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 « Dans son regard absent et son iris absynthe, je lis le vice de Baby Doll » ~ DONE

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MessageSujet: « Dans son regard absent et son iris absynthe, je lis le vice de Baby Doll » ~ DONE   « Dans son regard absent et son iris absynthe, je lis le vice de Baby Doll » ~ DONE I_icon_minitimeVen 29 Juin - 13:43

Beth Skyler Alesi


« We are born when we die »

Ashley Smith ©️ rider 0n the storm



Identité


Je m'appelle Beth. Beth Skyler Orlova-Alesi, mais on m'appelle Bela, ou encore Bloody Betty. J'ai 209 ans, j'en fais 22. Je suis née le 9 août 1803 en Angleterre et je suis américaine ? russe ? anglaise ? italienne... ?, avec des origines anglaises. Je suis une vampire bisexuelle et je suis membre du Clan Alesi.

Capacité Spéciale ; Copie : Faculté de "copier" les capacités des autres, lorsque ceux-ci sont situés dans un rayon de 10 mètres maximum. Sky' ne peut copier qu'une capacité à la fois, évidemment. Ce pouvoir qu'elle maîtrise encore très mal lui donne énormément de fil à retordre.



Histoire


« 100 lignes minimum »

Citation :
Petite amie. Il la serre contre lui, prétextant tout l'amour qu'il a pour elle. Un peu trop, et alors qu'il la colle, elle s’extasie en douce sur sa saveur cannelle... La veine qui tombe à son cou a des sursauts vermeils, elle devine sous sa peau la chaleur et le goût, et vissant ses doigts pâles à sa gorge alléchante, resserre l'étau à mesure qu'il se penche...
Sa fraîcheur revigorante le satisfait, et sous la chaleur étouffante, il s'offre à elle comme un vulgaire jouet. Il s'amuse, il se tort, tandis qu'elle croque avec ardeur dans sa chair étriquée. Il n'imagine pas une seconde, sous son adorable candeur, sa conscience moribonde, sa fringale délétère...
Et alors qu'il expire, les pupilles affolées, elle relâche son étreinte et le voit tomber. Lentement, à ses pieds, sur la rive mal éclairée du Bayou St John. Un regard tout autour, elle s'inquiète des silhouettes éparpillées alentours... Des témoins ? Aucun. Elle soupire, soulagée, et du bout de ses escarpins, fait glisser le cadavre dans ce marasme louisianais. Le lit stagnant accueille la généreuse gourmandise dans un clapotis circonspect, un tourbillon léger prend vie dans ses eaux placides et l'engloutit, vorace, avant de le recracher. Un corps de plus flottant à la surface du fleuve meurtrier, elle fait volte-face et ne pense déjà plus à cette bourde impromptue...

J'avance. Cette nuit, le Bloody Mary me paraît plus sombre. Sans doute parce que je ne suis pas la vedette du show de ce soir. Il va leur manquer ma fougue et mon grain de folie... Mais j'aime contempler mes rivales et les dénigrer dans l'ombre d'un maudit mari. Celui du moment m'observe derrière sa table et je le rejoins en quelques enjambées gracieuses ; une main sur ma hanche, il s'acclimate très vite à l'ambiance érotique et s'empare de mes lèvres, gourmandises écarlates tremblant sous la fièvre...
Mon premier repas m'a laissée sur ma faim ; je ne veux pas y penser, mais ce pauvre William me fait par instant de la peine. Il avait confiance, mhh ? Et je l'ai mangé... Jusqu'à la dernière goutte. Sans pouvoir m'arrêter. Un brin de conscience me fait dire qu'il va bien me manquer...
De la compagnie, il y en a pourtant partout ici. De ces hommes égarés aux vampires affamés, guettant leurs proies faciles sous leurs airs désinvoltes.
On me guette, on me file, ma jeunesse est un Mal qui souvent, me porte préjudice. Mais l'Enfer de cet Hymne, alangui au rythme de mes dents frôlant par à-coups sa peau d'opaline, s'abat sur moi tristement. Elle me guette, elle me file, me coupant dans mon élan. Une maladresse avortée que la mort de cet homme qui s'impatiente nerveusement à mes côtés ; « Va t'en » ; je le jette sans plus de cérémonie, me retenant d'avouer que sa vie est sauvée. Et mes fesses également, car je connais la correction associée à tout assassinat devant témoin. Je n'aurais pas dû quitter la villa ce soir ; pas dans mon état. J'en suis de plus en plus certaine à mesure qu'Elle s'approche de moi...




Citation :
Angleterre, Hiver 1812.

Enfant. Ses bras la tiennent à distance, par peur de lui donner froid. Dans le coquet salon de ce cottage anglais, près des flammes crépitantes de la cheminée, une mère et sa fille se font tour à tour la lecture dans un fauteuil de velours. Dehors, la neige a recouvert le paysage de son épais manteau blanc, depuis bientôt dix jours. Seuls les domestiques de la Maison et la Nurse de l'Enfant sont autorisés à la quitter selon leurs propres moyens. Depuis longtemps fidèles à leur Maîtresse, ils gèrent l'endroit avec aisance sans poser de questions.
9 ans. La poupée blonde n'a guère plus d'années d'existence. Mais danseuse, philosophe, pianiste, elle a déjà derrière elle de nombreux talents dans de nombreux domaines. Cela fait deux printemps qu'elle étudie sous la coupe de cette femme qu'elle appelle « maman ». Elle se rappelle tout juste d'une autre avant elle sans saisir la portée de tels changements. Sa vie d'avant est effacée, oubliée, enfouie dans une conscience à jamais bancale et torturée.
« Bela... » Ekaterina Dmitrievna Orlova a rebaptisé sa fille selon les mélodieuses harmonies de sa langue natale. De ses doigts fins, elle frôle le visage de sa princesse, presqu'aussi pâle que le sien, fruit d'un sevrage quotidien. Voilà bien longtemps que l'enfant n'a pas couru sous les rayons du Soleil. Cette nuit d'enseignements et de tendresse touche d'ailleurs à sa fin. Ainsi, la toute jeune Beth, petite rose anglaise, contemple son aimée tutrice et comprend qu'il est temps de refermer le livre. Le sommeil la guette, une leçon prochaine viendra demain. Son éducation est un point essentiel de leur relation, et la froide créature qui l'emmène à sa chambre ne manquerait pour rien au monde une occasion de la façonner conformément à ses attentes...


J'expire, un soupir violent qui me prend les entrailles jusqu'à l'affolement. Elle se fond comme une ombre dans les gémissements de la foule, glissant entre les corps agités comme un long serpent s'étire avec facilité... Elle est toujours elle, toujours belle, portant à merveille les modèles serrés du nouveau siècle... Je n'ai aucun souvenir d'elle ainsi. La dernière fois que je l'ai vue, nous portions encore toutes deux ces lourdes et encombrantes masses de taffetas... Rouge, vert, bleu... comme ces flashes lumineux qui la mitraillent à mesure qu'elle avance. Bleu. Comme ses yeux qui me fixent, sondant mon être à distance... J'ai peur. Et tellement de choses à lui dire, de questions à poser. Tellement de haine et de colère à pleurer...
Tout est ma faute...




Citation :
Londres, été 1826.
« You can't change my destiny. »

« Bela... » Son souffle se perd dans sa détresse immensurable ; tout comme elle, elle a froid... pour la première fois de sa non-vie peut-être. Elle la regarde, caressant sa joue morne du bout des doigts, alors qu'une perle rouge baigne son œil de sa teinte maladroite. « Bela... »
Le corps de sa fille, corps de femme, sublime, lui glisse entre les bras. Combien de fois lui a-t-elle refusé l’Éternité ? L'avertissant du danger, ressassant ses propres doutes et sa solitude, essayant de lui faire comprendre ô combien l'Immortalité n'a rien d'éternellement amusant... ?

Ses poignets exsangues n'ont plus la force de s'agripper à son cou. Sa fine robe de soie se noie dans son propre sang, et sa mère l'allonge sur les pans d'un tapis écarlate. Beth, poupée blonde aux yeux fermés, veines entamées par l'acier, vient de pousser son dernier soupir. A ses pieds, le miroir brisé renvoie encore le reflet furibond de la blonde enfant, prisonnière de sa rage, exultant à l'idée qu'elle vient d'avoir pour satisfaire ses caprices d'héritière gâtée...

Ses leçons shakespearienne ne l'endorment plus. La haute société pré-victorienne ne l'amuse plus. Sous la coupe de sa mère, elle n'est rien qu'une jeune femme intouchable au statut prestigieux et la fortune colossale. Ses rondeurs fascinent autant que la blondeur de ses cheveux, ou l'azur de ses yeux. Mais elle n'a ni la prestance, ni le pouvoir de sa mère, et ce n'est pas sur son teint, ou ses habitudes que l'on s'interroge, mais sur les siens. La jalousie la hante et la perspective de vieillir aux côtés d'une immortelle la rend folle. Elle demande, à trois reprises, la vie éternelle, le Don obscur... qu'Ekaterina Orlova lui refuse poliment, prétextant son expérience personnelle. « Tu ne sais pas ce que c'est, tu ne sais pas ce que ça représente... » « Alors j'apprendrai... et si tu ne veux pas me donner ce cadeau qu'on t'a fait... alors je le prendrai de force. »

Écroulée. Aux pieds de la vampire comme son dernier cadavre, le regard vitreux et le ventre froid, elle savoure sa victoire d'une façon amère. « Fais-le, mère, ou regarde moi-mourir pour toujours... » Et le sang brûlant qui s'immisce dans sa gorge a le goût du Soleil, ce nectar éternel qu'elle ne goûtera plus jamais...

Mes doigts se crispent autour d'un rebord inexistant. Sublime, divine, elle se tient devant moi, un visage aussi froid et impassible qu'autrefois. D'une pâleur plus pure encore, des ongles fins aussi durs et cassant que du cristal... la bouche aussi rouge que la plus éclatante des roses... N'est-elle pas celle que l'on dit maudite ?

Ses pupilles s'ancrent aux miennes, interdites. Comment m'as-tu retrouvée, maman ? La connexion est si forte qu'elle m'entend probablement. Tandis que je sens le sang battre dans ses veines et appeler le mien... Superbe, délicate, elle attend une invitation qui ne vient jamais. Les sanglots se meurent dans ma gorge et la haine... la haine est inconvenante. Pourquoi t'ai-je obligée à me transformer ? Pourquoi ne m'as-tu pas retenue quand je t'ai quittée ? Pourquoi ne m'as-tu pas cherchée... ?




Citation :
Paris, 1896

« Ils ne sont pas comme nous, Bela. » Toujours, encore les mêmes recommandations, les mêmes précautions, les mêmes menaces. La brune l'avertit dans un soupir exaspéré ; elle a peur pour sa fille, devenue son infante, sa pupille. L'enfant gâtée figée dans ses vingt ans, et réclame toujours plus de liberté... « Mais ils s'amusent ! Nous ne sommes pas des humains, Ekaterina. Nous ne pouvons pas vivre comme ni parmi eux. Les humains sont des jouets, des proies. Nous sommes plus forts qu'eux, nous n'avons pas à nous cacher ni nous plier à leurs règles stupides ! » Le verre se brise à même le sol de la suite parisienne. Les robes se froissent, les cris perdurent et seuls, s'évaporent dans les brouillards de l'aube. Énième accroche, énième dispute entre la fille et sa mère. L’Éternité, devenue leur Enfer, a rongé leur amour et fait place à la colère, l'incompréhension. Bientôt cent ans passés à suivre les règles et à se comporter en société. Beth Skyler Orlova n'a ni le bon sens ni la patience de son encombrante Lady. Elle l'aime, mais puisqu'elle ne veut pas comprendre, elle claque la porte, avant le lever du Soleil.
Passant outre la détresse du cœur, qui lui rappelle ô combien elle est attachée à cet être, elle laisse derrière elle sa chair, son sang, son amour au détour d'une ruelle.
Salve cruelle, elle abandonne la sécurité au profit d'une vie pleine de débauche et de promesses. Engouffrée dans les catacombes, elle rejoint l'antre de ses comparses, vampires libertins qui se targuent de faire régner la peur et leurs lois sur la Capitale.

Nombreuses décennies de peur, d'euphorie, pendant lesquelles elle apprend à goûter à la vie, comme jamais auparavant. Son insouciance et celle de son Clan la sépare des siens dans un violent incendie. Apeurée et solitaire, le vampire sanguinaire redevient l'enfant perdu et regagne l'Amérique, en espérant des jours meilleurs. La folie s'empare de son être, elle n'est plus que l'ombre d'une silhouette meurtrière...





Citation :
Louisiane, années 1990.
« I will always love you, daddy. »

Elle se glisse amèrement parmi les ombres, lui jouant la comédie des petites filles perdues. Dans les rues sombres elle le suit, comme un chien derrière son maître, elle veut jouer, elle souhaite sa compagnie. Et lorsqu'enfin, il daigne poser ses yeux sur elle, elle s'écrase, et sourit. Il sent bon, elle a faim, mais surtout... il est comme elle. Étrange, à part, une créature au sang chaud comme elle n'en a jamais vues autre part. Son premier loup-garou malgré les voyages, qu'elle séduit tant bien que mal au fil des soirées.

Son front se plie, sa bouche se tort alors qu'il avale sa dernière gorgée pour la Nuit. Elle l'a suivi, il l'a faite entrer, mais, il s'attendait à quoi ? Sûrement pas à ça...
Licencieuse, elle s'offre à lui, moyennant une dose de sang qu'elle n'obtiendra jamais. Peu importe, elle le veut quand même, il est parfait pour pallier à sa solitude éternelle... Ses doigts s'égarent dans la flamboyante chevelure, et redescendent aussitôt jusqu'à son torse, contre lequel elle se blottit comme une enfant. Tout lui est égal, il peut bien faire ce qu'il veut d'elle, tant qu'il demeure à ses côtés. Il soupire, elle s'étend. « Ne me laisse pas », supplie la poupée blonde, monstre assoiffé de sang, à l'oreille de son compagnon...

Un loup, et un vampire, parcourant les sentiers d'Amérique, s'ébrouant nerveusement sous la Lune. Elle le cherche, elle le tâte, tandis qu'il s'indigne et enterre ses cadavres... Elle s'amuse, et dès lors qu'il la menace, elle s'isole et se repent, l'inondant de promesses et de supplications. Envahissante, elle espère ne plus l'être, mais la maturité peine à l’habiter. Jalouse et perdue, elle écarte ses rivaux d'un coup de crocs, s'attirant davantage encore les foudres de son bien-aimé mentor...
Un soutien masculin auquel elle se soumet volontiers pendant près d'une année, appréciant sa chaleur et son autorité. Jusqu'à la Chute, vile et cruelle, qui le voit s'envoler loin d'elle.

1991, La-Nouvelle-Orléans. Nouveau pied-à-terre, nouvelle maison. Il la regarde à peine mais se tient droit, prêt à refermer la porte sur sa dernière invitation.
« Il y a des vampires partout dans cette ville. Et trois Clans. L'un d'eux finira bien par t'accepter. » Elle baisse les yeux, et tourne les talons. Ses larmes sont de sang, mais elle s'échappe avant qu'il ne les voit.

Ses jambes se croisent, elle s'installe en face. « Bonsoir, Bela... »

Enfin, Ekaterina...



Derrière l'écran


Pseudo : Moloko Vellocet What a Face Âge : 20. Fréquence de connexion : 7/7. Comment avez-vous connu le forum ? via Asher. Comment trouvez-vous le forum ? bah . Multicompte ? [0]OH YEAH / [ ]NO. Code (en spoiler) :
Spoiler:


Dernière édition par B. Skyler Alesi le Lun 2 Juil - 22:55, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: « Dans son regard absent et son iris absynthe, je lis le vice de Baby Doll » ~ DONE   « Dans son regard absent et son iris absynthe, je lis le vice de Baby Doll » ~ DONE I_icon_minitimeLun 2 Juil - 19:05

j'ai terminé je croiiis **
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Dimitri O'Neal
« Daddy Cool »





Dimitri O'Neal



▌A débarqué le : 23/01/2012
▌Parchemins : 791
▌Quantité de sang disponible : 21102
▌Age du personnage : 112 ans
▌Rang : Freki de la meute O'Brien
▌Job : Superman à temps partiel.


« Moi je veux ♥ »
▌Alignement: Neutre à tendance maléfique
▌Relations:
▌Pouvoirs :




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MessageSujet: Re: « Dans son regard absent et son iris absynthe, je lis le vice de Baby Doll » ~ DONE   « Dans son regard absent et son iris absynthe, je lis le vice de Baby Doll » ~ DONE I_icon_minitimeVen 6 Juil - 14:27

Félicitations !


❝ Tu viens d'attraper le dernier train pour l'Enfer ! ❞
Officiellement bienvenue sur COB ! Comme d'hab', j'ai adoré te lire, le personnage est génialement capricieux et attachant... Puis avec la bouille d'Ashley, comment lui résister? « Dans son regard absent et son iris absynthe, je lis le vice de Baby Doll » ~ DONE 3229147817 Te voilà donc ajouté chez les sangues ! Amuse-toi bien parmi nous, et n'hésite pas à contacter un membre du staff si tu rencontres un problème ou as besoin de renseignements ! ♥️ Ce qui suit a été rédigé pour te guider après ton arrivée tromimi


Le Guide du joueur

Alors, heureux ? Bon, tant mieux. Mais... tu croyais pas t'en tirer si facilement, si ?!

Parrainage ₪ Pour commencer, il faut savoir que tu peux solliciter l'attention et le temps d'un ancien pour mieux comprendre le forum et t'intégrer ! C'est sympa pour créer de nouveaux liens et apprendre à connaître les autres. Pour ça, tu peux choisir ton parrain en allant par là, et faire un tour dans les mini-flood. N'hésite pas à t'incruster surtout Wink
Avatar ₪ Pour commencer, il est prudent de faire recenser ta célébrité ici même, en respectant le formulaire évidemment !
Pouvoir ₪ Pour recenser ton pouvoir c'est par .
Métier ₪ Pense aussi à réserver ton métier/rôle, histoire qu'on sache un peu qui est qui.
Liens ₪ Puis tu peux créer ta fiche de liens, histoire de te faire quelques potes dans le coin.
RP ₪ Tu peux aussi créer un sujet dans les répertoires de topics
Te Loger ₪ Pour un logement il faudra passer par la boutique et avoir assez de litres de sang pour ne pas être SDF. Pour acheter les clefs, ben c'est justement à la boutique que ça se passe.
Les Litres de Sang ₪ Tu les vois, dans ton profil ? Eh bien garde les précieusement ! Ce système de points te permet d'acheter des cadeaux sympathiques à la boutique justement, et de faire évoluer ton personnage. Pour savoir comment gagner des Litres de Sang et devenir plus puissant, c'est par là (a)
Les Annonces ₪ Il est impératif de surveiller ce coin là qui est le témoin de tous les changements importants qui auront forcément une influence sur ton perso.
Faire Connaissance ₪ Évidemment, tu peux flooder avec et t'amuser avec les autres à cet endroit. Sinon il y a des rendez-vous Skype, organisés régulièrement pour permettre à tous de bien s'intégrer à la vie du forum !
Commencer à jouer ₪ Pas toujours évident de trouver un partenaire RP, on est d'accord. C'est pourquoi, sur COB, on a les demandes
Tes Oeuvres ₪ Pour exposer tes oeuvres et en demander ce sera dans les galeries d'art !
Absence ₪ En cas d'imprévu, un petit post dans les absences ne tue pas Very Happy
Staff ₪ Tu apprendras à mieux connaître ton staff en cliquant là
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Le PNJ ₪ Si tu veux mettre du piment dans ton jeu, demande à utiliser le PNJ
Intervention du MJ ₪ Envie de pimenter tes RPs sans savoir où, quand, comment, et ce qui va te tomber dessus ? C'est par lààà
Le Membre du Mois ₪ pour en savoir plus, c'est !
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MessageSujet: Re: « Dans son regard absent et son iris absynthe, je lis le vice de Baby Doll » ~ DONE   « Dans son regard absent et son iris absynthe, je lis le vice de Baby Doll » ~ DONE I_icon_minitimeVen 6 Juil - 15:37

merci vieux papa indigne What a Face
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MessageSujet: Re: « Dans son regard absent et son iris absynthe, je lis le vice de Baby Doll » ~ DONE   « Dans son regard absent et son iris absynthe, je lis le vice de Baby Doll » ~ DONE I_icon_minitime

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