Ma vie pourrait nourrir une conversation pendant des années et des années si je devais tout vous conter, si je devais évoquer chaque moment du temps que j’ai passé sur cette Terre … une éternité presque, même moi il m’arrive de repenser à toute ces années, mais il m’est impossible de remonter trop loin. Bien que je ne sois pas comme tout le monde ma mémoire a des limites, les mêmes que celle de toute personne et ce de n’importe quelle race qu’elle soit. Au niveau de l’humanité nous pouvons dire que je viens d’atteindre ma majorité, je parle de l’humanité telle qu’on la connait, celle qui n’est pas si loin que ça si on y réfléchit, du haut des mes dix-huit siècles je peux vous assurer que j’ai connu chaque évènement majeur ayant eu lieu en ce monde … et je ne doute aucunement du fait que je pourrais facilement être un livre d’histoire à moi seul, vous dévoilant la véritable face de l’histoire, tout ce que l’on vous cache, tout ce que les hommes de grande importance et tout les dirigeants maquillent afin de pouvoir faire croire au monde ce qu’ils veulent. Mais nous ne somme pas ici pour vous révéler si oui ou non l’homme a bien marché sur la lune et tout autre sujet sensible mais plutôt juste pour rédiger une courte autobiographie sur ma personne … courte car comme dit au début ma mémoire commence à flancher, pour me souvenir des moments présent elle est obligée d’effacer des moments passés. Sur la période couvrant mes premiers siècle de vie il ne me reste quasiment rien, juste quelque bribes du moment où une personne m’a donné l’immortalité … un doux cadeau qui peu se révéler douloureux et vous faire éprouver toute les peines du monde. Que diantre dit-il comme sottises direz-vous, qui n’a pas rêvé ne serais-ce que quelques secondes de pouvoir vivre jusqu’à la fin du monde … jusqu’au jour dernier, mais qui n’a pas non plus renoncé à se projet fou en pensant aux peines qu’il peut infliger, que feriez-vous si toute personne autour de vous vivait normalement, en vieillissant jusqu’à la mort, toutes ces personnes qui vous chérissez et dont vous devriez subir la mort. A vrais dire on peut vérifier une chose une fois que l’on a reçu un don … il nous procure le plaisir et la joie d’avoir pu obtenir notre désir ultime mais toute chose mérite sacrifice, mais bon trêve de paroles sage, je ne voudrais pas que vous vous endormiez alors que vous attendez en quelque sorte que je vous révèle les traits de mon passé … alors que votre vœux sois mis en application mes chers amis … ou ennemis, on ne peut pas savoir qui pourra lire ceci.
Chapitre I La mort n'est que la majorité de l'âme
Je ne me souviens pas de mon enfance, je ne peux pas vous dire grand-chose sur cette période, voir même rien du tout, une mère, oui sûrement sinon je ne serais pas ici à vous parler, un père ? Peut-être ou peut-être pas, après tout Jésus n’a pas de père, sa mère, la Vierge Marie était bah Vierge donc notre crucifié n’avait pas de père … donc peut-être n’en ai-je pas eu moi-même qui sait. Mon premier souvenir remonte à l’époque des mes trente-six ans, autant dire un vieillard pour l’époque, je vous avoue qu’il ne me restait pas grand temps à vivre … oui car j’ai oublié de vous dire que nous sommes en l’an 246 … vous n’étiez pas né ? J’en conviens bien car peut de personnes ayant vécu à cette époque son encore en vie et je vous laisse deviner que si elles le sont encore elles ne sont pas de simples humains. A cette époque je n’étais qu’un simple esclave, un de ces esclaves destiné à divertir la foule, un barbare des anciens temps … un gladiateur, oui un peu comme dans le film Gladiator mais en plus réaliste dirons nous. Un jour fait comme un autre l’empereur avait eu une envie, faire des jeux de nuit, pourquoi pas après tout, de toute façon je n’avais nullement le droit de discuter les envies de cette personne mais à se moment la je n’imaginais pas que la raison de ces jeux allait m’être fatal si je puis dire. Ces jeux étaient destinés à mettre en valeur la nouvelle acquisition de la cour, une bête capturée il y a quelque temps, quand j’eus vent de cette nouvelle j’imaginais tout de suite que l’empereur allait organiser un combat contre cette chose et au fond de moi je priai de toute mon âme que son adversaire ne sois pas moi. A croire que mes prières n’eurent pas atteints les cieux car le chef d’orchestre me désigna en temps qu’adversaire de la bête, en me donnant comme raison, bien qu’il n’eut pas l’obligation de justifier son choix, que j’étais le plus prompt à l’affronter. La nuit passa tranquillement alors que l’on pouvait palper l’ambiance du public au fil des combats, parfois totalement enjoué et en de rares moments totalement déçu par des combats soit trop rapides soit par le mauvais niveau des combattants. Pour ma part je ne pensai qu’au moment où j’allai entrer dans l’arène, j’essayai de savoir par tous les moyens à quoi pourra bien ressembler cette bête, quelle pouvait être cette chose pour que tant de personnes la craignent, une partie de moi voulait aller dans l’arène sur le champ afin que ma curiosité soit satisfaite mais une autre voulait ordonner à mes jambes de faire demi-tour et de partir le plus loin possible d’ici, certes j’aurais pu mais alors je n’aurais par la suite plus jamais combattre ou faire tout autre chose car l’usage des mes jambes m’aurais sûrement été enlevé.
Le moment fut enfin venu, j’avais prit un bouclier extrêmement lourd, un gros rond de bois orné de toute part par des pièces de métal pour qu’il tienne en place et qu’il soit plus solide ainsi qu’un glaive qui venait tout juste d’être aiguisé pour être le plus mortel possible dans ce combat. J’étais présent devant la grille, en visu face à face avec mon adversaire du jour que je ne pus apercevoir lui aussi derrière une grille dans l’ombre … j’étais debout, des frissons me parcouraient le corps à l’entente des spectateurs qui hurlaient dans tout les sens. Au bout de quelques secondes qui me parurent bien plus, un bruit de métal rouillé se fit entendre, ma grille était entrain de se soulever et une fois qu’elle le fut assez j’entra dans l’arène, en levant mon glaive sous les applaudissements et les hurlements de la foule. Une fois à bonne distance de la grille en face de moi je me stoppa, l’impatience se fit de plus en plus grande au fil des secondes … et la, enfin … la grille se leva et laissa apparaître des chaînes en argent qui semblaient brûler celui ou celle qu’elles enchaînaient, je pouvais maintenant distinguer le teint de sa peau, d’un blanc pur, qui ne faisait que rappeler le teint des cadavres. Mais le pire fut l’aperçu de la tête de cette bête, rien qu’en l’apercevant je fus comme tétanisé de peur, la première chose qui me frappa ? Les dents, enfin surtout les canines, on aurait cru des couteaux aiguisé à souhait, capable de trancher n’importe quoi et son regard, comment ne pas remarquer se regard, emplit de haine … il n’y avait nul doutes possible, j’avais en face de moi et comme adversaire une bête enragée et qui n’avait sûrement qu’une envie, faire de moi un digne repas. Il était maintenant facile de deviner que je me trouvais ici juste parce que j’étais bon et que tout le monde voulait voir l’étendu des capacités de cette chose, face à l’ambiance du public je n’eus guère d’autre choix que de me battre … pendant les premières secondes mon adversaire s’amusa juste à me tester, à voir de quoi j’étais capable, je pris quand même confiance en moi, prenant le dessus, mais cette confiance ne fut que de courte duré car je n’eus aucun moyen de me défendre devant la dextérité de cette être surnaturel et je me fis envoyer au tapis en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Je fus laissé la, comme si j’étais mort car personne n’avait envie de venir me récupérer maintenant que cette chose était libre dans l’arène. Une fois que tous les gradins furent vides je vis cette personne s’approcher de moi, j’étais allongé sur le sol, dans un sale état, elle se mit à mon niveau et dit d’une voix douce et mélodieuse.
Tu m’as surpris gladiateur, je n’aurais jamais cru qu’un être comme toi puisse avoir la folie de m’affronter, et pour cela je vais t’offrir un cadeau que tout homme désire en ce bas monde.
De quoi pouvait-il s’agir, ma curiosité me poussa à lui répondre malgré les quelques difficultés présentes pour aligner les mots face à la douleur de mes blessures.
Quel … quel est cette … offrande ?
Il ne se passa pas beaucoup de secondes avant que j’ai une réponse qui me fit peur.
Je vais t’offrir la vie éternelle mon chère, mais comme tout ceci mérite un sacrifice … tu vas devoir rendre ton âme !
Sans que je puisse répondre je sentis alors une pression sur mon bras gauche, je sentais le liquide qui s’écoulait dans mes veines partir à l’intérieur de cet être et quelques secondes après je sentis un même liquide couler dans ma bouche, un goût assez répugnant mais étrangement je ne pouvais m’empêcher de m’abreuver de celui-ci … par la suite je ne me souviens pas de grand-chose, juste de mettre évanouis à cause du manque de force et de mes blessures.
C’est ainsi que j’ai acquis la vie éternelle, après tout la vie n’est peut-être qu’un test, un temps où nous sommes novice et nous apprenons tout se qui nous est essentiel pour vivre et que la mort est un passage, comme la majorité de l’esprit … à méditer.
Chapitre II Il se cache une bête au fond de tout homme
Je ne me souviens que très vaguement des premiers siècle de ma vie de créature de la nuit, à vrais dire mes souvenirs s’effacent au fur et à mesure que d’autre se créés, je sais juste que j’ai parcouru la Terre dans ses moindres détails avec mon maître et cela durant quatre siècles, quatre siècles durant lesquels il m’enseigna tout … comment me défendre, comment tuer … comment vivre en tant que vampire. Je bus chacun de ses enseignements, voulant tout savoir, le prenant pour modèle afin de lui ressembler point pour point. Je me souviens qu’au tout début j’aimais me faire conter maintes légendes sur les vampires qui se révélèrent toutes plus absurdes les unes que les autres … certaines disaient qu’une fois vampire, une beauté sans égale nous était accordée, mais quand je regarda pour la première fois mon nouveau moi dans un point d’eau je ne me trouva pas changé, j’avais toujours les même cheveux bruns, mi-long, les même yeux marrons, en gros la même tête, le même physique, de taille normale pour un homme, un corps légèrement musclé de par le fait d’avoir était gladiateur … en fait si on retire les dents je suis toujours l’ancien Césius. Une chose pourtant avait changé, mon comportement à la vue du sang, avant j’étais normal quand j’en voyais, rien ne venait me torturer l’esprit mais maintenant tout est différent, peut-être que le fait d’avoir changé de race a changé ma perception … je vais vous le dire, la vue de sang me change littéralement en bête, rien ne peut plus m’arrêter, je suis capable de tuer toutes les personnes se trouvant à proximité sans le moindre état d’âme, si tant est que je puisse avoir des état d’âme sans avoir d’âme … oui car souvent dans les textes il est dit qu’un vampire est dépourvu d’âme car il est mort en quelque sorte … enfin bref, comme je disait, dés que je vois se liquide rouge je deviens tout bonnement incontrôlable, je me souviens encore la première fois où tout cela était arrivé.
Nous devions, mon maître et moi, nous nourrir, et comme en ces temps la nous n’étions pas connu du grand public il fallait prendre de pauvres humains innocents, mon maître étant une personne assez aisée pour cette époque pouvait facilement s’offrir tout ce qu’il voulait. C’est ainsi qu’à chaque fois il faisait le tour des marchés d’esclaves afin d’en acheter plusieurs, pour que nous n’ayons pas à aller faire un réapprovisionnement trop fréquemment. Après les avoirs amenés en sa demeure il était temps de se nourrir, mais à cette époque le fait de devoir planter mes canines dans de la chaire humaine afin d’y sucer le sang me répugnait un peu, c’est pourquoi mon maître mordait d’abord afin que je n’ai plus qu’à sucer le sang, sans avoir à mordre cette personne même si le seul fait de boire du sang me faisait bizarre. Mais dés qu’apparu dans mon champ de vision une pointe de sang coulant le long d’un de ces humains une folle rage apparu dans tout mon corps, j’avais l’impression de contenir la rage de dizaines d’hommes en moi et bien sûr je ne pouvais pas la canaliser et c’est ainsi que je provoqua un léger carnage tuant sans pitié presque tout les humains fraîchement acquits par mon maître avant que celui-ci ne me stoppe. Depuis ce jour je m’efforce de me nourrir correctement et de m’écarter des lieux où les humains guérissent de leurs blessures pour éviter la vue du sang et ainsi contrôler cette bête qui sommeille en moi.
Chapitre III J'ai vécu l'histoire, l'éternité mène à l'ennui
Que dire de plus, j’ai connu toutes les révolutions en sillonnant le monde, je suis passé par la première guerre mondiale ainsi que la seconde, la guerre du Vietnam, la guerre Froide, je peux vous dire tout ce qu’il s’est réellement passé ou pas mais je ne suis pas la pour vous donner un cour d’histoire. J’ai voyagé à l’aide de tout les moyens de locomotions possibles, de mes simples pieds à la voiture que l’on connaît aujourd’hui et tout cela durant quatorze siècles, mille quatre cent longues années durant lesquelles mon caractère a bien changé, avant j’étais quelqu’un d’assez curieux, qui aimait tout savoir et pour cela aller vers les gens ayant des connaissances, et j’en ai connus beaucoup dont certain ne vous sont certainement pas inconnu, De Vinci, cela vous dit sûrement quelque chose, il m’a appris beaucoup de choses mais il n’est pas le seul et je ne pourrais pas tous vous les citer c’est pourquoi je ne me contenterais que de lui. J’avais la parole facile, je me laissais souvent aller, il faut dire que quand on est esclave et que l’on passe à la liberté de l’éternité on savoure excessivement celle-ci en faisant tout et n’importe quoi. Tout ce que je viens de vous citer a maintenant disparu, je suis devenu quelqu’un de sérieux, ne prenant pas beaucoup de sujet à la rigolade, et depuis le Moyen-âge je suis devenu plus solitaire dirons-nous, l’époque où l’on chassait toute créature n’étant pas un humain pur souche, depuis ce temps je ne parle plus beaucoup, mes seules paroles servent à faire partager le savoir acquits, je ne me fie à personne et pour cela je ne montre aucun signe et aucune expression, je peux rester de marbre peu importe la personne en face de moi et les sentiments qu’elle peut m’infliger.
Enfin il fallait s’en douter, je trouve que ma vie est d’un ennui mortel, ce qui m’a forcement conduit à avoir la plupart du temps une attitude de déprime, mais mettez vous à ma place, je peux vous assurer que vous le seriez aussi si vous aviez dû vivre pendant mille huit cent années, imaginez-vous comment on peut déjà s’ennuyer quand on arrive a la fin de l’existence humaine normale, imaginez-vous vivre une vingtaine de vie les unes à la suite des autres, comment ne pas avoir un sentiment d’ennuis quand on connaît la Terre et tout ce qui la compose sur le bout des doigts au point d’être un GPS mondial sur pattes.
Mais après tout qui suis-je pour me plaindre, j’ai la chance de ne pas avoir à me préparer à ma propre mort, je n’ai pas à craindre que mes jours sur cette Terre sois brusquement stoppés par un quelconque accident. Aujourd’hui j’ai décidé de ne plus parcourir les routes, je me suis arrêté dans une petite ville du nom de Saint-Louis, vous pouvez prendre ça comme une retraite, je pense que, moi-même de temps en temps je le prends de ce point de vue la, bien que la retraite pour un vampire ne soit qu’un concept aussi absurde qu’inexistant. Je dispense des cours pour les jeunes vampires, je leur apprend à se défendre contre les armes basiques, qui autrefois étaient très puissantes aux vues des fortes croyances mais qui, aujourd’hui ne sont plus d’une grande utilité … la seule qui reste vraiment dangereuse est le pieu d’argent. Et l’eau bénite ? Oui l’eau bénite aussi mais pour qu’elle soit vraiment efficace il faut trouver une personne religieuse à deux cent pourcent et en ce monde elles ne sont plus aussi nombreuses.
Voila qui résume ma personne ainsi que quelques points de ma vie, ce n’est peut-être pas assez pour vous, vous aimeriez sûrement en connaître plus sur moi même mais pour cela il faudra chercher par vous-même … je ne vais pas tout vous dire car certaines choses pourraient vous choquer. Ceci n’est qu’une autobiographie amputée de toutes choses futiles.
[Pardonnez moi les deux derniers chapitres mais il est tard et j'ai plus trop les neurones connectés ]
Tell me your secrets
Dernière édition par Césius de Vallane le Dim 25 Juil - 16:46, édité 2 fois
▌A débarqué le : 21/07/2010 ▌Parchemins : 4682 ▌Quantité de sang disponible : 31135 ▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus ! ▌Rang : Chef du clan Blackstone. ▌Job : Chasseur à mes heures perdues. ▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.
Sujet: Re: L'antiquité est ici ~Césius~ Dim 25 Juil - 14:15
Bienvenue sur Cup of Blood
Ta fiche me semble très bien, mise à part quelques petits...cafouillages =O Attention à l'orthographe et à la conjugaison >w< Tu as du mal avec la première personne du singulier au passé simple on dirait é_è Pour petit rappel : les verbes en -ER au passé simple, aller par exemple ; J'allai, tu allas, il alla, nous allâmes, vous allâtes, ils allèrent. Tu vois, la première personne prend un ai. C'est comme ça pour tous les verbes en -ER Tu peux corriger ça s'il te plaît ? Profites-en pour passer ta fiche sous word ou Bonpatron <3
Ah, et on écrit : s'efforcer XD
J'ai aussi justifié ton texte, c'est plus agréable à lire. Pense à le faire dans tes RPs
Sujet: Re: L'antiquité est ici ~Césius~ Dim 25 Juil - 15:01
Saleté de conjugaison, ma pire ennemie dans cette langue >.< faut dire que d'habitude je n'écris jamais à la première personne et je n'ai plus de cours de français depuis un peu plus d'un an, donc l'emploi écrit du passé simple me fait défaut
Pour le texte je l'ai tapé sur Word donc je ne pense pas qu'il puisse corriger autre chose ^^
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Sujet: Re: L'antiquité est ici ~Césius~ Dim 25 Juil - 15:41
Alors, si ça peut t'aider, voici un petit récapitulatif grammatical, made by me, en live XD *OUT*
Conjugaisons au passé simple : VERBES EN -ER ; (aller) j'allai, tu allas, il alla, nous allâmes, vous allâtes, ils allèrent. VERBES EN -IR ; (finir) je finis, tu finis, il finit, nous finîmes, vous finîtes, ils finirent. ou encore (mourir) je mourus, tu mourus, il mourut, nous mourûmes, vous mourûtes, ils moururent. VERBE EN -OIR par exemple ; (asseoir) je m'assis, tu t'assis, il s'assit, nous nous assîmes, vous vous assîtes, ils s'assirent.
Les participes passés, comment ça marche ? L'astuce consiste a mettre ta phrase au féminin pour connaître la bonne terminaison. Par exemple : J'ai fini. -i, -it, -is, -ie ? Quelle terminaison ? Quand je met au féminin, ça me donne : je l'ai finie. Donc la terminaison au masculin, c'est -i.
Autre exemple : j'ai di. -i, -it, -is, -ie ? Quand je met au féminin, ça me donne : je l'ai dite. Donc la terminaison au masculin, c'est -it.
Se ou Ce ? Se est TOUJOURS suivi d'un verbe. Un verbe pronominal je crois que ça s'appelle Par exemple : se mordre, se gratter, se manger, se cogner.
Ce est utilisé pour montrer. Tu peux, là aussi, mettre au féminin pour distinguer les deux ! Par exemple :
A cette époque je n’étais qu’un simple esclave, un de ses esclaves...
Là, on utilisera le démonstratif, ces, puisque tu montre quelque chose !
Voilà voilà XD J'ai corrigé quelques fautes, mais il faudrait que tu relise un coup toi-même
Autre petit détail : tous les vampires savent détecter le mensonge. J'ai omis de le préciser dans la notice, honte à moi ><
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