Sujet: Re: Krystal M. Goldwin ☼ The sun wasn't in the street Sam 18 Sep - 12:37
Once upon a time...
Il est tard, très tard, trop tard. Je suis dans la rue et il est deux heures trente-deux du matin. Aujourd'hui c'est mon anniversaire, mes vingt ans. Mes parents sont en réunions et mon précepteur chez lui: je viens de voir un film d'horreur intitulé «La vison d'une nuit sans lune» parlant de diverses créatures que je croyais encore fantastique mais je me trompais. Je suis peux couverte et je sens la morsure du froid sur moi. Nous sommes en été, saison rassurante mais ici elle n'a pas de prise. Dans la rue vers deux heures trente-trois du matin, moi, Krystal M. Goldwin je vois plus l'été, j'ai l'impression qu'il disparaît un peu plus à chaque pas que je fais, mes doigts sont ankylosés et je ne sens plus mon anneaux de pureté. Je vérifie: il est encore à mon doigt. Je me sens angoissée, je ne rayonne pas comme à mon habitude: il fait nuit noire et j'ai peur. La lumière des réverbères associée à celle de la pleine lune me montrent un monde froid et effrayant, ce n'est pas la ville que je connais: ce n'est pas Duluth. J'avance pas à pas vers mon domicile craignant chaque bruit perceptible, chaque mouvements. C'est dans ce climat d'angoisse que c'est arrivé, ici et maintenant, transformant ma vie et mon corps. Je vois une silhouette courir dans ma direction avec une vélocité hors du commun. J'entends un grognement, l'ombre cours vers moi et je me retrouve projetée plusieurs mètres plus loin. J'ouvre les yeux, des larmes qui perlaient alors tombèrent sur mes joues: j'ai mal. Je sens une vive douleur dans mon dos et réalise que j'ai été projeté sur une caisse contenant des aiguilles à tricoter qui se sont plantées dans mon dos, ces même aiguilles que j'avais mis au encombrant le matin même. Tout bouge lentement, j'oublie toutes les valeurs que l'on m'a apprise, j'entends un son métallique comme une bague qui tombe sur le sol: j'ai perdu mon anneau de pureté. Je ferme les yeux et vois ma vie défiler.
Là, je vois ma naissance. Ma mère, Shirley Sanna-Goldwin hurle de douleur et je me vois sortir. Comme tout le temps, on congratule la mère et tout le monde trouve le bébé magnifique, mais pas moi. Il est ridé, les yeux trop écartés, une petite bouche, les yeux d'un bleu pure. Il mesure une trentaine de centimètre: c'est mon future moi. J'avance dans le temps et revois l'éducation que mes géniteurs m'ont donné: une éducation parfaite. Toute jeune, je crois déjà au mariage, au cheval blanc chevauché par l'élu de mon coeur, je me vois à six ans porter cet anneau de pureté en or blanc sans savoir ce qu'il signifie. Je me vois grandir, abandonnée à un précepteur et une dizaines de professeures particuliers. Je me vois devenir les meilleure de mon école, la plus pure, la plus jolie. Je refuse toute demande de la part des garçons de ma classe, trouvant qu'un couple avant la majorité n'étant qu'une abomination. Je saute des classes plus vite que prévu, mes parents ne sont jamais là, je ne les ai même pas au téléphone. Je vois que ma vie n'est qu'une suite d'examens que je passe haut la main. Malgré les années, je reste pure. Je n'ai pas d'amies et c'est mieux comme ça: avoir des amies me déconcentreraient et me ferai perdre ma pureté. Malgré toutes mes action je me rend conte que je suis naïve, je crois que tout le monde est gentils et je suis polie. Ainsi, j'ai mon bac à quinze ans et j'étudie encore. Je vais à l'université et j'en sors à dix-neuf ans. On me qualifie de «génie» et mon précepteur me suis partout avec mes professeurs particuliers. La journée j'étudie, et le soir je réaprends mes cours de la journées. Ainsi je me vois après l'université à dix-neuf ans et demi décidant de faire une pause d'une année et de rester chez moi. Je me vois donc cet été, à dix-neuf ans, mon anniversaire approchant. Je me vois hier matin déposer une caisse pleine d'aiguilles à tricoter quelques rues plus loin aux encombrants. Et, je me vois ce soir là, je me vois sortir avec mes tout premiers amis. Je fais tache dans le lot: Je suis blonde, les cheveux d'un blond assez clair, les cheveux pas trop longs mais pas trop courts. Ils font ressortir mon petit visage mignon avec des traits enfantin rappelant une adolescente. J'ai des lèvre bien taillées recouvertes de gloss, mes yeux verts rappelant les yeux d'un chat, les paupières maquillées, des cils et des sourcils réguliers, pas trop épais. Je me vois comme une petite fille, je ne suis pas carrée des épaule, je suis même assez frêle, mes bras ne sont pas musclés mais semble pourtant près à serrer fort et langoureusement mon prince charmant; J'ai les ongle bien coupés, ni trop longs ni trop courts, brillent du vernis fraichement appliqué dessus. Je mesure au bas mot dans les 1m72, je me sens petite. Mes seins ne sont pas d'une taille gigantesque mais ce sont les miens, ils sont de taille moyenne, rebondit et ont de la forme. Je suis vêtu d'un t-shirt de couleur vert pomme car j'adore les couleurs vive. Mes chaussures sont des simples tongues. Je porte un pantalon simple: un jean slim qui moule mes parties intimes leur donnant encore plus de caractère: on peut voire un «V», j'ai honte. Je me vois habillées sortant avec des amis habillée en «pétasse» comme cela, trahissant toute mon éducation. J'ai honte de moi. Je me vois donc arriver au cinéma. Après le film je me vois me séparer de mes amis qui rentrent par un autre chemin et je me vois mourir. C'est mon anniversaire, et, pour mes vingt ans on m'offre la mort. Je regrette tout ce que j'ai fait cette année, j'aurais du étudier. En une année, j'ai perdu ma pureté, j'étais devenus une fille ordinaire avec un petit-copain tout en restant moi-même. «Jeune fille assez calme et attentionnée, je n'aime ni ressentir ni infliger la douleur ou la sensation de mal être. je déteste voir quelqu'un souffrir et développe une empathie incroyable avec mes amis. Je refuse de voir autre chose que le bien à l'intérieure des gens ce qui me causera un joli petit tas de problème dans la vie. De nature naïve, je crois en la vérité et prend tout ce que l'on me dit au premier degré, me rendant parfois ridicule. Je suis un peux le rayon de soleil de la ville cr je suis de nature joviale et toujours de bonne humeur mais j'ai peur de la lune: depuis que j'ai vu un film où la lune s'écrasait sur le monde et le détruisais j'ai peur de la lune. Je suis aussi terrorisée par les avions depuis que j'ai «Banzai» à l'âge très avancé de six ans et demi. Je suis une fille simple à vivre, je ne suis pas exigeante et n'ai pas besoin de beaucoup d'attention». Ceci est la définition de mon caractère par mes amis. Tantôt j'y crois et tantôt je n'y crois pas. Je me sens aspiré par mon corps et vois une vive lumière.
Je suis en train de mourir, je souffre et rouvre les yeux: je vois désormais qui est mon agresseur: je vois une sorte d'homme recouverte de fourrure rappelant le léopard. Je ne trouve pas la force de hurler, je ne sens plus que le froid, j'ai perdu mes tongues et mon anneau. Je cligne des yeux et gémis, et, sur sa joue, je remarque une larme. Le monstre parle devant moi: «Je suis désoler mademoiselle j'ai encore perdu le contrôle. Je vais néanmoins vous sauver. Si vous voulez vivre vous devez boire mon sang.» Et là, il s'entaille le bras et le sang coule à flot. Son sang chaud se répand sur ma peau froide et j'ouvre la bouche. Je commence à boire son sang pour vivre, il gémit de temps en temps. C'est au bout d'une minute environ qu'il me retire son bras et commence à me retirer les aiguilles du dos. «Ca va faire mal», a-t-il articulé lorsqu'il eût fini de retirer les aiguilles et soudain j'entendais ma colonne vertébrale ainsi que mes os brisés craquer en se remettant en place et se réparant. Je hurle et perd connaissance.
Quand je me suis réveillé, j'étais sur un lit de camp peu confortable. La pièce dans laquelle j'étais semblait normale: les murs étaient de couleur taupe, la hauteur au plafond était de deux mètres cinquante environ. La décoration était sobre: le lit sur lequel j'étais avec une lampe sur une table de nuit à sa droite ainsi qu'un matelas posé sur le sol. Il me semblait évident que quelqu'un avais dormi dans la même chambre que moi je me senti rougir. Je me suis levée du lit, dans les mêmes habit qu'hier soir avec des déchirure un peu partout mais je n'avais plus aucune égratignure. Alors que je «m'oscultais», un homme d'une vingtaine d'années entra dans la pièce. Il était sinistre mais assez mignon avec ses cheveux bruns lui formant une sorte de frange qui descendais jusqu'à ses yeux. Ses yeux étaient brun foncé, son nez de forme régulière et ses lèvre bien faites. Il était bien rasé et n'avait aucun bouton. Alors qu'il s'avançait vers moi j'ai remarqué qu'il avait une sorte de fossette au menton ce qui le rendais encore plus séduisant. Avant que je ne puisse dire quoique ce soit il était devant moi me tendant une main que j'ai serré beaucoup plus fort que je le voulais. «Bonjour, dit-il, comment vas-tu ?- -Excusez moi, mais mais qui êtes vous et qu'est-ce que je fais ici ? ,lui répondis-je sur un ton un peu apeuré. -je m'appelle Angel et ceci est ma demeure aussi humble soit-elle. Tu es ici car tu as perdu connaissance hier soir après avoir bu mon sang. Je suis déso... -Ce n'étais pas un rêve !?! , j'étais paniquée, j'étais sûre que c'était un rêve et il m'annonce que c'est lui qui a failli me tuer hier soir... ou ce matin. -Non hélas, me répondit-il le regard perdu, avant-hier soir, c'était la pleine lune et je t'ai aggressé sans le vouloir, j'ai perdu momentanément le contrôle. Pour te sauver de la mort en ne t'offrant non pas la vie mais une expérience. -Je ne comprend rien à ce que vous dîtes, vous me faîte peur. -Je suis un léopard-garou, cousin de ceux que vous appelez «Wearwolves» dans votre langue, et pour te sauver je t'ai transformé, tu es des nôtres. -Non, ce n'est pas possible, je n'y crois pas ! , m'écriais-je apeurée. -Hélas, j'en suis désolé. La seule chose que je peux faire pour t'aider c'est apprendre ce que tu dois savoir avant de te laisser intégrer une meute. -Je ne vous crois pas ! -Je vais te montrer (il se dirige vers les rideaux et les ferme), regarde bien., et sur ces mots, il se transforma en une sorte de monstre bipède de deux mètre de haut avec de la fourure rappelant le léopard, la même fourure que la dernière foi. -Un monstre ! , ai-je crié sans m'en rendre conte, et j'ai sauté sur ses épaules par instinct en commençant à le mitrailler de coups de poings. Alors que je le frappais une grosse main velue m'attrapa par le torse et me jeta à terre. Le temps que je me relève, le monstre était redevenu humain.
C'est alors que j'ai réalisé ce que j'étais devenu: un monstre. Il m'appris que même ainsi, la vie vaut la peine d'être vécue même s'il ne considère plus vivre qu'une «expérience», il a envi de poursuivre sa route. Il m'a dit qu'il était sans meute, un solitaire et, après m'avoir informé des us et des coutumes des léopards-garous, m'a ordonné de rejoindre une meute en m'indiquant Saint-Louis. Avant de disparaître de ma vie pour de bon. Une semaine plus tard, je prenais le train pour Saint-Louis: ma première pleine lune est proche.
▌A débarqué le : 21/07/2010 ▌Parchemins : 4682 ▌Quantité de sang disponible : 32115 ▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus ! ▌Rang : Chef du clan Blackstone. ▌Job : Chasseur à mes heures perdues. ▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.
Sujet: Re: Krystal M. Goldwin ☼ The sun wasn't in the street Lun 27 Sep - 17:59
Oui, je réalise que ce n'est pas génial mais je n'ai pas l'habitude de rp. Ce seveur sera pour moi une occasion de me perfectionner (enfin je l'éspère).
▌A débarqué le : 21/07/2010 ▌Parchemins : 4682 ▌Quantité de sang disponible : 32115 ▌Age du personnage : Dans les 660 ans, je ne les compte plus ! ▌Rang : Chef du clan Blackstone. ▌Job : Chasseur à mes heures perdues. ▌Citation : Sanguinaire, comme toujours.
Sujet: Re: Krystal M. Goldwin ☼ The sun wasn't in the street Sam 2 Oct - 17:13
Alors, tout d'abord : BIENVENUE ! *-* et excuse-moi du retard. >< Les cours et tout ça, c'est un peu chaud à gérer. éè
Tout d'abord, je te demanderai de mettre un avatar de taille règlementaire, c'est à dire 200*320. Et ce, dans ta fiche et dans ton profil. Celui de ta fiche est un peu petit. ><"
Ensuite, quelque chose me chiffonne dans ta fiche : les léopards-garous, comme les loups-garous, ne sont pas bipèdes. Ils ressemblent à leurs cousins sauvages, bien qu'ils soient plus gros. La forme bipède est intermédiaire, mais généralement, les lycans ne l'apprécient pas -car peu discrète.
Sinon mmmh...je n'ai rien d'autre de particulier à dire. Enfin, je pense. XD
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