Il comprit très rapidement qu’il était essentiel d’appartenir à l’un des clans de vampire pour ne pas faire face seul à la menace. Incité à rejoindre le Clan Newrewell, Théodore avait demandé audience auprès de Luthìan Newrewell avec les conseils de sa nouvelle amie. Lors de l’entrevue qui se passa relativement bien, il avait été convenu que Théodore pourrait vivre comme bon lui semblait même si le chef du clan appréciait grandement à ce que le clan se réunisse de temps à autres pour faire le point car après tout il lui offrait une protection et Théo lui devait obéissance. C’était sous ces conditions que celui qui fut le roi d’Angleterre devint un membre du clan. Le professeur était intrigué par une espèce qu’il n’avait pas eue la chance de rencontrer, il s’agissait des jaguars-garous. Il tentait de comprendre comme ils étaient arrivés au monde au même titre que les loups garous. Quoi que lui réserve cette nouvelle vie à la Nouvelle-Orléans il était bien décidé à y faire son petit trou. Il finit par s’entendre avec quelques étudiantes qui de bon gré ou pas lui offraient son cou. En échange, il se rapprochait de leur parent pour être en contact avec les membres du conseil de la ville. Le but de Théodore n’était pas de gagner des points auprès du clan qu’il souhaite rejoindre, mais de se protéger, passant sa misérable vie avant tout. Alea Jacta Est . Derrière l'écran Pseudo ; Léna Âge ;22 ans Fréquence de connexion ; Le plus souvent possible. Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à d'anciennes joueuses. Comment trouvez-vous le forum ? Sublime . Multicompte ? NO. Code (en hide) : BLABLA - Spoiler:
Dimitri joue aux barbies.
Dernière édition par Théodore H. De York le Dim 28 Oct - 22:52, édité 3 fois |
| | | S. Raphaëlle Sands
« »
▌Age : 27 ▌A débarqué le : 14/10/2012 ▌Parchemins : 125 ▌Quantité de sang disponible : 22636 ▌Age du personnage : 32 ans. ▌Rang : Sorcière désespérée. ▌Job : Chanteuse au Lunatic Café.
| Sujet: Re: Théodore H. de York ♦ Henry VIII Dim 28 Oct - 21:12 | |
| JE T'AAAAAAAAAIME. Rebienvenue parmi nous, en espérant pouvoir jouer avec toi prochainement ! Bref, tu sais ce que je pense de ta fiche hein. Ce personnage va juste être extra en rp et puis notre lien En tout cas, j'espère que monsieur Théodore ne tuera pas Raphaëlle trop vite, ça serait dommage. |
| | |
| Sujet: Re: Théodore H. de York ♦ Henry VIII Dim 28 Oct - 21:19 | |
| Je t'aime aussi Raphou d'amourrrrr ! Je suis vraiment contente que le personnage te plaise, et puis le lien de malade que l'on a c'est clair. Faudra surveiller Henry, il n'est pas du genre fidèle. Il n'a pas l'attention de la tuer, juste de bien la punir pour qu'elle n'oublie jamais l'affront qu'elle lui a fait. Sinon. Ma fiche est terminé ! |
| | | Léo A. Jones
« LADY BURN »
▌Age : 37 ▌A débarqué le : 30/12/2011 ▌Parchemins : 701 ▌Quantité de sang disponible : 22991 ▌ Code couleur : #E1D1A1 ▌Age du personnage : 175 ans ▌Rang : lady burn ▌Job : serveuse au lunatic ▌Citation : « L'amour ne tolère pas la liberté. Où il y a l'amour, il n'y a plus de liberté. »
| Sujet: Re: Théodore H. de York ♦ Henry VIII Dim 28 Oct - 23:23 | |
| Alors ; ta fiche se lit très bien, je l'ai lue d'une traite, mais plusieurs choses clochent - D'abord, pour ce qui est des habitudes diurnes de Théodore, il est impossible qu'il " ne passait pas son temps à dormir ", puisque les vampires ont besoin de dormir le jour. C'est un point très important qui est souligné dans la notice des vampires et dont il faut s'acquitter lorsqu'on incarne un vampire sur le forum, ainsi faut-il faire attention de ce niveau-là =) - Ensuite, la partie physique cause aussi problème puisque Henry a eu un accident de joute, avant sa transformation en vampire si j'ai bien suivi ton histoire, qui l'empêchait d'exercer toute activité physique. Il a donc rapidement pris du poids et il boitait, même. Le vampirisme ne lui aurait pas ramené sa beauté d'avant sa blessure, seulement guéri cette dernière. Il s'agit donc d'une erreur que l'on ne peut ignorer. - Les plus gros soucis de ta fiche surviennent dans l'Histoire de ton personnage. Je suis moi-même une très grande fan de l'histoire du Roi Henry VIII et je note plusieurs incohérences dans la biographie de Théodore. Je n'ai rien de particulier à souligner sur le résumé que tu en as fait avant sa transformation, mais c'est justement à partir de ce moment-là que j'ai noté les plus grosses incohérences ; Tout d'abord, il n'est souligné nulle part que Théodore est resté avec son sire suite à sa transformation, or sans l'aide de ce dernier, ton personnage serait rapidement devenu instable et incontrôlable et ce, malgré l'aide de ses sujets. Suite à cela, il aurait très probablement été exécuté par d'autres vampires pour préserver leur existence secrète. De plus, les changements qu'ont amené sa transformation sont énoncés de façons très évasives ; Le fait qu'il ne puisse vivre que de nuit aurait dû rapidement évoquer des soupçons, et je doute que ses serviteurs lui amenaient des courtisanes en guise de casse-croûte sans redouter Théodore le moindrement...Logiquement, ils l'auraient fuit et dénoncé plutôt que de lui venir en aide...Enfin, la mort de Henry VIII n'est pas considérée comme étant " nébuleuse " et même avec l'aide de ses serviteurs, je doute qu'il aurait simplement pu s'évanouir dans la nature sans que cela ne soulève de nombreux questionnements...Surtout qu'il est recensé qu'Henry est mort vieux, rabougri, avec sa jambe défaillante depuis une joute à cheval, chose que le vampirisme lui aurait guérit, comme dis précédemment. Ajouté à cela plusieurs fautes -rien de catastrophique je te rassure- mais pour un personnage de l'envergure d'Henry VIII, une fiche un peu plus solide serait de mise Ce que nous te conseillons, si tu souhaites rester dans le même style de personnage, c'est peut-être d'incarner un membre de la cour d'Henry VIII qui a été vampirisé lors de la même époque Je suis désolée si cela peut te sembler sévère, je pense que le roi Henry VIII est difficilement exploitable de ce niveau-là de part son histoire assez bien détaillée et laissant peu de " failles" à exploiter, quel que soit le rédacteur derrière l'écran ^^'. J'espère sincèrement que nous pourrons te revoir bientôt avec une nouvelle fiche et que ces commentaires ne t'auront pas trop découragée. |
| | |
| Sujet: Re: Théodore H. de York ♦ Henry VIII Dim 28 Oct - 23:33 | |
| Merci je comprends. C'est gentil d' avoir lu la fiche. Pouvez-vous supprimer la fiche ? Merci d'avance. |
| | | Léo A. Jones
« LADY BURN »
▌Age : 37 ▌A débarqué le : 30/12/2011 ▌Parchemins : 701 ▌Quantité de sang disponible : 22991 ▌ Code couleur : #E1D1A1 ▌Age du personnage : 175 ans ▌Rang : lady burn ▌Job : serveuse au lunatic ▌Citation : « L'amour ne tolère pas la liberté. Où il y a l'amour, il n'y a plus de liberté. »
| Sujet: Re: Théodore H. de York ♦ Henry VIII Dim 28 Oct - 23:35 | |
| Pas de soucis, merci de ta compréhension |
| | |
| Sujet: Re: Théodore H. de York ♦ Henry VIII | |
| |
| | | | Théodore H. de York ♦ Henry VIII | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |